Que Faire Seule En Montagne Lorsque L'On Rencontre Un Homme Charmant ?
Je me présente, je mappelle Suzanne. Jai 47 ans, je suis mariée depuis 20 ans et jai trois s.
En ce début de printemps, je viens passer quelques jours en montagne, dans un chalet qua loué ma meilleure amie pour quelques jours de vacances au calme, avec son mari et sa fille.
Je suis venue seule, car jai besoin de prendre un peu de temps pour moi
Ce matin, je me suis réveillée tôt. Tout le monde dort encore. Jhésite quelques minutes, le temps de prendre un petit déjeuner. Cest décidé ! Je ne vais pas passer la moitié de ma matinée à les attendre. Je vais aller me balader aux alentours. Jai vu sur une carte, quil y avait un petit plateau un peu plus loin, qui domine la vallée. Je prends un petit sac, ma doudoune car lair fait frais ce matin, jenfile mes chaussures de marche, et je sors.
Je marche une petite heure dans la tranquillité de la nature. Cette piste forestière est magnifique au lever du soleil. Japerçois un chevreuil traversant la piste plus au-dessus de moi. Il a lair puissant, vue le saut quil fait pour gravir le talus, surement un mâle . Après avoir bifurqué plusieurs fois, je ne sais plus trop si je suis dans la bonne direction. Quimporte, je suis bien, le soleil commence à tiédir, et jai le temps.
Le soleil est maintenant plus haut, la piste sétant mise à monter, je fais une pose pour retirer quelques épaisseurs de vêtements. Je pose ma doudoune. Quelques centaines de mètres plus loin, comme je nai croisé personne et que jai vraiment chaud, je pose aussi mon gilet. Je navais pas pensé que jaurais si chaud ce matin. Je nai que mon haut à petites bretelles, un peu transparent quand même
Je maperçois que mes têtons pointent sous leffet de la transpiration et de la fraicheur de lair. Mon mari adore voir ainsi mes seins sous ce genre de vêtements. Comme je mets rarement de soutien-gorge, et que jai une poitrine avec un peu de volume, je lui provoque souvent des érections, juste par cette vision.
Je continue ma petite ascension et jentends des bruits derrière moi. Un homme monte aussi la piste, mais lui, il court. Je marrête pour le laisser passer. Il me dit « bonjour ». Jen profite pour lui demander si je suis sur le bon chemin pour aller au plateau.
Il sarrête, reprend sa respiration, et me dit que non, que jaurais dû prendre un sentier à gauche.
Moi : Ah
zut ! Et cétait où ?
Lui : Oh
il y a bien
1km en arrière. Mais, je peux vous montrer un autre point de vue si vous voulez. Cest juste un peu plus loin. Mais il faut connaitre.
Moi : Je ne veux pas vous arrêter dans votre effort
Lui : Y a pas de mal. Jai déjà bien couru, et puis, cest un plaisir pour moi de faire partager de belles choses.
Cest un homme plus âgé que moi, je pense. Environ 55 ans. Daspect sportif, mais avec un petit peu de ventre
et un short de sport assez
moulant. Hummm, mon regard passe furtivement sur son entre jambe et jy aperçois un certain volume me donnant limpression quun serpent sest lové dans son short. Jespère quil nen a rien vu de mon regard.
Par contre, en relevant les yeux, je découvre quil regardait au niveau de ma poitrine. Je me tourne un peu, faisant mine de regarder autour de moi, et je jette un regard sur mon haut, et je vois bien que de mêtre arrêtée en pleine transpiration, mon t-shirt ne peut que peu masquer la forme de mes seins et surtout, de mes têtons.
Grrrr
çà magace.
Il me dit
« on y va ? ».
Jacquiesce et le suis. Vu de derrière, il a de belles fesses rondes. Mais je mefforce de regarder autre chose.
Nous nous engageons sur un petit sentier qui monte moins. Nous discutons de choses et dautres. Je vois bien que de temps à autres il se retourne, faisant mine de me parler en face, et quil en profite pour regarder ma poitrine, qui surement, balance un peu au fil de mes pas.
Lui : Et voilà ! Quen pensez-vous ?
Moi : Cest superbe ! Merci de mavoir guidée jusquici.
Lui : De rien. Cétait avec plaisir. Et il jette un petit regard sur mes seins avec un léger sourire.
Voyant cela, je sourie aussi et lui fais une grimace souriante, comme pour dire
« dite donc vous
petit malin
vous me materiez pas les seins ? »
Lui, peut-être un peu gêné : Bon, je vais continuer mon tour
Bonne journée !
Moi : Merci bien ! Gare à la surchauffe !
Et aux effets de la transpiration !
Il part en souriant et disparait dans la forêt. Je me dis
sympa cet homme-là.
Je massois, face au paysage, paisible, sous le soleil qui commence à être chaud. Je décide de rester là un moment. Je regarde autour de moi. Bien sûr, le coin est tellement isolé, il ny a personne. Lhomme doit déjà être loin maintenant.
Je retire alors mon t-shirt blanc et le mets à sécher sur des branches. Jenlève mes chaussures et retire aussi mon pantalon, décidant de me faire un peu bronzer tant que le soleil nest pas trop malfaisant en ce milieu de matinée. Me voici ainsi en petite culotte, sur une terrasse herbeuse, seule au milieu de la montagne. Hummm, je suis bien. Je mallonge, ferme les yeux, et, je crois que je dors un moment, me réveillant en sursaut en entendant une voix dhomme à côté de moi. Je massied dun coup, plissant les yeux sous leffet de la lumière du soleil en face de moi.
« Je ne vous ai pas demandé
cela va aller pour retrouver votre chemin ?
» Le joggeur est là, sortant des arbres, ruisselant de transpiration, surpris et les yeux écarquillés en me voyant ainsi presque entièrement nue.
Je pose vite mes mains sur mes seins pour les dissimuler. Ma culotte blanche, un peu transparente, ne dissimule probablement que très peu de ma toison châtain, mais tant pis.
Lui : Oh
pardon. Je ne pensais pas
Mais
vous
vous... êtes très belle.
Moi : Merci
mais cela me gêne
Ou bien vous me passez mes vêtements qui sèchent derrière vous
Lui :
Ou bien
Je fais aussi sécher les miens
Il sourit en disant cela. Je le regarde une ou deux secondes, le regard surement dans la surprise
Puis, jéclate de rire. Et lui dis
Moi : Pas chiche !
Lui, sans hésitation, enlève son t-shirt et laisse apparaitre son torse assez musclé et son petit ventre en dessous. Puis, retirant ses baskets et ses chaussettes, retire son short. Là, jouvre de grands yeux
Il est nu !
Moi : Que faites-vous ?
Lui : Je vais faire sécher mes vêtements.
Moi : Oui
mais
vous ne gardez pas votre
slip ?
Lui : Regardez
(et il me montre que son short possède un slip intégré, en filet.)
Je ne dis plus rien. Je ne vois que son sexe pendant. Un pénis dense, avec un gland marqué, assez proéminent, même sans érection.
Lui : Si cela vous gêne, je me rhabille
Moi : Euh
Bein
Non
Mais
Lui : Ou alors
mettons-nous à égalité
Moi :
Et ?...
Lui : Vous retirez votre culotte.
Moi :
Non
çà va aller
Passées quelques secondes, nous retrouvons une situation à peu près tranquille.
Il pose ses vêtements sur des branches et sassied face à moi. Nous discutons du paysage. Je tente de faire abstraction de cette situation inhabituelle, possiblement périlleuse, et pourtant intrigante, excitante même.
Bien sûr, jai retiré mes mains de mes seins. Ils sont donc libres devant cet homme, cet inconnu. Ses yeux ne cessent de faire des allers et retours de mes yeux à mes seins. Ces derniers doivent êtres à son goût car sa verge bouge un peu et a tendance à se redresser un peu par à-coups, et à gonfler. Il sen aperçoit et regarde son sexe en me disant
Lui : Oups
je ne peux cacher toutes mes pensées
Moi : Toutes vos pensées ?
Lui : Oui, la vue de vos seins magnifiques me laisse imaginer une suite possible, et mon sexe prend les devants
(il sourit).
Moi : Oui je vois çà
il prend
les devants
et cherche à savancer (Je sourie). Et
quimagine-t-il ce pénis malin ?
Lui : Que mes mains enveloppent vos seins et les soupèsent, que mes doigts palpent vos têtons. Regardez
à mes mots
vos têtons pointent, comme tout à lheure sous votre t-shirt...
Moi : Souriante
Il me semblait bien que vous me regardiez tout à lheure. Et
que pensez-vous que je ferais si vous faisiez cela ?...
Lui : Tout en parlant, il sapproche de moi
Pose une main sur mes yeux
« Vous,
vous fermeriez les yeux et profiteriez du soleil sur votre peau et des plaisirs multiples de la nature
».
Je ferme les yeux et sens alors ses mains sur mes seins. Elles sont chaudes, massives. Je ne bouge pas. Ses doigts tirent la pointe de mes seins qui navaient pas besoin de cela pour être tendus. Je prends une grande respiration
Je sens une main sur mon épaule. Elle minvite à mallonger dans lherbe. Je sens alors sa bouche posée sur mon sein droit. Il me lèche un peu, me tête. Hummmmm quel délice.
Je sursaute ! Jouvre les yeux écarquillés. Je viens de sentir sa main droite sur mon ventre.
Lui : Chuuuut
. Et il pose un doux baiser sur mes paupières
Je referme les yeux. Sa main descend doucement
elle est maintenant sur le tissus de ma culotte blanche. Ma respiration se renforce. Sa main menveloppe lentrejambe, sy arrête, puis me masse le bas ventre, remonte
redescend
Hummmm, je me sens étonnamment bien, presque en confiance, même si je ne connais pas cet homme.
De ma main droite, je tâtonne et trouve sa cuisse. Elle est chaude. Je sens ses poils sous mes doigts. Je glisse ma main et, sur le dessus de ma main, sens quelque chose couler. Je retourne ma main, la paume vers le haut, et la remonte
Son sexe est là, je ne le vois pas, mais je le touche, il a lair davoir doublé de volume. Pas encore dur, mais épais, massif, lourd. Je passe les doigts sur son gland et sens quil est tout mouillé. Jenveloppe ce pénis de ma main, et immédiatement, il durcit. Lautre effet, cest que lhomme écarte le tissu de ma culotte et glisse un doigt dans mon sexe.
Immédiatement, un éclair se produit dans ma tête !
Je saisi son membre et le presse fort.
Effet retour
lhomme entre immédiatement un autre doigt, ou deux, je ne sais pas dire, dans mon sexe. Jouvre les yeux et regarde.
Son sexe est là, tendu, avec son gland très prononcé au bout, entre mes doigts. Moi qui depuis tant dannées ne connais que le contact du sexe de mon mari.
Je commence des va et vient. Son gland maintenant turgescent semble pulser sous mes doigts.
Un vague souvenir de ma vie, au loin, me fait me demander ce que je fais, si je continue ou pas. Les sensations sont si voluptueuses, que le lointain reste au loin, et que je replonge entièrement à mon plaisir
ses doigts me fouillent littéralement lintérieur du ventre. Il sattarde sûrement à titiller mon col de lutérus en lappuyant, car je sens mon ventre secoué en profondeur. Je sens que mon excitation monte.
Lui : Jaimerais faire plus
quen pensez-vous ?
Moi : Faire plus ? Que voulez-vous dire ?
Lui : Comment dire
Alimenter votre plaisir intérieur en venant au fond de vous.
Moi : Moi
aussi
Mais, avez-vous des préservatifs
?
Lui : En riant « Non. Je navais pas prévu de courir après
une chatte » Et il rit.
Dentendre ce mot « chatte » dans la bouche de cet inconnu, pour parler de mon sexe, mest si inhabituel, que cela active encore plus mon excitation.
Moi : Je nen ai pas non plus
comment faire ? Votre sexe est
si beau, gros
hummmm
ce serait dommage
Je réfléchi fébrilement ? Rapidement. Non, ce serait trop bête
Jatt mon sac à côté de moi. Je le vide par terre. Jenlève la pomme et la banane de leur sac plastique et lui montre
regardez. Les sacs plastique biodégradables sont très souples et fins maintenant, vous croyez ?...
Il sourit
Lui : Nous pouvons essayer
doucement.
Moi : Oui !!
Je lève mes jambes et retire ma culotte. La vue de mon sexe ouvert, les jambes en lair, semble lui plaire. Il sourit et pose sa bouche sur « ma chatte ».
Hummmm
délicieux.
Je pose le sac plastique sur mon sexe et lui dis en le regardant dans les yeux
« viens ».
Il passe devant moi pose son gland sur le sac plastique à lentrée de mon vagin, me regarde quelques secondes, et
je le sens entrer toouuuut douuucement en moi.
Le sac fait un peu un bruit inhabituel, mais il senfonce, accompagnant le pénis en moi.
Lui : Cest vrai quil est doux.
Le problème apparait quand le sexe de lhomme revient en arrière, le sac ressort mal. Lhomme se retire, retire le sac plastique le retourne et le replace pour se réintroduire. Là, mon humidité a mouillée lintérieur du sac et son pénis peut à présent glisser plus facilement dans un sens et dans lautre.
Il va et vient lentement, puissamment. Hummmmmmmmmm. Cest grandiose !!
Il mouvre le vagin, lécarte, le détend, lapprofondit
hummm
je crois quil va me
« défoncer ». De penser ce mot, je sens mon ventre couler de plaisir. En fait
je lespère.
Sa main droite me malaxe le sein gauche. Cest trop bien !
Il se retire. Je reste avec un sac plastique entre les jambes . Je sourie en moi en imaginant la vue peu sexy quil doit avoir.
Il me fait me retourner et être à 4 pattes.
Il me pénètre sans attendre. En disant : « Tiens, tu sens comme mon sexe a encore grossit ? »
Moi : Oh ouiiiiiiiiiiiii vas-y
nattend pas
bouge !
Et il se met alors à se planter si puissamment en moi, à me ramoner si fort et avec de tels coups de bassin, que mes seins sentrechoquent à chaque coup de sa bite. Jentends et je sens les clac, clac, clac
. ! Je ne respire plus, je hâlette.
Je sens son gland me nettoyer les parois du vagin tellement il est gonflé. Effet accentué surement par les frottements du sac plastique qui doit bouger parfois avec son sexe. Cest comme si un objet volumineux me ramonait les parois du vagin.
Le soleil tape fort maintenant. Je suis trempée de chaud, je dégouline de sueur. Ses mains glissent sur mes hanches ruisselantes de sueur. Je sens quil doit sy reprendre plusieurs fois pour me tenir. Je lentends respirer fort Han
Han
han
Déjà 10 mn quil va et vient derrière moi. Mon cur tape si fort dans ma poitrine que jai limpression que je vais faire un arrêt cardiaque. Je sens quil accélère encore, me donnant de grand coups de hanches, ... et donc aussi de sa queue, qui doit maintenant être aussi épaisse que celle dun
cheval ( ?) tellement je le sens écarter mon intérieur.
Je ne hâlette plus
je suffoque !
Il se raidit. Il cri
Ahhhh
! Il se retire dun coup, et sallonge dans lherbe, son pénis dégoulinant de son jus blanc.
Je bascule sur le côté et mallonge à côté de lui. Je maperçois que jai encore le sac en moi. Le latt et le retire doucement. Je dis
Moi : çà a marché ! En lui montrant le sac avec son sperme au fond.
Il sourit. Je me penche vers son sexe qui se détend. Et le lèche un peu, timidement. Je veux profiter encore un peu de ce gland si beau et si prononcé. Je le gobe et passe ma langue autour. Il a un goût mélangé de transpiration, de sperme, et de banane
surement le sac
je me fais alors mon goûter du matin
Hummmm, un régal ! Jen profite pour palper et faire rouler sous mes doigts, ses noix que je navais pas encore touchées. Elles sont petites mais bien regroupées dans leur sachet de peau douce. Quelle salade de fruits !
Pendant ce temps, ses doigts vont et viennent de mon sexe à mon anus. Nous restons ainsi encore bien 10 mn. Lun de ses doigts reste figé dans mes fesses. Je le laisse, même si son gros doigt mirrite un peu lanus. Jai trop de plaisir à être caressée ainsi au soleil.
Pourtant, je lui dis en souriant
« Je dois redescendre
»
Il me répond en souriant « bien sûr
»
Nous nous rhabillons. Je laperçois se sentir le doigt. Cela doit être celui qui était dans mes fesses juste avant. Il aura un petit souvenir de moi. Moi
jai attaché et fermé le sac plastique. Je verrai ce que jen ferai
peut être rien
peut être
?
Il me raccompagne jusquau chemin où il ma rencontré. Nous nous regardons sans mot. Il passe une dernière fois ses mains sous mon t-shirt blanc et me presse fort les seins. La sensation quil me produit me fait une nouvelle décharge dans le cou. Immédiatement, ma main palpe son sexe par-dessus son short. Il est encore bien gonflé le bougre.
Lui : Je prendrai toujours des préservatifs pour courir
Moi : Moi aussi
en balade.
Nous sourions lun et lautre, et prenons chacun notre chemin.
Je nai pas fait 10m que je lentends dire
« à demain ! »
Je me tourne légèrement de profil et lui envoie un baiser
Et je me suis entendue dire
« oui ! »
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