Toi Et Moi... (Partie 1)

Tout commence ce jour froid de février.
Une soirée entre amis, beaucoup d'alcool, et surtout, toi : Ca s'annonce plutôt bien.
L'alcool monte rapidement, les musiques s'enchaînent, et je me retrouve (comme par hasard) dans un coin, près de toi.
La boisson me pousse à me rapprocher, encore et encore. Je finis par prendre mon courage à deux mains, et devant tous nos amis, je t'embrasse comme jamais je n'ai embrassé quelqu'un. Tu réponds à mon baiser amoureux, et au bout de quelques minutes de caresses, de sourires gênés, je te tire par le bras jusqu’aux placard à balais.
Ce soir là, il ne m’en fallait pas plus : Il me fallait juste te convaincre de me donner une chance d’entrer dans ton lit, après tous ces mois de courses acharnées pour obtenir tes faveurs.
Une fois la porte fermée, un regard gêné et un sourire, je m’accroupis devant toi sans te quitter des yeux malgré ma timidité. Mes mains passent lentement sur ton torse, sous ta chemise. Je profite de chaque seconde, ne sachant encore si ce sera la dernière fois que je pourrais te toucher de la sorte. Je caresse et embrasse ton torse, centimètres par centimètres, tandis que mes mains cherchent la boucle de ta ceinture.
Je la défais et rapidement ton jean tombe sur tes pieds. Je te quitte des yeux pour admirer la bosse qui déforme ton caleçon, heureuse de te faire de l’effet. Tu caresses mon visage et l’attire vers toi pour déposer un baiser tendre sur mes lèvres. Dans un sourire, je comprends le message, et reprends donc ce que je faisais juste avant ; j’att ton caleçon et le fait lentement glisser le long de tes jambes, tout en embrassant celles-ci avec passion. Mes mains passent partout, y compris sur tes fesses que j’ai tant admiré dans tes pantalons, les mois précédant.
Je lève les yeux et te voit soupirer de plaisir, ce qui fait battre mon coeur un peu plus vite, et déclenche ces fameux bouillonnements dans mon estomac. Ma main caresse ton ventre et l’autre le haut de tes cuisses, lentement, pour faire monter la pression de ton corps.

Tes mains se baladent sur mes cheveux, sans brutalité, au contraire, avec plein de douceur. Du bout des doigts, presque timidement, je commence à caresser ton gland, luisant et perlant. Je le regarde presque avec admiration, dressé devant moi.
J’enserre maintenant ton sexe durcit par le plaisir, et fait des vas et viens lents et réguliers. Je lève mes yeux vers toi et attend de croiser ton regard pour toucher du bout de la langue ton pénis qui ne demandait que ça. Tu te mords la lèvres et ta main se raidit un peu sur ma tête. J’ai un sourire de satisfaction et commence à lécher circulairement ton gland, puis je pars du bout jusqu’à la base, en oubliant aucun centimètres. Pendant ce temps là, mon autre mains caresses tes deux boules avec fermeté, ton corps se raidit et ton souffle s’accélère légèrement.
Au bout de quelques minutes, je daigne enfin prendre ton vît en bouche : Tu frissonnes et lâche même un petit gémissement. Je pince mes lèvres délicatement autour de ton gland, tandis que mes mains sont pour l’une sur tes boules, et l’autre caresse de la base jusqu’à ma bouche ton pénis devenu vraiment dur.
Je lève les yeux vers toi et croise ton regard enflammé, je continue ce traitement pendant de longues minutes. Quand je te sens à bout de force de lutter contre la vague de plaisir, je lâche tes boules et agrippe tes hanches, et entame une gorge profonde. Ma langue chatouille tout ton vît, ma bouche le gobe en entier. Des petits bruits de sucions se font entendre, à mon plus grand plaisir.
Tu t’accroches un peu plus fort à mes cheveux, et tu cherches mon accord des yeux. Je maintiens ton regard et te fais comprendre que je veux te goûter : Tes hanches se balancent d’avant en arrière comme lors d’une pénétration. Ton pénis entre et ressors de ma bouche affamée, et je te laisse à présent me apprécier le rythme. Avec tendresse tu caresses ma joue et, alors que ton vît touche le fond de ma gorge, tu pousses un grognement de plaisir et je sens ta semence couler le long de ma gorge. Je te branle dans ma main au rythme de tes jets, et quand le dernier semble se terminer, j’avale tout ce que tu m’as offert avec amour.
Je lèche ton pénis pour le nettoyer de ma bave, et m’appuie contre le haut de ta cuisse, à bout de souffle. Tu te baisses et entoure mes épaules de tes bras, et tu me tires pour me relever. Un sourire béat est flanqué sur ton visage, tu me regardes avec délectation et une lueur de bonheur se lit dans tes yeux. Tu m’attires vers toi et m’embrasse le front, puis la joue, et enfin, les lèvres. Je m’écarte pour te rhabiller et tu me prends encore dans tes bras, en me serrant fort contre ton torse. Je profite de cet instant délicieux, je l’ai gravé à jamais dans ma mémoire. Heureusement, tu m’as donné d’autres souvenir depuis ce jour...