Collection Zone Rouge. Hôtesse Sur Air Liberté (1/1)

• Bonjour mademoiselle, merci d’être venue à mon invitation, j’aimerais vous proposer un emploi, certes un peu spéciale.
• Vous m’intriguez, hôtesse, cela fait trois ans que je navigue sur Air Intérieur, je connais toutes les ficelles du métier.
• Certainement, mais sur Air Liberté nos vols sont spéciaux et dépassent le cadre d’un simple voyage en avion.
Vous avez été licencié, il y a un mois et vous vous demandez comment payer la traite de votre appartement à Paris, le 4x4 de votre mari et votre mini, je sais qu’une restriction de personnel en est la cause, nullement vos compétences.
• Merci de reconnaître mes conséquences, je suis prête à voler sur votre compagnie, mais une chose m’intrigue, dans votre courrier vous parliez de 8 000 €, hors pourboire par mois, je touchais 4 000 € à Air Intérieur, que va-t-il falloir que je fasse pour mériter un tel salaire.
• Êtres vous-même et rester celle que vous êtes dans votre vie de tous les jours.
• Êtres celle que je suis dans la vie de tous les jours, que voulez-vous dire ?
• Êtres la salope qui se fait sauter régulièrement par ses nombreux amants au fil de vos escales.
• Vous êtes fou, je suis une femme mariée, je vous quitte cherché en une autre.

Je me lève et je vais pour quitter le bureau de cet immeuble bourgeois ou près de la porte la plaque m’a intriguée « Air Liberté » sans plus de détail.

• Jennifer, 24 ans, je suis mariée à Benoit 28 ans sans s, refusant d’en avoir par ailleurs.
À fait l’amour à Bangkok avec deux hommes rencontrés dans un bar près de l’aéroport.
C’est fait sauter par le commandant de bord à Bali dans l’hôtel où vous passiez votre journée de repos, en passant si mes renseignements son juste il était ton amant régulièrement.
Il t’en faut d’autres !
• Comment savez-vous tout cela ?
• Une compagnie qui veut se développer surtout avec notre spécificité doit avoir un bon détective qui prépare les embauches, nous l’avons appris par une de tes maîtresses, car tu fais les femmes aussi qu’elle salope, tu étais.


• Je fais les femmes aussi !
• Oui, tu es lesbienne, tu aimes brouter des chattes !

Isabelle, la salope, c’est la seule femme avec qui j’ai passé deux jours à Rome, j’avais repéré un beau gosse nouveau steward sur la compagnie, mais c’est ma copine hôtesse qui est venue dans ma chambre m’emprunter du dentifrice ayant oublié le sien.
J’étais dans mon bain, elle a enlevé son peignoir, elle est venue me rejoindre, au départ, j’ignorais qu’elle aimait faire l’amour avec les femmes, deux heures après je connaissais tout des plaisirs lesbiens.
Dans l’eau, elle a commencé par me caresser les seins, c’était doux alors qu’avec Benoit ses mains d’hommes, légèrement calleuses avaient tendance à les agresser.
Je mouillais dans mon bain, j’avais la sensation qu’autour de mon sexe les parties de mon corps sentant un liquide chaud réchauffer l’eau, ce sentiment s'est accentué en même temps qu’elle m’embrassait fougueusement quand son autre main est venue caresser mon clitoris.
Je flottais littéralement dans notre baignoire, je ressentais une sensation aussi forte que la première fois où un garçon est venu en moi m’enlevant mon hymen.
Le patron d’Air Liberté a vu juste, je suis ce jour-là devenue une folle du cul, j’ai baisé partout où je le pouvais, avant de devenir hôtesse et de voyager à travers le monde.
Quand j’ai rencontré Benoit, il me rassurait, j’étais persuadé de lui rester fidèle même s’il me baisait sans grande fioriture, mais comme dit Dutronc dans sa chanson dès que j’ai eu les fesses en l’air, j’ai replongé dans mon travers.
C’est lors de notre voyage de noces que le commandant a dit à une amie hôtesse qu’il avait vu que j’étais sur la liste des passagers et qu’elle lui a dit que j’allais en voyage de noces à la Réunion.
Il a voulu que je vienne boire une coupe de champagne dans le cockpit et je me suis fait sauter par lui et son co-pilote malgré l’exiguïté du lieu.
Mes vêtements remis en état, j’ai rejoint Benoit qui dormait, il avait refusé de m’accompagner ayant peur en avion, il est resté attaché tout le vol.

Arrivé à l’hôtel, j’avais ma chatte dégoulinante de sperme, il est venu patauger dans le sperme de mes amants croyant que c’était lui qui me faisait mouiller.

• Je sais autre chose, veux-tu le savoir ?
• J’aimerais connaître tout ce que vous savez de moi avant de vous cracher à la gueule.
• Depuis ton licenciement, tu es frustrée voulant trouver des amants ou amantes, mais la proximité de ton couple te fait reculer.
• Comment vous pouvez dire cela ?
• Connais-tu le bar à vins à quelques encablures de chez-toi ?
• Il se peut.
• Encore hier, tu es entrée suivi par un homme à qui tu as tenu la porte pour qu’il entre.
• Oui, il est venu s’asseoir à mes côtés.
• Il t’a proposé un verre que tu as accepté.
• Il se peut.
• Il est loin de se pouvoir, regarde la note de frais du limier qui te suit depuis que je m’intéresse à ta candidature, bar à vins, Jennifer, cocktail russe, tu aimes la vodka 20 €.
• Et après ?
• Tu l’as bu, au moment où mon gars t'a proposé d’aller dans son hôtel, je sais que tu en mourrais d’envie, mais de peur de perdre ton petit carré de confort, tu t’es sauvée comme une voleuse.

C’est vrai, le saligaud, il sait tout de moi, j’avais envie de changement, mais au dernier moment, j’ai fui.
Mince, l’homme qui voulait me sauter, c’était celui qui avait tout découvert de moi, il semble qu’il connaisse toutes mes dépravations, dommage que j’aie eu peur d’être découverte.
Alors simplement, au souvenir de mes voyages m’apportant la liberté sexuelle en plus d’un salaire extraordinaire, je suis à deux doigts de signer un contrat avec Air Liberté et son patron.
C’est la suite qui va faire basculer la balance.

• Je vois que tu hésites, tu es en manque et dans mon bureau, tu n’as aucune crainte à avoir, viens me sucer, je vais te donner ce pour quoi tu es née.
• Et qui est ?
• Faire la pute pour satisfaire ta soif de cul, tu vas rejoindre l’utile et l’agréable, l’utile, la paye que je te propose couvrira largement tes problèmes de fric et quand tu seras dans la cabine de mes avions qui ira dire à ton mari quelle salope tu aies.

• Les clients ?
• De riches hommes d'affaires bourrées de fric souvent pressé et qui aime partager la cabine avec de jolies filles comme toi sans perdre de temps pendant les escales, notre service règle tous leurs problèmes pendant les heures de vol.
• 9 000 par mois et je signe, si je devenais escorte girl, c'est ce que je me ferais.
• Viens me sucer le temps que je prenne mon stylo.

J’ignore s’il va céder quand je m’agenouille devant lui, il a fait pivoter son siège et sort sa queue.
Il a raison, dès que je l’ai au fond de ma gorge malgré que je sois sur le plancher des vaches, je retrouve mes goûts pour le sexe.

• Bien, voilà ton contrat, signe-le, pendant que je te sauter.

Il me relève, hôte ma robe et mon string avant de me coucher les seins sur son bureau, m’écartant les jambes avant de me pénétrer me faisant crier dès son premier coup de bite.

• Prends mon stylo, signe au bas de cette page, si tu hésites, regarde ce contrat, c’est celui de ta copine Isabelle, en ce moment elle vole vers Tahiti, elle sera là-bas pendant quinze jours, mon avion me coûtant plus cher à revenir à vide qu’à rester à l’aéroport.
Regarde, je savais que tu surenchérirais, j’avais laissé la case salaire libre, tu toucheras 10 000 €, avant tu touchais 4 000 sur une feuille de paye, ton mari pourra les voir et 6 000 sur un autre compte à ton nom à notre adresse.
Ils seront à toi, rien qu’à sans que personne ne le sache et se demande pourquoi tu touche plus qu’avant à Air intérieur, tu te feras un joli pécule.

J’ai signé, j’ai été chez un couturier faire mon uniforme à mes mesures, à ses frais bien sûr.

• Bonjour monsieur, bien venu sur notre compagnie « Air sexe liberté » je suis à votre disposition pour toute la durée de ce vol, je vous remercie de m’avoir choisi parmi toutes nos hôtesses.

L’avion décolle, je porte une coupe de champagne à mon client qui me met la main directement sous la jupe de mon tailleur impeccablement ajusté.

Je mouille, mon premier vol vers Rio peut commencer.

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