La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1192)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1190) -

- Bien sûr Sire, cela sera fait selon Votre volonté…

La nuit des fiançailles, première saillie anale :
La belle Alix reste sur le perron, aux côtés du Seigneur d'Evans, son Seigneur, elle baisse la tête et lui dit humblement :

- Je vous présente mes excuses, Maître, mais ma tenue ne me permet pas de m'agenouiller devant Vous comme je le devrais… (Il la regarde amusé)
- Tu n'es pas encore soumise, tu le seras ce soir dans Ma chambre et pas avant ! En attendant rentre et va rejoindre Mon fils Ronan…
- Oui Maître, comme il vous plaira

Alix retourne à l’intérieur et retrouve Antonin et Kate restés au salon en compagnie de Ronan et son regard s'assombri. En effet, il n’imaginait pas sa première nuit après avoir été admis par son père dans le monde D/s que la femme de ses rêves passerait la nuit avec son père… Un peu plus tard, Antonin s’exprima ainsi :

- Je vais également me retirer en compagnie de ma future femme, je sais mon Ami que vous nous avez gardé une chambre, pouvez-vous m'indiquer laquelle ? Si cela vous en convenez !
- Antonin, vous connaissez parfaitement les lieux et la chambre voisine de la mienne sera bien sûr celle que vous préférez, si je ne me trompe pas !

Ils se retirent donc dans leur chambre respectives et aussitôt entrée dans ladite chambre, Kate sait qu'elle n'est plus l'amie, mais la soumise d'Antonin et lui demande avec humilité, la tête baissée :

- Maître, s'il vous plait, pouvez-vous m'aider à enlever ces vêtements que je ne n'ai pas l'habitude de porter
- Bien volontiers, Ma chienne, tu sais que j'adore te dévêtir …

Après l'avoir aidé à enlever ses vêtements, elle s'agenouille devant lui, les fesses touchant les talons, tête baissée, mains sur ses cuisses ouvertes vers le haut, attendant ses ordres.

Antonin tourne autour de Kate en la regardant tendrement mais aussi avec envie :

- Bien avant que nous ne commençons, que penses-tu de mes cousines et de mon cousin ?
- Ils sont tels que je les avais imaginés, vos cousines sont de bonnes compagnes d'une agréable conversation. Quant à votre cousin il est charmant et très bon danseur. Je les apprécie beaucoup, comme tous les membres de votre famille, exceptée votre tante Madame de Maison, que je ne connais pas.
- Oui tu les connais presque tous, dit-il avec une pointe de déception ironique dans la voix. Bon debout, penche-toi en avant et prend appui sur le manteau de la cheminée.

Antonin va dans chercher dans un coffre en bois un martinet aux nombreuses lanières de cuir tressées. Il veut ainsi celer leurs fiançailles à sa manière :

- Maintenant que tu as accepté de m'épouser et que mon Ami, le Seigneur Charles d’Evans de cette Terre, de cette Seigneurie à laquelle nous appartenons, a accepté, je vais t'offrir ce soir mon cadeau de fiançailles
- Maître, je vous remercie mais le présent que vous m'avez fait ce soir me comble tant déjà.
- Peut-être mais c'est Ma volonté et celle-ci est et sera toujours prioritaire et incontournable...

Antonin était le Maître qui la soumet depuis environ 6 mois mais ils étaient amis depuis toujours et elle l'aimait d’un véritable et profond amour… Il lui donne un premier coup de martinet et elle ne bronche pas.

- Kate me connait si bien, elle sait que ça a le don de m'énerver qu'elle ne gémisse pas, se pense t'il (mais cela le fait sourire aussi intérieurement)

Lui aussi la connait bien et Antonin sait aussi comment obtenir ce qu'il veut :

- Ecarte plus les jambes, chienne

Le Maître recommence et les lanières de cuir atteignent chaque parcelle du dos et des fesses de Kate quand une lanière atteint son entrejambes trempé de son plaisir, alors elle pousse de petits cris et il sait qu'il a atteint son but.
Mais elle se refuse à lui demander d'arrêter car Kate veut être totalement à lui et plus que ses coups, elle craint sa déception ou sa colère et être totalement à lui, c'est le cadeau qu'elle veut lui faire ce soir et pour toujours.

- Ton cul a maintenant une couleur qui me plait
- Merci Maître de m'avoir marqué ce soir… un soir si particulier !
- Attend, cela n'était pas ton cadeau, tu vas l'avoir maintenant. Va chercher ce petit tabouret et assied toi face à moi, je vais t'expliquer

Elle prend le tabouret et s'assied face au fauteuil du Maître, tête baissée.

- Bien, depuis que tu es ma soumise, j'ai été très progressivement avec toi et j'ai toujours respecté tes limites. Je t'aime et ne veux pas te brusquer mais ce soir tu subiras ce que je t'offre et tu n'as pas le choix… Mais on va d'abord en parler. Je veux te prendre par le cul, ma belle Kate
- Quoi? Maître je vous en supplie, je ne suis pas prête, pas encore, s’il vous plait …
- Silence, je t'ai dit que tu n'as pas le choix, sinon je resterai avec toi, car je t’aime, en tant que futur mari mais il te faudra m’oublier en tant que Maitre…

Elle le regarde et il voit dans son regard que cela lui fait très peur

- Tu es prête Ma soumise, Ma Kate tu as peur, c'est tout … T'ais je déjà fait mal volontairement sans que tu y prennes plaisir ?
- Non Maître
- T'ais je déjà mal traité en mettant ta santé ou ton corps en danger ?
- Non Maître
- Ais-je déjà trahi la confiance que tu as en Moi, le Maitre quand je t'initiais à de nouvelles choses qui t'effrayais?
- Jamais Maître
- Alors fait-moi confiance, je ne te cache pas tu auras peut être mal la 1er fois mais après tu vas adorer, je te l'assure
- Oui Maître… J’ai … Je … J'ai totalement confiance en vous, finit-elle par dire avec crainte mais paradoxalement avec confiance
- Je vais y aller doucement (Kate acquiesce de la tête). Bien à 4 pattes et appuyée sur tes avant-bras

Antonin prend dans un pot de terre, ce qu'on appelle aujourd'hui du lubrifiant et qui à l’époque était de la graisse, principalement de porc.
Il en enduit ses doigts et en insère un dans le cul serré de sa chère Kate qui lui exhibe son cul aux belles fesses arrondies.

- Détend toi, ça va aller. Mais si tu te crispes, ce sera encore plus douloureux avec décontracte-toi et sache que j'ai décidé que ce serais ce soir que je possèderai ton cul et je réalise toujours ce que je décide !
- Maître?
- Quoi encore?
- Maître, je sais qu’en principe, je ne peux ni vous posez de questions, ni me poser de questions et accepter le châtiment que vous jugerez nécessaire, mais exceptionnellement j’en pose une question : Pourriez-vous me dire ce que vous faites?
- Je te l'accorde cette question, mais ce sera la seule et unique fois
- Oui Maître, merci Maître

Antonin lui explique, en insérant en 2ème doigt qu’il fait manœuvrer doucement dans le fondement de la belle, qu'il est en train de lui détendre et dilater son anus avec une bonne couche de graisse de porc. Il lui explique que pour qu’elle n’ait pratiquement aucune douleur, cette dilatation est indispensable et facilitera l’introduction de son noble membre. Le Maître fait alors des va-et-vient afin de bien l'ouvrir, l’écarter et ainsi la préparer à la saillie… Kate ne parait pas insensible à cette préparation anale car elle commence à se déhancher tout en émettant des gémissements de plaisirs, visiblement elle savoure ce traitement et son sexe se couvre d’une (inattendue pour elle) humidité. On aurait cru voir une chienne en pleines chaleurs animales… Ce comportement de la belle femelle excite Antonin qui lui aussi réagit par une subite érection forte, alors une fois le cul bien graissé, et comme il bande déjà comme un taureau, il n’a plus qu’une envie, celle de posséder son cul :

- Je vais entrer dans son cul de chienne, reste calme et détendue, je vois que tu bouges tes hanches, tu me parais donc bien excitée, visiblement mon traitement te plait…

Kate ne répond rien, juste par des gémissements de plaisirs plus appuyés, voulant dire clairement qu’elle souhaite que le Maître la prenne, qu’elle se sent bien dilatée du cul, bien offerte.
Alors Antonin introduit sa verge tendue à l'extrême, comme elle l'excite ainsi offerte. Il pousse sa verge raidie entre les fesses de sa Kate qui sert les dents et respire rapidement tout en fermant les yeux de plaisirs. Il effectue de lents va-et-vient dans un cul bien graissé et la voyant de plus en plus détendue, il accélère le rythme pour finir par la baisser longuement, profondément, bestialement. Ses couilles claquent, le rythme devient de plus en plus rapide, la saillie est de plus en plus profonde, jusqu’à la garde, la cadence de plus en plus rythmée tel un métronome en furie… Kate ne pensait pas pouvoir apprécier autant ! Elle n'avait jamais ressenti autant de plaisirs jouissifs et parcourues de spasmes incontrôlables elle gémit encore plus fort jusqu’à crier son plaisir … Mon dieu, ce qu’elle aime se faire pendre ainsi visiblement ! Jusqu’à s’entendre dire tout haut :
- Hoooooooo ouiiiiiiiiii ! Maître encoooooooore ! C’est booooon !

Antonin est aux anges depuis qu'il espérait enfin la sodomiser, il est comblé et cela lui accentue encore son érection si besoin que celle-ci puisse durcir encore plus, tellement il bande fort à l’extrême de son excitation de mâle en rut.

- T'aime ça hein, ma chienne ?
- Hoooo ouiiii, Maître

Il la besogne ainsi encore un long moment puis se retire enfin pour plonger sans autre préambule dans sa chatte si trempée, qu'il y entre comme dans du beurre. Antonin la baisse ainsi et encore de longues minutes, se délectant des gémissements et de la respiration rapide de celle qui l'aime. Au bout d’un long moment où visiblement elle se retient depuis longtemps de lâcher son orgasme, il lui murmure à son oreille :

- Tu as le droit de jouir, Ma chienne

Il laisse enfin éclater sa jouissance qui est retentissant par des cris qui pourraient être entendus dans tout le Château et elle perd pied dans cet orgasme explosif quand ils jouissent ensemble de concert. Antonin se vide les couilles en de longs râles jouissifs qui n’en finissent plus et qui se mélangent aux cris sonores puissants de Kate qui finit par s'écrouler sur le tapis. Elle aime le sentir sur elle sans pouvoir bouger. Ils restent ainsi en coït vaginal profond immobile de longues minutes quand elle lui dit, après un long silence où tous les mots s’avéraient inutiles pour savourer ce moment post-orgasmique :

- Merci Maître, merci pour votre "cadeau" et pour m'avoir accordé l'honneur de recevoir Votre semence en moi. Merci aussi pour cet orgasme puissant et enfin merci pour cette première saillie dans mon cul de chienne, je ne pensais pas que cela pouvait être si bon, si délicieux…
- Pour que ce soit bon, il faut bien préparer l’enculade, comme je l’ai fait !

Antonin lui sourit satisfait et il l'aide même à se relever jusqu'à un ‘fauteuil’ fait de deux planches garnies de coussins de soie rembourrés et la couvre d'un doux et chaud drap de lin. Puis il appelle Marion et Manon affectées par Maître des lieux, à son service

- Je veux que ma fiancée et moi-même, puissions-nous laver et à l'eau chaude, qu’on me prépare un bon bain chaud…
- Nous nous en occupons, Monsieur le Duc, l'une de nous vous fera prévenir quand votre bain sera prêt

Elles se rendent à la cuisine ou reste seule la fille de la cuisinière

- Que se passe-t-il?, questionne t'elle étonnée de les voir dans les cuisines, si tard
- Aide nous à faire chauffer de l'eau, Monsieur le Duc de Saint Ymer veux se laver
- A cette heure-ci ? Ca ne pouvait pas attendre le matin non ?
- Tais-toi et aide nous au lieu de poser des questions inutiles

Au bout d’un long moment, Marion frappe à la porte de la chambre d'Antonin, s'agenouille tête baissée, les mains dans le dos et annonce timidement :

- Tout est prêt, Monsieur le Duc si vous voulez bien me suivre
- Inutile, je connais le chemin ! Va plutôt nous chercher de quoi nous sécher, du meilleur linge, je le veux tiède pour ma tendre amie, dit-il avec un regard amoureux à Kate

En ces temps moyenâgeux, la ‘baignoire’ est en réalité un ouvrage d’assemblage de pierres parfaitement taillées, empilées et jointées. Elle se trouve dans la crypte du Château là où une petite source souterraine arrive en contre-bas et qui peut être captée afin de faciliter le remplissage en dirigeant l’eau dans ladite ’baignoire’ par un système d’une petite canalisation en bois. Quand l’ouvrage est rempli à moitié, on retire la canalisation et on complète avec de l’eau chaude… Une fois installés dans l'eau chaude, ils se relaxent et discutent comme deux amoureux… Marion apporte les essuies tièdes et les posent près de l'âtre de la crypte afin qu'ils restent chauds quand ils décideraient de sortir de l'eau, elle s'agenouille un peu à l'écart et attend en silence.

- Marion, tu peux disposer, nous retrouverons bien notre chemin
- Merci Monsieur le Duc. Monsieur, Madame, je vous souhaite une bonne nuit et permettez-moi de vous présenter mes respectueuses félicitations

Ils lui répondent par un sourire et elle se retire. Bien lavés, détendus et séchés, ils regagnent la chambre et s'endorment instantanément épuisés par une journée si riche en émotions...

(A suivre…)

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