Ma Soeur Laure (3)

3°) j’ai envie de plus
La séance épilatoire terminée, Laure s’est levée et est restée toute nue comme elle l’avait promis. Elle se promenait ainsi dans toute la maison sans aucune gêne avec un naturel appréciable. Je pouvais la regarder sous toutes les coutures, ses seins qui suivaient tous ses mouvements de la vie, ses fesses et sa magnifique toison dont les contours étaient restés un peu rouge à cause de la cire.
J’essayais d’en faire autant avec mon sexe de plus en plus tendu à cause de la situation excitante et la vue sans limites de ce corps nu de ma propre sœur.
Nous nous mettions à table, toujours dans la même tenue, et elle relança la conversation
- Quand je t’ai parlais de masturbation, j’ai vu que tu étais surpris. Tu pensais être le seul à te faire du bien comme ça ou tu pensais que c’était réservé aux hommes ?
- Je ne sais pas, je n’y avais jamais pensé encore moins te concernant,
- Quand tu as une envie de jouir et que tu es seul tu n’as bien que cette solution pour assouvir ce besoin non ? et ben pour moi c’est pareil, j’ai beaucoup de besoin et j’aime me faire du bien.
- Je comprends et c’est logique en effet, j’ai déjà vu des vidéos de femme qui se masturbent et j’avoue que c’est très excitant, j’aime regarder une femme jouir. Mais c’est malin, avec cette conversation je vais avoir cette image dans ma tête maintenant, mais tu es ma sœur !
- Ok je suis ta sœur, mais je suis une femme regarde, elle se leva, prit ses seins dans les mains, ce sont des seins et une chatte comme toutes les autres femmes non ?
- Oui bien sur
- Alors si t’as envie de te faire plaisir en regardant ce corps de femme sans penser que c’est ta sœur, où est le mal ? Moi je regarde et mémorise l’image de ta bite bandée sans complexe et si un jour je me caresse en y pensant ou en la regardant je ne me générai pas.
La discussion est entrée dans le vif du sujet, je parle de branlette avec ma propre sœur et elle n’est vraiment pas farouche.


- En la regardant ? dis-je avec stupéfaction, tu veux dire que tu serais capable de te masturber la devant moi en regardant ma queue ?
- Oui sans problème, je ne regarderai que ton sexe pas mon frère. Si tu veux on essaye mutuellement.
Sans attendre ma réponse elle vient de mon côté de la table, me fait reculer ma chaise, pose ses fesses sur la table, met ses deux pieds sur les accoudoirs de ma chaise et tout en regardant ma bite gonflée de désir, elle commença à se caresser. D’une main elle prit un sein et tritura son téton et de l’autre elle descendit vers l’objet de tant de désir et d’excitation.
- Tu peux en faire autant si tu veux, ça m’exciterait encore plus de te voir te branler en me regardant.
Sans rien dire, je pris mon sexe à pleine main et tirai dessus pour le décalotter entièrement. Mon gland était violacé. En regardant tantôt ses seins tantôt sa chatte, je commençais à faire des allers-retours avec ma main.
- Tu aimes ? me lança-t-elle, moi j’adore c’est la première fois que je me masturbe devant quelqu’un.
- Moi aussi tu sais, voir ton corps de si près je ne vais pas tenir longtemps.
- Laisse-toi aller, jouis si tu en as envie, je suis au bord de l’expl……
Elle n’a même pas le temps de finir son mot que mes premiers jets jaillissent du bout de ma queue, ils finissent sur son ventre. Ça a décuplé son plaisir et je l’ai vu soudainement accélérer les mouvements de sa main entre ses cuisses et elle a exploser en criant son plaisir. Des jets de cyprine sont sortis de son tunnel pour venir atterrir sur ma cuisse. Nos jets se sont croisés jusqu’à l’épuisement.
- Ouah, tu vois je savais que nous en avions besoin tous les deux.
- Oui mais c’est dommage que ça ait été si vite, le spectacle était vraiment beau, j’avais envie qu’il dure plus longtemps.
- Je ne sais pas toi mais moi je ne suis pas rassasiée, et à en voir la taille de ton gourdin pas sûr qu’il ait envie d’aller se reposer.
- C’est vrai, je bande toujours autant,
- Viens, on va déjà aller se nettoyer un peu, on fera la vaisselle demain, on a mieux à faire.

Dans la salle de bain, nous nous sommes occupés chacun de notre intimité et des dégâts que nous nous étions causés mutuellement.
Penchée sur le lavabo, je m’imaginais la prendre brutalement par derrière, mais j’avais toujours le scrupule du fait que c’était ma sœur.
- Maintenant que le premier orgasme, que j’appellerai le soulagement, est passé nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses et prendre plus de temps.
- Avec plaisir
Après avoir nettoyé le plus visible sur son corps elle décida de se rafraichir dans la baignoire.
- Viens, dit-elle, il fait chaud et je n’aime pas être souillée
Elle enjamba la baignoire et commença à faire couler l’eau pour régler la température tout en restant debout et légèrement penchée vers le mitigeur. Dans cette position je peux voir la fermeté de ses seins, ils pendent bien sur vers le bas mais restent bien ronds. Ses fesses sont tout aussi mises en valeur et la courbe parfaite se dessine, je ne sais plus où donner de la tête.
- Allez viens, plutôt que de mater au loin tu pourras m’admirer de plus près ici.
J’enjambai à mon tour la baignoire et me retrouvai tout proche de ce corps interdit. Seul mon sexe n’en avait que faire de cet interdit psychologique, il bandait sans retenue.
Laure se retourna, tira sur le rideau pour éviter les éclaboussures et commença à nous mouiller tous les deux. Elle me tendit la douche pour que je la tienne et la laisser prendre le gel douche. J’en profité alors pour lui passer le jet sortant de la pomme sur ses seins, sur son ventre, sur son sexe.
D’un coup, avec du gel dans les mains, elle entreprit de me laver. Elle passa d’abord sur mon ventre mais attrapa rapidement ma queue raide et la lava tout simplement. Elle prenait soin de passer partout avec des mouvements assez rapides mais très naturellement. Après avoir lavé mon gourdin décalotté elle s’attaqua à mes couilles, mes cuisses. Ses mains sur mes parties intimes me firent monter la pression et je gémis à chaque passage.

- Tu as l’air d’aimer dis donc, je ne fais que te laver pourtant,
- Je ne m’attendais pas à cela, l’effet de tes mains est totalement différent de mes propres mains quand je me touche ici.
- Je peux arrêter si cela te gène
- Non au contraire c’est trop bon, mais attention je risque fort de jouir si tu continues.
- Ah bon, me répondit-elle avec un air très coquin et en insistant sur mon membre.
La mousse générée par le gel rendait cette caresse des plus excitante, elle s’attardait sur le bout de mon gland et en quelques secondes des jets puissants giclèrent vers elle pour atterrir sous ses seins.
- Et ben mon cochon, il t’en faut peu pour me cracher dessus, dit-elle en s’adressant à ma bite. Regarde ce que tu as fait, ajouta t’elle en me regardant, tu n’as plus qu’à nettoyer à ton tour.
Elle reprit le pommeau de douche me laissant ainsi libre pour la laver à mon tour. Je pris donc le gel et commença à passer mes mains sur son ventre et remonta vers ses seins. Je m’arrêtai juste en dessous où mon sperme avait atterrit qu’elle avait pris soin de mouiller avec l’eau de la douche avant.
Je ne pus m’empêcher de monter vers ses seins et les attr à deux mains pour les palper en douceur. J’en profitai pour attr ses tétons et les faire monter en pression. Je relevai la tête pour m’assurer que je n’allais pas trop loin, je compris dans son regard qu’elle appréciait et me disait vas-y continue c’est bon !
Instinctivement je saisis ses deux globes par le dessous pour les soulever et j’aspirais ses tétons un par un. Elle s’adossa sur le mur avec la tête légèrement en arrière.
- Désolé je ne sais pas ce qui m’a pris, dis-je et pour rompre le silence mais aussi pour me rassurer
- Mais non, je te rappelle quand même que je viens de te branler sans aucune gêne alors pourquoi le serais tu ? Maintenant que tu as mis en route la machine, tu ne vas pas me laisser dans cet état !
Je repris alors du gel et l’enduisis de mousse sur tout le corps, du haut en bas, je n’hésitai plus à toucher partout, de ses épaules à ses tibias en passant par ses seins, son ventre, ses hanches, ses cuisses et l’intérieur de celles-ci en remontant.
Elle avait légèrement écarté les jambes pour juste me permettre d’y passer les mains. Je passais ma main verticalement jusque sa chatte et je m’arrêtais dans le sillon de sa vulve avec le pouce en l’air qui titillait son clito.
A ce moment je décidais de la masturber ainsi en douceur d’abord et plus vite après. Elle glissait de haut en bas sur le mur, accompagnant les mouvements de ma main.
- Mets-moi un doigt, pénètre-moi je veux sentir quelque chose en moi.
Je mis un premier doigt, puis deux puis trois, c’était tellement trempé que j’avais l’impression de pouvoir y rentrer tout ce que je voulais. Laure se secoua en glissant le long du mur, j’attrapais ses tétons avec la bouche elle gémissait de plus en plus jusqu’à émettre de petits cris en jouissant d’une force impressionnante. Je ne savais plus différencier la douche qui coulait entre ses cuisses de la vraie douche d’eau chaude.
Cette séance de masturbation mutuelle nous avait bien épuisé. Nous finissions tous les deux assis dans la baignoire qui se remplissait doucement. Nous nous faisions face et je la regardai là, si près, nue avec un corps à faire bander un mort. A ce sujet, il y en avait un qui n’avait pas fini de bander et ce n’est pas avec cette vue qu’il était prêt à se calmer.
- Qu’est-ce que c’était bon me dit-elle, je n’avais pas joui comme ça depuis longtemps. J’ai rarement senti couler autant de cyprine de mon sexe qu’aujourd’hui.
- Oui j’ai senti tout ce jus couler à travers de mes doigts c’est incroyable
- Tu en as bien profité et je vois que ça ne t’a pas laissé indifférent.
Remise de ses émotions elle se redressa dans le bain, arrêta l’eau qui arrivait jusqu’au bas de mes bourses et se mit à genoux entre mes cuisses que j’allongeai.
Elle prit ma queue à pleine main tout en se penchant vers moi. Son visage n’était qu’à quelques centimètres de mon gland je sentais son souffle dessus. Elle commença une lente branlette tout en se caressant les seins de son autre main. Je la regardai et je compris qu’elle avait envie de vivre cette masturbation dans son monde, elle ne regardait que ma queue. Elle se branlait en astiquant mon membre. Je lui servais d’objet d’excitation. Les yeux fixés à mon intimité elle se redressait et se caressait tantôt les seins, les tétons, tantôt elle descendait sa main, la passait entre ses jambes, frottant son clito, glissant plusieurs doigts dans sa chatte, alla chercher son anus en se penchant plus. De là où j’étais je n’ai pas vu si elle se pénétrait le cul ou pas. Sans échanger un mot je l’ai laissais prendre son pied tout en me faisant prendre le mien. Je senti ma sève monter doucement, plus elle accélérait sa propre masturbation plus elle agitait ma queue. Sa respiration s’est fortement accélérée, ses mouvements plus saccadés, elle n’enlevait plus sa main de sa chatte ouverte et passait du clito au trou béant de son vagin. Sentant qu’elle venait, je me relâchai totalement et je commençai à éjaculer de longs jets dont les premiers atteignaient ses seins. Jouissant elle se pencha et reçu plusieurs jets en pleine figure qui augmentaient son orgasme au plus fort. Elle sortait la langue pour en gouter quelques filets qui coulaient le long de sa bouche. C’était très érotique et très bandant.
Le reste de mon séjour chez Laure s’est super bien déroulé et nous avons continué dans la plus grande simplicité à bricoler sur sa maison dans la journée et en fin de journée, dès lors qu’on fermait les chantiers, elle se déshabillée et déambulée toute nue toute la soirée. Nous passions bien sûr à la douche ou au bain au choix et nous nous faisions du bien, soit chacun pour soi mais toujours l’un à côté de l’autre, soit quelques fois mutuellement ou nous cherchions systématiquement à rendre le meilleur plaisir à l’autre en testant différentes zones érogènes.

Fin

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