Collection Zone Rouge. Matricule 100 605. Saison Ii (5/6)
Je sens Franck le journaliste américain suspendu à mes lèvres.
Il est journaliste, mais aussi homme.
Jarrive à un point de mon récit où je suis avec celui qui après guerre sera surnommé le boucher de Varsovie.
Il mentraîne vers ses appartements.
La porte dune antichambre refermée, il ma pris par mes cheveux qui mavaient été coupés et coiffés pour que je sois désirable.
Dune main il me tenait de lautre, il a défait son ceinturon.
« Jai tout de suite vu à ton regard que tu étais une salope, suce ma bite, les chiennes comme toi sont sur terre pour nous sucer. »
Je découvrais la rudesse dans le sexe, le toubib et ses copains se servaient simplement de mon corps comme un exécutoire.
Avec Josef, je sentais que javais un homme sachant ce quil voulait et fidèle à ma mission je me suis attachée à lui donner.
Je me suis agenouillée et jai pris sa bite dans ma bouche.
Est-ce la grandeur et la grosseur de ce quil moffrait pour quil se sente obligé de se servir de moi sans me demander ce que jaimais.
Ça aurait été facile, jaime tout et jétais prête à tout accepter pour rester suffisamment près de lui afin dapprendre des choses suffisamment intéressantes pour les aider à retourner dans leur frontière.
Lâchant mes cheveux, il ma saisi par les oreilles et me bougeait la tête pour que ce soit moi qui fasse des va-et-vient men faisant pleurer par manque de respiration.
Je sentais ma bave couler sur ma poitrine, mais je dois reconnaître que jai aimé être rudoyé.
Cest normal Aleksandra, toutes les femmes sont des salopes.
Oh ! Pardon.
Franck, pour une fois lâchez-vous, cest comme ça que vous voyez les femmes, des salopes.
En 40 vous auriez été un très bon officier SS, jai vite compris que Josef devait en vouloir aux femmes.
Jai beaucoup lu ici en Amérique sur cette période du nazisme, léducation allemande était tellement rigorisme que bons nombres refusaient la domination des femmes sur les hommes.
Hitler lui-même faisait le dur, mais devant Éva Braun, il filait droit.
Ces officiers étaient les plus grands consommateurs de putes, cest pour cela que larmée se déplaçait en en créant plus que les chambres à gaz.
Excusez de mêtre exprimé, je vais éviter de recommencer, un instant de faiblesse surement.
Si vous avez des faiblesses Franck, Josef lui en était loin.
Il ma relevé, ma donné lordre de me mettre nue excepté mes bas et mon porte-jarretelle.
Il sest approché de la table, a pris une cravache, certainement celle dont il se servait, car elle était à côté de la selle qui lui avait été offerte.
Jétais nue devant cet homme la queue simplement sortie de son pantalon.
Il a laissé tombé son pantalon, le chef de guerre redevenait le petit garçon à sa maman quil était resté an fond de lui.
Petit garçon, mais aimant dominer, je mettais mes mains une devant mes seins et lautre devant les poils blonds de ma chatte pensant me protéger, car javais compris quil allait me traiter comme son cheval, voire plus mal.
Le premier coup très peu appuyé, certainement pour éviter de me marquer, mest arrivé sur la pommette droite.
Jai enlevé la main de mes seins, immédiatement il les a singlés, mais là pour faire mal.
Il ma fait horriblement mal ce qui ma fait relever ma main protégeant mon vagin.
Rapide comme léclaire, son petit jeu devant être rodé de longue date, la spatule de sa cravache est venue aussi vite que sur mes seins, mais sur mes lèvres et surtout sur mon clito.
La décharge a été extraordinaire, je prenais goût à ce jeu comme au fil du temps javais même pris goût aux bites de mes clients si elles me permettaient de manger à ma faim !
Jétais complètement dépendante pour la première fois de ma vie dun homme.
En quelques secondes, jétais accro de ses coups.
Incroyable, cest possible !
Mieux que ça, il ma imposé de me mettre à quatre pattes devant la table et se dénudant et surtout posant sa casquette dofficier sur la table, sa cravache entre les dents, sest avancé.
« Cest bien, tu es docile comme jaime que les femmes, le soi. »
Cest dans cette position quil est monté sur mon dos comme si je devenais son cheval.
Et il ta fait hennir !
Oh ! pardon.
De me prendre, toi aussi pour un cheval.
Non, de vous avoir tutoyé, malgré notre grande différence dâge.
Cest ta façon de draguer les femmes de mon âge, en leur faisant des déclarations en leur montrant quelles ont vieilli.
Non, je mexcuse aussi de ça, vous êtes encore très désirable.
Et si nous revenions à notre allemand, le temps avance et jai encore des bagages à préparer.
Ou alors, nous en restons là et tu viens avec moi à Varsovie.
Jignore, comment ils se sont raconté mon histoire, mais si cest la femme qui sest donnée à un allemand pour sauver sa patrie quils ont invitée, ils accepteront que je sois accompagnée.
Viens près de moi Franck.
Cest drôle, je viens de raconter plein de choses sur ma vie et les nombreuses dépravations subites avec de nombreux hommes.
Mais un rebond de la jeune Aleksandra qui regardait partir son amoureux dans son village natal me traverse quand je me donne à ce jeune garçon.
La seule chose que je peux dire, cest quen entrant dans mon lit, il était puceau et quau matin, il était prêt à devenir un amant dexception.
Il y avait bien longtemps que mon corps avait autant vibré sous la verge dun garçon.
Merci, Aleksandra pour la nuit que tu mas fait passer.
Jai été un bon amant !
Prends ton carnet et continuons mon histoire, tu as été très bon si cest ça que tu veux savoir, surtout pour une première fois avec une femme.
Ça cest vu !
Très peu, lavion décolle, tu vois dans ce jet privé affrété par la mairie de Varsovie tu as trouvé ta place sans aucun problème.
Malgré le bruit des moteurs, ou en étais-je, à oui je faisais le cheval dans cette putain de commandature allemande.
Il était assis sur mon dos, sa cravache en main.
Comme je te lai dit, jétais loin dêtre la même bête faite pour le labour que notre cheval dans mon village dévasté et je me suis écroulée sous lui plus par la surprise que par le poids.
Il sest remis sur ses jambes et la cravache sest de nouveau abattue sur ma croupe, mes seins quand jai roulé et pour finir un grand coup sur ma chatte me faisant hurler.
De nouveau mes cheveux au point quà un moment, jai cru quil voulait me scalper, mais ce sont quelques-uns dentre eux que jai vus quand je me suis remise à quatre pattes.
« On va corser les choses, je voulais aller essayer ma nouvelle selle cet après-midi, je vais te harnacher. »
Représente-toi, moi à quatre pattes, une selle sur le dos tenue par une sangle passée sous mes seins et quil a serré au point de m.
Tu veux que je me représente, si tu es daccord, dès que nous en aurons loccasion, je temmènerais dans le ranch de mes parents au Texas où ils ont toutes sortent de selles.
À oui, tu ferais ça, la mienne quil mavait sanglée était par chance une selle de saut dont il faisait de la compétition avant-guerre donc assez légère.
Je me trouvais près de la table et me voyant dans une glace, il mest venu lidée de prendre sa caquete dofficier supérieure et je lai mise sur ma tête.
Cétait grotesque, mais ça a été ma manière de dire merde à cet homme et à son putain de chef sans manière pour une femme, pour les femmes.
Nous avons tourné autour des deux pièces ouvertes dont sa chambre et je serrais les dents pour éviter de mécrouler.
La cravache maidait même si elle me déchirait le cul, chaque fois quil men donnait un coup, ça me fortifiait à lui résister.
Il a eu certainement mare de notre jeu, car il sest relevé, a repris sa casquette quil sest mis sur la tête et ma ôté ma selle me permettant de respirer librement.
« Tu es une belle pouliche, on fera quelque chose de toi.
Monte sur le lit ma jolie petite chienne. »
Je me suis cru revenue à ma ferme, cheval, chienne, je mattendais de me retrouver au milieu de notre basse-cour.
Il est vrai que les pierogi sortent de raviolis en forme de demi-cercles farcis avec divers ingrédients, mais souvent de la volaille.
Chez maman, cétait loie qui les farcissait.
Tout ce quils restaient elle les faisait bouillir pour récupérer la graisse.
Cette nourriture me manquait ici et surtout celle faite avec sa graisse.
Tu sais aux États unis pour eux, seuls les produits lyophilisés sont consommables.
Mais une nouvelle fois je me disperse bien que nous ayons notre temps avec presque 9 heures de vol.
Tu en étais quand il ta fait monter sur son lit.
Oui, il est venu derrière moi et sans me prévenir, il ma enculé.
Dans la nuit, trois fois en levrette, par-derrière, chaque fois même quand ça été moi qui me suis mise sur lui, sa queue a pris mon anus.
Chaque fois, jai joui comme une chienne, quil voulait que je sois.
Cette nuit-là, jai découvert que je jouissais plus fortement du cul que de ma chatte, malgré tout les coups que javais pris.
Cest là quà ce moment ma vie a basculé définitivement.
On a tambouriné à la porte, jai cherché Josef, du bras sans le trouver.
Jai ouvert un il, il était à côté de moi et du lit, drapé dans sa tenue dofficier.
« Entrez ! »
Lordre est tombé net et précis.
La porte sest ouverte, Günther est entré, lui aussi dans sa tenue de SS
« À vos ordres commandants.
Heil Hitler.
Heil Hitler. »
Tous les deux ont tendu leur bras...
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