L'Ami De Mes Parents ...
Jétais la plus heureuse des filles lorsquà dix-neuf ans jai enfin quitté le cocon familial pourtant douillet pour aller en fac et prendre un appartement où je vis seule, faire ce que je veux quand je veux comme je veux, le pied quoi ! ceci dit je nen profite pas pour inviter des garçons et faire des plans cul, je suis très bien seule pour étudier sérieusement, jen profite quand même pour découvrir mon corps et les moindres zones érogènes susceptibles de mapporter la jouissance, ce qui fait que dès que la porte est fermée je me ballade sans le moindre vêtement a part un objet en position vibreur, bien dissimulé au creux de mon entrecuisses, seule une ficelle discrète dépasse dentre mes lèvres ! Un uf télécommandé acheté sur Amazon qui au bout dun moment moblige à serrer et croiser fortement les cuisses sous peine de laisser de traces humides sur le carrelage quil mest impossible daller me balader a lextérieur avec ça dans la chatte
Une fois rassasiée de ce truc jai eu envie dautre chose qui me comblerais plus, merci encore Amazon pour ce sextoys à ventouse placé sur la table basse, dune ressemblance à sy tromper avec une vraie bite, et pas choisi dans le model le plus modeste, ma petite chatte adore en être remplie, mais hélas il manque le principal, il est sans éjaculation, ainsi que le poids dun amant sur mon corps, je me fais de plus en plus violence pour ne pas aller draguer une queue qui me comblerais pour un soir, surtout pas celle dun jeune de mon âge qui ne demanderais quà vider ses testicules sans se préoccuper de mes désirs essentiels
cest en méditant une main entre les cuisses sur ce problème quune évidence mest soudain apparue
Victor
Victor est un ami de mes parents, plus précisément de mon père, ils sont inséparables depuis lécole primaire, laspect dun baroudeur herculéen, bronzé, blond aux yeux dun bleu perçant, absent depuis quelques années pour le boulot il est revenu récemment, papa dit souvent en blaguant quils sont copains de régiment car ils ont servis dans le même corps .
Avec du recul je comprends mieux pourquoi maman est fatiguée certains matins avec des cernes sous les yeux à faire peur et sa drôle de démarche en canard mais bizarrement cet épuisement la rend radieuse, arborant un sourire jusquaux oreilles, Victor doit posséder une bite de cheval, infatigable à lui seul il doit littéralement éclater la chatte de ma mère, cest un homme comme ça quil me faudrait
mais hélas, autant avant Victor jouait et me serrait fortement dans ses bras, jai encore en mémoire son agréable odeur virile de mâle, autant aujourdhui il parait distant et évite de me croiser lorsque je sors de la salle de bain à demi enveloppée dans une serviette qui ne cache quà moitié mes larges aréoles et ne voile pas entièrement ma fourrure brune et bouclée, de même quil ne sassied plus à côté de moi dans le canapé sans doute parce que je suis trop prise par le film a la télé pour maitriser louverture de mes genoux alors que mes talons sont collés a mes fesses
Un soir au cours dune masturbation intense qui a bien trempé mes draps je me suis décidée à imaginer un moyen afin de le faire venir seul, ici, chez moi
à ma merci
- Allo papa ?
- Oui ma fille chérie ? que tarrive-t-il ?
- Je suis très embêtée avec ma douche, tu pourrais venir me dépanner samedi sil te plait ?
- Samedi ?
. Hélas je suis de permanence, laisse-moi réfléchir une seconde
je vais demander à Victor... VICTOR ? pourrais-tu avancer chez Karinette samedi matin ? elle est en panne de salle de bain
oui ? impec, allo chérie ? cest daccord Victor viendra te dépanner, surtout, pas de grasse matinée, soit prête de bonne heure, cet homme-là est un matinal !
- YES
pardon! merci papa ! Victor déjeunera et suivant la panne peut être dinera-t-il avec moi, ne lattendez pas
- Cest gentil pour lui, bisous !
- Bisous !
Ça, cest fait
maintenant à moi de ne pas ramasser un râteau
je vais me faire irrésistible, sil ne me baise pas deux heures après son arrivée je me fais nonne ! Obéissant aux ordres de papa je me suis levée tôt, jai pris un grand soin à ma douche avant den boucher larrivée deau avec du papier, je ne me suis pas séchés les cheveux pour faire plus vrais, et me suis enroulée dans une serviette éponge, une goutte de parfum derrière les oreilles mais surtout pas sur ma toison pubienne, ça ferait virer mon odeur intime, et cet homme doit se diriger aux odeurs corporelles naturelles, telles que celle de la vulve, que jai volontairement évité de laver en profondeur mais aussi dessous de bras, un vrai mâle raffole deffluves de chienne en chaleur qui excitent la libido et conforte son érection
Victor sonne a neuf heures pile, je respire un grand coup avant douvrir et de lui faire chastement la bise au coin des lèvres, je maintiens fermement ma serviette, elle ne chutera quau moment choisi
- Merci de têtre déplacé si vite Victor
- Normal, si jen crois ta tenue pour un peu je te trouvais au lit ?
- Jaurais bien voulu trainer mais avec cette satanée douche en panne jai mis un temps fou à me laver à lévier
- Ma pauvre petite, je vais voir ça de suite, mais avant fait moi un café bien serré
- Bonne idée, tu vas en avoir besoin
- Tu nas rien dautre à te mettre ? je vais avoir du mal à me concentrer
- Je me changerai pendant que tu bosseras !
- Bien, ton appart est bien rangé dit donc, tu vis seule ? pas de petit copain ?
- Je gère très bien ma vie sentimentale si cest ça que tu veux savoir !
- Pourtant, belle comme tu es les garçons doivent te solliciter non ?
- Je sais quoi faire pour calmer mes envies, tu veux que je texplique comment je fais ?
- Huuummm ! je me doute, laisse tomber ! bon, au travail, quels sont les symptômes de ta panne ?
- Plus deau ou presque au pommeau
- Sans doute du calcaire
ne reste pas sous mes pieds tu vas te faire tremper
- Je suis déjà mouillée
- HEIN ??
ah oui les cheveux
Et cest là que je réalise la bourde que jai commise.
- Tu as du vinaigre blanc Karinette ?
- Oui pourquoi ?
- Cest pour dissoudre le calcaire qui bouche les trous
- Ah ? rien dautre ?
- Il devrait y avoir une autre cause ?
- Non, non
- Tu me prends pour une burne ? et ce bouchon de papier ?
- Bon, javoue
je voulais que tu viennes chez moi Victor
En disant ces paroles je lâche ma serviette, il avale difficilement sa salive en découvrant mon corps nu mais ne se prive pas den détailler les formes en douce, et, bonne nouvelle, il ne demande pas que je me recouvre
- Je suis tellement en manque daffection Victor que je suis au bord de la dépression
- Tes gadgets ne te suffisent plus ?
- Non
- Sort en boite que diable, rencontre des hommes, ils ne demanderont quà te sauter !
- NON, cest toi que je veux et personne dautre
comme maman
- Ta mère ? ce qui se passe entre tes parents et moi ne te regarde pas
Je tente le tout pour le tout, je me jette sur lui et lenlace étroitement, dans un premier temps il se contracte et garde ses bras le long du corps mais le bouleversement qui sexerce entre ses jambes vont rapidement lui dicter sa conduite, il est déjà moins raide... je parle de sa personne, pas de lexcroissance qui ne cesse de se développer sur laquelle je fais onduler mon ventre
- Karine
il ne faut pas, tu es trop jeune, ce nest pas raisonnable
- Ce qui ne serait pas raisonnable cest que tu ne memmène pas sur le lit de suite
- Non...
- Baise-moi Victor ! BAISE-MOI VITE !
Connaissant ma détermination, vaincu, il passe un bras sous mes fesses et lautre sous mes épaules, je décolle du sol et maccroche à son cou, mais les quelques mètres à parcourir ne me laisse pas le temps dapprécier et de savourer la verge imposante qui pèse sur ma hanche, traitée en jeune mariée il me dépose délicatement au milieu de la couche qui va être témoin de notre union, sans me quitter des yeux Victor se déshabille, jattends le moment ou le diable va surgir de sa boite
effectivement un membre turgescent fend lair en direction de son ventre, jen reste bouche bée, mon expression béate le fait sourire
- Le même rictus que ta mère lorsquelle a découvert ma queue pour la première fois !
- Il y a longtemps que ça dure entre vous ?
- Ton père ma invité à me joindre à eux juste avant que je ne parte en Afrique mais depuis mon retour nous ne nous quittons plus
- Papa participe ?
- Bien sûr, je ne vais certainement pas te dévoiler notre intimité, sache que tu es très bien gaulée, ta maman hélas prend de lâge elle fatigue vite
- Tu as une belle queue Victor
encore plus grosse que mon jouet intime
- Et tu vas voir que cest plus efficace que ton silicone
- Ce qui me manquait cest de sentir gicler le sperme dans ma chatte
- Là aussi tu vas être satisfaite
Tout en parlant Victor sest approché de moi tel un papa bienveillant, sa paume masse délicatement mon mont de vénus son long majeur sest aisément infiltré dans ma minette impatiente de recevoir sa gosse bite, il gratte habillement le haut ce qui doit être le fameux point G car mon clitoris réagi de lintérieur , mes seins ne sont pas oubliés par lautre main, il grogne de plaisir en découvrant lhumidité de ma fente, la fermeté de mes nichons ainsi que lallongement de mes tétons, pour ne pas être en reste jatt son membre pour en apprécier la raideur, Victor se positionne de façon à me laisser le choix de sucer sa verge ou non, curieuse et gourmande javance ma bouche ouverte vers ce champignon décalotté
- Suce ma bite petite salope, prépare toi à déguster une bonne dose de semence chaude
- Mumm-muuuummmm
elle est boooooooonnnnnnne mmmmmuuuuuuuuummmmm
- Tu suce mieux que ta mère, aspire bien petite chaudasse
Je branle énergiquement la base de la queue pour la faire cracher le plus vite possible, entre mes cuisses de nombreux doigts se partagent mes orifices, ce qui me déconcentre de ma tâche initiale et fait monter mon excitation, Victor nest pas dupe et se concentre sur sa propre jouissance, a une seconde près je lâche ma cyprine tandis que le premier jet fouette ma luette mobligeant a recracher la gaule parcourues de violentes saccades, je reçois du foutre plein le visage et les seins ce qui agasse mon amant
- Petite conne, tu as tout gâché !
- Je ferais mieux la prochaine fois, que faisons-nous à présent ?
- Vient tempaler sur ma trique, tourne toi de lautre côté je veux voir ton anus
- Comme tu veux Victor chéri
- Pas de chéri, entre nous ce nest que pour le cul
Je me suis ouverte la chatte en me laissant descendre lentement sur ce mât toujours raide maintenu à la verticale par sa main, son autre main lui sert à prélever ma mouille et recommencer à jouer avec mon petit accès plissé encore vierge qui, apprivoisé se relâche doucement
Une fois assise sur son ventre je savoure un moment leffet extraordinaire de mon étuis vaginal étiré à craquer, puis, je me relève et commence des va-et-vient de plus en plus jouissifs, je ne prête pas attention à mon ptit trou écarté par deux doigts, jamais je naurais osé le déformer ainsi, soudain quelque chose de froid pèse fortement sur mon anus resté béant, une brûlure intense me fais crier
- Que fais-tu Victor ? tu me fais mal !
- Je te prends en double avec ton godemichet
- ARRÊTE !
- Trop tard cest entré ! habitue-toi à sa présence et tu vas me demander de le manuvrer aussi vite que ma queue
- Tu es un monstre !
- Fallait-pas me provoquer petite pucelle ! depuis des semaines tu me montre ton cul et tes nichons tu vas prendre cher
- Baise-moi et encule-moi salaud !
- Ta mère et ton père disent la même chose !
- Mon père ? tu sodomise mon père ?
- Je te répète que ce qui se passe entre grandes personnes consentantes ne te regarde pas et puis arrête de bramer tu vas ameuter les voisins
Pensive jessaie dimaginer les chaudes soirées de mes parents, jétais loin de penser quils pouvaient être aussi dévergondés
A SUIVRE
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