Leslie Tr45

Leslie NR45 – Nouveaux récits
Histoire de veuves – La vie continue, suite

Après un cocktail maison et un diner composé des spécialités du coin, servies en buffet, arrosé d’un rosé bien frais, les deux femmes étaient dans les meilleures dispositions pour se rendre au bar, où devait les attendre Diallo.
Quand elles arrivent au bar, Diallo est là derrière son comptoir.
- Que puis-je vous servir jolies dames ? Demande Diallo.
- Ce qui pourrait nous faire plaisir, lance Sonia dans une pause subjective qui ferait bander n’importe quel mâle présent.
- Alors j’offre le délire ! Une composition spéciale avec comme le cuba-libre, du rhum et du coca, mais du ginseng et du bois bandé, des zestes de citron et de la glace pilée.
- Waouh ! Une mixture qui doit faire des ravages, réplique Sonia.
- Vous verrez, c’est très bon et les effets sont étonnants…
- Bon alors on essaie.
La boisson est délicieuse et réchauffe le corps des femmes, pour peu que ceux-ci avaient besoin d’être réchauffés. Sous la musique envoûtante, Sonia, sur la piste de danse s’est mise à onduler en me défiant du regard et sous le regard des hommes présents.
Puis ce sont les musiques de salsa et de souk qui prennent le relais et Diallo en me souriant, me propose d’aller rejoindre Sonia sur la piste et de danser avec lui…
- Mon service est fini, dit-il. Je suis libre et surtout disponible.
- Avec plaisir.

Pendant ce temps, Sonia a pratiquement disparu dans les bars d’un beau mâle sénégalais qui la serre de près. Elle est à son affaire dansant dans les bras de son partenaire, le pubis collé au bas ventre du noir et se frottant dessus en ondulant des hanches.
Puis elle retourne au bar reprendre un autre verre avec son cavalier, suivi du regard brûlant des hommes et retourne sur la piste sous le son d’un collé Serré.
C’est l’occasion pour son grand mâle de s’emparer d’elle et danser sous le rythme de la musique en mimant pratiquement l’amour ensemble.

Les cuisses fuselées de Sonia dépassent de sa robe fendue et ses seins semblent prêts à sauter directement dans les mains envieuses de son partenaire de danse.
Diallo se plante face à Clara et ils dansent ainsi quelques danses, mais l’effet de la boisson commence à faire ses effets sur Clara et sous le charme de ce beau noir, ce soir elle se sent désirable et est de plus en plus attirer par ce mâle coller contre elle.
Elle a envie d’en profiter, se sentir heureuse et désirée en dansant sous les regards de ces hommes qui envie son partenaire et voudraient être à sa place pour profiter d’elle.
Diallo ondule des hanches en la fixant dans les yeux, elle voit le torse puissant de son partenaire sous sa chemise entrouverte et les muscles bien dessinés de son ventre, Clara le sent félin, près à sauter sur sa proie dès qu’il la sentira disposé.

La tête de Clara tourne un peu et elle retourne s’asseoir au bar, accompagné de Diallo, puis rejointe peu de temps après par Sonia escortée de son mâle qui la tient par les hanches.
Diallo propose de reprendre la même boisson, et c’est Amadou, le mâle de Sonia qui nous sert.
- C ’est vrai qu’elle est délicieuse cette boisson, dit Sonia.
- Oh que oui, soupire Clara et en plus elle met le feu au corps.
- Vous savez, dit Diallo, cette boisson donne de la vigueur aux hommes et l’envie de faire l’amour aux femmes.
- Eh bien, dit Clara, en ce qui me concerne ça marche bien.
- Je dois avouer que pour moi aussi, avoue Sonia.

- Alors reprenons un autre verre, dis-je.
- Tu es sûr que c’est raisonnable, demande Diallo à Clara en me souriant
Près de Clara, il hasarde une main sur son genou, qui dans un geste peu convaincant tente de la repousser.
- Viens plutôt danser, dit-elle en lui souriant.

Une musique langoureuse de slow envahie la piste de danse, Diallo prend Clara dans ses bras et se colle à elle, étant plus petite sa tête est à la hauteur de son cou et dès les premiers pas de danse il pose ses mains sur les reins de Clara et ils commencent un slow collés l’un à l’autre.
Sonia les rejoint avec son partenaire sur la piste et en se collant eux-aussi entament un slow des plus érotiques.
Lentement les mains de Diallo descendent sur le corps de Clara pour terminer sur ses fesses et la plaque contre lui pour lui faire sentir son sexe sur son pubis. Clara réalise soudain que Diallo est pourvu d’un membre incroyable en volume et en dureté, elle tente de faire un mouvement de recul mais il la tient fermement par les fesses et elle ne peut se dérober à la pression intime que lui impose Diallo.
Une douce chaleur envahie soudain Clara, envahissant son corps et se logeant au milieu de son ventre, puis descendant lentement vers son sexe, la faisant mouiller…

Sonia, dans les bras d’Amadou, vit la même chose, mais son partenaire a carrément glissé une jambe entre les cuisses de Sonia, l’obligeant à s’ouvrir et sentir le frottement de la cuisse d’Amadou sur son sexe nu. Les yeux dans le vague, Sonia se laisse aller aux caresses de son partenaire et il ses seins gonfler sont prêts à sortir de sa robe pour se laisser caresser des mains de son mâle.

Clara se laisse aller, la joue posée sur la poitrine trempée de sueur de Diallo, elle se laisse caresser par ses mains de plus en plus audacieuses, elle aime ça, son envie de sexe monte en elle, elle voudrait être prise et sentir ce membre dur en elle, ce membre qui commence à lui faire perdre la tête. Elle ressent les désirs de son partenaire qui la caresse de plus en plus intimement, elle voudrait l’embrasser et qu’il la prenne sur cette piste de danse devant tout le monde, mais dans un dernier sursaut de pudeur, jute avant de craquer, elle dit :
- Non, attends, pas ici.
- Viens, lui dit-il en se séparant d’elle.

Il prend Clara par la main et en passant s’adresse à Amadou, le partenaire de danse de Sonia, puis se retourne vers Clara et dit :
- Si tu veux, on peut se retrouver dans la chambre d’Amadou, mon collègue qui travaille aussi à l’hôtel, nous partons devant et vous nous rejoignez dix minutes plus tard, pour ne pas attirer l’attention et être dans la discrétion.
Clara le regarde avec ses yeux remplis de désir, mais aucun son ne sort de sa bouche, alors Sonia dit :
- Ça marche pour nous et elle est où cette chambre ?
- Dans les dépendances au fond du parc, c’est la chambre sept, la porte sera ouverte et on vous attend…

Et nos deux compagnons s’en vont dans l’obscurité de la nuit, alors je me tourne vers Sonia qui avant que je parle, déclara :
- Ma chérie, je suis trempée et dans un état, je ne t’explique pas, les breuvages doivent y être pour quelque chose car je ne me suis jamais sentie avec des envies aussi fortes…
- Faut dire que tu as fait fort pendant que vous dansiez…
- Attends, il est monté comme un âne et n’arrêtait pas de se frotter sur mon pubis en dansant et quand il a mis sa jambe entre mes cuisses, je ne sais pas comment je n’ai pas joui debout sur place, ça m’a mise dans un état….
- Le mien aussi est monté comme un âne, crois-tu crois que ce soit raisonnable ? Demande Clara, ils vont nous défoncer les trous !
- Tu parles déjà des trous ce qui prouve que tu en as autant envie que moi, alors allons-y et laissons-nous les défoncer ces trous qui ne réclament que cela !
- Ah ben, elle est raide, celle-là, déclare Clara.
- En tout cas, j’espère que nos deux blacks l’ont et pour longtemps…
Il est temps de partir et de rejoindre nos deux étalons, faisant semblant de rejoindre notre bungalow, mais à mi-chemin, nous bifurquons vers les dépendances où une seule lumière brille, nos deux blacks sont là, nous attendant derrière la porte.

A suivre…