Vengeance 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mes pires instincts se révèlent depuis que jai volé les clichés de Valérie. Jai envie de lui faire payer toutes ses remarques, tous ses commentaires blessants. Elle les payera dans sa chair. Je veux lhumilier à son tour, quelle se repente en me suppliant.
Il faut que je trouve un moyen de labaisser. Mon idée est de la faire chanter contre de largent mais je crois que je vais plutôt simplement diffuser ses photos au boulot. Quoique
non. Jai le temps. Je vais dabord mamuser un peu avec elle. Elle aime le sexe cette garce ! Et bien je vais lui apprendre à me respecter.
Jen parle à Philippe qui me dit dêtre prudente. Il naime pas cette idée. Mais il comprend mon envie de vengeance. Il sait à quel point cette année a été difficile.
Comme je ne me sens pas de passer à lacte moi-même, il me faut un comparse pour humilier Valérie.
Je ne sais trop qui pourrait faire laffaire. Je pense à engager un homme. Puis, je pense à Dario. Nous avons toujours eu un bon contact tous les deux. Il me défend toujours contre Valérie et il ma même servi de confident. Il est le seul à me connaître assez pour comprendre mon projet ; dautant quil déteste Valérie lui aussi. Je vais lui en parler.
Je lui donne rendez-vous pour le lendemain. Nous irons boire un verre après le boulot.
Jangoisse toute la journée car jai peur de mon idée et de la réaction de Dario.
Au sortir du bar, je suis rassurée. Dario a accepté. Jai mis deux heures à le convaincre. Il a dabord refusé catégoriquement, presque vexé de ma demande, puis, à force dexplication, au nom de notre amitié, il a cédé. Nous allons la faire chanter et lhumilier. Jen suis toute excitée davance.
Le lendemain, je glisse un mot sur le bureau de Valérie.
« Ce soir, viens chez-moi si tu veux retrouver tes photos ! A 21 heures ». Sara.
En rentrant, javertis aussitôt Philippe.
Philippe hésite, puis décide finalement de ne pas rester. Il préfère aller boire un verre.
21 heures. Dario et moi attendons, tendus comme des fils de nylon. On frappe à la porte.
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