Cherche Fantasmes Pour Épouse Pudibonde 8
- Jaimerai quelle me montre un sein, demande une des voix devant elle, pour nous confirmer que cest la même femme des photos. Le masque cache peut-être une supercherie.
- Il suffit de lui demander toi même, Roger.
Chantal a reconnu la voix qui avait parlé des photos. Elle est piquée dans son amour propre. Aussi sans hésiter, elle défait un bouton de plus de son chemisier, glisse une main dessous et fait jaillir un sein en pleine lumière.
- Les deux !
Cest une autre voix qui a parlé.
- Ouvre ton chemisier complètement, ajoute la voix.
Chantal sexécute. La chaleur envahit tout son corps. Elle a soif de sexe. Elle se sent offerte et disponible.
- Louis, on peut toucher ?
- Demande-lui.
- Chantal, veux-tu que je te touche ?
-
- Chantal !
Le ton de la voix de Louis est sans appel.
- Oui !
- Quoi, oui ? Ajoute une autre voix dans la pièce.
- Oui, je veux bien me laisser toucher.
Elle entend comme un froissement discret. Quelquun sort soudain de la pénombre. Elle est rassurée, elle ne le connaît pas. Cest un vieux monsieur, plutôt obèse, le visage rougeau, dégoulinant de sueur. Elle est effrayée car elle ne se sent aucune envie dêtre touchée par ce qui lui semble être un clochard. Il porte des vêtements douteux et sales. Quand il est proche, elle est prise dun haut le cur tant il ne sent pas bon. Une forte odeur deau de Cologne tente de cacher une odeur nauséabonde de transpiration et de poussière. Il lui faut quelques instants et une profonde respiration pour se ressaisir. Il lui fait face et quand elle le voit avancer une main sale vers sa poitrine elle ne peut réprimer un geste de recul. Elle se rend compte quelle a vexé le bonhomme. Son regard devient froid et méchant. Il lui saisit un téton quil pince fortement jusquà lui soutirer un cri de douleur.
- Madame est délicate. Je ne lui plais pas, sécrie le vieil homme. Il va falloir être plus docile ma poulette.
Chantal est au bord des larmes. Ces paroles sont humiliantes et elle a du mal à les accepter. Cependant, en même temps elle a envie de vivre cette débauche extrême des sens et elle en oublie toute dignité. Une voix en elle lui murmure : « lâche toi. Profite, ne pense à rien dautre quà jouir ». Immédiatement la tension qui lhabite sévanouit comme par miracle. Elle sabandonne offrant son corps aux caprices du pervers.
Dans la salle, des murmures et des ricanements se font entendre. Son tortionnaire encouragé, senhardit et se saisit de lautre pointe à laquelle il fait subir le même sort. Chantal se contorsionne sur son tabouret, balançant entre douleur et excitation. Elle ferme les yeux car rapidement elle sent monter en elle le plaisir. Plaisir conjugué par lhumiliation et la situation.
- Gorges, montre nous sa chatte.
Sans douceur, Georges abandonne les seins, ses mains se glissent entre les cuisses de Chantal et les écarte.
- Elle porte une culotte. Quelle honte Louis !
Comme elle a un geste réflexe pour protéger son intimité, Louis lui prend les mains et lui intime lordre de les placer sur la tête soffrant de cette manière aux débordements du vieux bonhomme. Ce dernier la bascule en arrière, contre le bar, obligeant Chantal à lever les genoux, les jambes toujours largement écartées. Le cochon se place de côté pour offrir à la vue de lassemblée le sexe que la culotte ne cache quen partie seulement. Elle se saisit dun bord du frêle vêtement quil écarte pour exhiber les lèvres humides de cyprine. Il dégage largement le sexe pour montrer à la salle le pubis surmonté dun fin duvet bien soigné.
La jeune femme comprend quon doit voir quelle mouille et cest la honte qui cette fois encore la submerge. Cette honte dont elle a compris quelle lui procurait encore plus de plaisir.
Dans la salle, certains des invités ont sorti leur sexe et se caressent lentement, comme pour entretenir leur plaisir. Le mari toujours caché se branle lui aussi.
Le spectacle de sa femme exhibée comme dans un marché desclaves, est sordide et en même temps dune extrême beauté. Alors, à sa grande surprise un sentiment de jalousie lenvahit. Désormais, il a compris et ne peut plus ignorer que sa belle prend du plaisir à son insu. Elle sest libérée de ses contraintes morales et de ses engagements et devoirs envers son mari. Il a soudain peur de la perdre, définitivement. Il est sur le point de révéler sa présence et reprendre sa femme quand une pulsion incontrôlée le fait jouir et éjaculer devant lui contre la porte derrière laquelle il assiste au spectacle. Il a du mal à retenir un cri tant sa jouissance est intense. Après quelques secondes pour reprendre ses esprits, le désir de tout arrêter resurgit.
Mais à ce même moment, le vulgaire gros bonhomme glisse une main entre les cuisses ouvertes de sa femme pour lui enlever le dernier rempart de sa dignité : sa petite culotte. Dans la position quelle doit maintenir, adossée au bar, le mouvement du glissement lent du fin tissu le long des jambes est dune extrême sensualité. Et il réalise brusquement que cette situation est un puissant aphrodisiaque et que déjà, à sa grande surprise, il est pris dune nouvelle érection. Tout naturellement, il renonce et reprend sa place, toujours dissimulé.
Louis est tout excité. De voir labandon de SA conquête pour le grand plaisir de ses amis. Il sait quil pourra à loisir profiter des charmes de la jeune femme avec la complicité de son cocu de mari. Aussi ce qui le préoccupe là, cest doffrir ce cadeau à ses amis. Et quel cadeau !
Le masque, un loup de velours noir cache la moitié du visage de Chantal. Elle se sent protégée mais en même temps, elle angoisse dêtre reconnue. Elle sent que lhomme qui la pelote la redresse sur le tabouret. De violent il se transforme en un homme de douceur. Dune main il lui caresse la joue, de lautre il termine de lui dégager les seins de son chemisier. Sa main qui englobe un sein est rugueuse, râpeuse même.
Chantal le voit approcher son visage du sien. Elle a du mal à réprimer un sentiment de dégoût. Lhomme est moche, vieux. Il na rien pour inspirer le désir sexuel. Son haleine est forte, puante, un mélange de tabac froid et dalcool.
Il pose ses lèvres sur la peau délicate de son cou. Elle sent son souffle chaud. Il est excité cest évident. Chantal ferme les yeux quand elle sent le contact de la langue du vieux qui se met à lui lécher le cou. Cest dégoûtant pense-t-elle. Dans la salle personne ne bronche. Puis lhomme déplace sa langue vers les lèvres de sa victime. La langue baveuse caresse les lèvres de la jeune femme. Passe er repasse, étalant sa salive. Elle se sent humiliée, honteuse de devoir subir ces attouchements. En même temps de se sentir nue devant ce parterre lexcite. Toujours cette ambiguïté !
- Cest bon Georges, tu nes pas le seul à pouvoir tester ma pouliche !
Dépité, ce dernier abandonne sa proie et regagne son siège.
- Un autre veut-il estimer la marchandise ? Demande Louis. Je vous rappelle quelle sera à celui qui nous proposera un fantasme digne de cette beauté.
Encore une insulte se dit Chantal.
Un nouveau mouvement dans la salle. Lhomme qui sapproche delle cette fois ne lui est pas inconnu. Elle narrive pas à bien savoir qui il est cependant.
Il lui prend les mains et laide à descendre du tabouret. Il lui ôte son joli chemisier bleu marine sans dire un seul mot. Elle se sent bien. Involontairement, elle bombe le torse pour mettre sa poitrine en évidence. Elle se sent désirée et cela lui insuffle des envies inconnues delle auparavant. Comme envie de se montrer et se faire désirer par les hommes.
Linvité de Louis la prend aux hanches et la guide pour monter à genoux sur le tabouret. Délicat, Louis pose un coussin pour ménager ses jambes. Le dessus du tabouret est étroit. Elle doit garder les cuisses serrées.
Lhomme qui est maintenant son maître, se place de côté et la prend par la taille. Il fait face à ses complices et lentement de sa main libre, il caresse ses rondeurs comme on flatte le flan dun animal. Un animal, oui, Chantal se sent comme une bête quon récompense pour une bonne conduite. Dailleurs les mots prononcés par son guide évoquent ce sentiment.
- Bonne bête, non ? Regardez les amis comme son cul est beau et réclame les caresses. Cette chienne sait quelle est belle. Elle sait aussi que bientôt on va la monter, la saillir. Que lon va ensemencer son ventre. Elle va recevoir des doses de foutre qui vont lengrosser.
Tout en prononçant ces mots, ses doigts remontent le long de la culière et senfoncent pour en caresser le fond du sillon. Sa main se plaque en regard du petit trou que lon devine sans le voir car ses cuisses serrées, le sillon est fermé. Le majeur de la main se détache des autres doigts et on devine facilement quil vient de senfoncer dans le fondement de la jeune femme. Le petit cri qui séchappe de sa bouche corrobore cette intrusion qui vient de la surprendre. Elle relève la tête en arrière et pousse un soupir de plaisir. Des ricanements lui parviennent de lassemblée quand le doigt senfonce plus profondément dans son cul et quil entreprend une lente branlette. On lui branle le fion se dit-elle, excitée par la vulgarité du mot. Elle se trémousse de plus belle. Par moment son maître adresse un regard de fierté à la salle comme pour signifier sa possession. Lhomme accélère sa masturbation et très vite Chantal est submergée par une onde de jouissance. Cest la première fois quelle jouit prise ainsi par son anus.
Une fois quil a considéré avoir fait ce quil souhaitait, lhomme se détache et regagne sa place.
Derrière sa porte le cocu a de nouveau éjaculé sur ses chaussures devant le spectacle offert par sa douce et néanmoins salope.
Louis invite un autre candidat à rejoindre lestrade.
(à suivre)
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