L'Ami De Mes Parents ... Et Les Miens !

Tandis que je jouis en hurlant sans discontinuer sous les vigoureux coups de queue de Victor des coups violents sont frappés à la porte d’entrée
- Merde ! j’allais décharger, qui c’est ?
- Je ne sais pas …
- Je t’avais dit de ne pas bramer comme un putois qu’on égorge !
- C’est la faute à ta grosse bite idiot
- Passe un truc sur toi et va voir qui c’est
- Vas-y-toi …j’ai de la mouille jusqu’aux genoux
- Quelle salope …je ne suis pas chez moi, vas-y merde !
- Ote-moi le gode du cul alors …
Pour le faire rager j’enfile son marcel échancré qui masque à peine mes seins et ma toison amidonnée de sécrétions et vais voir par le judas qui ose nous déranger …un mec plutôt jeune et bel homme, sans doute un voisin, que j’ai croisé quelquefois dans l’ascenseur et ne se privait pas de détailler mes formes mises en valeur exprès ! advienne que pourras, j’ouvre …
- Que voulez-vous jeune homme ?
- C’est pas bientôt finit ce cirque ? pourquoi criez-vous ainsi ? vous êtes combien là-dedans ?
Il me parle en matant mes cuisses qui sont certainement parsemées de traces douteuses ? a quoi bon lui mentir …
- Je baise avec mon amant mais il commence à donner des signes de fatigue, voulez-vous vous joindre à nous ?
- Votre amant ? baiser ? mais ça dure depuis une heure ?
- Justement, ne résistez pas à l’appel de la femelle en chaleur, entrez …
Illico j’ai vu sa braguette se tendre, je le chope par la veste et l’attire sans qu’il n’oppose de résistance à l’intérieur, je noue mes bras autour de son cou et pose mes lèvres entrouvertes sur les siennes, nos langues font rapidement connaissance et ses doigts avec ma chatte, pas à pas nous avançons, ou reculons ! vers la porte de la chambre où mon teeshirt tombe…
- Tu es vachement trempée ?
- Entre …Victor ? je te présente mon petit voisin !
- Salut …
- Excusez ma curiosité mais vu les cris j’étais inquiet pour la sécurité de ma jeune voisine
- Tu as bienfait, elle est tellement chaude que du renfort n’est pas de refus
- Allonge toi bel étranger je vais te sucer …
- Je m’appelle Jérémie
Je dégrafe le pantalon de Jérémie sans essuyez de refus et le baisse a mis cuisses, extraire la verge tendue et de belle taille du slip étroit n’est qu’une formalité vite résolue, ma bouche est entièrement remplie de chair brulante et tressautante, l’homme gémit et se laisse tomber sur la couche tachée, je me positionne de façon à lui présenter ma moule dégoulinante au visage, une hésitation devant l’ampleur de l’inondation et sa langue finit par entrer en action , Victor en contemplation devant nos ébats ne reste pas inactif , son pouce s’insère dans mon anus encore ouvert vite remplacé par son gros gourdin, ceci n’intimide pas notre invité qui redouble d’efficacité, une chose est certaine , je ne pourrais jamais plus me passer de plusieurs partenaires, au diable les godes !
Mon orgasme accompagné de jus important lasse mon lécheur qui se dégage afin de ne pas être noyé, prêt à gicler je le masturbe afin d‘apaiser ses sens qui se traduisent par de bons jets de foutre épicés que j’avale difficilement, Victor, collé à mes fesses nous rejoint en se lâchant longuement dans mes entrailles non sans manifester verbalement son entière satisfaction !
La glace rompue la soirée s’annonce mouvementée, je file aux toilettes tandis que ‘mes hommes’ font connaissance en ingurgitant une bière fraiche bienvenue
- Vous êtes amants depuis longtemps ?
- Depuis deux heures, avant je baisais avec ses parents !
- Ah ? ça va durer vous deux ?
- J’sais pas, mais tu es désormais le bienvenu !
- Hé les pipelettes j’attends que vous m’honoriez comme il se doit
- Lequel veux-tu dans ta chatte ?
- Tous les deux ensembles, allongez-vous tête-bêche et je vais m’assoir sur vos triques collées l’un à l’autre
- Jamais je n’ai touché un sexe d’homme je ne suis pas homo
- Si tu veux me baiser il faut en passer par là Jérémie, ou tu t’allonge ou tu sors
- Bon, ça va.

.. ça y est nous somment prêt, enfile toi face à Victor que je vois ta vulve avaler nos queues…
- Ma main est loin de faire le tour de vos membres, je vais dérouiller grave …. Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhooooooooooouuuuuuuuuiiiiiiiii ….. vous allez me péter la cramouille
- Laisse toi descendre encore, assied toi carrément sur nos couilles
- Je n’aurais jamais cru que côtoyer la bite d’un autre mec me fasse autant d’effet
- Si tu veux je t’initierais a d’autres trucs d’homme … bouge davantage Karine ta chatte est suffisamment éclatée pour recevoir nos coups de bite
- Jutez-moi dans le con, remplissez mon vagin de votre bonne crème
- T’es ouverte du clito a l’anus, bordel quelle vue !
- Je crois que je vais défaillir, c’est monstrueux comme sensation
- Allons-y tous ensembles pour le feu d’artifice final, ça vient pour moi …
- Pour moi aussi, je me retiens de balancer la purée
- Ne vous retenez plus, je vais décoller à la première fusée de foutre qui va percuter mon utérus …aaaaaaaaaahhhh …… AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHOOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUIIIII !! ENCORE ! encore !
Les deux boudins de chair se raidissent en moi à chaque jet de sperme, l’orgasme explose dans mon ventre et dans ma tête, je me laisser aller sur Victor qui me soutient de ses bras musclés, à ce moment-là un portable sonne …
- C’est lequel ?
- C’est le mien, ne bougez pas je tends le bras … allo ?
- Allo Jérémie ? qu’est-ce que tu fous ? où es-tu ? nous devions nous voir, je poirote devant ta porte
- Hooooo merde !!! excuse-moi Arnaud je suis occupé même très occupé si tu veux tout savoir !
- C’est qui ?
- Un pote … je parle à une amie Arnaud … oui elle est belle, même très belle
- Tu ne peux pas venir me parler, ne serait- ce qu’une minute ??
- Pas facile je suis collé
- Collé ?? qu’est-ce que tu racontes ? collé à la nana ?
- J’ai une idée, il est beau gosse ton pote Arnaud ?
- Très beau mâle pourquoi ?
- Dit lui de venir à l’appartement vingt-sept c’est ouvert
- J’le crois pas, tu veux te farcir l’immeuble ?
- J’ai trois trous il me faut trois bites !
- Arnaud ? tu es devant chez moi ? alors entre au vingt-sept, c’est la porte juste à gauche, c’est ouvert, guide toi à nos voix je ne peux pas bouger
- Ok …. Vous êtes où ?
- Là dans la chambre, je te préviens tu vas avoir un choc …
- Non de dieu ! une partouze ?
- Quitte tes fringues et rejoint nous
- Où me mets-je ? elle est assise sur vous ?
- Aide-moi à me relever
- Vous... tu es emmanchée sur leurs queues ?
- Ben oui
Un ruissèlement accompagne l’évacuation des verges hors de mon corps, je titube pour me retrouver entre les bras accueillants du nouveau venu dont la bite fait déjà obstacle entre nous, je l’entraine dans ma chute sur le lit à côté de mes amants sidérés, Arnaud naturellement imbriqué entre mes cuisses ouvertes a le gland pointé à l’orée de ma chatoune boursouflée par le travail des queues
- Sert-toi … baise moi Arnaud
- Le passage est fait ! je ne sens pas les bords
- Alors vise plus bas …
- Retourne-toi …
- Ok …
Me voilà en levrette, le front sur le matelas et le cul en l’air, à peine le temps de respirer et je suis immédiatement sodomisée, a côté je perçois une protestation vite étouffée, Jérémie exactement dans la même situation que moi se fait pénétrer par Victor, nos visage en vis-à-vis reproduisent fidèlement ce que nous éprouvons …un mélange de sourires et de grimaces ponctués de gémissements de plaisir, mon voisin découvre la bisexualité …ça va me faire une verge de moins à ma disposition ?
Soudain en voyant la verge du sodomisé battre la mesure a chaque coups de rein de son amant il me vint une idée, j’ai allongé le bras sous son ventre et me suis emparée de la queue pour me masturber
- Matez moi cette vicieuse, rien ne lui échappe elle branle Jérémie en se faisant enculer !
- Ça me fais oublier la douleur laissez la faire, je vais décharger
Encore un orgasme réussi dans un bel ensemble et du foutre abondant qui se répand dans mes draps, il flotte dans la chambre des effluves de cul que je respire a pleins poumons
- Karinette ? il se fait tard je vais y aller
- Déjà ? tu ne passes pas la nuit avec moi ?
- Ce soir tes parents veulent faire la fête
- Tu préfères donc baiser maman ?
- Ne soit pas jalouse, tu viens de te faire deux charmants et compétents amis
- Vient me prendre une dernière fois, j’ai envie de sentir le poids de ton corps sur ma poitrine, lime moi amoureusement Victor …
- Bon, je vais te faire plaisir une dernière fois ensuite je pars, relève les cuisses sur tes seins, regarde, sans toucher ma bite je m’enfonce dans ton con … c’est toujours un immense plaisir hhhhaaaaaaaaaaaaaooooooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiiiii
- Hhhhhoooooooooooo que c’est boooooooooonnnnnnnnnnn fais-moi du bien Victor …
Alors que mon amant cherche à frotter mon point G afin de me faire jouir une dernière fois je vois les deux copains se caresser tendrement, Arnaud se met subitement en levrette et Jérémie vient se coller verge bandée à son cul …. Prise de panique alors que l’orgasme se précise je me mets à sangloter, Victor s’arrête immédiatement de me faire l’amour …
- Eh bien Karinette ? que se passe-t-il ? je te fais mal ?
- Au contraire, mais regarde à côté je viens de perdre mes deux derniers amants
- Merde ! les p’tits cons ! ils se sont convertis ? pleure pas, il tes reste tes gadgets, et puis je vais t’en offrir un bien plus gros et plus sophistiqué que les tiens, que dirait tu d’un gode ceinture muni d’une grosse trique afin de jouer avec tes petits voisins ! aller, remue toi un peu et fait toi jouir sur ma queue …..
Ce fut ma dernière jouissance de la journée, une fois seule, toujours nue, j’ai fait le nettoyage indispensable de la chambre, mes deux godes bien enfoncés en moi me rappellent mes fougueux amis … le sourire revient au premier frémissement humide de ma chatte…