Les 1001 Perversions De Nathalie (2) Nathalie Soumise - Le Début

Dans la rue, la fraîcheur de l’aube la fit frissonner et c’est en vain qu’elle chercha des yeux une station de bus ou de taxi.
- Puis-je vous aider, madame ?
Elle sursauta, paniquée, se retourna.
Devant elle, un homme très grand, svelte, lui souriait. Plus proche de la soixantaine que de la cinquantaine, très élégant. Des cheveux poivre et sel, des yeux verts.
- Vous semblez mal en point, madame. Permettez-moi de vous ramener. Vous ne trouverez pas de taxi à cette heure dans ce quartier.
- Je vous remercie, mais il ne faut pas…
- Ma voiture est au coin de la rue… Au fait, je suis Marc.
Derrière le pâté de maisons, une grande limousine était garée.
Installée sur la banquette arrière, Nathalie eut une désagréable sensation de "déjà-vu" lorsque la voiture, au lieu de se rendre vers le centre, quitta la ville. Mais elle n'eut pas la force de protester, et elle se contenta de murmurer :
- Où allons-nous ?
- Nous allons chez moi. Je crois que vous avez besoin d'un bon bain chaud et d'un lit. Et en cours de route, vous me raconterez votre nuit. Quoique… je n'ai aucune peine à deviner ce qui s'est passé dans cet immeuble sordide.
Lorsque elle eut terminé son récit, il demanda, laconique :
- Vous avez aimé ?
Elle ne répondit pas. N'osa pas lui avouer qu'elle ne savait plus combien de fois elle avait joui, crié de plaisir.
Ils roulèrent une demi-heure, la voiture quitta la grand-route, et après quelques virages, s'arrêta devant une grande villa. Un majordome se précipita, ouvrit la portière. Sur le perron, une belle femme, brune, un peu plus âgée qu'elle les accueillit.
- Léa, voici Nathalie. Elle a besoin d'un bon bain chaud et d'un lit. Germain va vous préparer un copieux petit-déjeuner.
Elle avait peine goûté aux mets servis par Germain, que Léa annonça :
- Le bain est prêt.
Elle pénétra dans l’eau très chaude. Elle se sentit mollir, ferma les yeux, se laissa aller en poussant un profond soupir.


Munie d’une épaisse éponge de bain, la femme lui lava les épaules, le cou, le visage, la gorge, descendit jusqu’aux seins. Nathalie sentait les battements de son cœur s'accélérer. Elle ferma les yeux quand la bouche de la femme effleura son cou, embrassa ses oreilles. Elle frémit. La femme se déshabilla, la rejoignit dans le bain.
Ses seins se pressèrent contre sa poitrine. Nathalie eut un frisson quand les tétons effleurèrent ses aréoles. Léa prit ses seins dans sa bouche. Sa langue s’enroula autour des tétons, ses dents éprouvèrent la tendresse de la chair, ses lèvres glissèrent doucement contre la peau mouillée. Nathalie se tortillait, gémissait, se sentait devenir humide.
Elles quittèrent le bain, rejoignirent la chambre. La femme la coucha sur le grand lit, puis se mit à quatre pattes et la lécha. Elle écarta sa chatte à deux doigts, y darda la langue. Nathalie se sentit fondre, elle s’abandonna aux caresses, à cette langue qui la fouillait. Elle plongea ses mains dans sa chevelure, pressa son visage contre sa chatte. Sa langue lui fit du bien et finit par lui procurer une délicieuse jouissance. Elle reprit son souffle, alanguie, elle se sentait maintenant épuisée. Léa la coucha, la borda.
- Dors, maintenant. Repose-toi bien, je viendrai te réveiller pour le dîner.
Elle ne sut pas combien de temps elle avait dormi, lorsque un frôlement la réveilla. Léa était assise au bord du lit :
- Bien dormi, ma chérie ? Lève-toi, je vais te faire belle. Marc nous attend.
D'une commode, elle ouvrit un tiroir rempli de lingerie fine : dentelle, nylon, satin, soie. Des petites culottes, des tangas, des strings faisaient partie de ces trésors, des porte-jarretelles en dentelle, une multitude de bas noirs, gris, chairs…
Léa lui tendit une paire de bas. Assise sur le bord du lit, elle roula puis habilla ses jambes de nylon noir. Léa lui fixa les jarretelles, avant de la remettre debout face au miroir.
- Il te faut des chaussures.

Elle lui tendit une paire d’escarpins noirs avec des talons de près de dix centimètres. Elle se chaussa et revient devant le grand miroir, perchée sur ses talons.
L’image que lui renvoya celui-ci n’avait plus rien à voir avec la sage bourgeoise qu'elle croyait être. Léa lui ajusta les jarretelles, tira sur les bas pour les faire monter un peu plus haut. Lui tendit une petite culotte assortie, en dentelle noire, presque transparente.
- Superbe ! Marc nous attend au salon, il a dû préparer le champagne. Viens te montrer.
Elle n'avait pas vraiment le choix, et c’est comme dans un rêve que, Léa la tenant par la main elle se laissa guider.
- Regarde, la délicieuse coquine que je t'offre.
Léa déposa des petits bisous dans son cou, puis ses lèvres remontèrent, jouant avec ses oreilles, Nathalie frissonna. La fièvre monta en même temps que le rouge aux joues.
Elle adorait, ses lèvres se posèrent sur les siennes, elle la fixa dans les yeux. Sa langue pointa à la rencontre de la sienne. Ses mains se posèrent sur ses hanches, elle sentit ses doigts jouer avec le porte-jarretelles et la culotte. Puis l’un d’eux glissa sous la fine dentelle. Elle murmura à son oreille :
- Tu plais à Marc… regarde la bosse qui déforme son pantalon.
Ses doigts jouaient avec ses fesses puis remontaient sur ses hanches. Passant la barrière de dentelle et du porte-jarretelles, ils parcoururent ses reins. Elle la mit face à Marc, se positionnant dans son dos, posa en coupe ses mains sous les seins, avant d’entamer une caresse qui fit poindre et se tendre ses tétons. Son souffle au creux de son épaule et les yeux de Marc sur son corps la faisaient fondre.
Elle se retourna face à Léa et cette fois, c’est elle qui lui força les lèvres, y glissant sa langue. Elle sentit monter cette chaleur dans son ventre, qu'elle connaissait bien, et qui lui fit mouiller sa culotte. Léa glissa ses doigts entre leurs deux corps, sous la culotte. Sa main passa à plat alors qu'elle ne pouvait détacher ses lèvres des siennes.

Son index passa sur sa fente qui s’entrouvrait déjà, toute humide. Elle lui arracha un petit cri lorsque le bout de son ongle toucha son bouton déjà sorti de sa cachette.
Son souffle s’accélérait au fur et à mesure que la caresse se faisait plus précise. Elle la repositionna face à Marc sans que sa main ne quitte son clitoris et sa fente de plus en plus humide. Le plaisir montait déjà, ainsi exhibée devant cet homme. Offerte à ces yeux, à cette main dans sa petite culotte, elle se laissa aller à une première jouissance.
Léa la tourna face à elle :
- Tu n’es qu’une peste, Nathalie, tu prends ton plaisir et tu ne penses qu’à toi. Tu mériterais une fessée.
- Laisse, Léa, je vais m’en charger. Mais une fessée, cela se donne cul nu.
Léa s’agenouilla devant elle et lentement, elle entreprit de faire glisser sa culotte sur le porte-jarretelles puis le long de ses jambes. Instinctivement, elle souleva successivement chacun de ses pieds pour l’enjamber. Léa jeta la culotte à Marc, il la porta à ses narines :
- Ça sent la femelle en chaleur… Vous allez me montrer votre cul, Nathalie. À quatre pattes sur le canapé !
Elle obéit et posa ses genoux sur le canapé, jambes légèrement écartées. Elle prit appui de ses mains sur le dossier, attendant, offerte.
- Léa, très chère, je te laisse le soin de choisir la punition de cette insolente.
- J’ai peur que la cravache ne soit prématurée, que dirais-tu d’une séance de gode ?
- Parfait, je prendrai le relais lorsqu’elle sera bien préparée.
Léa ouvrit un tiroir et en sorti un long gode en latex noir orné d’une queue-de-cheval en crin noir. Elle le caressa :
- Nathalie, je te conseille de bien le sucer, car là où je vais le glisser, tu n’es pas encore préparée !
Elle le lui tendit, alors que ses lèvres s’entrouvraient et que déjà elle forçait sa bouche. Elle prit soin de bien saliver pour parfaitement humecter l’objet. Elle avait le feu aux joues, mais également au ventre.

- Allez, petite peste, cambre-toi bien, offre-toi.
Indécente, cambrée, offerte, jambes écartées, les mains en appui sur le dossier du canapé, elle se positionna comme indiqué. La main de Léa se posa sur sa fesse droite, immédiatement un frisson la parcourut. Elle se mordit les lèvres, sa bouche s’entrouvrait, son souffle se faisait saccadé. Alors qu'elle fermait les yeux, un contact froid sur le haut de sa raie lui arracha un murmure. Léa positionnait le gode sur son anus.
- Oh.. ! Doucement, je vous en prie.
- Ne t’inquiète pas, ma chérie, tu vas adorer. Une traînée comme toi ne peut pas ne pas apprécier.
La pression se fit plus forte, elle se cambra, le bout du gode semblait la perforer. Soudain, il entra, passant la barrière de son muscle et lui arrachant un cri.
- Tu vois, ma salope, te voilà une vraie femelle.
- Enlevez-le, je vous en prie.
- Mais non, Nathalie ! Laissez Léa vous préparer, sinon je remplace le latex par ma queue et croyez-moi, vous me faites bien bander ainsi.
Léa passa sa main libre sur sa chatte, lui arrachant de nouveaux frissons de plaisir mêlés à la douleur dans ses reins.
- Tu es déjà très mouillée, je vais continuer à te masturber pendant que je le ferais rentrer encore plus loin.
- Non, oui… Oh !
- Ton petit bouton est tout dur, tu aimes ça, n’est-ce pas ?
Elle le fit rouler entre ses doigts, Nathalie adorait, elle se sentait couler encore davantage. La douleur s’apaisa dans son cul, pourtant la pression qu’elle y exerçait était de plus en plus soutenue. Léa avait maintenant entrepris des allers-retours tout en douceur qui lui arrachèrent mille feux de douleur et de plaisir mêlés. Elle fit monter le plaisir en lui branlant le clitoris comme une folle. Elle sentit qu'elle allait jouir alors que le gode était maintenu au plus profond de son cul. Les crins de nylon qui finissaient le gode frottaient sur sa raie au rythme de ses mouvements de bassin.
- Allez, petite vicieuse, laisse-toi aller, offre-nous ton premier orgasme du cul.
- Oui, Léa, continue à la baiser, elle va jouir !
Léa fit même mieux que cela. Elle fit glisser deux de ses doigts dans l'antre trempé. Prise des deux côtés, Nathalie eut un mouvement de recul qui ne fit qu’accen la pénétration anale. Léa agita ses doigts joints de plus en plus vite dans son con, le plaisir montait encore, elle ne va pas pouvoir résister.
- Oh oui, oui, oui !
Un orgasme monstrueux la terrassa alors que les doigts de Léa pressaient son bouton, et que deux autres étaient fichés le plus loin possible dans son con, où ils jouaient à caresser le gode à travers la fine paroi.
- Eh bien ma salope, on se laisse aller au plaisir, sans demander la permission ?
- Cette fois, elle mérite une fessée. Léa, à toi !
La laissant à genoux sur le bord du canapé, le gode fiché entre les fesses, la main de Léa s’abattit avec violence sur chacune de ses fesses, à tour de rôle. Elle essaya de se couvrir de ses mains, mais Marc, placé à ses côtés, lui tenait les bras. Le feu sur ses fesses qui s’embrasaient sous les claques que lui assénait Léa, la douleur, la honte d’être ainsi offerte, godée, et cette sensation étrange de plénitude, le plaisir qui, de nouveau, monta en elle.
Un nouveau tsunami la submergea, elle jouit longtemps, gémissante, les fesses en l’air, en feu, la tête posée sur l’assise du canapé, aux côtés de Marc qui se branlait lentement.
Elle retrouva peu à peu son calme, Léa lui tendit la main pour l’aider à se lever. Très lentement, avec le gode toujours planté entre ses fesses rougies, elle la positionna devant Marc. Lui tournant le dos elle devinait le spectacle qu'elle lui offrait : perchée sur ses hauts talons, les jambes gainées de nylons noirs tendus par les jarretelles de dentelle noire, encadrant son cul perforé par le gode, dont seule l’extrémité ornée de ses crins noirs s’échappait.
- Oh Nathalie, délicieuse soumise, belle pouliche que vous êtes ainsi parée, je vais vous libérer ! Penchez-vous en avant.
Léa se positionna devant elle, plaça ses mains sur ses hanches. Elle approcha son bassin plus près d'elle, Nathalie avait devant les yeux sa chatte. Elle ne put se retenir d’y déposer un nouveau baiser, les jambes de Léa s’entrouvrirent pour lui laisser un libre accès à sa fente. Elle sentit la pression inverse qu’exerçait Marc sur l’intrus qui perforait son trou du cul pour l’extraire lentement. Elle sentit millimètre par millimètre son retrait, et soudain, ce fut la libération totale, la laissant partiellement ouverte.
Alors que sa langue taquinait le clitoris de Léa, Marc parcourait de ses doigts sa raie ainsi offerte. Son index inquisiteur remplaça le gode qui y était logé. Très vite, il fut rejoint par un second doigt, ensemble, ils se mirent en mouvement dans l’étroit conduit, lui arrachant de nouveau des râles de plaisir.
- Nathalie, j’ai très envie de votre délicieux cul !
Marc se leva, tout en gardant ses doigts dans le cul de Nathalie, il présenta à Léa sa verge bandée à sucer. Elle ne se fit pas prier, elle semblait aimer ça et le suça tout en l’enduisant de salive. En moins de trois minutes, il sembla ne plus pouvoir se retenir. Léa se releva et tenant d’une main sûre la queue de Marc :
- Nathalie, je vais le guider dans ton cul. Cambre-toi bien, prends appui sur tes jambes. Il va te prendre debout.
Elle fit glisser un peu de salive sur son index pour parcourir sa raie et s’enfoncer dans ce trou habituellement si fermé.
- Le gode et les doigts de Marc t’ont bien préparée, ma chérie. Cambre-toi bien.
Elle positionna le gland sur la rondelle, Nathalie eut un mouvement de recul, mais Marc la maintint par les hanches, les mains posées sur la dentelle de son porte-jarretelles. Il poussa, elle ouvrit la bouche un râle, un cri… le gland se fraya un passage.
- Oh la chienne ! Elle s’ouvre ! Regarde, je la prends ! Je l'encule !
Léa vint poser ses mains sur celles de Marc. Elle la tira sur lui, l’empalant lentement sur son pieu tendu. Elle buta contre son bas-ventre. Il la prit en totalité. Elle resta ainsi, plaquée contre Marc, les fesses en feu, alors que Léa venait se positionner de nouveau devant elle, l’invitant à lui dévorer le con. Marc donna de très lents et courts mouvements de bassin. Elle commençait à s’habi à sa présence dans son fondement. Les mains posées sur les hanches de Léa, elle la lécha sur toute la longueur de sa fente, faisant monter en elle les prémisses du plaisir.
Marc accéléra lentement, mais sûrement, et elle sentit le plaisir monter à nouveau. Tout en continuant à donner du plaisir à Léa avec sa langue dardée sur son clitoris, elle glissa son index sur sa rondelle. Léa se cambra, s’offrant à son doigt. Marc se déchaîna dans ses entrailles, il lui pilonnait en règle l’arrière-train.
- Léa, elle est divine, cette petite bourgeoise, regarde comme je lui fais le cul !
- Oui Marc, elle me lèche le clitoris en me doigtant le cul, j’adore cette délurée, je vais jouir !
Léa partit dans un orgasme qui la tétanisa, entraînant Nathalie avec elle dans son orgasme anal. Marc, qui s’était immobilisé entre ses fesses, prévint Léa qu'il allait jouir lui aussi.
- Viens dans ma bouche, je veux te boire.
- Nathalie, branlez-moi dans la bouche de Léa.
Elle se saisit de la queue sortant de ses fesses, et commença à le branler alors que Léa se positionnait à genoux à ses côtés. Bouche ouverte, langue sortie, elle fixait sa main s’agitant sur la longue bite épaisse de Marc, lequel se raidit sous la caresse.
Un râle… Un premier jet stria le visage de Léa. Puis un second qu'elle dirigea directement dans sa bouche, suivi d’un troisième… et enfin, elle s'approcha pour le prendre dans sa bouche. Léa continua de le sucer lentement, tirant de son pompage les dernières gouttes de plaisir de Marc.
Nathalie déposa un baiser sur ses lèvres, sa langue parcourut ses joues pour aspirer le sperme que Marc avait laissé lors de son premier jet. Elle s’en délecta.
- Ma chérie, déclara Léa, Marc et moi avons décidé de t'adopter…
Marc renchérit :
- Oui, Nathalie, vous êtes notre invitée. D'ailleurs, j'ai déjà fait chercher vos affaires à votre hôtel et votre note est réglée. Nous avons encore beaucoup de belles choses à vous faire découvrir, Léa et moi...
(à suivre)

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