L'Été, C'Est Fait Pour La Baise (2)

Résumé de l'épisode précédent : trois femmes d'une même famille (grand-mère, mère et fille) se retrouvent comme chaque année dans une maison de campagne pour quelques jours d'été. L'occasion pour la très libertine grand-mère d'initier sa petite fille au sexe grâce à son amant mais sans l'aval de sa mère et encore moins du petit ami de la jeune fille, tous deux ignorants de cet épisode.
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Le séjour campagnard s'était achevé pour Marianne, la mère, qui avait rejoint son agence immobilière, mais aussi pour Claire, sa fille, partie en stage linguistique en Angleterre sans Kevin, son petit ami, retourné lui aussi à la ville pour occuper un petit boulot de caissier dans une grande surface. Seule Françoise, la grand-mère, était restée sur place pour continuer à profiter de sa piscine privée... et de son amant Albert, l'initiateur de Claire au sexe brut. En ces jours d'été, Marianne n'était guère occupée par son travail. Elle était d'autant plus libre de son temps que son compagnon Olivier, lui aussi de retour à la ville, était parti en déplacement professionnel pour quelques jours.

Voilà pourquoi Kevin vit souvent apparaitre derrière sa caisse une cliente qu'il connaissait bien pour l'avoir vu nue au bord de la piscine de son hôtesse pendant ses brèves vacances. Marianne apparaissait à chaque fois sommairement vêtue d'une mini jupe découvrant largement ses cuisses bronzées et d'un débardeur sous lequel ses seins pointaient sans entrave. La quadragénaire cherchait à l'évidence à se rajeunir et inspirer le sexe. Dire que Kevin n'était pas insensible à ces apparitions constiait un euphémisme. Derrière ses lunettes de soleil, au bord de la piscine, il avait souvent lorgné avec concupiscence la croupe pulpeuse et les seins larges de sa "belle-mère", à laquelle il lui arrivait de penser quand il baisait Claire.

Quant à Marianne, le corps superbe du petit ami de sa fille, avec ses pectoraux saillants et son damier ventral, fruits de longues heures d'entrainement dans les bassins de natation, lui donnait aussi des idées qu'elle tentait tant bien que mal de refouler.

Quand elle entendait Claire crier de plaisir lorsqu'elle faisait l'amour avec Kevin, une onde de chaleur n'en irradiait pas moins son bas-ventre. Elle pensait à la queue longue et fine du jeune homme qui se balançait à chaque pas et l'imaginait en érection. Une source de bonheur féminin, à l'évidence.

Au demeurant, les rapports sexuels entre belle-mère et gendre constituent souvent une usine à fantasmes et même si on était loin d'en être à ce stade avec ces personnages, les deux personnes concernées n'en étaient pas moins tiraillées entre le désir et la morale. Mais ce qui animait surtout Marianne dans ces circonstances, c'était l'envie d'initier le jeune homme au "vrai sexe" afin que sa fille ne soit plus tentée de courir le guilledou auprès des hommes mûrs. Elle avait bien compris qu'Albert, l'amant de Françoise (la grand-mère), avait fait basculer Claire dans un autre monde sexuel et qu'elle ne reviendrait plus en arrière. Et Marianne n'avait aucune envie d'avoir pour "gendre" un homme de son âge.

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Aussi, après une nouvelle apparition à la caisse de Kevin, elle lui proposa de la retrouver le soir même, après son boulot, à une terrasse de café pour "bavarder", prétextant une solitude un peu pesante. Le jeune homme accepta d'autant plus volontiers la proposition qu'il s'ennuyait ferme lui aussi en fin de journée.
Il arriva le premier à la terrasse du café convenu. Marianne apparut ensuite, mâchoire carrée de décideuse, cheveux battant ses épaules, corsage en jean boutonné bas, jupe courte également en jean dévoilant ses cuisses un peu épaisses mais musclées. Les fauteuils du bar étaient assez profonds et Kevin, la gorge sèche, ne tarda pas à découvrir, lors d'un des nombreux croisements de jambes de Marianne, l'ombre de son pubis brun. Il avait beau l'avoir vu très souvent nue, le fait qu'elle ne porte pas de slip sous sa mini jupe déclencha illico une raideur dans son bermuda, dont s'aperçut sans mal sa vis à vis. De leur discussion, on ne retirera que l'ennui mutuel en l'absence de leurs "conjoints", quelques bons souvenirs de leurs vacances, les vicissitudes du métier de caissier et la vacuité d'un travail d'agent immobilier au coeur de l'été. Tout s'acheva par la proposition de Marianne de venir partager son dîner solitaire chez elle, "à la bonne franquette car je n'ai rien préparé". Ce que Kevin accepta d'emblée.

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Marianne déclara à son entrée dans son appartement qu'elle allait préparer des spaghettis à la carbonara "parce que c'est rapide". La vérité oblige à dire que le plat n'arriva jamais sur la table. D'emblée, une tension érotique palpable régna dans l'appartement. Kevin, sevré de sexe depuis le départ de Claire, bandait comme un âne et l'excroissance sous le léger bermuda était tellement visible que Marianne ne pouvait décemment pas l'ignorer. Trois options se présentaient à elle : évacuer de sa pensée le trouble de son visiteur, au contraire le tourner en dérision ou carrément lui mettre "la main au panier". Quant à Kevin, il n'était pas assez audacieux, du haut de ses vingt ans, pour enlacer la mère de sa petite amie et lui coller son vit sur le corps. C'est ce que comprit Marianne et la décida à la transgression. Pendant que le jeune homme remplissait la casserole d'eau avant de la mettre sur le feu, comme il s'était proposé afin de dissimuler son érection, Marianne se glissa derrière lui, écrasa ses seins sur son dos et glissa une main sous le bermuda, saisissant ses couilles bien pleines. Kevin sursauta, mais ne dit mot. Et Marianne lui souffla à l'oreille :
- Laisse-toi faire.

Elle le retourna, s'accroupit, baissa le bermuda et le slip, saisit la verge tendue et goba le gland petit mais ferme pour une démonstration de pipe dont elle savait sa fille bien incapable, avec l'a priori d'une mère.
Il faut reconnaitre qu'elle était particulièrement experte et le premier à en convenir était Kevin lui-même. Jouant avec virtuosité de la langue, des lèvres, des joues et même de l'entrée de sa gorge, tout en observant les réactions du jeune homme en levant les yeux vers lui, Marianne sentit rapidement, à la dureté de la verge, qu'il allait exploser prématurément dans sa bouche. Elle persista néanmoins et Kevin expulsa un baquet de sperme en gémissant que Marianne avala d'un trait, étant des "femmes qui avalent". Elle se barbouilla le visage du reste de la crème intime, signifiant ainsi à son jeune amant le plaisir que lui avait procuré son liquide séminal, quand bien même avait-il été expulsé trop tôt.

Elle chassa aussitôt ses excuses :
- C'est normal, j'aurais dû te ménager. Mais rassure-toi, tu ne perds rien pour attendre. Tu seras même plus endurant et c'est ce que je voulais.
Ils passèrent à table devant les pâtes à la carbonara. Marianne était toujours vêtue de son ensemble jean dont la veste baillait sur ses seins généreux. A la fin du repas, durant lequel ils avaient peu parlé, elle glissa son pied nu sur l'entrejambes du jeune homme qu'elle massa de ses orteils. L'érection ne tarda pas à réapparaitre. Marianne se leva de table en s'étirant, très chatte, et lâcha :
- J'ai très envie d'un petit dessert.
Ecartant les couverts dans un coin de la table, elle s'assit face à Kevin, encore sur sa chaise, troussa sa jupe, prit le jeune homme par la nuque et le porta vers son entrecuisses, ordonnant :
- Lèche !

Kevin n'avait jamais pratiqué le cunni avec Claire. Le contact du sexe trempé de Marianne sur les lèvres se fit d'abord maladroitement. Elle le guida :
- Douuuucement ! Tu sens mon clito en haut ? Mets-y la langue. Là, oui, comme ça, continue. Mmhhh c'est bon. Va au fond maintenant, comme ta queue. Reviens au clito, là comme ça, tu alternes. Sers-toi du bout de ta langue. Ouiiiii ! J'adore ça. Mange ! C'est ton dessert et le mien.

Pris au jeu, Kevin devint de plus en plus alerte, excité par le remuement des hanches de Marianne sur la table et par la crispation de sa main sur sa nuque. Les soupirs d'extase de la quadragénaire se traduisirent par une gerbe de cyprine sur son museau. Il lui avait offert un premier orgasme. Surexcité, il se releva, se mit debout et la pénétra d'une seule poussée. Il croisa son regard étonné puis énamouré tandis qu'elle encerclait ses reins de ses mollets et la table se déplaça d'un bon mètre sous les assauts du jeune mâle fouisseur. En appui sur la table, Marianne tentait de lui renvoyer la balle mais c'était lui qui menait la danse. Son éjaculation récente le rendait endurant, comme elle l'avait prévu, et ce fut elle qui atteignit la jouissance en se cabrant. Haletante, elle lâcha :
- Coquin ! Tu m'as déjà mis le feu. Allez, viens, on va continuer au lit. J'ai encore envie de baiser.

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Nue sur lit, Marianne observa d'un oeil gourmant le jeune homme se dévêtir, la queue fine à l'horizontale. Lui admirait le corps pulpeux, intégralement bronzé, ouvert, et ressentit aussitôt l'angoisse de le décevoir.
- Viens, on va faire le tour de la question, lui dit-elle, le sourire aux lèvres. Et pour commencer, un bon petit 69. Je vais venir sur toi.
Kevin ignorait encore cette position, du moins dans sa pratique, n'ayant jamais osé la proposer à Claire (laquelle, on le sait, avait déjà franchi le Rubicon avec Albert quelques jours plus tôt). Littéralement absorbé par la croupe plantureuse de la quadragénaire, le ressenti à l'autre bout de sa langue experte le mit dans un état d'excitation extrême, en même temps qu'un vrai confort moral. C'est elle qui prenait l'initiative et cela lui convenait.
- Je vais te faire voir mon cul maintenant, lui dit-elle en venant s'empaler sur lui.
Encore un truc qu'il n'avait jamais fait avec Claire. Le spectacle des deux globes charnus en mouvement provoqua son ravissement. Il voyait l'anus s'ouvrir et se fermer sous l'effet de l'ondulation, si bien qu'il osa y mettre son pouce.
- Ouiiii, continuuuue ! souffla Marianne, qui adorait qu'on s'occupe de son petit trou, comme on va le voir plus loin.
En attendant, elle se retourna et ce fut désormais la vision de ses seins ballottants qui fascina Kevin, surtout quand elle se mit sur ses pieds pour accen la longueur de la pénétration. Il empauma les deux mamelles, s'attirant un nouveau satisfecit avec cette précision :
- Caresse-les au bout !
Marianne commençait à se dire que le petit ami de sa fille était finalement plus doué qu'elle le pensait.

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L'idée de Marianne était à la fois de montrer au petit ami de sa fille la variété du plaisir sexuel afin de ne pas le limiter à la basique position du missionnaire ou à la fellation, qu'elle supposait pratiquées par le jeune couple. A lui montrer les délices des petites cochonneries que l'expérience enseigne. Mais c'était aussi pour elle une manière de prendre son propre plaisir avec un mec au corps parfait, doté par la nature d'une queue longue et fine disposant de vraies virtualités, à commencer par la sodomie. C'est pourquoi, après lui avoir longuement offert la vision de son corps empalé et mouvant, tant du côté pile que du côté face, et s'être régalée des pectoraux saillants et du damier sculpté de son physique de nageur, si éloigné du corps un peu replet de son compagnon Olivier, elle se détacha et lui dit :
- Maintenant, tu vas me prendre par derrière. D'abord par la chatte, ce qu'on appelle la levrette, puis par mon petit trou. Mais d'abord, tu me mettras ta langue dans l'anus. T'inquiète pas, je suis propre. Mais il faut que tu y ailles. Le sexe, c'est aussi là que ça se passe pour une femme. Il faut juste bien la préparer. Et tu vas voir comme c'est bon. Tu dois trouver que je suis une vraie cochonne, pour ne pas dire plus. Je suis juste une femme qui baise et il y en a beaucoup comme moi. Si tu veux leur plaire, il faut les satisfaire.

Kevin fut un peu interloqué par cette tirade mais il nota l'absence d'allusion à Claire. Il n'eut pas le temps de se poser trop de questions car Marianne s'était retournée et offrait sa croupe pulpeuse à raie longue, dont il avait si souvent admiré le louvoiement au bord de la piscine. Mais cette fois, elle était au bout de sa queue. Sans hésiter, il s'enfonça en lui tenant les hanches qu'elle roulait avec allégresse. Pendant qu'il la besognait, elle proféra une série de mots crus qui chatouillèrent ses oreilles, peu habituées par ses ébats avec Claire qui se limitait aux couinements et aux jappements. Marianne lui parlait de sa bite et de sa chatte entre deux halètements, jusqu'au moment où elle lui dit :
- Lèche-moi le cul maintenant et encule-moi.

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La pratique était inédite au jeune homme. Il hésita mais ne voulut pas non plus paraitre idiot à la somptueuse quadragénaire devenue son initiatrice. Sa langue s'aventura avec précaution mais l'instinct du mâle finit par prévaloir et après avoir copieusement enduit l'anneau de sa salive, sous les injonctions de Marianne, il aventura sa queue qui s'était encore allongée. Cambrée, impérieuse, elle l'accueillit aisément et Kevin ressentit une sensation nouvelle : celle d'évoluer dans un large espace, brûlant et accueillant. L'ivresse des peaux qui claquent ne tarda pas à l'emporter, d'autant que Marianne ne cessait de l'encourager avec des mots choisis. L'autre découverte du jeune homme était l'excitation procurée par le verbe cru d'une femme bien baisée. Elle tournait parfois son visage par dessus son épaule pour le regarder et l'admonester, glissant une main entre ses cuisses pour lui palper les couilles. Et c'était la mère de Claire, sa copine ! Mais quelle cochonne ! Ah si elle pouvait déteindre sur sa fille ! Mais ces choses là ne s'éduquent pas. Avec son endurance d'athlète, il poursuivait sans faiblir son oeuvre de mâle en matant le dos bronzé et les fesses mouvantes de sa partenaire en extase. Elle poussa un cri de plaisir et il vit son corps parsemé de chair de poule. Il l'avait fait jouir ! Elle s'aplatit et il s'interrompit, la queue toujours en éveil. Elle se retourna et lui sourit :

- Tu me sers comme un chef ! Tu es fait pour l'amour. Les femmes t'adoreront. En tout cas celles qui aiment la bite, comme moi. Je te parais vulgaire ?
- Euh.... non, c'est excitant.
- Je parle quand je baise, c'est plus fort que moi. Si mes clients savaient ça ! Tu vois, c'est ça aussi le sexe. Permettre à une femme de se lâcher complètement. De faire sortir la bête qui est en elle. L'homme est bestial mais la femme aussi. Je vois que tu es toujours gaillard. Mais tu m'as tuée. Tu vas me baiser maintenant comme tu en as envie. Je veux que tu jouisses, que tu cries aussi et que tu me fasses encore crier. Comment veux-tu me prendre ?
Kevin l'embrassa et vint se positionner entre ses cuisses, qu'il releva en glissant ses mains sous ses genoux. Elle lui prit le pénis et le guida vers sa chatte trempée, disant :
- Oui, c'est ça, défonce-moi, vide-toi, ne me ménage pas, secoue moi, j'adore ça.
Elle n'eut pas besoin de l'encourager. Une virulente pénétration la mit aussitôt en transes. Il la mitrailla de sa queue tendue et elle se mit à proférer des mots incompréhensibles mêlés aux claquements de peaux et aux grincements du lit. Tout au plus comprit-il les "baise baise baise" répétés qui agirent sur ses couilles comme un aiguillon, tout autant que son visage irradié de bonheur. Il lâcha tout et finit d'éjaculer sur ses seins luisant de sueur amoureuse. Elle trouva la force de sucer ses dernières gouttes comme si elle absorbait un élixir de jouvence. C'était fini. Il avait connu le plus beau rapport sexuel de sa jeune vie.
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Ils recommencèrent dès le lendemain et Marianne poursuivit son "éducation" en lui faisant connaitre les délices préliminaires du 69 et les copulations en dehors du lit, cuisine et salle de bains notamment, "pour sortir de la routine", expliqua-t-elle. Il vint même la prendre, à sa demande, dans l'arrière-boutique de son agence immobilière à l'heure du repas de midi, pendant que les employées déjeunaient à l'extérieur. Leur entente sexuelle était devenue si parfaite que Marianne fut prise d'une soudaine inquiétude : et s'il la préférait à sa fille ? Prise à son propre piège, elle prit à son corps défendant l'initiative de la rupture. Kevin en fut très chagriné, mais comprit la démarche.
Néanmoins, un pli était pris. Il était devenu accro à la maturité. Le hasard fit qu'un jour de forte chaleur, l'amie de sa mère, une grande blonde tout juste quinquagénaire répondant au prénom de Corinne, s'invita pour profiter de la piscine familiale. Son apparition en bikini réduit électrisa le jeune mâle. Le mini slip contenait à peine deux globes pulpeux qui ne demandaient qu'à être visités. Kevin connaissait Corinne depuis l'âge de 12 ans et avait toujours fantasmé sur elle, en particulier au cours de ses masturbations. Mais il n'avait jamais envisagé de devenir son amant. Elle lui avait toujours semblé inaccessible. Ou trop âgée. Grâce à Marianne, il n'en était plus de même. Pourquoi ne pas essayer de la séduire, en dépit du fait qu'il estimait son mari Bernard ?

Sa mère et elle bronzaient topless quand Kevin apparut en slip de bain. Il vint faire la bise à la grande blonde, matant au passage ses seins généreux étalés sur son torse, et s'attarda sur le coin de ses lèvres. Il perçut illico le trouble de l'amie de sa mère. Le corps d'athlète de Kevin ne l'avait à l'évidence pas laissée insensible. Son pénis moulé par le slip non plus. Il avait bien changé, le gamin, comme si "l'éducation" de Marianne l'avait fait basculer dans un autre monde. Il semblait plus mûr, plus sûr de sa virilité. Au cours de la conversation au bord de la piscine, il se renseigna sur Bernard. Il se trouvait alors en déplacement. Corinne était seule chez elle.

Il lui rendit visite dès le lendemain. Il s'était annoncé et il constata qu'elle s'était légèrement maquillée. Elle portait une mini robe mettant en valeur ses longues cuisses bronzées. Il décida de jouer son va-tout. Ce serait la gifle ou la baise. Ce fut la baise. Corinne était dans le besoin, à la fois physiologique et parce qu'elle était anxieuse de ne plus plaire. Quand il s'assit à côté d'elle et l'enlaça, puis l'embrassa, elle fit d'abord mine de résister en protestant, "allons Kevin, je suis trop vieille pour toi". Mais il retira son tee shirt et la vue du torse de nageur la fit capituler. Après un long cunni qui la fit bouillir, il la pénétra sur le canapé puis l'entraina sur la table de la cuisine et enfin sur le lit de la chambre d'amis où il l'encula avant de jouir dans son rectum. Chavirée mais radieuse, Corinne lui fit jurer de ne rien dire à sa mère mais l'implora de revenir la voir.

Ce fut le début d'une liaison torride et durable mais discrète où la quinquagénaire approfondit "l'éducation" du jeune homme, se révélant aussi cochonne que Marianne et profitant autant que celle-ci du corps splendide et de la virilité du nageur.
Mais Claire rentrait de son stage linguistique en Angleterre et était censée retrouver son "fiancé". Kevin ne tardèrent pas à se retrouver seuls dans une chambre pour faire l'amour. Ils ne se reconnurent plus. Claire était devenue inventive, demandeuse, bavarde. Elle demanda même à être sodomisée alors qu'elle lui aurait interdit l'accès de son petit trou auparavant comme une réserve d'or. Mais l'habileté avec laquelle il l'encula lui donna tout autant à penser. Elle ne tarda pas, ensuite, à lui avouer non son rapport avec le maire mais avec son maitre de stage anglais, quinquagénaire barbu et vicieux, qui avait vite perçu dans le regard faussement candide de sa stagiaire un appétit sexuel pour les hommes mûrs. Elle ne s'était donc pas seulement perfectionnée en anglais. Elle avait même participé à un plan à quatre avec la femme du prof et un ami du couple. Elle était devenue libertine.
Kevin avoua donc à son tour sa liaison avec Corinne, le plaisir qu'il prenait aussi avec la maturité. D'un commun accord, les deux jeunes décidèrent qu'ils resteraient ensemble mais sans sacrifier leurs nouveaux penchants. Et dès le lendemain, Claire frappa à la porte d'Albert, tout étonné d'être sollicité par la plus belle fille du coin.