Collection Cocu. Brin De Muguet (4/4)

Cocu, je suis cocu, comme j’ai fait cocu Justin, avec l’homme des bois, je croyais avoir donné un coup de canif dans mon contrat de mariage alors que l’homme qui m’avait juré fidélité me trompe depuis un temps que je ne saurais dire.

J’avais décidé de revenir dans le droit chemin après la nuit extraordinaire que j’ai passée dans cette cabane forestière au fond du bois.
Cette salope de Corinne, elle est venue jusque chez moi pour me réconforter alors que dans le même temps elle recevait un message de son amant l’invitant à le rejoindre.
Mon mari et elle, c’est vraiment une pute.
C’est ainsi que je décide de retrouver le bûcheron qui m’a fait jouir comme jamais, j’arrive à le rejoindre, il est devant sa cabane et joue avec son chien Brutus.

• Veux-tu que je te la sorte ?
• Oh oui.

J’ai de nouveau une toute petite voix pour lui donner mon accord.

• Tu vois que tu es une salope, tu hésitais à le dire, tu es venue sans culotte.

Je tombe en sanglots.

• Elle t’a tellement manqué que tu pleures !
• Non, j’ai découvert tout à l’heure que Justin, mon mari, me trompe avec Corinne ma meilleure amie, je vais divorcer sans savoir ou aller.
• Je te dirais bien de venir t’installer ici, mais toute seule, tu aurais peur, je pars demain soir retrouver ma maison, j’ai fini ma mission.
• Ta mission, tu pars demain, mais pourquoi et pour où ?
• Par où commencer, oui, hier quand je t’ai quitté, je me suis aperçu que nos noms nous sont inconnus.
• Moi, c’est Ange.
• Benoit, j’ai bientôt quarante ans, j’ai toutes mes dents, un sexe, tu connais déjà, j’habite à la lisière d’une forêt dans une maison forestière dans les Pyrénées et je suis spécialiste des chênes en France.
J’étais ici depuis vingt jours pour contrôler le nombre de ces arbres par are puis par hectare, leur qualité afin de voir si des parasites nouveaux apparaissent, j’ai fini et je retourne chez moi avec mon chien, si tu veux venir la maison est assez grande.


• Je sais déjà ce que je vais faire, une seconde.

Je prends mon portable, cherche du réseau que je trouve près de la niche de Brutus, le chien vient vers moi et me lèches les pieds à travers mes sandales.

• Tu vois Brutus t’a déjà adopté.
• Attends, j’appelle mon mari.
Justin, c’est moi, es-tu avec ta pute en ce moment ?

Il a l’air étonné.

• Quelle pute, tu me prends pour une conne, Corinne bien sûr, qu’est-ce qu’elle te fait, elle te suce la queue, après tu vas l’enculer, elle m’a avoué un jour que son amant la prenait souvent par son trou du cul.

Il cherche à se justifier.

• Ta gueule, la petite bourge aimante que vous avez pris pour une conne vient d’ouvrir les yeux, mon avocat se mettra en rapport avec les tiens, adieu, dit au revoir pour moi à ta pute.

Je coupe.

• Bien, toi quand tu te mets en colère, c’est quelque chose, tu as mérité un cadeau.
• Un cadeau ?
• Elle.

Il a sorti ma verge préférée, je viens vers lui, je soulève ma robe, je suis sans culotte, je suis parti si vite que j’ai oublié de la mettre, je me recule le cul à hauteur de ses yeux et je tortille de la croupe.

• Encule-moi !
• Bébé, elle est grosse, tu t’en souviens hier dans ta chatte.
• Encule-moi, sinon je vais chercher des centaines de bites ailleurs, mon mari et toi hier avez déclenché en moi des envies de baiser, j’étais une gentille gourde, je vais devenir soit ton amie soit une chaude du cul.
• Je choisis, tiens !

Il m’encule, j’ai mal, mais je sais que dans les Pyrénées, je vais aimer qu’il me prenne partout et quand il le veut.
Je passe la nuit dans la cabane, le lendemain alors qu’il finit sa mission, je retourne chez moi accompagné par Brutus qui m’a accepté, il me rassure, en cas où je rencontre celui qui n’a jamais su faire de moi une vraie femme.
J’ai bien fait, il est là, je le laisse dans la Cactus, Justin se jette à mes pieds.


• Je t’aime, c’est ta copine qui m’a à lui faire l’amour, tu sais, c’est une gourgandine.
• Pauvre lope, laisse-moi passer, sinon, je fais sortir le chien, il s’appelle Brutus, il porte bien son nom, j’espère que tu as de bons mollets, mais surtout, il adore les couilles des pédés comme toi !

Il me laisse, je vais dans la chambre faire mes valises que je place dans le coffre et le siège arrière.
Deux heures plus tard, je suis de retour auprès de Benoit qui arrive et qui se met les pieds sous la table pour le premier repas que je lui ai préparé avec ce que j’ai pris dans notre frigo avant de revenir ici.
Quand il a fini son travail, nous nous préparons au départ, il a simplement un sac à dos et nous accrochons à sa moto une nacelle ou Brutus monte, le feu éteint nous prenons la route lui devant, moi le suivant.
Nous passons devant chez moi, une dernière fois, je vois Justin au moment où il sort avec Corinne, qui a dû le consoler depuis qu’ils savent que je sais, j’ai l’impression qu’il s’engueule, j’ai l’air d’avoir mis la zizanie dans le couple d’amants.

La route est longue, mais j’ai le plaisir de recevoir mon homme deux fois en moi, chaque fois, il s’arrête à la traverser d’une forêt sous couverte de contrôler les chênes, mais, c’est ma chatte, mes seins et aussi ma bouche qui est sa principale source d’intérêt.
Je jouis au point que chaque fois nous dormons dans ma voiture une heure avant de repartir.
La maison que j’ai quittée était moderne, celle où il me fait entrer est rustique, mais avec tout le confort, il me promet que j’aurais une piscine avant l’été et pour le remercier en femme fidèle, je l’autorise à me sodomiser, j’y prends goût de plus en plus.

Un mois plus tard, j’apprends que je vais être maman, bien sûr, ce ne sont pas les sodomies qui m’ont donné notre , mais chaque fois qu’il a déchargé dans ma chatte.
Cependant tout le début de ma grossesse, je fais voir à mon amour que je sais entretenir son jardin, presque tous les jours nous faisons une balade en forêt où nous aimons baiser, j’ai appris à me frotter les seins sur les écorces des chênes ce qui augmente mon plaisir, il peut me prendre suivant son bon vouloir, je suis toujours partante et de ce côté, il a beaucoup d’imagination.

Mon sexe aime toujours être aussi rempli, même s’il fait attention d’être moins rude, à cause du bébé, comme il me l’avait dit.
L’été, nous nous nourrissons presque exclusivement de ma production, le reste étant vendu à un restaurateur enchanté d’avoir des produits frais et bio.

Hugo naît en janvier, Benoit m’a accouché à la maison, car la neige nous a empêchés d’aller à la maternité, il y a eu un témoin de mon accouchement qui pour cet évènement exceptionnel a eu le droit d’enter dans notre chambre.
Brutus semble déjà aimer notre fiston, il ne quitte pas les pieds du berceau, la nuit qui suit sa naissance, il pleure, le chien monte sur notre lit pour me secouer alors que j’allais le faire.
Il me regarde lui donner le sein, j’en mets deux gouttes sur mes doigts, je lui donne, il semble ravi de déguster ce que mange notre petit.

Le lendemain, quand j’ai repris mon souffle, Benoit m’offre un bijou qu’il avait été acheté en prévision de ce grand jour, une broche avec un brin de muguet.

Dès que j’ai eu Hugo dans mes bras et que j’ai contrôlé qu’il avait bien ses dix doigts, ses oreilles et son petit nez mutin, j’ai su qu’il était le fils de son père quand j’ai écarté ses jambes et que le zizi qu’il me présentait avait déjà des proportions que si ça avait été un autre que le nôtre, je l’aurais trouvé difforme.

Les jours passent, Brutus est toujours aussi prévenant avec notre fils, je dois faire attention quand il est près du sol, non pas qu’il pourrait lui faire du mal, mais il lui donne de grand coup de lèche qui nettoie le petit.

Il y a peu, j’ai eu mon retour de couches, j’ai repris l’habitude de recevoir ma bite d’âne dans le vagin, mon accouchement entièrement naturel n’a pas entamé ma libido, ce soir, je viens de la mettre dans ma bouche.
Non pas que j’ai perdu l’habitude de sucer mon homme, depuis les dernières semaines de ma grossesse et l’attente de la possibilité d’être baisé, j’avalais son sperme presque tous les jours.


Contrairement à mon ancienne maison, nous allons chercher du muguet pour en tapisser notre lit, je veux me faire prendre dans ce champ de clochette et que notre fille soit conçue au milieu d’elles.

Et dire que tout cela m’est arrivé à cause d’un bâtard qui a oublié de m’acheter un brin de ces fleurs porte bonheur qui était vendu devant notre boulangerie par de jeunes s.
Le muguet est bien une fleur porte bonheur.

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