Beau-Père 7
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Jétais en vacances et bien sur, tous les jours, Hassan mamenait dans le studio pour servir de femme à tous ces hommes
A lépoque, ce nétait pas très fréquent et le « téléphone arabe avait super bien fonctionné
Hassan en parlait discrètement et les clients se le disaient rapidement entre, eux, à mots couverts
Mon cul faisait envie dans la communauté arabe et ces hommes au sang chaud, souvent bridés par les femmes, ne se gênaient par pour en profiter
En plus, baiser une bonne femelle française, docile et quils navaient aucun risque dengrosser
. Trop bon pour eux, et le « commerce » marchait bien.
Le Week-End suivant, Rachid est rentré à la maison, seul
Il avait laissé ma mère encore auprès de ma Grand-Mère encore convalescente
. Et ça a été le festival
!!!
Pas de tapin ce WE, je suis resté avec tous les deux, mais ils se sont déchaînés sur moi
Du sexe à outrance, comme sils étaient morts de faim
Leurs énormes membres me perforaient par tous les trous sans arrêt
Juste les pauses repas, que je devais préparer, pour retourner les servir, comme une bonne femelle soumise
Une fois les hommes repus, Rachid ma caressé les cheveux, et a commencé à me parler :
« Tu sais que nous sommes Touaregs, nous avons une assez grande propriété de famille, dans le Sud de lAlgérie
Une Oasis en fait, et on veut la rénover, en faire une vraie demeure »
« Oui
cest bien ça, très bonne idée
» Naïvement
!!!
« On va engager une vingtaine douvriers pour réaliser les travaux
Cest un grand domaine
Et jai parlé avec ta mère
!!! »
« Oui
et alors ? »
« Elle est daccord pour que je tamène avec moi, elle pense que ça te fera du bien de voyager et de voir des travaux de construction »
« Tu me fais pas venir pour ça, je pense ? »
« Non
Tu ten doutes bien
Moi, Hassan, mon autre frère et tous les ouvriers à satisfaire après leur journée, tu as compris pourquoi je veux que tu viennes
»
Même si jétais habitué à satisfaire à tous les désirs de mon beau-père, javoue
Jétais interloqué
Il me demandait, ou plutôt, il décidait de mamener avec eux en Algérie pour, comment dire
Tenir compagnie aux ouvriers du chantier, celui-ci étant assez éloigné, ils auraient besoin
de divertissements
!!!
Je venais de passer mon Bac, avec succès, et jétais en vacances.
Ma mère, qui évidemment, acceptait tout ce que disait Rachid, a trouvé lidée plutôt bonne et a chargé son mari de soccuper de tout ça.
Javais déjà mon passeport, en tant que beau-fils dun Algérien, mon visa a été octroyé très vite au Consulat et les préparatifs du voyage ont commencé.
Rachid et Hassan allaient maccompagner, ma mère étant retournée chez Mamy pour deux semaines, Rachid la rejoignant en France après ça, me laissant aux « soins » de ses frères.
Vol de France vers Alger dabord, puis après, vers Tamanrasset, dans cette région au plus au Sud de lAlgérie. Larrivée à laéroport a été un peu folklorique, mais mon beau-père, avec son autorité naturelle a eu vite fait dy mettre fin. Mes yeux se posaient partout, comme des soucoupes, découvrant ce décor, inimaginable et indescriptible. Brahim, leur frère était venu nous chercher et nous a un peu promenés dans la ville, men faisant découvrir ses senteurs et sa beauté
Mélange dAfrique du Nord et dAfrique sub-saharienne
Un peu enivré par toute cette nouveauté, je me suis blotti contre Rachid, caressant sa poitrine velue et en lembrassant à pleine bouche
(les vitres de la voiture étaient teintées)
« Merci Papa »
Une fois arrivés à la maison, jai trouvé un endroit
Superbe
Grand, patio intérieur comme dans beaucoup de maisons arabes, mais curieusement divisé presque en deux. Jen étais un peu surpris, essayant den comprendre la raison, et cest Hassan qui me la donnée.
« Dun côté tu as le bâtiment des hommes, et de lautre, celui des femmes
On ne doit pas se voir, sauf pour les couples mariés et seulement le soir.
Après un passage dans ma chambre, où jai pu me rafraichir après ce si long voyage, en faisant une toilette complète, très complète, de lextérieur à lintérieur, en sortant de la salle de bains, jai vu sur le lit une sorte de djellabah ou de gandoura, je ne sais pas trop, ouverte sur les côtés et au tissu très fin
aérien
Je lai mise sur moi, nu dessous, et je suis descendu rejoindre les hommes dans le patio, qui mattendaient devant une table basse chargée de nourriture qui sentait tellement bon
Jétais affamé et jai gouté à tout
Assis entre Brahim et Hassan qui ne cessaient de me peloter de partout
Ces odeurs des plats, ces effluves de mâles, je me sentais comblé
.
Je mangeais, mais aussi je caressais leur corps, leurs sexes, énormes sous la djellabah quils avaient revêtu et dun coup
. Brahim en a eu assez
!!! Il a soulevé le tissu qui le cachait et devant moi, a surgi un morceau de chair
énorme
!!!
Même Rachid et Hassan navaient pas ça
.
Jétais tétanisé
Je savais pas quoi faire
Comment Ça pouvait exister ????
Rachid mavait prévenu que chez les Touaregs, mélange darabe et de noirs du désert, qui ne portaient jamais de slips, leurs sexes pouvaient être monstrueux, quils avaient souvent du mal à pouvoir pénétrer
. Mais là
!!! Souvent, même les femmes nen voulaient pas, sauf mariées et obligées selon les coutumes locales
« Occupe-toi de notre frère
il en a tellement envie, tellement besoin
»
Jai suivi Brahim dans sa chambre
Le temps de monter lescalier, je pensais à tout ce qui sétait produit en quelques semaines. De jeune garçon, pubère attardé, mais sérieux et studieux, je métais soumis à ce Mâle hyper viril quétait mon beau-père
Javais tout accepté
Lui dabord, puis son frère Hassan, son oncle Walid, et me donner à tous ces hommes auxquels je devais donner du plaisir, sans quon se préoccupe de mon choix
.
Et
Et finalement
Jaimais ça
. Jétais heureux, heureuse
Je savais pas trop, tout se bousculait dans ma tête, mais être prise en mains par un vrai homme qui allait me conduire vers la voie qui était la mienne
Etre soumise, femelle soumise et être prête à me donner à tous ceux que mon beau-père avait choisis pour moi.
Brahim ma conduit dans sa chambre, contrairement à ce que je pouvais penser, il a été très doux, très prévenant. Nous avons pris le thé ensemble, mais je voyais que son sexe
monstrueux
demandait autre chose que du thé
!!!
Il ma soudain pris dans ses bras, ma allongé brutalement sur le lit et nos fins vêtements se sont envolés en quelques secondes. Jai senti ce corps aussi velu que ses frères, mais plus ferme, saffaisser sur moi, de toute sa masse, avec ses jambes qui écartaient les miennes sans pitié, dune violence inouïe
Un énorme barreau de chair ma transpercé, et même si je métais préparé, avec gel autour de ma corolle et dans moi, lassaut a été fulgurant. Dès que Brahim a compris que son énorme gland avait franchi la barrière de mon sphincter, il sest déchainé
Comme Rachid la première fois quil mavait possédé
Tout est enfin rentré dans moi et je hurlais de douleur, et de bonheur en même temps
Javais au moins 30 cm de chair arabe dans moi, dune épaisseur phénoménale, je ne pensais même pas que ça pouvait exister
Jétais transpercé par ce pieu de chair hors du commun qui me labourait dune force herculéenne
Il est allé jusquau fond de moi, faisant sauter le 2ème sphincter dans mon ventre, pour passer au-delà de lautre corolle
Quelle douleur, jai saigné comme un deuxième dépucelage
Mais quel plaisir
Il a pu enfin senfoncer en entier dans moi
Sentir le plaisir de ses énormes couilles, de sa touffe de poils, battre mes fesses
5 Fois, 5 fois jai été possédé dans la nuit, par ce mâle hors du commun
Le lendemain matin, nous nous sommes retrouvés dans la patio pour le petit-déjeuner, jétais un peu chancelant et Rachid ma soutenu, pris dans ses bras pour maccompagner à la table
« Bravo mon fils
Peu peuvent encaisser les 30 cm de sexe de mon frère
Tu es prêt pour nos ouvriers maintenant
Tu verras
ça peut être encore plus gros
»
Je ne savais quoi dire
« Sois prêt pour demain et les autres jours
.
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