Katie

J’ai connu la légende…

Elle est là, dans ma région. Je ne peux pas louper cette occasion. Je téléphone immédiatement à Katie pour fixer rendez-vous. Ce sera le lendemain, 15h00.
Katie, c’est l’Anaconda, c’est 1m80 de courbes sublimes, c’est une bite légendaire de 24 cm qui fait la joie des culs qui l’ont rencontré.
24 cm, c’est deux de plus que ce que j’ai pris de plus gros. Malheureusement, aucune photo de l’engin n’existe. Il y a des témoignages par contre, qui donnent sacrément envie de rencontrer la donzelle.
Mon heure a sonné et j’arrive au studio de Katie. Elle ouvre la porte. Perchée sur ses talons, elle est plus grande que moi. Un bon gros cul de brésilienne, rond, ferme. Des seins énormes, deux melons déjà à l’air libre, miam miam.
Katie c’est aussi un joli sourire mais un faciès plutôt masculin, pas grave, les formes sont féminines.
Je lui dis d’entrée de jeu que je veux voir la légende en action et selon les commentaires sur les forums, la brésilienne, c’est une démonteuse dominatrice sans pitié.
« alors tu veux être ma pute »
oui
« je vais te faire crier comme une pucelle »
Elle me roule une pelle dantesque, elle enfonce sa langue dans ma bouche avec fougue et avidité. Ca promet…
Je lui remet le montant et me déshabille, puis m’assoie sur le lit. Katie est devant moi. Elle a déjà enlevé son string et sa bite est MONSTRUEUSE, bandante, veinée. 24 cm, c’est long, très long, ça fait peur. Mais ce qui fait le plus peur, c’est la largeur de l’engin. Un poignet, tout simplement.
Le pieu est face à moi
« goute salope »
Je commence à téter ce biberon, le gland est énorme, un bonbon délicieusement parfumé à la vanille et la testostérone.
Katie me file une claque légère et ordonne
« suce »
Wow, ça y va avec la brésilienne TTBM. Elle saisit ma tête et enfonce sa bite dans ma bouche sans ménagement. Elle me fait faire des va-et-vients trop profond, je crache et suis à la limite de vomir.

Elle retire sa queue et me crache dans la bouche. Une claque encore et elle me pousse sur le lit.
Elle vient s’asseoir sur ma bouche.
« bouffe mon cul, ça me fait bander encore plus dur »
Elle écrase sa rondelle sur moi. Ma langue s’enfile dans son cul. J’adore bouffer un cul, enculer avec ma langue. Je pousse au plus profond de son intimité. C’est simplement divin, délicieux. Je lèche, salive, me régale. Katie pose ses énormes couilles sur ma bouche, je les bouffe à m’en faire . Elle revient frotter son cul contre ma gueule. Je le mange avec encore plus d’avidité, écartant ses fesses de mes mains. Jamais je n’ai eu droit à un face-sitting aussi intense. Toujours accroupie, Katie replace son énorme bite dans ma bouche. Dans cette position, son serpent coulisse dans ma gorge, glisse telle une sonde. Une sensation nouvelle, inimaginable. Un tuyau de chair de 24 centimètres qui descend entièrement dans la bouche. Quand tout est dedans, Katie ne bouge plus. Elle pousse le vice à l’extrême et me pince le nez. Je suis tout simplement par un anaconda. Je bave, je suffoque. Katie maintient sa bite en moi quelques secondes, puis ressort. Je crache une salive épaisse et abondante. Katie me recrache elle aussi dans la gueule puis replonge sa bite. Je suis à nouveau étouffé pendant plusieurs longues secondes. J’ai envie de vomir.
« t’es ma pute, ma poupée, je vais te démonter, t’as payé pour ça »
Katie est super imposante, impossible de résister à ses assauts. Je suis enfin libéré mais c’est pour me prendre une série de biffles dans la gueule. Avec un gourdin pareil, je peux vous garantir que vous les sentez passer. Ca claque, elle se marre.
« avec ou sans préparation, petite pute? »
Avec, c’est clair, sinon je vais me faire déchirer le fion.
« alors tends ton cul comme une chienne »
Je m’exécute la peur au ventre, à quatre pattes. Je sens du gel froid sur mon cul, une quantité généreuse.
« tu t’es déjà faite enculée? »
« oui oui »
« Très bien »
Et je sens quelque chose appuyé sur mon cul.
C’est relativement gros déjà. Katie pousse un plug de bonne taille dans mon trou. Putain, ça pique. Elle n’y va pas par quatre chemin et me voilà envahi. Elle me donne des fessés, écarte mes fesses, fait tourner le plug.
« suce encore »
Elle s’asseye sur le canapé, je suis à genou en train de pomper Katie.
« tu veux un film de cul, chienne? »
Oh que oui!
Un porno démarre sur l’ordinateur portable. Une blonde menue est malmenée par un hardeur à très grosse bite. Bien entendu, c’est du porno 100% anal…
« ça te convient? moi ça m’inspire… »
Pluggé, dominé par Katie, en train de pomper un chiffre géant, je suis aux anges. Encore plus quand je vois la petite blond encaisser des coups de reins dans le trou du cul. Dans le film, le mec fait bien ressortir sa queue pour laisser voir un anus béant. Est-ce là le sort qu’elle me réserve?
« suce comme une chienne, pas comme une pucelle! »
Et elle s’empare à nouveau de ma tête pour explorer ma gorge. Je suis soumis par ce dard, par cette amazone gonflée de virilité.
Katie se lève et me jette sur le lit. Je suis couché sur le dos. Elle enfile une capote sur sa bite sans fin. Le plug est retiré progressivement. Je me sens un peu ouvert mais j’ai vraiment peur quand je vois le tuyau de viande à l’entrée de mon cul. Katie se lubrifie abondamment, c’est déjà ça. Et vient pointer le gland à mon entrée puis se couche sur moi. Je suis immobilisé, impossible de lutter, bouger ou fuir. Je sens le dard qui s’enfonce en moi. C’est indescriptible, c’est envahissant, douloureux, chaud, infini. Katie est encore relativement douce, elle sait qu’elle peut faire sacrément mal… Mais sa douceur n’empêche une progression lente et continue. Je ne sais pas ce qui est déjà rentré et ce qui reste à faire glisser dans mon ventre. Je tend mon cul le plus possible, m’écarte les fesses à mains. Ca y est, tout est dedans, 24 énormes centimètres de bite dans le cul. Je sens le dard qui repart, c’est encore plus incroyable, j’ai l’impression que mes entrailles sont aspirées.
C’est délicieusement intense, brûlant. Et Katie s’enfonce à nouveau, lentement, pour venir buter au fond. Comment alors de courts mouvements qui me défonce déjà le cul. Ma rondelle est étirée et mes entrailles sont poignardées. Elle me baise comme ça un bon moment, sûrement pour habi mon conduit. Katie se dresse ensuite et c’est parti pour la baise. Car avant, c’était des préliminaires… Les mouvements sont amples, c’est presque toute la bite qu’elle retire à chaque aller-venue. Amples mais pas violents, pas encore. Katie sait enculer. C’est juste délicieux. Elle pourrait continuer ainsi pendant des heures. Entre douleur et plaisir. Mais la légende entre en scène maintenant, ce sont des coups de boutoir qui partent, un bombardement de bite dans le cul. Putain, qu’est-ce que c’est hard mais vraiment HARD. Mon cul est réduit en purée comme celui de la blonde dans le film.
Et ça dure comme ça pendant quelques minutes, je hurle tellement que Katie me met une main sur la bouche.
« Pschtttt, encaisse salope »
Elle s’est saisie de mes jambes et peut désormais faire entrer et sortir toute sa longueur sans retenue. J’ai peur pour mon cul.
« tend ton cul de pucelle, à quatre pattes »
Je me place comme elle le désire et creuse bien le dos. Je sens mon cul ouvert, je n’ose imaginé l’état du truc. On verra ça plus tard…
Le gland pointe à nouveau accompagné d’une rasade de lubrifiant. Elle pousse d’un coup. Un éclair me déchire le ventre, mes jambes sont en coton.
« bien, bonne pute. maintenant on va pouvoir baiser »
Elle reste plantée au fond du trou et saisie mes hanches avec une puissance phénoménal.
« tu voulais voir la légende, hé bien tu vas la voir »
Elle encule comme une dingue, comme un marteau piqueur. Je ne sais plus comment je m’appelle.
Elle pompe sa queue en moi et ressort d’un coup sec. Elle me demande de pousser. Mon cul s’écarte et je sens ses doigts faire le tour de ma rondelle pour bien m’ouvrir.
Sur l’écran, c’est la petite blonde qui se fait dilater la rosace. Dans le studio de Katie, c’est moi… On est en plein porno hardcore. Elle rentre et sort et me fait ouvrir le cul.
« pousse! je veux voir à l’intérieur de ton cul, je veux voir le résultat de mon travail »
En fait, se laisser aller et obéir, c’est délicieux. La bite pilonne et accomplit son oeuvre et moi je suis comblé. Katie continue sa sodomie démente puis décule d’un coup.
« tu vas gouter ton cul aujourd’hui »
Elle vient fourrer sa bite dans ma bouche et c’est ma gorge qui se fait désormais défoncer. Elle alterne entre cul et bouche. C’est de la domination anale pure et simple. Du jamais vu. Elle va ensuite d’asseoir sur le canapé. Je sais ce qu’elle veut. Je vais m’asseoir sur son pieu. C’est dément. C’est moi qui contrôle la pénétration maintenant. J’y vais doucement, je veux reprendre mes esprits. Mais le répit est de courte durée, car quand Katie décide de ruer et de donner des coups de reins, je ne peux résister. Elle me démonte et je ne peux rien faire. Elle me fait sauter sur ses genoux, mais avec un pilon dans le cul. Quand je m’écrase sur lui, mon cul aspire jusqu’au fond, je n’ai plus mal, je suis juste un trou sans fond, rempli par la viande de Katie.
« c’est bientôt l’heure du goûter, ma chienne »
Elle me relance sur le lit, je ne peux, je ne veux pas résister. Katie vient se positionner sur mon torse, ses jambes bloquent mes bras. Elle arrache la capote et me fait suçoter son chibre, puis replonge en gorge. Pillonage de glotte, je ne peux rien faire pour stopper le train de chair qui se fraie son chemin. Elle sort de ma bouche et se branle frénétiquement. Et là, c’est du jamais vu, un torrent de foutre. Le giclées sont nombreuses, épaisses, fournies. Elles s’écrasent sur ma gueule, dans mes yeux. Katie dirige le jet dans ma bouche mais je suffoque. J’ai eu droit à vrai yaourt complet sur la gueule. Un yaourt légèrement salé, poivré, testostéronné.
Elle vient recueillir tout son sperme avec un doigt et me le fourre en bouche.
« avale »
« tire la langue pour me montrer »
Avaler cette quantité, c’est comme gober un oeuf. Putain la lance à incendie qu’elle a. Quelques siffles suivent, sa bite est moins dure, mais toujours immense.
« à toi de me donner ta jute »
Pas question pour Katie de me sucer ou de se laisser enculer, c’est elle qui domine.
« Branle toi »
Je me saisis de ma queue et commence la branlette. Katie vient fourrer des doigts dans mon cul détruit. Elle me fiste avec trois doigts et je peux vous dire qu’elle appuie très très fort. Elle exécute toujours ce mouvement circulaire qui dilate à fond et permet de travailler ma chair en profondeur. Elle tente les quatre doigts mais ça ne passe pas du tout. Elle retourne à trois mais pousse comme si il fallait me traverser de part en part.
« Je vais te travailler jusqu’à ce que tu jute, salope »
Sa branlette anale plus ma branlette de bite, je gicle. C’est abondant et épais mais loin de la quantité de l’Anaconda.
Je suis allongé sur le lit, vidé de sperme, vidé d’énergie.
« t’as été une bonne pucelle, une vraie pute »
Je quitte le studio chancelant. Mon cul a été terraformé par la légende.

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