Brainstorming Coquin

Il était tout juste 23h45 lorsque je levais enfin le nez de mon écran d’ordinateur.
Cette présentation m’avait pris des semaines et demain, était le jour J.
La nouvelle responsable du département communication venait sur nos locaux parisiens pour examiner les présentations de l’équipe et choisir quels collaborateurs prendront en charge le plus gros budget de l’agence depuis plusieurs années. Chargée de communication depuis 2.5 ans, je dois encore faire mes preuves dans cette agence car la concurrence y est rude et sans pitié.
07h45, la sonnerie de mon portable me sort immédiatement d’un sommeil léger et agité.
Une bonne douche, un make-up léger mais soigné, je bloque quelques instants devant ma penderie pour le choix de ma tenue. Jupe, robe pantalon…pas trop stricte ni trop décontracté… j’hésite. Finalement j’opte pour une jupe mi- longue, très près du corps en cuir noir et pull cache cœur qui dévoile ce qu’il faut de poitrine pour être sexy sans être vulgaire ou aguicheuse. J’att une inconditionnelle paire d’escarpins, et dévale les escaliers. Pour la coiffure, je n’ai pas besoin de faire grand-chose, il me suffit d’entortiller ma longue chevelure châtain doré en un chignon du bas duquel j’arrache quelques mèches ici et là. Un petit déjeuner vitaminé, fruits et céréales, mon PC, mon présentoir et me voilà partie pour une journée de folie. Jamais je n’aurais imaginé à quel point elle allait être mémorable !
J’arrive devant la tour du bureau, peu avant 9h00. Je suis en avance j’aurai donc le temps de peaufiner encore un peu ma présentation de 10h00. Je m’engouffre dans l’ascenseur quand quelques secondes avant que les portes ne se referment totalement, une main soigneusement manucurée s’interpose. J’appuie sur le bouton d’ouverture pour qu’elle puisse monter.
- Ouf ! C’était moins une, dit-elle essoufflée.
Je souris avec politesse tout en regardant avec attention cette amazone. Assez grande de taille, elle porte un tailleur pantalon ¾ slim avec des escarpins vertigineux noirs vernis.

Sa petite veste cintrée, laissait apparaître un joli débardeur fluide blanc en soie. Il émanait de cette femme, un sexappeal et une assurance folle.
- Quel étage ? Demandais-je
- 4ème, comme vous visiblement, me répondit-elle d’un ton amical.
Les portes s’ouvrent au 4ème. Je traverse l’open space et me dirige vers mon box en saluant au passage, quelques collègues agglutinés devant la machine à café. Elle, prend la direction opposée vers le bureau du PDG au fond du couloir, d’un pas assuré. Une commerciale de l’un de nos prestataires, sans doute, me dis-je sans grande conviction, avant de vaquer à mes occupations.
Samuel, mon acolyte des débuts dans la société s’empresse de venir me rejoindre :
- Alors poulette ça va ? T’es prête pour tout à l’heure ? Me demanda-t-il
- Je suis hyper stressée, j’ai vraiment envie de décrocher ce projet ! Je bosse comme une dingue depuis que j’ai commencé ici et on me refile toujours les petits dossiers de merde dont personne ne veut, marmonnais-je.
- T’inquiètes ! De ce que j’ai vu, tu vas tout déchirer j’en suis certain, me rassura-t-il en me gratifiant d’un petit clin d’œil dont il a le secret.
Sam, c’est le collègue idéal. Employé dans la boîte depuis 3 ans, il est sympa, drôle et toujours prêt à filer un coup de main lorsqu’il y a un gros coup de rush. Une crème.
La cerise sur gâteau, il canon. Cheveux coupés courts, un teint doré, une barde de 3-4 jours bien entretenue, des lèvres pulpeuses et des yeux verts superbes. Les filles de l’étage se dandinent et gloussent comme des dindes lorsqu’il est dans le coin et je suis e de constater que notre amitié avait sacrément fait chuté ma côte de popularité auprès de la gente féminine.
Il est vrai qu’à mes débuts, il nous est arrivé quelque fois de veiller tard sur un dossier et…que ça dé une fois ou deux. Juste quelques baisers par-ci par-là mais rien de plus. Cependant, après plusieurs tentatives, on avait décidé d’en rester là et d’être simplement amis.
9h45, l’heure fatidique approche. Je me dirige en salle de réunion. Sam est déjà présent et me fait un signe pour m’assoir à côté de lui. Une fois au complet, la porte s’ouvre et tous les regards se tournent vers l’entrée.
La femme de l’ascenseur.
Je ne peux m’empêcher de remarquer l’effet qu’elle provoque auprès de l’assemblée. Hommes et femmes, sommes tous, subjugués. Elle avait ouvert sa veste pour être un plus à l’aise et sa silhouette élancée, fine et incroyablement sexy, nous avait tous anesthésiée.
- Bonjour à tous, je m’appelle Sophie, j’suis la nouvelle responsable du pôle « Comm » et suis ravie de vous rencontrer ! Je vous propose de faire rapidement un tour de table pour que je sache un peu qui est qui et puis, nous rentrerons directement dans le vif du sujet, OK ? Dit-elle d’un ton assuré.
Nous nous présentons rapidement chacun notre tour puis elle entame un long déroulé sur l’enjeu de ce nouveau projet pour l’agence. Je n’entendais rien, tant je la dévorais des yeux et j’étais loin d’être la seule. Samuel à côté de moi, ne détachait pas non plus, le regard de son décolleté qui laissait deviner une poitrine généreuse et ferme….
Les présentations s’enchaînent quand vient à mon tour. Mon exposé est clair, fluide et je sens que mon approche convainc l’auditoire. A plusieurs reprises, je vois Sophie hocher la tête, acquiescer sur certains points et même sourire parfois.
- OK Jade, super ! J’aime beaucoup ton approche, ça me plait ! me félicite-t-elle
- Merci beaucoup ! Répondis-je.
- Ok personne suivante ? Ordonna t elle.
Le défilé se poursuit mais je ne peux m’empêcher de me remémorer le sourire doux et presque réconfortant qu’elle m’a adressé tout à l’heure. J’en suis toute émoustillée car j’ai bien l’impression de l’avoir convaincue de me mettre sur ce projet.
Au terme des exposés, elle tapote rapidement sur sa liste :
- OK, Jade et Samuel, je vous veux tous les deux sur ce projet. Vous semblez complémentaires et j’aime bien votre approche marché ! Je pense que ça peut bien fonctionner entre vous, dit-elle en souriant d’un air taquin.
Je suis aux anges et ne peux m’empêcher de sourire béatement. Non seulement, la nouvelle responsable reconnait la qualité de mon travail mais en plus, je vais bosser avec Samuel. La journée semblait démarrer sous les meilleurs hospices !
Dès la sortie de réunion, j’organise avec Sam, un premier brainstorm vers 19h00 au 5ème étage dans l’espace détente. À cette heure-ci, il n’y a plus personne dans les locaux, nous pourrons être tranquilles. Il accepte et propose même d’aller chercher des sushis pour pouvoir travailler sans être perturbés par le grouillement de nos estomacs creusés par la faim.
Il est 21h30 et on a déjà bien avancé pour un premier jet. Pieds nus, affalée sur un énorme pouf après avoir englouti une boite de california makis et une bouteille de vin blanc, nous nous accordons une petite pause et rigolons à pleins poumons quand la porte s’ouvre.
Sophie se tient là, devant nous, les bras croisés, adossée contre le rebord de la porte. Elle nous regarde par-dessus ses lunettes à monture épaisse qui lui donne un côté maîtresse sexy et autoritaire et nous dit d’un air amusé :
- Je me doutais que vous seriez complémentaires mais à ce point…je suis scotchée !! Dit-elle en toisant les cadavres de boîtes de sushis et de vin qui nous entourent.
Instantanément et particulièrement gênés, nous nous redressons rapidement et rassemblons, dossiers, déchets etc… Sam resserra le nœud de sa cravate et je m’apprêtais à rechausser mes escarpins quand elle nous interrompt :
- Je vous taquine enfin ! Je suis ravie que vous travailliez déjà avec tant d’ardeur sur ce nouveau projet. Je vous félicite de faire preuve d’un tel enthousiasme dès le départ, sourit-elle.
Tout en nous félicitant, elle s’était avancée dans la pièce où régnait une ambiance assez tamisée. Elle s’approche encore et se penche sur nos ébauches.
Son parfum est enivrant, sensuel et excitant. En l’observant de près, je remarque les traits incroyablement fins et délicats de son visage, ses yeux d’un bleu doux et apaisant, sa bouche pulpeuse et gourmande et son cou gracieux.
Sa position permet à son débardeur en soie de se décoller légèrement de sa peau pour laisser entrevoir une poitrine pulpeuse habillée d’un soutien-gorge en dételle transparent noir. À la vue de ce spectacle et d’une façon totalement incontrôlée et inattendue, je rougis.
Sam, également aux premières loges, n’en a pas non plus perdu une miette ! Elle s’assied à côté de lui et dit :
- Je peux jeter un rapide coup d’œil ? Juste pour voir si vous partez sur la bonne voie ? Demanda-t-elle.
- Euuuh…oui bien sûr, répond Sam un peu interloqué par cette requête.
Elle se rapproche de lui, s’assied et tout en tapotant son stylo sur nos premières ébauches, elle dépose, de façon désinvolte, sa main sur sa cuisse.
Tout d’un coup mal-à-l’aise par cette scène totalement surréaliste, mon visage est en feu. Il faut que je sorte. Vite ! Je sens que ça va partir en vrille.
Samuel est totalement tétanisé par la présence de Sophie sur le canapé. Elle ne le regarde pas, continue de lire nos ébauches avec attention. Sa main quant à elle, avait glissé entre ses cuisses en s’approchant dangereusement de son entrejambe. Je quitte la pièce avec les restes de notre dîner, mon manteau, mon sac et dis d’un ton gêné :
- Bon…moi j’y go ! Bonne soirée à vous ! Sam on se voit demain !
Sans attendre leur réponse, je sors de la salle, presque soulagée d’avoir pu m’échapper avant d’assister une scène particulièrement gênante. Je me débarrasse des restes du repas, enfile mon manteau et m’apprête à appuyer sur le bouton d’appel de l’ascenseur quand un détail me frappe. MERDE !!!! Mes pompes…
Il s’est mis à pleuvoir et je ne peux pas rentrer pieds nus. Il faut que je retourne les récupérer. D’un pas lent et mesuré, je m’approche de la porte et actionne la poignée.
- Veuillez m’excuser, j’ai oublié….
Je n’ai pu finir ma phrase.
Quasiment à califourchon sur Samuel, Sophie et lui s’embrassaient fougueusement. En une fraction de seconde, tous les scénarios me sont passés par la tête, faire demi-tour sans mes chaussures, courir vers elles et les arracher sans regarder leurs ébats…mais je restais totalement tétanisée devant cette scène sur le pas de la porte.
Sophie se tourne vers moi et me regarde fixement. Je ne sais plus quoi faire. J’ai la bouche sèche, la gorge nouée mais ressens une certaine excitation face à cette situation incongrue. Elle pointe son index sur moi qui me notifie d’approcher :
- Approches, Jade ! Ordonna t-elle, j’ai une question à te poser.
- Je….euuuhhh… oui bien sûr !
Je suis débout à côté du canapé et l’écoute avec attention.
- Comment fais-tu pour travailler tous les jours aux côtés de Samuel sans avoir envie de lui arracher sa chemise? Sourit-elle alors qu’elle avait glissé sa main entre les boutons de sa chemise.
En m’approchant d’eux, je constate que Samuel semble ravi de cette situation à en juger par le sourire béat qu’il affiche et par la belle bosse dans son pantalon de costume.
Il est vrai qu’à un moment, nous avions tenté quelque chose tous les deux mais je n’ai pas le souvenir de lui avoir procuré un tel d’effet. Peut-être était-ce le fait Sophie soit sa supérieure hiérarchique ou parce qu’elle avait pris le dessus sur lui et qu’elle le dominait, je l’ignore. En tout cas j’ai eu l’impression, l’espace d’un instant, qu’il ne remarquait même plus ma présence.
Pivoine et les mains moites, je ne sais plus où me mettre et je ne parviens à pas détacher mon regard de l’érection de Samuel. J’ai chaud, de plus en plus chaud et je ressens une première contraction vaginale laissant échapper une première goutte de mouille, signe de mon excitation naissante
Sophie me fait signe de prendre place sur le canapé à côté de Sam. Elle l’att par le menton et enfouit sa langue sinueuse dans sa bouche tout en caressant son entrejambe. Je sens mes tétons durcir et mon désir monter petit à petit. J’ai l’impression qu’ils vont transpercer mon soutien-gorge, tant je suis émoustillée. La main de Sophie quitte la queue tendue de Samuel pour m’attr un sein. Elle le malaxe avec douceur en titillant mon téton à travers mes vêtements. Je me laisse aller sur le dos et m’étale sur le canapé sous ses caresses. Elle poursuit son baiser langoureux avec Samuel et de ses doigts, agiles, glisse sa main dans mon soutien-gorge. Je commence à me tortiller et mon esprit s’évade totalement. Elle interrompt son baiser avec Samuel, l’approche de mon visage et dit d’un ton sec :
- Embrasse-la !
Il s’exécute et me prodigue un baiser sauvage, langoureux, en m’attrapant par les cheveux. Sophie glisse entre les jambes de Sam et désarçonne la boucle de sa ceinture et les boutons de son pantalon. Elle sort le membre épais et nervuré de son caleçon qui était déjà baveux de sperme. Il avait déjà éjaculé une première fois. La situation était d’un tel niveau d’excitation, qu’il n’avait pu se retenir ! Et avec ce trio brûlant qui se profilait à l’horizon, son érection n’était pas retombée, bien au contraire.
Sophie att son sexe à pleine bouche et l’avale dans sa globalité. Plus sa queue s’enfonce dans sa gorge, plus le baiser de Samuel devient fougueux. Il me mord à plusieurs reprises certainement pour contrôler le plaisir procuré par cette fellation qui semblait absolument divine.
Sophie s’arrête soudainement et me dit :
- Mets-toi à genoux à côté de moi, Jade, ordonna-t-elle de nouveau.
Son visage était couvert d’un mélange exquis de salive et de sperme que je mourrais d’envie de lécher à pleine bouche. Elle m’att par les cheveux, un peu brusquement et passe sa langue douce sur ma bouche. Totalement enivrée, je lui rends son baiser en glissant à mon tour ma langue dans sa bouche et goûte au nectar de Sam par la même occasion. Je n’ai jamais été une grande fervente de ce genre de pratique mais avec elle, toutes mes limites semblaient tomber les unes après les autres. Elle interrompt notre baiser, prend la queue de Samuel et me la présente à portée de bouche.
- Suces-le !
J’avale le sexe de Sam du mieux que je peux. Elle est plus grosse et plus longue que ce je pensais et je m’étouffe presque en essayant d’imiter Sophie qui l’avalait avec une incroyable habileté ! Je suis tellement enivrée par les yeux émerveillés de Sophie qui me regarde à l’œuvre et me surprends à glisser mes doigts dans mon string imbibé de cyprine chaude et collante. Mon index et mon majeur glissent avec une incroyable facilité et je commence à caresser mon clito que je sens durcir sous mes caresses. Il ne me fit pas longtemps pour enfoncer un doigt puis deux dans mon vagin pour faire encore monter d’un cran, mon désir.
Face à ce spectacle, Sophie se lève et se déshabille totalement en me disant :
- Oh ouiiiii, c’est ça, c’est bien ! J’ai tout de suite senti que t’étais une vraie coquine, toi !!
Ces paroles m’ont littéralement transporté dans une autre dimension et m’ont fait basculées dans une transe que je n’avais jamais connue.
Je continuais à fouiller l’intérieur de ma chatte avec encore davantage de rapidité et d’ardeur avec mes doigts dégoulinant de mouille.
Est-ce la fellation que je prodiguais à Samuel ou l’effet que me faisait Sophie, nue comme ver à côté de moi mais dans tous les cas, j’étais à deux doigts de jouir quand Sophie me fit sortir de ma transe. Elle attrapa la main qui était l’instrument de mes caresses et suça mes doigts encore recouverts de mouille brûlante. C’était indescriptible. Je m’apprêtais à utiliser mon autre main pour me faire jouir quand Sophie me dit :
- Non non non, pas tout de suite Jade ! Déshabilles toi, tu es encore beaucoup trop couverte à mon goût !
- Ok !
Je m’exécute, ardente et impatiente de connaître le sort qui m’attend.
- Samuel, lèves-toi et laisses jade s’assoir sur le canapé. Je veux que tu te branles en nous regardant, OK ?!
Samuel acquiesça, enleva rapidement le reste de ses vêtements et commença un va et vient avec sa main sur son membre arqué.
Je m’assieds sur le canapé et Sophie se mit à genoux, entre mes cuisses. Elle écarta délicatement mes grandes lèvres dépourvue de poils pubiens et contempla ma chatte luisante.
- Regardez-moi cette chatte ! C’est magnifique, n’est pas Samuel ? Et ce clito, hmmm.. c’est régal pour les yeux et j’en suis certaine, pour les papilles aussi ! S’exclame-t-elle.
Elle écarte mes cuisses jusqu’à son maximum et passe un premier coup de langue de mon anus jusqu’à mon capuchon. Je tremble et ne peux m’empêcher de pousser des petits gloussements. Samuel poursuit son inlassable branlette et laisse échapper quelques râles de plaisir qui me font complètement tourner la tête. Elle enfonce deux doigts dans mon vagin et tourne autour de mon clito avec sa langue puis le suce avec insistance. Je sens qu’une vague de chaleur est sur le point de me submerger. Sophie me défie du regard et me dit :
- Ca te plait ?! T’aime qu’on te bouffe la chatte comme ça, pas vrai ??
Je n’en peux plus, elle me doigte de plus en fort et sa langue ondule sur mon clito. Pour mes cris qui se font de plus en plus insistants, Sam s’approche de moi et enfourne sa queue dans ma bouche. Je décolle complètement, comme prise en otage de ma jouillance. Dans un spasme incontrôlé, je pars dans un tourbillon de sensations indescriptibles. Mon orgasme dure plusieurs secondes et entraine par la même occasion, celui de Samuel qui remplit ma bouche de sperme. Sans interrompre sa cadence dans ma bouche, je laisse échapper sa semence qui coule le long mon visage.
Un peu sonnée, je bascule sur le dos, les yeux clos. La voix de Sophie, tout d’abord lointaine, puis plus précise me ramène rapidement à la réalité.
- Tu n’as quand même pas cru que c’était terminé ma chérie ?! Dit-elle d’un ton amusé.
En ouvrant les yeux, je remarque que la queue de Samuel est toujours raide et que Sophie ne semble pas encore rassasiée. La soirée ne faisait que commencer.
Sophie se penche vers moi, att mon menton entre ses deux doigts, me lèche la bouche et me dit :
- Maintenant, c’est toi qui va me faire jouir, t’entends ?
J’acquiesce sans vraiment savoir comment je vais m’y prendre mais vu l’état second dans lequel je me trouvais, j’aurais accepté n’importe quoi qui venait d’elle !
Sophie prend place sur le canapé et écarte ses cuisses dont l’intérieur était dégoulinant. Tout simplement, sublime ! Sophie me sort tout d’un coup de mes rêveries et me dit :
- Qu’est ce tu attends ?? Viens me faire prendre mon pied avec ta langue ! Agenouilles toi ma belle !
J’adore le ton autoritaire avec lequel elle s’adresse à moi et surtout, l’emprise qu’elle a sur moi.
J’obéis sans dire un mot et m’approche lentement de sa fente. L’odeur de son intimité m’attire comme une abeille vers un pot de miel. Je me laisse guider vers ces senteurs épicées et méconnues. Je m’aventure à passer un premier coup de langue hésitant, elle gémit une première fois. Puis un second et un nième d’une longue série. Je tourne autour de son clito gonflé pendant qu’elle se malaxe les seins pour accen son plaisir.
Au bout de quelques minutes, je ressens une présence derrière moi. Samuel faisait glisser son membre toujours aussi dur entre les lèvres de ma chatte. Petit à petit, il se frotte de plus en plus et finit par me pénétrer.
Je me sens embrocher de partout, ma bouche et ma langue englouties au plus profond de Sophie et ma chatte prise par Samuel.
Je n’ai jamais ressenti une telle excitation de toute ma vie. J’étais totalement aspirée dans une spirale de sensations étourdissantes.
Sophie m’att par les cheveux et agite son clito sous ma langue. J’ai terriblement chaud. Dans un même temps la cadence de Samuel en levrette derrière moi est de plus en plus violente. Une vague de chaleur accompagnée de spasmes incontrôlés me submerge. Les contractions de mon vagin excitent encore davantage Samuel qui jouit à son tour. Sophie quant à elle, continue ses vas et viens sur ma langue et finit dans un râle de plaisir considérable comme si elle s’était retenue depuis plusieurs heures laissant enfin exploser son orgasme.
Samuel retire son préservatif, Sophie se caresse du bout des doigts son sein d’un air absent comme pour redescendre d’un trip quant à moi, je reste déboussoler affalée au pied du canapé.
Sophie finit par se lever et commence à se rhabiller. Elle nous regarde et nous dit :
- C’était bien sympa ce premier brainstorming, je suis persuadée que nous allons rapidement former une très bonne équipe tous les trois ! Rigola-t-elle.
En rassemble ses cheveux pour se recoiffer et nous dit :
- Demain, même heure ! Et pour le repas, c’est moi qui régale ! Bonne soirée ! Salue-t-elle en se dirigeant vers la porte avant de s’engouffrer dans l’ascenseur.
Un peu médusés par cette proposition alléchante, nous nous sourions bêtement Samuel et moi et avouons-le, avons déjà hâte d’être à demain.

MargauXXXX