Le Fantasme Du Triolisme Réalisé Une 2e Fois

Quelques mois se sont écoulés depuis l’épisode de la soirée mémorable où mon fantasme de plan à trois avec ma femme Alexia s’est réalisé avec le concours de notre copain Paul. Pendant cette période, nous y faisions allusion de temps en temps avec ma femme. Je lui soumettais l’idée à plusieurs reprises de provoquer une nouvelle expérience avec Paul, notre pote, qu’on voyait régulièrement en soirées. Mais Alexia restait sur la réserve à ce sujet. Son avis se résumait plutôt à « On verra… ! ». Je ne voulais surtout pas insister.
Et comme il nous arrivait d’en parler Paul et moi de notre côté, je lui disais que Paul avait été sacrément marqué par cet épisode, qu’il se retrouverait volontiers dans la même situation. Ce qui avait en général pour résultat d’exciter Alexia. Mais elle n’est pas du genre à planifier une nouvelle expérience.
Eux deux n’en avait jamais reparlé. Comme si de rien était.
En résumé Alexia savait que j’avais très envie de renouveler l’expérience. Elle savait que Paul la désirait beaucoup, avait pris un pied énorme en lui faisant l’amour et rêvait de jouer de nouveau la troisième personne. Et elle savait qu’on était à son service, le jour où l’occasion se présenterait et qu’elle aurait très envie de s’amuser avec nous.
Voici comment s’est présentée l’occasion.
Nous étions à la fin de l’été. En début de semaine, Paul m’avait raconté par sms qu’il avait fait un rêve très coquin, dans lequel il déshabillait Alexia, la matait, la caressait, la léchait, puis lui faisait l’amour. Il venait de faire ce rêve et donnait quelques détails bien excitants. J’étais au travail et j’envoyais un sms à Alexia pour lui dire que Paul avait fait un sacré rêve sur elle, qu’il me l’avait raconté et que ça m’avait sacrément fait bander. C’est tombé sur un moment où elle avait envie de s’amuser, où elle se sentait ouverte au fantasme. Elle m’a répondu un sms me faisant comprendre qu’elle était plutôt flattée. Je lui proposais donc de lui faire suivre le récit.

Ce que je fis. Sa réponse confirmait son humeur coquine. Elle me disait que le rêve de Paul l’avait fait mouiller ! Je lui demandais son accord pour faire suivre sa réponse à Paul. Comme je m'y attendais sa réponse fut non. Trop impliquant pour elle. Je lui envoyais un autre SMS en lui disant que Paul ne serait pas au courant qu'elle était d'accord pour que je fasse suivre la réponse. Elle me répondit oui. Ce qui me fit bander illico. Elle n’aurait jamais dit directement à Paul une chose pareille, mais vu que c’était moi qui le faisais et qu'elle n'était pas sensée être au courant, elle se sentait moins coupable.
Et puis le samedi arrive. Nous étions invités chez des amis le soir. L’après-midi, sms de Paul qui était invité aussi. Il avait une nouvelle copine, mais elle avait une autre soirée prévue et ne viendrait pas avec lui. Il me demandait si on pouvait l’emmener, pour qu’il laisse sa voiture à sa copine. Rdv prévu devant chez lui pour le co-voiturage. Je compris qu’il avait lui aussi une idée en tête.
Au moment de nous préparer pour la soirée, j’entre dans la salle de bain et je constate qu’Alexia est en train de s’épiler le maillot bien court, bien joliment. Je ne fais un commentaire qu’en la voyant enfiler des sous-vêtements très sexy : dentelle bleue marine, transparente. « Dis donc tu te fais très sexy pour ce soir ! ». Elle fait un petit sourire gêné et coquin pour seule réponse. Je lui adresse juste un petit regard entendu. Elle est restée excitée par le récit du rêve de Paul et elle sait qu’on va co-voiturer ce soir. Elle a une petite idée derrière la tête et ça me plaît beaucoup. Sans le dire, elle se prépare en fait à ce que je guide la soirée vers une tournure érotique avec Paul.
Quand Paul monte dans la voiture, on est content de se retrouver mais aucune allusion à son rêve, à la réaction d’Alexia. Mais on sait tous les trois qu’il y a du désir dans l’air. On arrive chez nos potes.
Je passe la soirée entre amis à me dire que peut-être que le retour va nous réserver une belle surprise.
Tout dépendra d’Alexia. De son envie, de son désir.
La soirée est animée. Apéro, repas bien arrosé. On se marre bien. Prétextant un bon mal de tête, je propose que nous quittions la soirée pas trop tard. Alexia, même prise dans une discussion avec ses copines, ne se fait pas prier pour acquiescer. Et nous voilà qui disons au revoir à tout le monde. Paul me demande si on peut le ramener, comme prévu. Des amis lui proposent que s’il veut rester encore, ils peuvent le ramener chez lui plus tard. Il argue qu’il a déjà bien bu et que ça lui fera du bien de se coucher pas trop tard, que sa copine est rentrée à la maison et qu’il va la rejoindre.
On prend la route pour 20 mn environ. Paul est assis sur la banquette arrière, derrière Alexia qui est sur le siège passager. Je sens tout de suite une certaine tension sexuelle.
A peine 2 mn sont passées que je lance le sujet sur le rêve/fantasme que m’avait raconté Paul par SMS en début de semaine. « Et si on parlait de ton rêve maintenant ? » dis-je à Paul. Sourire franc mais un peu gêné. Il n’en mène pas large, dans l’attente de la réaction d’Alexia. Ma femme sourit elle aussi. Un sourire un peu coquin qui en dit long sur son état d’esprit à l’instant.
Je continue à l’attention de Paul : « Et dans ton rêve, tu ne parles pas du tout de ses seins ! Quand même, avec les seins qu’elle a ! » Je sais que c’est n’importe quoi, mais je veux surtout voir la réaction d’Alexia. Et j’accompagne ma parole en posant ma main libre sur son sein. Elle ne dit rien, regarde malicieusement ma main caresser ses seins et sourit encore. Paul répond « Oui c’est vrai que tu as des sacrés seins ». Il ne prend pas d’initiative, ne voyant pas le visage d’Alexia, ne sachant pas si elle a envie de jouer ou pas. Il me laisse faire.
Je vois bien à ses réactions, que ma femme aime cette situation, que ça l’amuse, qu’elle est plutôt ouverte à jouer à nous exciter.
Je rajoute à l’attention de Paul : « Tu devrais en profiter, elle est attachée, elle peut pas s’échapper » en riant.
Pas de réaction d’Alexia à part un petit sourire timide en me regardant en coin. Elle a envie de sentir les mains de Paul se poser sur elle, sur ses seins.
Paul ne se fait pas prier, s’avance sur son siège, derrière Alexia. Il passe ses mains de part et d’autre d’Alexia, sur ses épaules, puis descend sur sa poitrine généreuse. Il caresse doucement les seins de ma femme, qui le regarde faire.
Tout en conduisant, je jette des coups d’œil sur la poitrine généreuse, que Paul caresse à travers le t-shirt.
Ayant assisté à l’habillage de ma femme, je continue à en rajouter, sentant l’excitation envahir l’habitacle : « Et tu as pas vu la jolie culotte qu’elle a mis ! Très très excitante ! » en croisant le regard de ma femme, de plus en plus intéressée par la tournure des évènements. « Tu voudrais pas nous montrer ? »
En disant juste « C’est n’importe quoi « d’un ton amusé, ma femme déboutonne son pantalon et le descend jusqu’en dessous de ses genoux, exhibant sa jolie culotte en dentelle bleue marine, toute fine. Malgré la pénombre de la voiture, Je vois à travers le tissu, la peau de son pubis, un petit rond de poils très court, pour faire joli et le début de ses lèvres.
Je dis « Oh, comme c’est sexy ! Regarde ça Paul. » Il se penche par-dessus le siège de ma femme et découvre lui aussi la vision érotique. Il commente « Ah oui, dis donc, c’est très beau et très sexy ça ! »
Et comme je glisse ma main pour caresser le tissu, il passe sa main sur la cuisse nue de ma femme et s’approche du petit bout de culotte qui ne cache pas grand-chose.
La température est montée d’un cran. Je sens mon sexe se raidir et Paul aussi. Ma femme sent monter son excitation, les doigts de son mari et de son pote glissant maintenant sur ses cuisses, puis s’aventurent sur son pubis et caressant son sexe à travers la dentelle. Elle écarte les cuisses un peu plus. Les doigts de Paul investissent l’ouverture et ma femme, sentant les doigts glisser sur sa fente, sait qu’il va sentir qu’elle est sensible aux caresses et qu’elle commence à mouiller.

Ma femme se pince les lèvres. Elle sent bien que les caresses l’ont fait mouiller. Et de savoir que Paul a constaté directement qu’elle était mouillée, lui fait une sensation de chaleur dans le bas-ventre. Le message qu’elle nous avait envoyé sans le vouloir était : « Je suis excitée maintenant, j’ai envie de vos caresses sur mon sexe, sur mes seins, sur mes fesses, j’ai envie de vos sexes tendus. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez ». Message reçu…
Je n’ai pas tellement les mains libres, conduisant dans la nuit. Une idée me vient : « Et si on faisait le fantasme du taxi ! Chérie, tu passes derrière avec Paul, vous faites tout ce dont vous avez envie. Et moi, je mate comme un pervers »
« Ca c’est une bonne idée ! « répond Paul, enchanté à l’idée de profiter des jolis atouts de ma femme et peut-être lui faire sentir ce qui se passe dans son short.
On rigole, mais l’idée séduit. Et ma femme détache sa ceinture et retire complètement son pantalon, en disant « Ok ! Je vais derrière ». Elle aussi a bien envie de pouvoir être caressée avec plus de facilités. Et l’idée de m’exciter en mettant en application mon fantasme lui plait bien.
Profitant d’un arrêt à un feu rouge, elle passe entre les deux sièges, sur la banquette arrière, aux côtés de Paul, juste vêtue de son t-shirt et de sa culotte en dentelle transparente. Elle sait bien que Paul est aussi très excité par la situation, par ses formes qu’elle exhibe et qu’elle offre aux caresses. Elle a bien envie d’en savoir plus sur son excitation…
Je règle le rétro central pour voir les cuisses de ma femme et surtout sa culotte. Il fait noir sur cette route et la banquette arrière n’est éclairée que par intermittence, quand on passe sous un luminaire ou qu’on croise une voiture. Je roule doucement et quand on est tout seul sur la route, je me retourne pour jeter un regard furtif sur ce qui se passe à l’arrière.
La situation m’excite énormément : je viens d’offrir ma femme qui mouille, en culotte, qui a envie de prendre du plaisir, à mon pote qui n’a qu’une envie : la caresser partout, glisser ses doigts dans son minou, et qu’elle lui fasse du bien aussi. J’ai la queue raide comme du bois et hyper sensible.
En me retournant, je vois Paul et ma femme qui ont commencé à profiter de leur « intimité » : ils s’embrassent à pleine bouche, et la main de Paul masse les seins de ma femme. Sa main à elle se balade sur la cuisse de Paul.
On croise une voiture, m’obligeant à me concentrer sur la route. Quand je jette un coup d’œil dans le retro central, je vois la main de Paul descendre dans la culotte de ma femme, qui écarte les cuisses pour bien laisser les doigts se promener. Je vois ses doigts à travers le tissu. Il est en train de caresser les lèvres, le clitoris. Je vois la main descendre un peu plus et je devine que Paul enfonce un doigt dans le minou trempé de ma femme. Ca m’excite énormément.
Je me concentre de nouveau sur la route, puis je me retourne de nouveau : toujours les langues qui se mêlent, baiser fougueux d’excitation sexuelle. Paul a glissé une main sous le t-shirt d’Alexia et caresse ses seins. Sa main à elle est cette fois entre les jambes de Paul , lui caressant le sexe à travers son short. Je passe ma main derrière mon siège, la pose sur la cuisse très douce de ma femme et regardant de nouveau la route, je remonte jusqu’au tissu de sa culotte. Ma femme attend mes caresses et écarte encore plus les cuisses. Mes doigts glissent sous le tissu et je sens tout de suite que les caresses de Paul ont fait monter encore son excitation : son minou est trempé. Tout en conduisant, mes doigts glissent sur ses lèvres et s’enfoncent dans son minou.
Ma femme ondule du bassin pour que mes doigts la pénètrent bien. Elle adore ce qui se passe : elle est le centre de toutes les attentions de son mari et de son pote, qui lui caressent les seins et tour à tour le minou. Elle sent à travers le short de Paul qu’il bande beaucoup et elle aime l’idée de le faire bander comme ça. Elle sait que je bande aussi et qu’elle a donc deux queues pour elle. Ce petit jeu la met décidemment dans une excitation terrible et plus elle mouille, plus nos doigts glissent sur ses lèvres et son clitoris, plus ça l’excite et plus elle mouille. Et plus ça nous fait bander.
Nouvelle voiture en face. Les deux mains sur le volant, je regarde la route. Et quand je regarde de nouveau dans le retro central, je vois de nouveau les doigts de Paul à travers le tissu de la culotte de ma femme. Il la caresse et glisse ses doigts en elle.
Pour avoir une vue plus générale, je me retourne rapidement. Je ne suis pas déçu de l’image : le short de Paul est sur ses chevilles et sa queue bien tendue est entre les doigts de ma femme qui le branle vigoureusement. A voir ses yeux mi-clos et ses mouvements de bassin, il a l’air de prendre son pied. Il est en plein fantasme : ma femme est avec lui sur la banquette arrière d’une voiture, en culotte, le laissant glisser ses doigts dans sa chatte trempée de mouille, lui laissant caresser ses seins généreux. En plus, elle a glissé sa main dans son short et trouvant sa queue bien raide, a commencé à le caresser. Il lui a facilité la tâche en baissant son short et voilà qu’elle le branle bien fort, visiblement très excitée de le voir aussi tendu. Pour lui, c’est le pied !
Je propose « Paul, ça te dirait de faire un crochet par la maison avant que je te ramène ? ».
« Ah bah oui, évidemment ! »répond-il , le souffle court. Ma femme acquiesce aussi.
Les caresses torrides continuent. Paul n’en peut plus, le sexe en feu, il est sur le point de jouir tant la situation et les caresses de ma femme l’excitent.
Je le sauve car, approchant de chez nous, j’invite mes passagers à se rhabiller.
Arrivés à la maison, direction la chambre, sans attendre. Paul connait le chemin depuis le dernier épisode.
Debout à côté du lit, je me positionne derrière ma femme et Paul lui fait face. Je l’embrasse dans le cou et on ne tarde pas à la déshabiller : son pantalon, son t-shirt se retrouve au sol. Puis je dégrafe son soutien-gorge en dentelle, libérant devant les yeux gourmand de Paul sa poitrine généreuse. Elle se laisse faire volontiers, les joues rosies par l’excitation. Je caresse ses seins et Paul, les yeux rivés dessus, commence à les caresser aussi.
« Ca te dirait un massage, ma chérie ? » dis-je. Ma femme fait « oui » de la tête.
Elle s’allonge sur le ventre, en travers sur le lit, juste vêtue de sa culotte en dentelle. Belle vision de son corps, ses fesses, offerts à nos yeux et à nos mains.
Je garde juste mon boxer et Paul aussi. Je me positionne au niveau de la tête de ma femme, laissant à Paul la place de rêve, à ses pieds, vue plongeante sur ses fesses et entre ses cuisses, légèrement écartées, la dentelle de sa culotte cachant à peine son sexe.
Le massage commence, ma femme, les yeux fermés, lascivement allongée sur le ventre, en culotte, les jambes légèrement écartée, consciente que nous matons sans scrupule son cul.
Paul masse ses jambes, remontant doucement jusqu’à ses fesses. Je pars des épaules et mes mains rejoignent celles de Paul sur la peau délicieusement douce des fesses de ma femme. Paul concentre maintenant son massage sur les cuisses et les fesses, frôlant le tissu qui cache son intimité.
Ma femme apprécie ces quatre mains qui parcourent son corps, ses fesses, qui effleurent son sexe. Elle commence à sentir l’envie que les caresses se précisent. Elle accompagne les caresses de Paul en écartant un peu plus les cuisses.
Mes mains caressent son dos, puis le bas du dos, ses fesses, jusqu’à ses cuisses, puis remontent sur ses fesses, les malaxant et les écartant, dévoilant aux yeux de Paul une partie de ses lèvres à peine cachées par le tissu de sa culotte.
La pénombre de la voiture ne permettait pas à Paul de voir toute l’intimité d’Alexia. La frustration est bientôt levée, quand Paul att l’élastique de la culotte et la tire tout doucement vers le bas. Ma femme, toujours sur le ventre, les yeux fermés, se dévoile volontiers et se cambre pour faciliter le geste de Paul. Elle laisse Paul lui retirer sa culotte, sachant qu’il va mater son minou. Elle oublie complètement sa grande pudeur habituelle. La culotte retirée, elle ouvre ses cuisses généreusement, excitée à l’idée qu’on mate ses fesses, sa chatte, et que ça nous fasse bander.
Je vois le regard de Paul se river sur le minou de ma femme, ainsi offert. Le massage reprend de plus belle. Cette fois, je masse le dos, les fesses, descends jusqu’aux cuisses, puis remonte par l’intérieur des cuisses, mes doigts passant juste de part et d’autre de ses lèvres, obligeant ma femme à s’écarter encore plus et à se cambrer. Paul ouvre de grands yeux, découvrant la chatte ouverte, les lèvres écartées, humides, de ma femme. Il masse ses fesses et ses cuisses pendant ce temps, faisant monter le désir de ma femme de sentir nos doigts sur son sexe. Je refais le mouvement trois fois. Paul n’y tient plus et à la troisième fois, il pose sa main sur les lèvres chaudes et mouillées et les caresse, masse doucement le clitoris de ma femme, hyper sensible. Elle se cambre plus, les fesses en l’air, offrant sa chatte à nos doigts. Je vois deux doigts de Paul glisser dans son minou, profondément. Elle gémit de plaisir, d’avoir attendu si longtemps qu’on la pénètre.
Un ballet de quatre mains commence sur le bas de son dos, ses fesses, ses cuisses et son minou. Elle sent les quatre mains sur elle et râle de plaisir à chaque fois que nos doigts s’enfoncent en elle ou glissent sur son clitoris, excitation décuplée de ne pas savoir si ce sont les miens ou ceux de Paul. Un grand miroir mural me permet de voir le cul et le minou de ma femme de derrière et nos doigts qui glissent sur et en elle.
Paul ne résiste pas longtemps à la vue du sexe écarté de ma femme. Il passe ses mains autour de ses cuisses et c’est sa bouche qui se pose sur le minou hyper sensible. Il la lèche, sa langue sur le clitoris, les lèvres. Ma femme gémit de plus belle et se cambre. Les sensations de la bouche et de la langue de Paul sur son clitoris après les quatre mains qui la caressaient, les doigts qui la pénétraient, lui donnent un plaisir intense.
Pendant ce temps, je retire mon boxer, libérant ma queue tendue, mon gland gonflé à bloc. Je prends la main de ma femme et la pose sur mon sexe. J’ai envie qu’elle me fasse du bien, qu’elle me branle, qu’elle me suce. Le contact de sa main décuple mon excitation. Elle me branle fort, excitée de trouver ma queue aussi raide et dure.
Au bout de longues et délicieuses minutes, Paul sent monter l’envie de profiter d’une sensation qu’il n’a pas pu avoir dans la voiture. Il ôte son boxer lui aussi, se retrouvant nu, son sexe dressé, raide. Il s’avance sur le lit et se positionne à genoux, prêt du visage de ma femme. Elle en avait envie et voir la queue de Paul dressée devant elle l’excite encore plus. Elle se retourne sur le dos, saisi la verge de Paul d’une main et pose son autre main sur ses couilles. Elle le branle de quelques mouvements, puis ses lèvres et sa langue se posent avec gourmandise sous le gland. Le gland disparait dans sa bouche. Elle l’aspire, puis le lèche, puis sa langue parcoure toute la verge. Tout ça, fiévreusement, avec envie. Paul est aux anges.
Je profite de la position de ma femme, allongée sur le dos, le buste relevé, sa bouche s’activant sur la queue de Paul, pour me rapprocher de son minou. Je lui écarte les jambes et me trouve avec son minou offert, chaud, mouillé, sensible, juste devant mon visage. J’ai une terrible envie de la lécher, de la faire jouir avec la bouche.
Je passe ma langue tout le long de sa fente, joue avec ses lèvres, titille son clitoris. Je caresse ses lèvres et son clitoris en même temps et enfonce mes doigts en elle. Mon excitation est à son comble. Comme pour m’encourager à bien la lécher, tout en continuant à sucer la queue de Paul avec gourmandise, elle saisit ma verge et me branle. Sensation de feu dans mon sexe.
Les caresses des doigts, des langues, des bouches nous mettent tous les trois au paroxysme de l’excitation. L’orgasme n’est pas loin.
Et la même envie nous retient tous les trois de jouir : ma femme veut sentir nos queues bien raides la pénétrer. Elle veut sentir une verge puis l’autre qui glisse profondément et vigoureusement entre ses cuisses, qu’on la baise. Paul et moi le savons, le sentons. On y pense depuis les 1ere minutes coquines dans la voiture. La pénétrer, qu’elle s’offre jusqu’au bout. Qu’elle ait tellement envie de sexe qu’elle s’écarte pour qu’on glisse nos queues bien raides entre ses cuisses, dans sa chatte.
J’ai envie de la baiser, mais j’ai aussi très envie de la voir se faire baiser par Paul, qu’elle soit cochonne jusqu’au bout.
Je me lève, prends une capote, et la tends à Paul, bien visiblement, pour que ma femme le voit. Elle s’arrête de le sucer et le regarde mettre son préservatif. Elle sait qu’il va la baiser. Elle en a très très envie. Elle veut sentir son sexe raide s’enfoncer en elle.
Je suis juste à côté. Je regarde la scène. Paul se met à genoux sur le lit. Ma femme se tourne de nouveau, allongée sur le ventre. Elle a envie qu’il la baise en levrette. Elle se cambre le plus possible en relevant ses fesses, repliant un peu ses genoux. Je vois bien sa jolie chatte bien ouverte, bien humide, son cul, son anus.
Paul prend sa queue en main, l’approche et je le vois s’enfoncer tout doucement entre les cuisses de ma femme, dans sa chatte bien ouverte. Elle râle de plaisir en sentant la verge de Paul qui la remplit. Paul pousse lui aussi un râle. Je suis hyper excité qu’elle s’offre aussi volontiers à la queue de notre pote.
Paul commence ses va et vient doucement, puis plus fort. Il alterne, tapant à chaque fois contre les fesses de ma femme. Elle gémit de plaisir. Et elle att mon sexe pour me branler. Elle veut les deux queues pour elle. Je passe une main sous son ventre et caresse son clitoris pendant que Paul continu de la pénétrer vigoureusement. Puis il passe lui aussi sa main sous elle et ses doigts prennent la place des miens sur le clitoris d’Alexia.
Les gémissements de ma femme se font de plus en plus rapprochés et forts. Son plaisir monte, de sentir les coups de queues de Paul, les caresses sur son clitoris, de sentir aussi mon sexe raide entre ses doigts.
Et puis elle lâche prise, se laissant submerger par le plaisir, l’orgasme puissant qui l’envahit. Elle gémit plus fort encore.
Paul, se retire, retire sa capote et veut qu’elle le fasse jouir avec sa langue si habile.
Ma femme se retourne de nouveau, saisie la queue de Paul, le branle fort, le suce.
Je ne résiste plus à l’envie de la prendre moi aussi. Je lui écarte les jambes et la pénètre fort. Ma queue glisse en elle, sensation intense.
Je vois mon pote Paul qui monte vers l’orgasme sous les caresses de la langue d’Alexia. Quand elle sent la queue de Paul se contracter, elle le fait jouir puissamment en le branlant. Son sperme chaud inonde ses seins. Il gicle fort et longtemps en râlant de plaisir. Puis Alexia prend de nouveau dans sa bouche son gland gonflé, pour finir.
Je laisse moi aussi l’orgasme venir et je jouis très fort entre les cuisses de ma femme.
On finit tous les trois, sonnés, allongés côte à côte sur le lit.




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