La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1187)
La Marquise esclave (suite de l'épisode N°1182) -
Dieu que jaimais cet Homme, ce Maître si merveilleux auquel javais limmense chance et bonheur dappartenir ! Le reste de la semaine se passa dans un sentiment dattente et deuphorie. Le Maître avait décidé de changer un peu la tradition, en imposant que les futurs époux qui ne devaient pas se voir, ni rester sous le même toit durant les 24 heures précédant le mariage, décida daugmenter ce temps à quatre jours. Le mardi, jour de notre retour, avant quIl ne quitte Son bureau pour aller déjeuner, jentendis Ses doigts claquer, alors que jétais empalée à travailler sur ma chaise à plug vertical. Je le rejoignis prestement et me prosternais devant Lui assis dans Son fauteuil.
- Ma chienne, cette après-midi, tu dois aller récupérer ta robe et faire les derniers essayages pour être sûre que tout va bien. Mon oncle va taccompagner. Tu devras ensuite le suivre où il voudra sans te poser de questions, et évidemment, lui obéir comme si cétait moi ! Oncle Louis est un Grand Maitre et tu dois avoir un comportement exemplaire envers Lui, mais je nai aucun doute sur ta capacité à Me faire honneur
Monsieur le Marquis dEvans se leva, tourna autour de moi, lentement, comme un vautour autour de sa proie, parfois me caressant, parfois me claquant une fesse.
- Hummm, ce cul va me manquer !
Bien, je vais déjeuner maintenant.
Et Il quitta le bureau sans un mot de plus. Je ne comprenais pas ce quIl avait voulu dire. Etant toujours à Son entière disposition, à nimporte quelle heure du jour et de la nuit, Il pouvait jouir de (et dans) mon cul aussi souvent quIl le voulait et quand bon Lui semblait. Mais, comme toujours, je savais quau moment où Il le déciderait, je saurais tout ce quIl aurait décidé de me dévoiler. Jattendis donc, comptant le tic-tac de lhorloge de Son bureau, deux minutes (cétait une règle) avant de me mettre en quadrupédie et de descendre dans le réfectoire des soumis pour avaler une pâtée toujours daspect assez repoussant mais toujours dun parfait équilibre alimentaire et calorifique.
Il monta dans la limousine à larrière de la voiture, tandis que le Majordome ouvrait le coffre dans lequel je minstallais rapidement, recroquevillée en chien de fusil. Au moment où jentendis les imposantes grilles de la Propriété, tout au fond du grand parc, souvrir pour nous laisser passer, je sentis luf vibrant se mettre en route, mais cela fut très éphémère, comme si le Maître, du moins je supposais que cétait Lui, me faisait signe en me regardant méloigner. Cela suffit cependant à mexciter et à humidifier mon sexe et étant recroquevillée, je sentais encore plus intensément lobjet connecté dans mon vagin. Plusieurs fois durant le trajet, je sentis les vibrations se mettre en route. Lintensité et le temps de fonctionnement variaient, et quand la voiture se gara devant la boutique de Monsieur Franck, je transpirai, autant par la chaleur du coffre que par les efforts que javais dû faire pour ne pas jouir. Loncle Louis maccompagna à lintérieur du magasin mais lorsque son propriétaire arriva, et après lui avoir adressé un poli et complice signe de tête, il séclipsa. Mais ce nest pas Monsieur Franck qui sapprocha de moi, mais la jeune femme de laccueil.
- Vous êtes absolument magnifique ! Plus quune princesse de conte de fée, cette robe est vraiment digne dune future Marquise et je ne doute pas que Monsieur le Marquis dEvans sera sous le charme indéniable de son épouse !...
Il sarrêta de parler et changea son regard. Ses yeux, jusque-là admiratifs de la beauté de la robe sur ma personne, se changèrent en un regard gourmand, voir carnassier quand il me lança, sur un ton autoritaire :
-
Mais quen est-il de la chienne ? Cest elle qui mintéresse, personnellement !
Comprenant ce quil voulait, jôtais rapidement mais avec précaution ma robe de mariée, la déposais délicatement sur le dossier dune chaise, puis je me prosternais, attendant patiemment.
- Bien, tu es vraiment une belle chienne, vraiment bandante !! Va donc te mettre sur cette table, là-bas, sur le dos.
Jobéis promptement. Il sapprocha de moi après avoir attrapé une sorte de harnais dans le tiroir dune commode.
- Hummm, mais tu es bien excitée dis-moi ! Cest lidée de bientôt te faire prendre comme la chienne que tu es, sur cette table qui te fait cet effet-là ? Réponds-moi salope, tu es autorisée à parler.
- Cette idée est excitante pour une chienne en chaleur, Monsieur, mais pour être tout à fait honnête avec Vous, cest surtout laccessoire niché au fond de mon sexe et que Monsieur le Marquis dEvans peut contrôler à distance qui a produit cet effet.
- Tu es ici depuis un certain temps déjà, tu dois avoir envie de jouir, petite putain ! Mais ce nest pas prévu pour tout de suite, dommage pour toi ! Et je nai pas lintention de te ménager. Javais pensé investir rapidement ta chatte de chienne, mais sachant cela, je finirai par elle, comme cela, sil prenait à mon très cher ami lidée de te le mettre en marche pendant que je moccupe de toi, ce sera encore plus contraignant pour toi, et y penser me fait bander comme un véritable taureau !
Et, prouvant ses dires, il baissa la fermeture éclair de son pantalon et en sortit son gros membre, long et épais, qui tressauta en étant libéré, se dressant fièrement droit en avant.
- Humm, mais je suis en face dune vraie chienne ! Si tu savais à quel point cela peut mexciter ! Décidément, il y en a Un qui a de la chance de posséder un tel trésor, je lenvie !
Il accéléra alors ses coups de boutoirs, ses couilles bien pleines claquant sur mes fesses. Ils étaient toujours plus puissants, plus profonds. Jétais sûre quil ressentait à travers la fine paroi séparant mes deux orifices les vibrations du jouet qui mencombrait. Je doutais de pouvoir tenir beaucoup plus longtemps. Je serrais mes muscles pour contenir mon plaisir mais cela me faisait ressentir les mouvements du sexe qui me besognait et les vibrations plus fortement encore. Mais je savais que si je me relâchais, ne serait-ce quune seconde, je ne pourrais me retenir. Jenvisageais pour la première depuis très longtemps, de supplier sans savoir si jallais demander à jouir ou à pouvoir me reprendre un peu. Ce fut à ce moment-là que les vibrations se stoppèrent me laissant un peu de répits et me permettant de retrouver un nouveau souffle. Monsieur Franck senfonça une dernière fois dun coup sec, avant de rester quelques instants enfoncé en coït anal bien profond. Je lentendais reprendre sa respiration.
- Je tavais dit la première fois que lon sest vu que je voulais profiter de tous tes orifices ! Alors ouvre la bouche en grand et surtout ne la referme sous aucun prétexte.
Il se retira alors de mon trou bien dilaté et vint fourrer son membre dans ma bouche. Il lessuya sur ma langue quil exigea que je tire au maximum. Javais le goût de mes sécrétions anales dans la bouche... Puis il empoigna mes cheveux, et comme sil se trouvait devant une pissotière, il urina directement dans ma gorge. Avaler sans fermer la bouche était compliqué, surtout quil ne cherchait pas à contrôler son jet et que javais tendance à m. Je me sentais vraiment humiliée, lesclave que jétais était dans tous ses états, excitée, considérée pour moins que rien, à me faire ainsi pisser dessus. Il se recula un peu pour sortir son membre de ma bouche et ainsi les jets durine népargnaient aucunes parties de mon visage, inondant mes joues, souillant mes cheveux, investissant de nouveau ma bouche et recommençait durant tout le temps où il se vidait la vessie. Par réflexe, instinctivement je dus fermer les yeux pour éviter le contact brûlant avec eux. Je sentais la pisse à plein nez et ainsi souillée, je ne devais pas être bien jolie à voir, puante et trempée durine dont je gardais son goût piquant dans la bouche. Je nétais plus quun urinoir et cela mexcitait davantage
(A suivre
)
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