La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1514)

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1500) -

- chienne Maera MDE en levrette prosternée, tout de suite, me dit-il en claquant des doigts …

Je me mis alors dans la position exigée et j’attendis ainsi silencieusement immobile souhaitant par dessus tout, faire honneur à l’Éducation du Maître Vénéré, à ne pas commettre aucun faux pas. Je me concentrais juste sur le Noble et rien d'autre, simplement sur Ses mots comme si j'allais boire toutes Ses futures Exigences. Ce dernier se rapprocha et sans un mot, ni le moindre regard, m’enfonça un volumineux plug avec douceur, sans forcer, le temps que mon anus s'habitue à cette pénétration inquisitrice. Cela paraissait au départ un peu douloureux mais très vite mon cul s'habituait à la présence de ce gros plug. Puis Monsieur le Marquis d'Evans se dirigea de nouveau vers un meuble et revint avec un fouet aux longues lanières tressées en cuir. J'entendis alors le Maître des Lieux s'adressant aux deux soumises et leur dire d'une voix calme et dominante :

- Je vais vous faire une démonstration de l’Art de la Domination et du comportement parfait que j'attends d'une soumise digne de ce nom. J'ai choisi volontairement un fouet à faire rougir son fessier et non pour la punir. Cette soumise va s'y plier en silence sans bouger et sans la moindre plainte, ni jérémiade. Ma chienne Maera MDE ne comptera pas les coups de fouet exceptionnellement pour cette fois. Car je veux que vous preniez conscience qu'une soumise doit obéir naturellement et sans se poser de questions si elle peut, ou non, supporter tel ou bien tel autre instrument... Le Maître sait donc ce qui est bon pour vous les soumises, et vous devez vous abandonner à lui dans une totale confiance pour vous épanouir dans votre soumission. Je vous invite à lever la tête pour observer le comportement que doit adopter une soumise envers le Maître et les Dominants auquel Il décide de la confier, dit le Châtelain.



Les soumises levèrent donc la tête impressionnées par le Charisme, la fermeté et l'assurance que dégageait Monsieur le Marquis d'Evans. Le Noble se plaça derrière moi et je sentis le premier coup de fouet qui vint rougir et marquer ma croupe. Les coups s'enchainèrent avec régularité tout en restant parfaitement mesurés. Ils étaient plus supportables que douloureux, juste pour faire rougir mon cul. Il donna une vingtaine de coups de fouet, s'arrêta et me mit un bandeau occultant mes yeux. M'aidant à me relever, me guidant pour aller m'allonger, couchée sur le dos sur la grande table. Ensuite le Chastelain prit des cordes, attacha mes poignets et mes chevilles à chacun des pieds de la table. Ainsi j'étais à Sa merci, jambes et les bras écartés et largement ouverts, mon sexe bien lisse exhibé aux regards. J'étais sereine et détendue dans ma soumission avec une véritable confiance au Maître Vénéré… Il y eut un silence et tout à coup, je sentis la cire chaude couler sur le long de mon corps nu. Ce contact chaud mettait mon corps et mes sens en éveil. J'en étais bien excitée et je ressentais au contact de la cire, ma chatte qui s'humidifiait dans un très grand état d'excitation. Après m'avoir répandue cette cire brûlante sur une grande partie de mon corps de femelle, cire allant de mes seins jusqu’à mes cuisses, le Maître se saisit d'une cravache puis décida d'enlever les morceaux de cire sur tout mon corps avec des coups précis et efficaces. Souhaitant par dessus tout faire honneur à l'Education de Monsieur le Marquis d'Evans, je restais immobile et silencieuse… Une fois terminé, il s'avança vers la Croix de Saint-André où étaient attachées les deux soumises asiatiques, l'air passablement agacé et leur dit d'un ton froid :

- Vous commencez déjà mal par une première désobéissance à Mon égard et je ne tolèrerais pas celle-ci. Je vous avais donné l’ordre de bien regarder. C'est pourtant simple et vous n'avez pas réussi à le respecter car vous avez baissé la tête mainte fois durant Ma démonstration.
Vous allez donc être punie et ne vous attendez pas à une punition indulgente car vous serez traitées avec le même niveau d'Exigence que mes soumises. Ce qui vous apprendra, j'en suis sûr, l'obéissance la docilité et le respect des règles ainsi que le bon comportement que doit adopter une soumise digne de ce nom. Je vais donc vous faire détacher car cette sanction ne se passera pas sur la Croix de Saint André, conclu-t-il …

Monsieur le Marquis d’Evans appela Walter qui vint détacher les deux soumises asiatiques. Elles furent emmenées dans la crypte, dans un cachot sombre aux murs aveugles, sans fenêtre, ni soupirail. Le Majordome les attacha en les positionnant à quatre pattes sur un solide plateau-table, leur liant chevilles et poignets, le cul face au mur où se trouvait une machine bizarre. Cette dernière était constituée d’un gros caisson métallique où ressortaient à la verticale deux gros manches en bois ressemblant à de larges rames d’aviron et fixés sur deux charnières amovibles de manière à venir frapper les culs des soumises, si ces rames venaient à s’articuler. Devant les soumises, il y avait, pour chacune, une sorte de gamelle mécanique, c’est-à-dire que pour se désaltérer, les soumises asiatiques devaient obligatoirement appuyer de leur menton sur une petite plate-forme métallique fixée sur le devant de la gamelle qui en se baissant faisait couler l’équivalent d’un verre d’eau dans ladite gamelle, et cela à chaque fois que la petite plate-forme s’abaisserait. Et comme nécessairement, elles auront soif à un moment où à un autre, Walter leur dit :

- Voici la punition, vous allez rester ici, attachée et positionnée comme cela le temps qu’il faudra. ment la soif viendra se rappeler souvent à vous. Alors vous serez obligées de boire dans la gamelle placée juste devant votre tête. Quand vous poserez votre menton sur la plate-forme pour boire, un peu d’eau s’écoulera, vous devrez reposer de nouveau votre menton pour que de l’eau recoule encore.
Mais sachez qu’à chaque fois que vous déclencherez le mécanisme faisant couler l’eau, vous déclencherez en même temps, la machine à fessées qui se trouve juste derrière vos culs. Le mécanisme enclenchera la rame fixée qui, en s’articulant, viendra s’abaisser et frapper fortement votre cul de salope… Donc plus vous boirez plus vous serez fessées par la rame. Et je vous préviens, la machine a été réglée sur la frappe de force la plus forte, donc ce seront de puissants coups que vos culs recevront … Ainsi il vous faudra accepter d’être frappées sur vos culs pour avoir un seul plaisir, celui de boire… Et donc je peux vous assurer que cette machine est, par expérience, très efficace pour vous faire accepter d’être frappées sur le cul sans modération pour avoir un autre plaisir, celui de satisfaire le Maître qui vous soumet…

Le Majordome sortit deux pilules de sa poche et continua :

- Je reviendrai d’ici une heure et je peux également vous assurer que d’ici là, l’acceptation du fouet sur vos culs sera totale … D’ailleurs, je le saurai vite car quand, dans une heure donc, je viendrai vous détacher, si je trouve de l’humidité dans votre sexe, cela sera un aveu clair que l’expérience sera réussie car vous en aurez tiré une réelle excitation et donc une totale acceptation. Et si par malheur vos chattes sont sèches, vous resterez attachées une heure de plus, jusqu’à que je trouve votre sexe humide, sinon ce sera encore une heure de plus et ainsi de suite … Et sachez que j’ai tout mon temps … Ah une dernière chose, ouvrez vos gueules de chienne …

Les soumises obéissantes, ouvrirent grand la bouche. Et Walter leur fit avaler à chacune une pilule, la plaçant sur leur langue…

- Avalez cette pilule, elle a un seul effet très efficace, elle provoque la soif ! Elle devrait très vite agir et tel un fort piment, plus vous boirez plus vous aurez soif ! Alors n’hésitez pas à bien vous désaltérer, les chiennes !… Aller, je vous laisse, je reviens dans une heure …

Walter leur tourna le dos, fermant à double tour la lourde porte du cachot et partit, laissant les deux soumises dans une obscurité totale.
Une caméra de surveillance, à infra-rouge, étant placée dans un angle de mur au plafond et permettait de voir si les deux soumises ne seraient pas mise en danger à un moment où à un autre, mais permettait aussi de vérifier le bon déroulement de la punition… Très vite, la soif arriva inévitablement. La première soumise Mei-Ling, pencha alors rapidement la tête pour se désaltérer mais pour cela elle devait faire couler l’eau et donc plaça son menton sur la petite plate-forme mécanisée, l’eau coula mais au même moment, un violent coup de rame vient lui frapper le cul, ce qui lui provoqua un violent cri de douleur… Trop soif, elle vida l’eau équivalent à un verre et sa soif n’étant surtout pas étanchée, elle dut recommencer mainte fois, et la rame vint de nouveau frapper ses fesses en alternance, celle de droite puis celle de gauche car le mécanisme avait été préalablement réglé, millimétré pour cela… La même chose se produisit avec la seconde soumise Shan-Yu … Les cris se multipliaient

Une heure après, le Majordome revint. Sans un mot, il ouvrit la porte du cachot et apporta ainsi une lumière forte venant du puissant halogène du couloir placé juste en face du cachot… Il ne dit rien et alla de suite derrière les deux soumises pour débrancher la machine. Il regarda ensuite leur cul plus que meurtri et qui était pour chacune très rougi, et même extrêmement bleui, les fortes marques de la rame étaient visiblement trop apparentes mais pas au sang, même si cela était limite. Il se pensa en lui-même que s’il trouverait leur sexe sec, qu’il arrêterait la punition afin de ne pas faire couler le sang sur leur cul trop contusionné… Mais c’est sans rien leur dire de cela, qu’il fouilla ensuite leur chatte… La punition avait fonctionnée ! Elles étaient trempées de cyprine ! Alors pour chacune, il leur fit lécher leur propre mouille, les détacha et leur donna à chacune une autre pilule qui avait pour effet de stopper la soif. De suite, détachées, elles supplièrent de pouvoir uriner, leur vessie étant pleine. Alors elles pissèrent à même le sol dans le cachot et devant le Majordome afin de se soulager au plus vite. Une fois fait, Walter ramena les deux soumises Mei-Ling et Shan-Yu à l’étage devant Monsieur le Marquis et Maître Ho Shen …

(A suivre …)

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