A La Découverte D'Un Stade De Foot ...
Depuis toute petite je me souviens que maman me grondait lorsqu'elle me surprenait allongée sur le canapé regardant mon dessin animé préféré, pas pour cela rassurez-vous, mais pour ma main qui s'égarait inconsciemment entre mes cuisses, elle avait beau me faire la morale rien n'y faisait, c'est en écoutant en douce une conversation entre adultes que j'ai découvert que ça s'appelait 'masturbation ' , un mot tabou qui signifiait que 'ça' ne se faisait pas en public mais seule dans ma chambre je pouvais a volonté me 'masturber' croyez moi que j'en ai profité ! c'est ainsi que quelques années plus tard j'ai perdu ma virginité au cours d'une 'séance poussée' de masturbation intense
La suite normale était de découvrir le sexe mâle pour remplacer les flacons de la salle de bain ou les manches de brosses suggestifs, pour cela je me suis mise à épier les garçons au lycée lorsque par paresse d'aller aux toilettes ils trouvaient un tronc d'arbre pour pisser, j'ai été déçue par ces bouts de tripes flasques à faire peur, néanmoins j'ai décidé de tester l'un d'eux, Joan qui fait du foot dans l'équipe du village, hélas il est souvent pris par les entrainements et les matches le dimanche , je m'en moque le but est de trouver plus viril que lui par la suite car ce n'est pas un violent au lit !
Il débande à moitié lorsqu'il enfile le préservatif ! pour me pénétrer il lui faudrait un chausse pied, il se sert de ses doigts pour bourrer sa nouille dans mon vagin, mais je persévère espérant secrètement dénicher 'l'étalon' qui me feras enfin jouir, comment le trouver ? c'est simple, le samedi matin il y a entrainement dans le stade des 'grands', pour y aller son père emmène l'équipe dans un mini bus, c'est pendant le trajet que j'apprends les chansons paillardes à faire rougir un eunuque, son père a beau les engueuler de ne pas chanter ces grossièretés en ma présence rien n'y fait
Et moi ça m'excite, surtout lorsque Joan essaie de passer sa main sous ma jupe pour se faire mousser devant ses potes qui n'hésitent pas à tâter ma poitrine ou mes fesses lors de bousculades sciemment programmées, ce grand dadais n'y voit que dalle !
Comment j'occupe mon temps pendant les entrainements ? je reste accoudée sur la barrière en compagnie d'autres gens et du père de Joan qui passe son temps à exhorter ces jeunes fainéants a courir, tandis que j'essaie de deviner qui l'a la plus grosse sous le short !
Ce samedi matin-là je suis d'humeur taquine, un copain a réussi à toucher ma chatte en passant sa main sous ma jupe pendant que Joan me bécotait, je ne saurais dire qui est l'auteur de cette prouesse, dommage ? Didier, le père de Joan s'est aperçu que je ne tenais plus en place, alors j'ai bredouillé n'importe quoi, en réalité j'aurais voulus me toucher pour apaiser mes sens en ébullitions !
- Qu'est ce tu as ce matin Carla ? tu as la bougeotte ? tu n'arrêtes pas de sautiller sur place !
- J'ai envie de faire pipi !!
- Ah ! c'est bien le moment, évidement tu ne peux pas faire comme les mecs le long du mur
- Ça presse tant que ça ?
- Bon, tu vas vers les bâtiments où il y a des WC, ils sont fermés mais j'ai la clé, je te rejoins, je ne veux pas que les gens me voient partir en ta compagnie sinon je vais passer pour un pervers
- Merci j'y vais vite !
Je ne sais pas dans quoi je m'étais embarquée, je l'attends planquée dans une embrasure de porte
- Entre vite, c'est au premier
- Ça ferme ?
- Je ne crois pas, rien ne résiste à ces jeunes irrespectueux, mais personne ne viendra te déranger
- Restez près de la porte Didier
- Comme tu veux, fais vite Carla
La porte reste entrebâillée, slip a mis cuisses, assise sur la cuvette douteuse, il peut entendre le chuintement de mon urine qui gicle en cascade dans la cuvette, une fois le jet tari une surprise m'attend ?.
- Zut !
- Qu'y a-t-il encore ?
- Y'a pas de papier ?
- Aaaaaahhhhhh quelle galère ces nanas! et je n?ai pas de mouchoir, trouve une solution
- D'accord ? voilà j'ai fini,mettez ça dans votre poche je n'en ai pas
- Qu'est-ce que c'est ?
- Ma petite culotte, je m'en suis servie pour m'essuyer pardi
- Tu ne doutes de rien toi ! bon, pense surtout à me la demander à l'arrivée, si ma femme tombait sur ce bout de chiffon je serais dans de beaux draps !
- Oui, j'y penserais, ça a l'air immense ici
- Il y a les vestiaires et la salle de soins
- Vous me faites visiter ?
- Pas le temps
- Allllleeeeez s'il vous plait !!!
- Tu es une vraie petite chipie toi, suis moi
Didier a l'air troublé, serait-ce parce qu'il me sait sans culotte ? il garde une main dans sa poche, celle où est mon slip humide de pipi et de mes sécrétions, de temps à autre il la retire pour sentir ses doigts ... il ne devrait pas faire ça, mon entrejambe s'en ressent ?.
- Voilà les vestiaires
- Bbbbbbhhhhhhhhhoooooouuuuu ça pue la sueur !
- Moi je dirais que ça sent le mâle, vous les femmes devraient au contraire être excitées par ces émanations viriles
- En y réfléchissant je reconnais que ce n'est pas faux
- Excuse-moi de t'avoir parlé aussi crument, tu n'es qu'une gamine !
- Une gamine ? ce qui est dans votre poche prouve le contraire non ? ma petite culotte ne sent pas bon sans doute ?
- Heeeeeeeeeeuuuuu ? si-si-si, je reconnais qu'elle sent bon la femme
- Aaah tout de même !
Je sens l'homme de plus en plus troublé à mon contact, il est à ma portée, les dés sont jetés je veux le pousser dans ses derniers retranchements
- Et là c'est quoi ?
- La salle de soins
- Vous avez la clé ?
- Évidement
- On entre ?
- Nous devrions rejoindre plutôt le stade ?
- Allez juste une minute s'il vous plait
- Quelle petite peste tu fais, entre
- Ooooohhhh c'est vachement clean, on dirait une chambre d'hôpital !
- C'est un peu ça, en cas d'urgence nous pouvons apporter les premiers secours
- Hhooooooooh des tables de massage
- Nous nous en servons pendant la mi-temps pour décontracter les muscles de certains joueurs
- J'ai envie de massage, mes muscles sont vachement contractés
- Descend de là s'il te plait
- Plus vite vous m'aurait massé plus vite nous sortirons
- Tire sur ta jupe s'il te plait , c'est indécent
- Oh ! pardon, j'avais oublié que ma culotte est dans votre poche ! massez-moi les mollets j'ai des crampes
- Moi aussi ? ferme les yeux, ton regard malicieux me gêne
- Voilà, allez-y Didier faites comme si j'étais un joueur qui a besoin de soins à la mi-temps
- Tu as des mollets de compétition ma belle !ils sont parfaitement galbés !
S'il pouvait voir entre mes cuisses il s'apercevrait que ma chatte bien galbée aussi est désormais entrebâillée crache une substance qui fleure bon le sexe? je ne rêve pas ? ma jambe est tirée peu à peu sur le côté ? les mains remontent jusqu'au-dessus de mon genou entrainant ma jupe vers le haut, ma poitrine se gonfle, je soupire profondément
- Ça te fait du bien Carla ?
- OOOOOuuuuuuuuuiiiii continuez s'il vous plait, ma cuisse aussi est trop contractée .
- Ce n'est pas raisonnable, je vais devoir passer mes mains sous ta jupe
- Faites ?
Les mains tremblotent apportant un plus aux serrements des doigts sur ma peau, un doigt vient d'effleurer ma toison, il se retire très vite, comme s'il avait été brulé
- Excuse moi j'avais oublié que tu n'avais plus de sou-vêtement
- Pas grave, continue ?
- Mais ? tu me tutoie ?
- Pour te mettre à l'aise je vais tirer ma jupe sur mon ventre ... ainsi
- CARLA ! tu es belle, mais je n'en reste pas moins un homme
- Tu veux dire que tu bande ?
- A en crever
- Sois patient, écarte-moi une jambe et bouffe mon abricot
- Maudite petite salope, que je sois damné, tu es ouverte comme une fleur pleine de rosée!
- Mmmmmuuuuuummmmmmmmmm
Il m'écarte tellement les lobes que mon anus s'ouvre et lâche une série de pet sonores, mais ça ne le désarme pas, sa langue broute mon voracement mon entrecuisses
- Aaaaaaaahhhhhhhhooooooooouuuuuuuuiiiiiiii ! je veux tout, ta langue et tes doigts !
- Tu vas avoir ma queue aussi
- Oooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiii
Tandis qu'il s'affaire à me lécher comme un pro je devine qu'il se débarrasse maladroitement de son pantalon, en soulevant mon bassin je frotte ma figue trempée sur son visage, ses doigts fouillent mon vagin provoquant des clapotis, mes sens et mon clitoris rassasiés de stimulations explosent par ma bouche et par ma vulve, sa chemise est auréolée du jus de mon con
- Merde de merde dans quel état tu m'as mis ?
- Ça se lave, baise-moi Didier
- Montre-moi tes seins ?
- Tu pourras décharger dessus une autre fois mais je veux ta semence en moi de suite
- Sans capote ? mon fils te baise sans capote ?
- Avec, mais si maladroitement que je ne ressens absolument rien, et puis mes règles vont arriver
- Alors je vais remplir ta grotte, tu mérites bien une bonne bite
Didier tire d'autorité mes fesses au bord de la table afin de m'enfiler aisément, une fois mes jambes posées sur ses épaules et merveilleusement introduite par sa grosse bite il saisit mes nichons de ses doigts nerveux, jamais je n'ai été aussi bien baisée, il me réconcilie avec le sexe mâle, je n'arrive plus à suivre, les coups de reins se succèdent plus ou moins violemment percutant mon utérus, mon cerveau va exploser en me procurant l'orgasme du siècle, ses testicules frappent mon p'tit trou qui réagis en se relâchant, auras-t-il l'audace de me dépuceler de se coté ? pour l'instant il est trop accaparé par l'éjaculation imminente, au fond de ma grotte son gland se nappe de foutre chaud gonflant ma matrice avant que la semence ne trouve la sortie entre mes lèvres boursouflées d'amour, il n'as pas le temps de se retirer que la porte s'ouvre ?
- Didier ??? que fais-tu là ? bondieu qui est cette gamine ?
- Fred ? entre vite et referme vite la porte à clé je vais t'expliquer
- M'expliquer ? dis-moi que je rêve ? que tu ne nique pas réellement cette jeune fille ?
- Ce n'est pas ce que tu crois
- Règle numéro un : toujours fermer la porte à clé
- Si je comprends bien tu es habitué à venir faire 'la fête' ici ?
- Ça ne te regarde pas, tu sais que je vais devoir déposer plainte, tu souille l'image et la crédibilité de notre club de foot
- Tu ne vas pas faire ça ?
- Qui est-elle ?
- La petite amie de mon fils
- Joan ? il est au courant ?
- Disons que je donne des cours particuliers à sa copine, il est loin d'être à la hauteur le pauvre gamin !
- Elle suce bien ?
- Je ne sais pas, nous n'avons pas eus le temps de pratiquer tous les préliminaires
- je veux bien vous montrer ce que je sais faire en fellation
- Elle a de la répartie cette petite, elle me plaît bien, regarde ce beau saucisson mon , vient téter tonton Fred
Fred est un homme un peu bedonnant mais sa verge me plait bien, il s'est assis sur la table de massage en brandissant fièrement sa queue, courbée je me saisis de ce 'saucisson' décalotté qui sent l'urine, un peu de salive et un tour de paume qui arrache un grognement sourd à son propriétaire et l'engin est prêt à servir, Didier ne reste pas inactif et vient caresser affectueusement mon dos, mes reins, avant de s'aventurer entre mes cuisses graissées de nos jus, écartées pour lui faciliter la tâche, il prélève de quoi lubrifier mon anus extérieurement et intérieurement , ses doigts vont et viennent de plus en plus aisément dans mon tunnel encore secret, mais pour combien de temps ? car Didier se colle à moi, sa pine redevenue raide glisse dans ma raie ,il souffle comme un buf avant de pousser un cri de victoire, dans le même temps je perçois une brûlure fulgurante
- Ça y est ! je suis dans son cul !
- Ne la secoue pas trop fort, ça lui fait recracher ma bite
Au coup de sifflet final nous terminions une double vaginale, c'est les yeux cernés et la chatte dégoulinante que j'ai rejoint Joan fier d'avoir gagné, à la troisième mi-temps, pour célébrer cette victoire, il m'a permis de faire discrètement l'amour dans un recoin du vestiaire, que je connais désormais parfaitement bien, avec le gardien de but .
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!