Soumission En Vacances 5 - Le Réveil

Partie 5 – le réveil

La nuit fut courte même si je la repoussais jusqu’à 11h30 le lendemain matin.
Comme d’habitude, tout le monde était déjà réveillé quand je me décidai enfin à me lever. Je les rejoignis directement au bord de la piscine ou ils étaient installés, les yeux encore à moitié fermés.

- « C’est à cette heure-là qu’on se lève ? » me dit Léa en guise de bonjour.
- « grmmlgm…
- Oui j’en attendrais pas trop à ta place » lança Pauline, « le matin s’est pas vraiment sa spécialité !
- Pauvre bêbête fragile ! »

Je choisis d’ignorer les provocations et émergeais progressivement pendant que Léa et Pauline se foutaient de ma gueule.

Notre deuxième journée de vacance fut marquée sous le thème de la bronzette. Nous avons fait un barbecue le midi, profitez du début d’après-midi pour faire une sieste (bien méritée pour ma part) et étions partis pour la plage vers 15h.

Au programme : baignade, plongée, bronzette pour les filles qui parlaient ragot et foot US et raquette pour les mecs qui s’ennuyaient au bout de 5min allongé sur le sable.
Je sais c’est cliché… mais en même temps si c’est cliché ça ne sort pas de nulle part !

En fin de journée, on rentre à la maison pour un 2nd barbecue et pour trancher sur le programme du lendemain.

- « Moi, j’suis méga chaud pour une rando. » lance Pierre cash.
- « Je suis » enchaine directement Pauline.
- « Euh moi je me couche » dis Léa pour pousser le parallèle poker jusqu’au bout.
Je me prononçais aussi :
- « J’avoue que moi aussi je m’en passerais bien… »
- « Eh bin on a qu’à faire des équipes ! »

Et la proposition de Pierre fut acceptée. Pauline me demande tout de même si ça ne me dérange pas qu’elle m’abandonne pour la journée mais je lui réponds de se faire plaisir.
Léa et moi échangeons un regard : la journée allait être sportive pour tout le monde.



Il est finalement décidé que le matériel de bivouac trouvé dans le garage resterait dans le garage, et que leur journée de rando resterait une journée. Cependant, départ 8h attention !

On finit la soirée tranquillement, je remarque d’ailleurs quelques regards entre Pauline et Pierre. Pendant un instant, je me suis demandé s’il ne se passait pas aussi quelque chose de ce côté-là.
Mais dans le fond, c’était leur affaire.
Pauline et moi allions nous mettre au lit vers 23h. A ma grande surprise, elle se jeta sur moi. Je ne me souvenais plus la dernière fois que c’était arrivé.
On passa une heure torride. Elle me fit une divine fellation. Après 5 minutes de ce traitement, elle vint se placer sur moi et me chevaucha en me regardant droit dans les yeux… Elle finit même par se mettre à 4 pattes, le dos cambré et son magnifique cul face à moi, m’invitant à la prendre en levrette.
Je ne me fis pas prier et, 5 minutes, plus tard, nous nous allongions côte à côte, essoufflé mais heureux.

Je m’endormis presque aussitôt et parti dans une série de rêves mouvementés. J’étais captivé par l’un d’entre eux quand je sentis mes bras tirés au-dessus de ma tête, ma jambe gauche étendue… le temps que mon cerveau imprime l’information pourtant simple que ça ne faisait pas partie de mon rêve, j’étais pris au piège.

J’ouvrais les yeux pour découvrir Léa, au bord du lit, qui finissait d’attacher ma jambe droite au coin du lit. J’essayais de me lever mais mes bras étaient solidement attachés au-dessus de ma tête. J’émergeais enfin complètement. Ma chambre. Pauline. Léa nue à côté de moi, attaché. Je réagis brusquement et commença à me débattre.

- « Calmes-toi mon chou, ils sont partis à leur randonnée il y a une heure. Je voulais profiter au maximum, et je me suis dit que ton statut de larve du matin n’allait pas correspondre à mes objectifs de la journée.
- …
- Oui tu as raison, autant ne pas parler.
»

Et elle s’assit à sur mon visage. J’avais le nez collé contre son clitoris et la bouche dans sa chatte. Pour moi qui n’était pas du matin, c’était brutal comme réveil. Elle le savait.

Elle me donna une baffe. Pas non plus une grosse gifle, mais quand même une bonne baffe.

- « Va falloir que je fasse à nouveau le travail toute seule ? Comprends-moi bien : j’ai adoré ton coup du dominateur l’autre jour. Et je te laisserais des occasions de reprendre les manettes. Mais là tu es à moi. » elle me redonna une baffe, un peu plus appuyée que la précédente. « Je fais de toi ce que je veux, et si tu ne me satisfais pas je peux faire passer la soirée à la cabane de la dernière fois pour un weekend au spa, c’est clair ? Maintenant appliques-toi ou je t’enfonce un bac de glaçon un par un dans le cul pour jouir de tes hurlements dans ma chatte. »

Whooo. J’étais bien réveillé là. Je me mis à la lécher comme un diable, mais dans le fond j’avais peu de marge de manœuvre. Elle s’appuyait sur moi pour permettre à ma langue d’aller le plus profond possible dans sa chatte et ondulait son bassin pour frotter son clito contre mon nez. Elle se servait de moi comme d’un objet sexuel.
Après quelques minutes de ce traitement. Elle se retourna en disant :

- « Dans ce sens, je pourrais avoir accès à mon jouet en même temps ce sera très bien »

Je me retrouvais donc encore plus étouffé sous son poids puisqu’elle était maintenant face à mon corps étendu. La caressant avec ma langue entre sa chatte et son petit trou, j’avais le visage dans son cul.
C’était terriblement excitant d’être traité comme un objet. Je l’entendais à peine gémir, complètement isolé du reste du monde sous ses fesses.

Elle, de son coté, jouait. Clairement, elle ne s’était pas trompée de mot en se retournant. Elle me triturait les tétons, me donnait des pichenettes sur le gland, me caressait et serrait les bourses, tout en me regardant me débattre dans mes liens et en me sentant grogner dans son cul.

Elle alternait entre gémissement de plaisir et petits rires sadiques face à mes tentatives d’esquives de son traitement qui devaient sembler bien pathétique vu d’en haut. Après 10 minutes, j’étais en nage, j’étouffais à moitié et j’étais à la limite de la crampe à la mâchoire.

- « Vas-y, continu mon toutou, lèche bien ta maîtresse… »

Je m’appliquais comme je pouvais mais c’est surtout ses mouvements qui rythmaient son plaisir et elle le savait.

- « Ce jeu me plais bien ne te trompe pas, par contre j’aimerais bien jouir… Tu penses que tu en as encore pour combien de temps ?
- Mmmmm… »
Impossible de s’exprimé, elle m’écrasait littéralement le visage.
- « Tu veux bien répéter ? C’est incompréhensible »
Il semblait que ça lui plaisait beaucoup de me sentir essayer de parler, étouffé par sa chatte, donc j’essayais de réitérer ma réponse.
- « Bon, si tu ne me réponds pas j’estime que tu devrais déjà avoir fini. Mais je suis généreuse, je te laisse 5 minutes. Au-delà, chaque minute donnera lieu à un gage dans la journée. Et crois-moi, ils seront plus sympas pour moi que pour toi… »

Et elle se remit à gémir.

Je donnais tout ce que je pouvais. Je léchais, je gémissais coincer sous ses fesses (ce qui semblait particulièrement l’exciter) pendant qu’elle jouait avec mon sexe : elle le branlait un peu, puis le serrait, s’amuser à nouer/dénouer un ruban autour, lui donnait de petites baffes… etc…
Après un temps impossible à maitriser pour ma part, je sentis qu’elle accélérait : elle était proche de la fin. Je pénétrais sa chatte aussi profond que possible avec ma langue en l’agitant, bougeait le menton pour frotter contre son clitoris ce qui avait aussi pour effet secondaire d’entrouvrir légèrement son œillet avec la pointe de mon nez.
Ce traitement ne la laissa pas indifférente, elle gémissait si fort qu’on devait l’entendre depuis le jardin. Et lorsqu’elle était sur le point de basculer, elle se donner les moyens de le faire en fanfare :
Je sentis un objet s’enfoncer d’un coup dans mon cul, ce qui eut pour effet de me pousser un long cri étouffé dans le sien.
Je l’entendis crier de concert, avant de s’effondrer sur moi et de me laisser respirer. Après une bonne période d’apnée de ma part, c’était une libération.

On resta comme ça un moment, puis elle se leva et sorti de la chambre. Elle revint avec un serviette humide récupérée dans la salle de bain et m’essuya le visage délicatement. Puis, elle jeta la serviette et commença à me branler doucement en m’expliquant son programme :

- « Bon voilà ce qui va se passer mon chou : tu es mon esclave pour la matinée. Jusque-là, ça ne devrait pas te faire tomber de ta chaise. Ensuite, tu as mis 9 minutes à me faire jouir. Ça fait donc 4 gages, exercices ou épreuves, t’appelles ça comme tu veux.
- Oui maîtresse.
- Fayot. Ne m’interromps pas s’il te plait. »
Elle serra mes boules quelques secondes pour bien marquer l’avertissement, puis continua.
- « Alors je disais, 4 épreuves. Après ça, je te ferais jouir. Ça te va ?
- …
- Tu peux répondre maintenant… Je sais pas si c’est une excellente idée de ta part de faire le malin, mais dans le fond ça me fait grandement plaisir » me dit-elle avec un sourire de prédateur.
- « Oui maitresse. »
… j’avais peut-être fait une connerie moi.
- « Bon, je vais aller préparer mon matériel. Ne bouge pas d’ici poussin » me dit-elle avant de sortir de la chambre avec un dernier clin d’œil sur le pas de la porte.

Décidément, la matinée commençait fort… ça m’apprendra à me lever tôt !

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