Les Malheurs De Cathy

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Anxieuse, Cathy regardait le Docteur Cassidy. Déjà sa troisième visite chez le psychiatre, et elle était toujours aussi mal à l'aise pour parler de ses problèmes sexuels. Entre elle et son mari, c'était le calme plat depuis bien longtemps. Dans son esprit, elle se préparait à dire au docteur qu'elle ne viendrait plus assister à ses séances. Elle ouvrait la bouche pour lui parler quand il lui coupa la parole.
Levant son sourcil droit pour ponc sa question: « Alors, Cathy, quels sont les progrès cette semaine?». Il parlait d'une voix chaude et apaisante qui subjuguait Cathy.
Cathy rougit fortement mais n'hésita presque pas avant de répondre: « Non, pas de progrès, on ne fait toujours pas l'amour comme avant. Il travaille beaucoup et il est trop fatigué.»
Le Dr. Cassidy lui sourit intentionnellement: « Pas d'évolution positive!»
Elle hocha la tête sans parler, les yeux baissés sur ses chaussures. Elle prenait son élan pour lui dire qu'elle allait arrêter les séances de thérapie, quand il parla à nouveau.
« Il est temps maintenant d'essayer une autre approche» dit-il d'un ton grave qui l'obligea à lever les yeux vers lui.
« Et cette autre approche serait?» questionna-t-elle.
Il fit une pause pour ménager son effet: « Je pense que l'hypnose peut aider à résoudre ce type de problème.»
Il la regardait, guettant sa réaction.
« Ça, je ne le pense pas!» répliqua-t-elle sèchement.
Le Dr. Cassidy gloussa. « Je savais que vous diriez ça!»
Cathy inclina légèrement la tête, l’œil sombre: « Et pourquoi saviez-vous que...?»
« Parce que vous êtes beaucoup trop conservatrice pour envisager quelque chose de différent.»
Il la regardait, la défiant du regard. Prise au dépourvu, Cathy rougit à nouveau.
Elle lui répondit à voix basse, les yeux fixés sur ses chaussures: « Ce n'est pas vrai, j'essaie de nouvelles choses.

»
La voix du docteur s'affirma: « Comme quoi? Ce n'est pas vrai, et c'est la moitié de votre problème avec le sexe!»
Cathy leva les yeux vers lui, montrant sa stupeur. Avant qu'elle puisse répondre quoi que ce soit, le docteur lui asséna.
« Vous avez peur d'essayer quoi que ce soit qui pourrait introduire une satisfaction sexuelle plus intense.»
Il se tut pour laisser ses commentaires s'enregistrer en elle.
Cathy était silencieuse, un mélange de colère et de prise de conscience de la réalité qui la submergeait.
« Alors vous voulez m'hypnotiser pour faire de moi une salope?» la voix grondante de colère.
Le Dr. Cassidy rit franchement. « Ma chère Cathy, l'hypnose ne peut pas inciter une personne à faire des choses qui vont à l'encontre de sa nature fondamentale.»
La grimace de Cathy se voulait un sourire ironique. « Désolée, je l'avais oublié.»
Le Dr. Cassidy renchérit: « Et l'éthique interdit ce genre de pratique.»
Cathy lui retourna son sourire. « Eh bien, je suppose que si j'essaye, ça ne pourra pas empirer les choses, n'est-ce pas?» Elle cherchait son approbation dans son regard d'un bleu profond.
« Accepteriez-vous d'essayer?»
Cathy acquiesça: « Bien sûr, je dois mettre toutes les chances de mon côté.»
Cassidy lui prit la main et la conduisit jusqu'au canapé.
« Allongez-vous, enlevez vos chaussures et relaxez-vous, j'ai un petit appareil que j'utilise pour aider le processus.»
Il la regarda ôter ses chaussures et les poser près du canapé, puis s'allonger en tirant sur sa jupe pour couvrir ses jambes.
Elle croisa ses mains sur son ventre pendant qu'il ajustait la lampe stroboscopique. Il baissa l'intensité lumineuse du bureau et a mis en marche la chaîne stéréo.
« Maintenant, regardez la lumière, écoutez la musique, détendez-vous, concentrez-vous sur la musique et laissez-vous aller.»
Cathy ne mit que quelques secondes à tomber en somnolence. Il a attendu presque une minute avant de commencer.

« M'entendez-vous, Cathy?» il a demandé d'une voix douce.
Elle a répondu d'une voix rêveuse: « Je vous entends.»
« Dites-moi votre nom complet.»
« Catherine Marie Buche.»
« Pourquoi êtes-vous ici?»
« Parce que mon mari et moi n'avons plus de bons rapports sexuels.»
« Quel est le prénom de votre mari?»
« Walter»
« Aimez-vous le sexe, Cathy?»
« Oh oui, j'aime vraiment le sexe.» Son intérêt était évident.
« Aimez-vous pratiquer le sexe avec votre mari?»
« Oh oui, j'aime que Walter me fasse l'amour.» Elle bouillonnait.
« Avez-vous déjà eu des rapports sexuels avec un autre homme que Walter?»
« Non, seulement avec Walter.»
Maintenant venait l'instant que le Dr. Cassidy attendait: « Aimeriez-vous faire l'amour avec un autre homme?»
Il y eut une imperceptible hésitation avant de répondre: « Non, je ne pense pas.»
« Mais vous n'êtes pas sûre?» Le Dr. Cassidy poursuivait son étrange interrogatoire.
Cette fois, il y a eu un léger embarras: « Non, je ne suis pas sûre.»
Le Dr. Cassidy: « En fait, vous êtes curieuse de savoir ce que pourrait être le sexe avec un autre homme, n'est-ce pas?»
Cette fois il n'y eut pas d'hésitation: « Oui!»
« Ce serait merveilleux de trouver un meilleur amant que Walter pour avoir de bonnes sensations?»
Sa voix vacilla: « Oui, ce serait bien d'avoir de bonnes relations sexuelles à nouveau.»
« Le sexe avec Walter, c'est plutôt ennuyeux, n'est-ce pas?» Le Dr. Cassidy a planté sa graine et a attendu, mais il n'y eut pas d'hésitation: « Parfois, c'est un peu monotone.»
« Et Walter n'est plus très sexy, n'est-ce pas? Il a pris du poids, il a perdu son charme, n'est-ce pas?»
Cathy acquiesça d'un mouvement de tête.
« En fait, vous n'avez des rapports sexuels avec lui que parce c'est votre mari et qu'il est le seul homme que vous n'ayez jamais connu ... En fait, il ne vous attire plus, n'est-ce pas?»
C'était le moment critique.
Cathy restait silencieuse.
Le Dr. Cassidy haussa la voix: « Il ne se soucie plus de vous, il vous délaisse, n'est-ce pas? Son travail est plus précieux à ses yeux que sa charmante épouse, n'est-ce pas?»
Cathy chuchota: « Oui c'est vrai.» Elle pleurait presque.
« Et vous souffrez de cette négligence, de ce manque d'affection. Avez-vous encore des besoins sexuels?»
« Oh oui, j'ai des besoins sexuels … J'ai des besoins forts, très forts!»
Il l'a regardée de près: « Et que faites vous pour soulager vos besoins, Cathy? Vous vous masturbez?»
Un gémissement s'est échappé de sa bouche: « Oui!»
« Et vous avez besoin d'un soulagement sexuel maintenant, n'est-ce pas?»
Ce fut une plainte plus qu'un aveu: « Oh, oui!»
« Pourquoi ne pas vous masturber, ici et maintenant, pour soulager cette tension? Soulevez votre jupe et montrez-moi vos trésors.»
La voix du docteur s'était faite impérieuse.
Lentement, elle tendit ses main et commença à tirer sa jupe vers le haut. Il se pencha pour mieux voir le tissu remonter au dessus de ses genoux, exposant ses cuisses diaphane et enfin la fine culotte. Sa main droite se posa sur son mont de vénus et elle écarta légèrement les jambes.
Le Dr. Cassidy dut s'humecter les lèvres avec la pointe de sa langue.
« Votre culotte vous gêne, enlevez-la!»
Elle souleva ses hanches du canapé et fit glisser le frêle rempart de tissu à ses genoux. Il l'a aidée à l'ôter complètement.
Sa main retourna à son entrejambe, et elle commença lentement à se caresser. Écartant les lèvres de sa chatte, elle promena doucement ses doigts le long de sa fente, remontant jusqu'au clitoris pour le manipuler entre ses doigts. Sa respiration s'accéléra et un faible gémissement s'échappa de ses lèvres.
«Voilà, c’est bien, ma belle petite bourgeoise dévergondée, vous aimes jouez avec votre chatte, n'est-ce pas?
Le Dr. Cassidy caressait sa queue à travers son pantalon: « Et vous aimez que je vous regarde.
»
« Oui, j'aime me faire du bien en me caressant.»
Mais le Dr. Cassidy insistait: « Et vous aimez que je vous regarde!»
« Oui,» dit-elle rêveusement, « j'aime que l'on me regarde.»
Il ouvrit sa braguette, sortit sa bite en semi-érection.
« Aimeriez-vous me sucer, Cathy?» lui présentant sa queue grandissante.
« Euh-hum,» répondit-elle.
« Voudriez-vous sucer mon sexe pendant que vous vous masturbez?» Il lui présentait sa bite comme on offre des petits fours, caressant son gland sur la bouche entrouverte.
« Oh, je ne peux pas faire une chose pareille» objecta-t-elle.
« Mais bien sûr que vous pouvez, vous l'aimez vraiment, vous adorez sucer des bites.»
Elle médita: « Oui, c'est vrai, j'aime bien sucer la bite de Walter.»
Il argumenta: « Mais la bite de Walter est petite, toute petite. Quelle est sa taille?»
Elle hésita un instant, calculant dans sa tête: « Peut-être une dizaine de centimètres.» Elle a finalement estimé.
Souriant, il la tourmenta: « C'est trop petit pour être une bite, c'est juste une bistouquette, n'est-ce pas?»
Elle n'a pas répondu, digérant cette information.
« Les hommes, les vrais, ont des bites d'au moins treize centimètres ou plus, n'est-ce pas?» il la tyrannisait.
Encore une fois, il n'y eut pas de réponse.
« Les vrais hommes ont des queues de plus de treize centimètres, la queue de Walter est bien trop petite.»
Le Dr. Cassidy la persécutait avec ses questions et ses affirmations. Son manque d'expérience des hommes la plongeait dans une grande perplexité car elle n'avait pas de quoi comparer.
Elle finit par céder: «La queue de Walter est trop petite. Les vrais hommes ont de grosses queues.»
Un large sourire se répandit sur le visage de Cassidy: « Et vous avez besoin d'un homme, d'un vrai, pour vous satisfaire, n'est-ce pas?»
Cette fois, elle n'eut pas d'hésitation: « Oui, je veux un homme, un vrai, avec une grosse queue!»
« Et pas Walter!» il a affirmé fortement.
« Non, la queue de Walter est bien trop petite!» Vaincue, elle en pleurait presque.
« Walter n'est pas un vrai homme, n'est-ce pas?» Le Dr. Cassidy continuait son travail de sape, modelant le raisonnement de sa victime avec sa force de persuasion.
« Non, sa queue est trop petite, ce n'est pas un vrai homme.» affirma-t-elle, la voix tremblante d'émotion due à la déception et où perçait une pointe de mépris.
« Vous ne pouvez vraiment plus vous satisfaire de la petite bite de Walter, n'est-ce pas?»
« Non, elle est trop petite.» Déclara-t-elle avec conviction.
« Pas comme cette bite.» Il lui prit la main pour la poser sur sa queue en érection. Elle décalotta le gland turgescent, caressant la colonne de chair, soupesant les bourses. Son pouls s'accélérait, elle haletait devant l'objet de sa convoitise, Cathy gémit en se touchant.
« Maintenant, prends-le en bouche, ma jolie petite salope!»
Elle l'approcha de ses lèvres. Elle caressa le gland de ses lèvres purpurines. Elle déposa amoureusement une série de petits baisers sur la tête violacée. Toutes ces attentions ayant fait naître le désir, un peu de liquide pré-éjacula suintait du méat, qu'elle lécha avec délectation. Maintenant, elle gobait le gland avec un bruit de succion qui trahissait son plaisir.
« Tu aimes sucer ma bite, n'est-ce pas, Cathy?»
Aucune hésitation dans sa réponse: « J'adore sucer cette grosse bite!»
« Suce-moi, bébé, suce la grosse bite de papa.»
Cathy engloutit la tête goulûment, et il gémit de plaisir. Sa langue et ses lèvres se relayaient, tourbillonnant autour de la tête, taquinant le méat. Sa main coulissait en rythme sur la colonne de chair, tandis que son autre main lui servait à se masturber énergiquement. Il commença à s'enfoncer dans sa bouche chaude et ruisselante de salive.
« Ooh, bon sang!» grogna-t-il. « Tu es une formidable suceuse, et une vraie salope, Cathy.» Mais déjà, sentant la montée du plaisir, il se retira de cette bouche accueillante. Elle tendit la main vers lui, continuant de se masturber avec l'autre.
« Es-tu prête à baiser, petite chienne en chaleur?»
« Oh oui, papa, viens sur moi me planter ton gros bâton!»
« Demande-le moi!»
« S'il te plait, papa, baise-moi!»
« Supplie-moi de te baiser la chatte!» Il la dominait de toute sa taille, se caressait et la regardait en souriant.
« Oh, s'il te plaît, papa, baise ma chatte chaude et humide, ne me fais pas attendre, j'en ai tellement envie!» supplia-t-elle.
« Mais si je te baise, tu m'appartiendras, tu ne pourras plus retourner baiser avec ton petit mari!»
« Je ne veux plus baiser avec Walter, sa queue est trop petite!» elle a presque crié.
Le Dr. Cassidy s'agenouilla sur le canapé, entre ses jambes. Il la saisit par les chevilles pour lever ses jambes à la verticale. Il frotta son gland entre ses lèvres moites.
« Dis-moi qui tu aimes?»
« C'est toi que j'aime, papa. Tu seras mon homme, maintenant, et mon seul amour!»
« Dis-moi que tu seras ma chienne.» Il appuyait son gland contre son clitoris.
Gémissante: « Je suis ta chienne! Ooh! S'il te plaît, baise-moi! Maintenant!»
« Et tu feras tout ce que je t'ordonnerai!» il lui a imposé, tandis qu'il la pénétrait lentement.
Frémissante de plaisir: « Ooh! Oui! Papa! OUI!»
Le Dr. Cassidy enfonça toute la longueur de sa bite, dilatant la chatte de Cathy, jusqu'à ce que ses couilles reposent contre son trou du cul. Elle a joui instantanément, contractant les muscles de sa chatte autour de son membre. Quand ses spasmes se sont calmés, il se retira lentement, ne laissant que son gland à l'intérieur de la vulve, puis recommença sa pénétration lente et profonde.
Elle gémissait de plaisir, baisée par une grosse queue, qui la travaillait avec de longs coups lents.
« Ooh! Je t'aime! Embrasse-moi!»
« Qu'en est-il de Walter?»
« Je ne veux plus de lui, sa queue est trop petite, ce n'est pas un vrai homme.»
« Et plus de sexe avec lui, jamais, OK?» Le Dr. Cassidy augmentait son rythme.
L'orgasme est revenu saisir Cathy: « Plus jamais de sexe avec Walter.» Elle a crié sa passion.
Le Dr. Cassidy éjacula sa charge chaude profondément dans l'utérus de sa nouvelle esclave sexuelle, prolongeant le plaisir de Cathy lorsqu'elle a senti sa semence envahir son utérus, lui procurant un bien-être chaud et délicieux.
Planté au fond de sa chatte spasmante, palpitant tandis que les dernières gouttes de son sperme s'écoulaient en elle.
Il se pencha sur elle et l'embrassa, leur langue entremêlée de pure lasciveté.
Le Dr. Cassidy se retira, se leva et réajusta son pantalon. Il a ordonné à Cathy de se rhabiller, après avoir épongé le sperme du canapé avec une serviette en papier. Après un rapide réaménagement des lieux, il se rassit sur sa chaise.
« Quand vous vous réveillerez, vous vous sentirez totalement fraîche, et vous n'aurez aucun souvenir de ce que nous venons de faire sur le canapé.Vous vous souviendrez de la petite bite de Walter, et que les vrais hommes ont de grosses queues. Chaque fois que Walter voudra vous faire l'amour, trouvez une raison polie de ne pas le faire. Vous resterez amoureuse de moi, et que vous ferez tout ce que je vous demanderai, mais vous resterez mariée avec Walter.»
Cathy acquiesça lentement.
« Je compte jusqu'à trois, vous vous réveillerez, un, deux trois.»
Elle ouvrit les yeux: « Ça n'a pas marché?»
« Seul le temps nous le dira, Cathy. Mais la séance est terminée. Revenez la semaine prochaine à l'heure habituelle.»
Elle a remis ses chaussures et s'est levée.
« Certainement, Docteur.»
Avant de partir, elle s'est retournée vers lui.
« Je vous remercie, Docteur.»
« Tout le plaisir est pour moi!»

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