Les Deux Soeurs
Sandrine et Agnès avaient beau être soeurs, elles ne se ressemblaient pas du tout. L'une était grande, mince et blonde, l'autre plutôt petite, boulotte et châtain. Il faut dire qu'elles étaient demi-soeurs : leur mère était la même, mais pas le père. Elles n'avaient que trois ans d'écart, Sandrine étant l'aînée avec ses 45 ans, ce qui lui conférait une légère autorité sur Agnès, forgée sur des années de vie commune, un peu bouleversées par une filiation compliquée. Mais elles s'étaient pourtant toujours bien entendues. Agnès avait bon caractère et passait facilement sur les excès de son aînée, notamment pendant l'adolescence où Sandrine avait brûlé la chandelle par les deux bouts alors qu'Agnès évoluait sagement. La blonde, après une jeunesse mouvementée, avait fini par se caser avec un opticien et appris le métier avec lui tandis qu'Agnès entreprenait des études de documentaliste. Deux univers totalement différents, à leur image.
Par la suite, Sandrine avait divorcé sans même avoir pris le temps de faire un mais continué dans l'optique, à son compte. Active, dynamique, entreprenante et gagnant bien sa vie, sa sexualité avait suivi la voie du libertinage car elle ne souhaitait plus s'attacher à un homme. De son côté, Agnès était restée célibataire après un chagrin d'amour qui l'avait profondément marquée. Ses liaisons étant rares, elle était devenue une adepte régulière de la masturbation à l'aide d'un gode, qui compensait difficilement l'absence de relation charnelle. Elle enviait sa soeur pour sa liberté en matière sexuelle mais ne se sentait pas en mesure de l'imiter, par timidité.
Pourtant, un jour, alors qu'elle passait un week-end ensemble, Sandrine la questionna :
- Dis-moi, tu en es où dans ta vie intime ? Tu n'as pas d'amant, vraiment ?
- Ben non.
- Et ça ne te manque pas ?
- Je m'y suis faite. Je suis bien comme ça.
- Ne me dis pas que tu n'as pas de besoins, pas d'envies. Tu es encore jeune.
- Je me fais du bien toute seule, si tu veux tout savoir.
- Moi aussi, ça m'arrive, mais un homme, un vrai, c'est quand même autre chose, non ?
- Je sais bien mais que veux-tu, je ne suis pas miss monde.
- Ta ta ta. Tu es encore très désirable et si tu voulais vraiment, tu aurais souvent un mec dans ton lit. Tu ne rêves jamais de bite ?
- Euh... si bien sûr.
- Ben alors, tu vois. Il faut que tu te secoues. Il y a combien de temps que tu n'as pas tiré un coup ?
- Oh, alors là... Cela doit bien remonter à six mois (Agnès se souvint fugitivement d'un stage où elle s'était fait draguer par un collègue d'une autre ville, s'était donnée à lui avec un plaisir certain et elle en rêvait encore la nuit).
- Six mois ! Mais c'est une éternité. Bon écoute, je vais te proposer un truc, c'est qu'on parte en vacances ensemble. Cela fait des années qu'on ne l'a pas fait. Je vais réserver un appartement au bord de la mer. Je connais une station où je vais souvent et où j'ai mes relations. Tu vas voir, on va bien s'amuser. Alors, qu'en dis-tu ?
- J'avais prévu un voyage organisé mais bon, pourquoi pas. Partir avec toi, ça me plait bien.
- Alors c'est dit, je m'occupe de tout.
Et les deux soeurs se séparèrent sur cette perspective.
********
Deux mois plus tard, Agnès sortait de la gare de la station avec sa petite valise à roulettes. Sandrine, qui était sur place depuis une semaine, l'attendait. Agnès découvrit sa demi-soeur avec étonnement :
- Que tu es bronzée ! On voit qu'il a fait beau.
- Exact. Plage presque tous les jours dans la journée et sorties le soir en boite ou ailleurs. Un beau programme. Mais toi alors, qu'est-ce que tu es blanche ! On va remédier à ça.
Les deux femmes prirent possession du logement et dans la foulée, mirent le cap sur la plage.
- On va marcher un peu dans le sable mais rassure-toi, ce ne sera pas long et là au moins, on sera tranquilles.
Après avoir escaladé une petite dune, les deux femmes découvrirent l'étendue marine ainsi que la plage, immense, remplie de baigneurs mais de façon plus espacée que dans la station. Tout en descendant la dune, Agnès fit une constatation qui la stupéfia :
- Mais... Tout le monde est à poil ici.
- Eh oui, c'est une plage naturiste.
- Mais j'ai un maillot, moi. Je l'ai même acheté exprès.
- Tu peux le garder dans ton sac, ton maillot. Ici, tout le monde se met à poil, sans exception.
- Mais... je n'ai jamais fait ça.
- Raison de plus. Tu verras, c'est super.
Après quelques dizaines de mètres sur la plage, le duo rejoignit au bord de la dune deux couples entièrement nus et une jeune femme tout aussi nue qui, visiblement, les attendaient.
- Mes amis, je vous présente ma soeur Agnès, qui vient d'arriver.
- Bonjour Agnès, répondirent les deux couples en choeur.
Sandrine fit les présentation :
- Agnès, voilà Corinne et son mari Christophe, Martine et son mari Lionel et à côté, c'est Marjorie qui est célib comme nous deux.
Un rien empruntée, Agnès fit la bise à tout le monde tandis que Sandrine se déshabillait, dévoilant un corps déjà intégralement bronzé. A contre-coeur mais évitant de le montrer, Agnès se débarrassa de sa robe et de son bikini dessous, libérant ses rondeurs épanouies. Elle eut l'impression que tout le monde regardait son sexe et ses abondants poils pubiens. Mais elle constata vite qu'il n'en était rien. Les amis de Sandrine faisaient comme si elle était toujours habillée et cela la rassura. Seule sa peau blanche la distinguait dans cette petite collectivité déjà brune.
Corinne, une belle blonde en fin de quarantaine, aux poils pubiens rasés, l'interrogea sur son voyage.
- Tu as vraiment de très beaux seins, comment tu fais pour qu'ils tiennent aussi bien ? Tu mets de la crème ? Tu fais de la gym ? Moi, les miens ont tendance à tomber alors qu'ils sont moins gros que les tiens.
Agnès répondit qu'elle ne faisait rien du tout mais elle se sentit flattée et rassurée par cette question.
Au bout d'un petit moment, tout le monde décida d'aller se baigner. Agnès fut surprise par la fraîcheur de l'eau et mit plus de temps à y entrer que les autres, qui batifolaient déjà. Mais elle sentit sa peau s'affermir et ses seins lourds devenir encore plus agressifs, attirant les regards de quelques mâles voisins. Elle en fut légèrement troublée.
*******
Puis tout le monde regagna les serviettes. Tantôt sur le dos, tantôt sur le ventre. Agnès, un peu abrutie par l'air, le soleil, le sel et le voyage, sommeillait sur le côté. Sur les conseils de Sandrine, elle avait enduit son corps de crème solaire. "Sinon, tu seras comme un homard ce soir", lui avait dit sa demi-soeur. Ouvrant un oeil, elle tomba sur une scène qui la figea. Allongés à quelques mètres, Lionel et Martine se masturbaient mutuellement. Stimulé par la main de son épouse, l'homme présentait un pénis d'un diamètre impressionnant tandis que son doigt titillait le clitoris de Martine. Ils procédaient presque nonchalamment sans éveiller la moindre attention.
Agnès choisit de se retourner de l'autre côté mais ce fut pour tomber sur un spectacle encore plus étonnant. Corinne était en train de tailler une pipe à Christophe, allongé les mains sous la nuque, visiblement béat.
- Il vaut mieux baiser sur le sable que dans l'herbe, on ne risque pas de choper une tique...
*********
Le soir, tout le monde se retrouva dans une boite de nuit à la mode. Les jeunes étaient nombreux, mais les adultes aussi. Sandrine avait l'air de connaitre tout le monde et Agnès n'en finissait plus de serrer des mains et de faire des bises. Sa soeur entra en grande conversation avec deux hommes à l'air sportif et décontracté, deux plaisanciers lui indiqua Marjorie. "Sandrine les connait bien et moi aussi" lui dit-elle avec un petit clin d'oeil. Les deux couples ne rechignaient pas à la danse et entrainaient Agnès qui finit par déclarer forfait et demander à rentrer. Le soleil, la mer, le voyage, les émotions diverses, cela faisait beaucoup pour une première journée. Elle s'endormit la main entre les cuisses en pensant au cul brun et poilu de Lionel à la plage et à ses circonvolutions entre les cuisses de Martine se pâmant. Cette pensée la fit jouir et elle sombra dans le sommeil les doigts poisseux.
Le lendemain matin au petit-déjeuner, Agnès fut très étonnée de ne pas voir Sandrine dans l'appartement. Elle apparut finalement une heure plus tard et courut prendre une douche. Une fois lavée, elle apparut plus pimpante. Agnès l'interrogea :
- Ne me dis pas que tu sors de boîte...
- Idiote, il est dix heures. Non, j'ai passé la nuit chez Marjorie.
- Et pourquoi pas ici ?
- Ben tiens, parce que je ne voulais pas te déranger. Avec Marjo, on a baisé avec les deux mecs que tu as vu hier soir, on s'est fait une belle partie à quatre.
- A quatre ?
- Ben oui, à quatre. Une partouze si tu préfères, un quatuor quoi.
- Tu... tu es une partouzeuse ?
- Eh oui, ça m'arrive parfois. Il ne faut pas mourir idiote et tu devrais t'y mettre aussi.
- Jamais je ne pourrais faire ça.
- C'est ce que je disais aussi à une époque. Je ne dis pas que je ferais ça tous les jours mais de temps en temps, ça permet de faire péter les hormones. Tu ferais bien de t'occuper des tiennes au lieu de jouer les pimbêches. Tu vas vieillir avant l'âge, d'ailleurs je vois déjà quelques cheveux blancs, dit-elle en désignant un fil argenté dans la chevelure châtain de sa demi-soeur.
- Pas la peine de me le rappeler, je le sais. Dis-donc, tes amis, ils sont gonflés, à ce que j'ai vu hier à la plage.
- Ils sont très libres, comme moi. Très chauds aussi. Tu vas apprendre à les connaitre, mais ils sont super sympas aussi. Mets-toi dans l'ambiance et tu passeras de super vacances.
********
Les trois jours suivants se passèrent sur le même mode. Le beau temps aidant, Agnès voyait sa peau passer de l'ivoire au caramel sans la moindre trace de maillot. Devant la glace, elle se tournait, se retournait et s'admirait, prenant confiance dans son corps. Du coup, celui-ci prenait de plus en plus d'importance et manifestait des exigences de plus en plus impérieuses. Une nouvelle scène à la plage lui fit prendre conscience qu'il lui fallait absolument lui "donner à manger". Le petit groupe s'était réuni comme d'habitude à distance respectable des autres baigneurs. Comme cela était déjà arrivé, Christophe avait glissé un doigt dans la fente de sa femme et la masturbait doucement en somnolant, presque machinalement. Corinne, également somnolente, lui avait rendu la pareille en branlant son pénis. Sandrine, Marjorie, Agnès et l'autre couple ne prêtaient qu'une attention discrète à ces caresses de leurs amis quand ils entendirent Corinne lâcher d'une voix rauque :
- Baise-moi, j'ai envie.
Alors, Christophe, pénis tendu, se positionna entre les cuisses ouvertes de la belle blonde (qui avait attaché ses cheveux à la diable, comme elle le faisait toujours à la plage) et la pénétra sans coup férir. Aussitôt, au commandement de Sandrine, leurs amis firent cercle autour du couple afin de les protéger des regards, autant que faire se pouvait. Placée sur le côté à quelques centimètres de l'accouplement, Agnès avait vue à la fois sur le visage des deux protagonistes ainsi que sur leurs sexes joints, comme si elle participait à leurs ébats. Elle ne perdait pas une miette de leurs expressions, de leurs rictus, de leurs sourires mais aussi du long pénis et de son habile fonctionnement dans le clapotis féminin. La présence toute proche de leurs amis avait l'air d'exciter particulièrement Corinne et Christophe d'autant qu'ils ne se contentaient pas tous d'observer. Placée derrière, Martine flattait les couilles de l'homme pendant que Lionel titillait les pointes de seins de la femme. Le choc des peaux, les halètements de l'homme et les gémissements de la femme, le tout sous le soleil radieux, provoquèrent chez Agnès une irrésistible envie de se masturber. Lorsque Christophe mit les chevilles de sa femme tout contre ses oreilles, l'angle de la pénétration et le couinement sonore qu'il provoqua déclenchèrent chez l'observatrice une émotion telle qu'elle juta sous son doigt. Sa confusion s'évapora quand elle constata que Marjorie se branlait elle aussi avec frénésie de l'autre côté du couple, tout comme Lionel, à la queue proéminente, que Corinne avait brièvement sucée dans la frénésie du coït. Quand l'orgasme la fouetta, suivi aussitôt de l'éjaculation de Christophe, la tension retomba et le petit groupe se détendit, un peu sonné, avant de rejoindre les vagues. Mais la décision d'Agnès était prise : il fallait qu'elle baise, et le plus tôt serait le mieux. La masturbation, ras le bol.
*******
Depuis son arrivée, Agnès était sortie tous les soirs avec sa demi-soeur et ses amis. Sandrine l'avait présentée à beaucoup de monde, notamment des hommes. Elle lui avait conseillé de mettre son corps en valeur pour ces soirées :
- Tu as de beaux nichons, montre-le au lieu de les cacher.
Du coup, Agnès ne sortait plus sans un profond décolleté et nombre d'hommes plongeaient les yeux dans son sillon mammaire généreusement exposé. Mais aucun n'attirait vraiment son attention. Elle les trouvait souvent lourds et ne se voyait pas passer la nuit en la compagnie de l'un ou de l'autre. Jusqu'au soir, précédant la scène de la plage citée plus haut, où les deux amants de Sandrine et Marjorie arrivèrent avec leur matelot, un jeune métis dont le visage fin et le corps souple émurent Agnès. Malgré le bruit, elle parvint à nouer conversation avec lui et le fit parler de son travail. Elle promit de lui rendre visite sur le bateau. Et en revenant de la plage où son corps était entrée une nouvelle fois en ébullition, elle décida de se rendre au port pour rencontrer le métis, prénommé Corentin.
Elle arriva en mini robe à dos nu, les seins en liberté sous la toile légère. Corentin nettoyait le pont et sourit en voyant arriver la plantureuse quadragénaire. Il avait fait une touche, c'était clair. Les rondeurs en mouvement sous la robe le firent rapidement triquer. C'est qu'il n'avait pas tous les jours une fille à croquer. Certes, la femme qui lui faisait face avait presque vingt ans de plus que lui mais elle n'en était pas moins désirable et, supposait-il, expérimentée. Elle l'affola encore un peu plus par ses évolutions sur le bateau, tantôt penchée en avant en faisant balloter ses seins et remonter sa robe au ras des fesses, tantôt s'accroupissant en écartant les jambes sur un slip noir (en fait, un string qu'elle avait acheté la veille en triple exemplaire, sur le conseil de Sandrine), tantôt le frôlant de son buste épanoui. De son côté, Agnès avait focalisé sur un short jean particulièrement bien rempli, devant comme derrière. Elle bouillait et s'efforçait de ne pas le montrer. L'heure du dîner approchant, ils décidèrent d'aller manger une pizza ensemble. Le repas fut un mélange de décontraction et de tension. L'un et l'autre ne pensaient qu'à une chose : baiser ensemble. Mais ils donnaient le change, à la fois pour ne pas aller trop vite en besogne et pour prolonger le désir. Quand, à la sortie du restaurant, Agnès prononça d'une voix sourde "On va chez moi ?", le jeune homme répondit par un sourire entendu.
*******
L'appartement était vide en l'absence de Sandrine et Agnès entraina le jeune homme dans sa chambre, prenant soin de fermer la porte qui, cependant, n'avait pas de clef. Tous deux basculèrent illico sur le lit. Corentin eut tôt fait de visiter l'intérieur de la robe et Agnès de tirer sur la fermeture éclair du jean d'où jaillit une tige incroyablement longue et fine, à l'image des autres membres du jeune matelot. Celui-ci se débarrassa prestement de son vêtement (il ne portait rien dessous) et de son tee shirt, apparaissant entièrement nu. Agnès fut aussitôt éblouie par la beauté de ce corps. Jamais elle n'avait fait l'amour avec un mec aussi bien gaulé. Cette chance inouïe, elle avait bien l'intention de la savourer au maximum. De son côté, le matelot était impatient d'enfiler cette chair dense et juteuse. Les préliminaires furent vite expédiés et dès que la capote fut posée, Corentin rua littéralement entre les cuisses grandes ouvertes d'Agnès, qui à vrai dire était aussi impatiente que lui. Un coït sauvage s'engagea entre deux corps aussi affamés l'un que l'autre. Pénétrée en profondeur, Agnès hululait de plaisir, les talons plantés dans les reins de son jeune amant lequel se régalait de la houle des seins lourds de sa partenaire à chacun de ses vigoureux coups de boutoir. Jamais il n'avais baisée une nana avec des nibards pareils. Agnès craignit alors qu'il n'éjacule prématurément et tenta de le calmer :
- Doucement, doucement, ne pars pas trop vite.
- T'inquiète, je maîtrise. Retourne-toi.
Il la prit en levrette, se régala de ses deux globes charnus qu'il empoigna, tout en besognant découvrit son anus en écartant les fesses et décida de la sodomiser. Trop de filles refusaient et cette occasion lui semblait bonne. Lorsqu'il posa son gland sur l'orifice, Agnès se retourna vers lui :
- Tu veux me prendre par là ?
Corentin acquiesça et vit avec satisfaction la quadragénaire creuser les reins pour faciliter son introduction. Il s'engagea avec précaution, provoqua un petit gémissement mais dès qu'il fut totalement engagé, sa partenaire participa activement. Elle venait même à sa rencontre en manifestant de la voix son plaisir avec des mots d'une surprenante crudité où il était question de bite et de couilles. Il était tombé sur le coup du siècle et glissa une main par en dessous pour en récompense lui pétrir un sein et accompagner ses ballottements. Ni l'un ni l'autre, trop occupés qu'ils étaient, n'entendirent la porte s'ouvrir légèrement. Sandrine, alertée par les bruits de l'amour, avait glissé un oeil sur le lit et découvert la position explicite du couple. "Agnès se fait enculer par ce canon", constata-t-elle, époustouflée. Et d'assister le plus discrètement possible à la suite des ébats, en voyeuse.
La suite lui montra que sa demi-soeur n'était pas aussi sexuellement attardée qu'elle le croyait. Après que le jeune homme se fut retiré de son tréfonds et eut changé de préservatif, Agnès se mit à le chevaucher avec frénésie, donnant à son bassin une amplitude de mouvement laissant supposer une profonde pénétration. Elle se pâmait en caressant le torse superbe de son amant tandis que celui-ci lui pétrissait les seins, les soupesant, les empaumant, les titillant. Puis elle se mit sur ses pieds et se laissa tomber à plusieurs reprises sur la bite avec un bruit sec, les yeux dans ceux du jeune homme, les nichons tressautant à chaque impact. Cette position fatigante mais ô combien jouissive édifia définitivement Sandrine derrière sa porte entrouverte : sa demi-soeur était bel et bien une baiseuse. Elle avait bien caché son jeu, la coquine.
Puis le jeune homme la renversa et la prit en travers du lit, les bras sous les genoux. Sandrine ne voyait plus que son joli petit cul et ses couilles battant la chamade. Elle mouillait abondamment et se retint de ne pas aller rejoindre le couple pour participer à leurs ébats qui, du reste, arrivaient à leur terme. Corentin mitrailla Agnès de ses coups de bite et les grognements de l'un se mêlèrent aux braillements de l'autre pour un orgasme quasi simultané qui les laissa pantelants. Sandrine se retira discrètement, complètement chamboulée, le bas-ventre en feu. Pour une fois qu'il n'y avait pas un mec dans son lit... Ce n'était vraiment pas le jour. Ou plutôt la nuit. Dans sa chambre, elle entendit le couple rire dans la salle de bains et retourner se coucher. Visiblement, ils n'en avaient pas encore fini avec leur nuit torride. Elle s'endormit la main entre les cuisses. C'était son tour de se masturber.
(A suivre)
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