La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1188)
La Marquise esclave (suite de l'épisode précédent N°1187) -
Je nétais plus quun urinoir et cela mexcitait davantage
Quand il eut fini de se soulager, il me détacha et exigea que je nettoie tout ce qui avait pu sécouler sur la table ou sur le sol. Pendant ce temps, il avait enlevé ses chaussures et son pantalon, pour exiger ensuite que je me mette en levrette par terre, ma tête baignant dans une petite flaque de pisse, que je navais pas eu le temps de nettoyer de ma langue, pour me prendre comme une vulgaire chienne des rues à même le sol. Lhumiliation était totale, lodeur de lurine me remontait dans les narines. Il menleva, avant de pénétrer ma chatte trempée, luf qui était couvert de mes sécrétions vaginales et me le fourra dans la bouche. Ne sétant pas vidé encore les bourses, il était toujours aussi gonflé, dur et viril par une érection impressionnante et il accéléra très vite ses mouvements, senfonçant régulièrement, de manière cadencée. Si la courte pause nettoyage du sol mavait permis de faire descendre un peu la pression dans mon sexe, sa façon de me baiser la fit très rapidement remonter, sans toutefois mamener à couiner. En tout cas pas avant quil ne se vide en moi par de longs jets saccadés de sperme chaud ponctués de longs râles de jouissance ininterrompus quil lâchait sans vergogne. Puis il se retira sans avoir reçu lautorisation de jouir pour ma part ...
- Jai pris un immense plaisir à te posséder aujourdhui, salope, alors je vais te récompenser. Mets-toi sur le dos, et écarte largement les cuisses ! Même si cela texcite, je ne veux pas entendre le moindre son, sinon tu seras sanctionnée ! Tu vas avoir lautorisation de jouir, mais tu devras attendre mon ordre !
Je pris la position exigée, et il vint se placer entre mes cuisses. Il commença par me branler le clito de ses doigts, puis il se pencha en avant, jusquà ce que sa langue ne latteigne à son tour. Sa langue était agile, ses doigts, qui investirent ma chatte, létaient également.
- Suis-moi !
Comme nous étions en ville, jeus le droit de monter à larrière du véhicule, une petite citadine, pratique pour circuler en ville et que le Maître avait prêté à son loncle pour quelques jours. Et cest lui qui conduisait. Il memmena dans un petit village tout proche, dans lequel il avait loué une maison. Sans un mot, il mouvrit la portière et je le suivis jusquà lintérieur. Il referma la porte derrière moi, me contourna et me regarda droit dans les yeux, avec le même regard Dominateur que son neveu, un regard quon noublie pas, quon ne peut pas oublier, profond, pénétrant, puissant de Dominance et instinctivement, je baissais les yeux.
- Jai plusieurs choses à te dire, mais avant reprends ta place !
Je me déshabillais donc rapidement puis me prosternais, attendant la suite.
- Jusquà samedi, jour où tu tuniras à mon neveu, nous allons rester tous les deux ici.
Et sur ces mots, il quitta la pièce et entra dans ce que je me doutais être une chambre. La demi-heure quil mavait laissée correspondait au temps quil me restait avant de préparer le diner. La maison nétait pas très grande, mais elle navait pas été très bien entretenue et je pus voir la quantité de travail qui mattendait pour le lendemain. Loncle Louis tenait un ranch de lautre côté de lAtlantique, ça je le savais. Mais jappris lors de mes séances dentrainement que cétait un ranch particulier. Ce nétait pas des animaux quil élevait mais des esclaves humains tous émérites dans le domaine du ponyplay ou pony-girl, pony-boys ! Un des exercices que jeus donc à faire consistait à apprendre à marcher comme un cheval de parade.
Durant les repas, quand je nétais pas occupée à le servir je devais rester sous la table à le sucer, peu importe la vigueur de son érection, et quand arrivait le dessert, il me déposait une assiette au sol pour que je puisse également me restaurer. Quand je faisais le ménage, régulièrement, il passait me voir, et sans que je puisse minterrompre dans mes tâches, il me fouettait durant des temps variables. Peu importait le moment de la journée ou de la nuit, je devais parfois tout arrêter de mes activités pour lui servir de vide-couilles ou durinoir. Je retrouvais des traits communs avec le Maître. Tous deux étaient très exigeants, sans pour autant demander des choses impossibles, tout en nous poussant à nous dépasser pour Leur Satisfaction. Parfois la nuit, je sentais ma laisse tirer pour me sortir de ma niche et le soulager de maintes façons différentes, Ainsi il me prit à tous moments par tous les orifices, soit sur la pelouse devant ma niche ou durant que je fis la vaisselle, debout appuyée à lévier, soit en levrette du temps où je frottais le carrelage à quatre pattes, sur une table, en tout lieu de la maison, etc, etc
Je ne compte donc pas les nombreuses saillies. Je fus parfois autorisée à jouir et dautre fois, nullement, cétait toujours selon son humeur de moctroyer du plaisirs orgasmique ou pas
Si vivre ici ces quelques jours étaient respecter une tradition et obéir au Maître, jétais tout de même impatiente de revenir au Château ! Pas que je néprouvais du plaisir à être ce que jétais, mais tout simplement parce que Son propriétaire me manquait, ma vie à Ses pieds me manquait ! Et je savais que jy retournerai pour que ma vie change.
Avant que nous partions, jeus lautorisation de déjeuner à table, après que loncle Louis eut fini, et de prendre un copieux petite déjeuner. Je fis le trajet du retour, nue dans le coffre, unique vêtue de mon collier desclave MDE. Javais le cur battant. Jétais si impatiente de vivre cette journée, mi vanille, mi D/s
si impatiente de Le revoir
(A suivre
)
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