Samia - 11 Un Couple Modèle.

Il nous examine, comme une ménagère américaine du 18e siècle devait examiner les esclaves avant d'en choisir une. Il a l'air d'être prêt à nous acheter, car il nous dit :
— D'accord. Je vous prends. Mais il faut que le jeune homme se rase.
Julien passe la main sur ses joues qui sont aussi lisses que des fesses de bébé !
Il précise :
— Le bas-ventre.
Ah ouais, d'accord. Madame Simone vient près de nous en disant :
— J'ai ce qu'il faut. Venez, on va s’en occuper.
On entre dans le bar vers une porte marquée "Privé". Là, il y a une grande pièce. Madame Simone me donne de la crème dépilatoire. Je dis à Julien :
— Couche-toi sur la table et écarte bien les cuisses.
J'étends de la crème sur ses poils. Je tiens son sexe entre deux doigts et presque aussitôt, il bande. Il dit aussitôt :
— Pardon Samia, mais c'est que...
La suite ne vient pas, car Madame Simone lui dit :
— T'en fais pas mon garçon, il ne nous fait pas peur, ton petit instrument.
On rit toutes les deux. Je lève ses jambes à la pliure des genoux comme on le fait pour changer le lange d'un bébé ! Après avoir mis de la crème partout et laissé reposer, j'enlève la mixture avec ses poils. Madame Simone m'apporte de l'eau pour le rincer. Je le remets debout et je prends par la main. On retourne sur la terrasse. Monsieur Jo nous dit :
— Bien ! Comme ça, vous êtes très beaux, mes s (il parle comme le prêtre de l'autocar !). On va faire de belles photos.
Madame Simone lui demande :
— Combien tu les payes ?
Tête de Jo qui répond :
— C'est toi qui t'occupes d'eux ?
— Oui.
— 300 francs (environ 50 euros)
— On veut 600. Regarde comme ils sont beaux, retournez-vous les petits.
On montre nos fesses. Jo lui dit :
— 400, tu sais bien que...
— 500.
Il pousse un gros soupir en disant :
— Bon d'accord.
J'ai été bien inspirée de la prendre comme agent.

Je vais près d'elle pour lui dire :
— Merci, Madame Simone.
Avant de partir, je lui demande :
— Est-ce que je pourrais passer un coup de téléphone à l'Auberge de Jeunesse d’Agde pour dire qu'un ami peut nous joindre ici ?
— Oui, vas-y.
J'avertis la gamine de ce qu'elle doit dire à Kristos. Monsieur Jo m'appelle :
— Viens, on y va.
— Oui, oui, j'arrive.
On va sur la plage et on commence par des photos plutôt sages.
Ensuite, il m'explique :
— On ne va pas faire de l'érotique, mais des photos prises sur le vif. Parfois, elles peuvent être assez révélatrices. Par exemple, si tu ramasses un ballon... Tu vois ce que je veux dire ?
— Je crois... Un peu comme ça ?
Je m'approche de l'eau en lui tournant le dos et... Oh ! C'est quoi ça ? J'écarte les jambes et je ramasse une coquille de moule. J'entends "clic" ! Je crois qu'il l'a bien eue, la moule. Enfin, la mienne ! Il a l'air ravi en disant :
— C'est exactement ça.
— Vous ne regrettez plus votre argent, Monsieur Jo ?
— Non petite, mais tu sais, il y a des filles qui sont coincées du cul. Manifestement, c'est pas ton cas.
Ah, non... En plus, si on peut faire plaisir et gagner de l'argent. On enchaîne sur des photos couchée sur le sable, moi genre je ne me rends pas compte qu'on voit tout. Ensuite je vais dans l'eau avec Julien. Monsieur Jo nous demande de faire les dauphins : on plonge de façon à ce qu'on voie juste nos deux paires de fesses qui sortent de l'eau. On doit aussi nous promener au bord de l'eau, la main dans la main. Bref, on fait tout ce qu'il veut. Il est ravi. En fin de séance, il me dit :
— Je voudrais que Julien te prenne sur ses épaules.
On pèse à peu près le même poids, mais moi je travaille depuis que je suis née ou presque. Lui n'a jamais levé le petit doigt. Je fais remarquer à Jo :
— Il va s'écrouler si je monte sur ses épaules, vous ne préférez pas qu'on fasse l'inverse ?
— Oh si, super idée Samia.
Tu crois que tu y arriveras ?
Je m'accroupis et dès que les jambes de Julien touchent mon dos, il bande. C'est dingue, l'effet que je lui fais. Il me monte dessus maladroitement. Je sens ses fesses sur mes épaules, ses jambes sur mes seins et son tout petit zizi qui se presse contre ma nuque. J'avoue que je dois faire un effort pour me redresser, mais je fais "han" et j'y arrive, tandis que lui fait "iiiiiii", un petit cri de souris qui a perdu son bout de fromage. Il se tient solidement à ma tête. Jo est ravi, on a droit à un :
— Merveilleux, mes s !
Je cours avec Julien sur mes épaules. Jo nous prend sous toutes les coutures. Au bout de 10 minutes, je lui dis :
— Ça devient quand même un peu lourd.
— Oui, bien sûr poussin, tu peux le déposer. Il est presque 11 h, on doit retourner chez Simone, si tu fais le service.
Je suis devenue "poussin" ! On marche le long de l'eau pour retourner chez Simone. Jo me met négligemment une main sur les fesses, en disant :
— Tu n'as pas les plus belles fesses du Cap d'Agde, mais de tout le Sud.
Il a l'air sincère. Pourtant, il doit en voir vues, des fesses. Une main sur mon cul avec un compliment, même embrouillé, ça me plaît.
Quand on approche des Flots Bleus, il y a nettement plus de monde et il retire sa main en disant :
— Un conseil d'ami, petite. Fais attention que tes comptes soient toujours justes avec Simone, elle a des amis... coriaces à Marseille.
— Merci, je ferai attention.
Madame Simone nous regarde arriver et elle nous dit :
— Comment ça s'est passé ?
C'est Jo qui répond :
— Très, très bien
— J'aurais dû te demander plus.
C'est pour plaisanter, je crois. Elle ajoute :
— Venez à l'intérieur, on va faire les comptes.
Jo lui donne l'argent convenu. Elle retient 20 % et me donne ce qui reste. C'est pas mal pour une matinée de travail. Elle lui dit :
— Apporte-moi quelques photos pour faire la pub des petits.

— D'accord.
Elle se tourne vers moi :
— Va aider Anaïs à dresser les tables
— Oui, d'accord.
— Dis Madame, c'est mieux
— D'accord, Madame.
Faire le service, je connais et dire "Madame", je m'en fous. Elle ajoute :
— Tu vas devoir mettre ça.
Pas un uniforme quand même ? Non, elle me tend une casquette américaine, blanche, avec l'inscription "flots bleus" et une ceinture porte-monnaie. Elle me dit :
— Occupe-toi du côté droit, Anaïs fera l'autre.
Anaïs a écouté notre conversation. Elle me dit :
— Si tu as un problème, dis-le moi.
— Merci, tu es gentille.
On dresse les tables... C'est Madame Simone qui cuisine et c'est de la petite restauration. Sa fille, Kriss, devrait être contente de ne plus faire un job aussi humiliant que serveuse, mais elle n'est pas plus sympa pour autant.
Je fais le service, je souris, je fais bouger mes seins et mes fesses, je me baisse pour ramasser une allumette par terre. Oh mon Dieu, mais je montre tout ! Pour être franche, une des raisons qui m'a fait accepter ce job, c'est que je suis nue et que je me faufile entre des gens nus. Un homme distingué me donne un gros pourboire. Je le remercie chaleureusement et il pose la main sur mes fesses. Il faut dire qu'on est dans la partie la plus "libérée" du village. Des clients ont vu ça et bientôt, quelques mains supplémentaires s'égarent sur ma chute de rein. Il y a même une grand-mère qui me caresse en disant :
— Tu en as un beau petit cul.
— Merci Madame.
Et... ding : gros pourboire. Ça marche mieux ici que dans le petit bistrot de Berck-sur-Mer. Je m'aperçois qu'Anaïs se laisse aussi caresser au passage. Je la vois même coller son pubis contre l'épaule d'un client. J'aime cette ambiance... de sexe. N'empêche, on court beaucoup, donc c'est dur.
Je vais demander à Madame Simone :
— Mon frère pourrait nous aider, Madame ?
Elle réfléchit un instant, puis répond :
— D'accord mais je ne le paie pas.
Allez, retourne vite travailler.
Anaïs a déjà trouvé une casquette "Les flots bleus". J’annonce à Julien :
— Tu mets ça et tu fais ce qu'on te dit.
Comme serveur, il est nul, bien sûr. Anaïs et moi, on le fait débarrasser les tables ou aller chercher des choses simples. Kriss a une personne de plus à qui donner des ordres. Je me fais un petit bas de laine avec ce que je gagne ici, plus les photos, et dès qu'il y a assez, on part... à Saint-Tropez.
— SAMIA !! Débarrasse la 12.
— Oui, Mademoiselle Kriss.
Connasse ! J'attends des nouvelles de Kristos et on part à St Trop' avec lui.
Vers 14 h 30, il ne reste plus qu'une table occupée. Ce sont des clients qui terminent leur café et ils ont déjà payé. Anaïs me dit :
— Viens, on va faire la caisse avec Madame.
On laisse Julien nous prévenir s'ils veulent quelque chose ou s'il y a d’autres clients qui arrivent. Madame Simone et Kriss sont assises dans le fond du bar. Anaïs et moi, on est en sueur...
En ce qui concerne les pourboires, il y a une règle. Je ne sais pas si vous avez déjà été serveur ou serveuse. Non ? Peut-être votre mère ou votre femme ? Non plus ? Bon, j'explique : les serveurs et les serveuses partagent leurs pourboires. Les filles, si elles sont jolies et un peu souriantes, recevant beaucoup plus de pourboires que les hommes. Ici, on est deux filles et Anaïs est presque aussi jolie que moi.
Vous pensez bien que je n'ai pas mis de temps en temps un billet dans ma poche ! D'abord, je n'ai pas de poche, ensuite, j'ai pris au sérieux l'avertissement de Jo et enfin, je suis honnête... dans la mesure du possible. Kriss nous donne notre part des pourboires, c'est pas mal. Elle me dit :
— Tâche d'être plus attentive, demain.
— Oui... Mademoiselle Kriss.
Dans peu de temps, ma place sera à nouveau vacante, sale bêcheuse !
— Bon, soyez là demain à 11 h 30.
— Oui, merci Mademoiselle Kriss
J'embrasse Anaïs qui me presse contre elle. On mélange un instant nos seins et notre sueur.

A suivre.

Pour tous renseignements ou simplement pour me dire bonjour, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!