Plaisir Chez Le Médecin
Jétais dans la salle dattente du médecin quand une femme seule débarqua dans la pièce. La quarantaine, brune et plutôt bien en chair. Jaurai bien cru que jétais le dernier client. Dailleurs jentendis la secrétaire daccueil demandait par lintermédiaire du téléphone si elle pouvait disposer.
Cela faisait bien cinq ans que je navais pas mis les pieds dans un cabinet de médecin ! et en parlant de pied les siens étaient loin de me déplaire. Dans ses sandales à lanières de cuir noir. Et juste cette vision mavait mis en feu tant ils étaient excitants !
Jétais donc installé sur un siège les yeux rivés ma cible, alors quelle consultait son portable. Je profitais quelle soit occupée pour poser ostensiblement sa main sur ma braguette de temps à autre, avec des petits mouvements de va-et-vient discrets. Très vite une bosse commençait à se former sous mon jean !
Je ne savais pas pourquoi, jétais tenté de faire quelque chose de sale. Me foutant comme de lan mille des retombées. Jétais comme attirée par le désir de provoquer cette femme encore inconnue quelques minutes auparavant. Je la regardais à la dérobée tout en me massant la queue. Pour mon plus grand plaisir, au bout dun moment, elle quitta de vue lécran du portable pour jeter un il de mon côté et donc voir ce que je faisais, surtout que je ne me cachais quà moitié, la regardant droit dans les yeux !
Une véritable décharge de plaisir me submergea, sentant ma queue se gorger un peu plus de sang, avec une très violente envie de mettre à lair ma queue et me masturber
A femme portait une robe portefeuille en jean, sans doute excitée par mon manège, elle commença par écarter légèrement les cuisses et soulevé un pan de ma robe. Aux anges je lui souris, un moyen comme un autre pour lencourager. Dailleurs, elle glissa une main sous sa robe. Jétais incroyablement excité par cette situation que je navais jamais connue, cette femme qui se caressait nonchalamment devant moi.
Les minutes passées, et la femme ne se cachait plus alors que pour ma part, je me caressais maintenant avec plus de force, appuyant la paume de sa main sur la bosse qui était maintenant très conséquente. Ce petit jeu dura quelques minutes, mais en voyant mes yeux rivés sur sa main et son entrejambe, elle eut envie de men donner plus.
Tout en se soulevant légèrement de son siège, elle fit en toute impunité glisser sa culotte sur ses sandales, et hop, le fourra dans son sac, exhibant un petit triangle isocèle de poils bruns. Elle était du genre bien fournie en poils.
Elle posa un pied en appui sur son siège de façon à bien écarter les cuisses, et me révéler toute son intimité. Je ne me privais pas de fixés mes yeux sur sa chatte quelle écarta généreusement, totalement impudique. Je ne pus me retenir de lui lancer :
- Vous mexcitez, cest dingue
alors que je continuais à me masser à travers létoffe de mon pantalon.
Prise dune folie sensuelle, et après un rapide coup dil du côté de lentrée, elle plongea la main dans mon décolleté et sortis tour à tour ses deux gros seins. Gonflés par lexcitation, les tétons pointaient fièrement.
Je la sentais complètement lubrique cette femme, pas mécontente dexposer à la vue dun beau gosse comme moi, ses jambes écartées sur une vulve gonflée et seins à lair. Jaurai parié mon salaire que jaurai pu la baiser là, sur place tant elle était excitée !
Mes yeux passaient tour à tour sur sa chatte et ses seins et, après moi aussi mêtre assuré daucun mouvement suspect, je déboutonnais ma braguette et en sortis, pas sans mal ma verge bandée. Chacun, les yeux rivés sur le sexe de lautre, nous avions commencé à nous masturber. Elle, lindex tournicotant sur son bouton, écartant ses lèvres, branlant sa chatte. Voir cette main inconnue sagiter sur cette moule gonflée dexcitation à quelques centimètres de mes yeux et de ma queue mavait carrément mise en transes !
Je sentais bien quelle aussi était au bord de la jouissance, à sa respiration qui devenait de plus en plus saccadée.
Cétait une situation incroyable et terriblement excitante, et javais terriblement envie daller poser ma bouche sur sa foufoune. Alors javais pris place sur la chaise à côté delle. Elle ne tarda pas à caresser mes couilles. Je ne pus résisté de pousser un petit cri étouffé ponctué de :
-Oui
oui
vas-y, caresse-moi
De son côté, elle me prit ma main pour la poser sur sa poitrine. Jempoignai un sein, le triturais, je soupesais, tirant sur le téton. Je pris linitiative de poser mon autre main sur sa chatte. Massant son bouton avec le gras du pouce alors que je fis disparaître deux doigts dans sa chatte la fouillant. Et très vite elle arriva au bord de lorgasme. Cela ne lempêcha pas de continuer à me branler, et de façon correct, à me faire délirer au point de lâcher des :
-je vais gicler
je vais gicler.
Et comme prévisible, je jouissais à mon tour en même temps quelle, comme je crois navoir jamais joui. Javais le cur qui cognait, les tempes en feu et des étoiles devant les yeux.
Je mis plusieurs minutes à reprendre mes esprits. Après ce moment délucubration, elle replongea les yeux sur lécran de son portable. Nous néchangeâmes pas un mot jusquà lapparition du médecin qui minvita à le suivre. Alors que jallai franchir la sortie, la femme me lança :
-Cétait génial !
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