Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L?Épouse Hypersexuelle (44) : Un Début De Vacances Prometteur
Après trois textes d'introspection sur mon hypersexualité, je reviens, comme je l'avais promis, aux récits sur ce que nous avons vécu, cette fois sur la période plus récente, c'est-à-dire depuis la reprise de notre vie commune Philippe et moi.
Je commencerai par une série de textes sur nos vacances 2014.
Comme je l'ai déjà expliqué, depuis la reprise de notre vie commune, Philippe et moi avons fixé des règles pour vivre mon hypersexualité et son candaulisme, mais en protégeant notre famille, notre réputation et sans nous mettre en danger.
Les moments où je suis offerte à d'autres hommes sont bien plus rares qu'à l'époque de Rachid, où cela était quotidien et intensif.
La période des vacances est naturellement un moment propice.
Je raconterai ultérieurement notre séjour en Tunisie au printemps 2015, qui fût particulièrement chaud.
J'ai déjà expliqué ce qui s'était passé en 2016 en Grèce (récit n°17) où je m'étais offerte à N. et où Philippe avait rencontré Théodora. Double rencontre qui avait dépassé le cadre candauliste et a bien failli à nouveau détruire notre couple, qui a été sauvé parce que j'ai accepté, de mauvaise grâce j'en conviens, la place de Théodora. C'est aussi cette aventure qui, ultérieurement, a débouché sur un heureux événement qui s'est déroulé en novembre dernier.
Prenons les choses dans l'ordre : le premier grand moment de notre pacte candauliste eut lieu dès les vacances 2014, quelques mois après que nous ayons pu nous remarier Philippe et moi.
S'accorder un petit break à deux est important dans un couple, et, en ce qui nous concerne il l'est particulièrement quand il s'est privé, pendant des mois, de vivre ses fantasmes candaulistes et mon hypersexualité. Alors nous sommes partis au soleil.
Ces vacances, Philippe et moi nous étions arrangées pour les passer sans les filles : Lucie, l'ainée, alors âgée de 5 ans, avait été confiée à Christine, Leila, 3 ans, était avec Hassan son père et Sofia, notre bébé de quelques mois était confiée à sa marraine Agun.
L'objectif était de m'offrir, de nous offrir un maximum de plaisir.
Cela s'est donc passé en France, à l'été 2014. Nous avons donc réservé un emplacement au bord de l'Océan pour deux semaines.
Cela faisait longtemps qu'on voulait refaire du camping. J'aurai préféré qu'on prenne un gîte mais Philippe m'a répondu qu'on était encore assez jeune pour faire du camping et que ça nous rappellerait de bons souvenirs.
Une fois sur place, nous avons été un peu déçus de découvrir qu'aucune des plages à proximité immédiate ne tolérait le naturisme. Nous avons donc commencé tranquillement, avec des bains de soleil. Je faisais quand même de temps en temps du topless. A part quelques parties de jambes en l'air sous la tente ou dans les douches du camping, rien de très dépaysant.
Nous n'étions pas venus pour cela, mais pour compenser toute la maîtrise que nous imposions tout au long de l'année.
Je commençais un peu à me lasser de la plage.
- Allez, Philippe, viens. On va se baigner et puis après tu auras une surprise dans les dunes.
Philippe ne pouvait s'empêcher de me tripoter à la moindre occasion. Au milieu des vagues plutôt violentes, toutes les occasions étaient bonnes pour s'accrocher l'un à l'autre. Cela devint un jeu et je m'amusais à essayer de lui échapper.
Et puis de bousculade en pelotage, Philippe arracha le haut de mon maillot.
- Arrête ! Rends-moi ça.
- Non, moi je préfère comme ça...
- C'est pas une plage naturiste ! Rends-le-moi.
- Le topless est tout à fait légal, même sur une plage familiale.
Je protestais pour la forme. En réalité, je savais ce qu'il cherchait et j'étais plutôt contente d'exhiber ainsi mes seins. Et je savais pourquoi Philippe m'exhibait. J'assumais donc pleinement et n'hésitais pas à exposer ma poitrine aux regards des curieux.
Quand je m'approchais de Philippe pour récupérer le haut de mon bikini, il en profita pour baisser mon string. Je criais de surprise, attirant du même coup beaucoup de regards curieux vers moi.
Je fis semblant d'être fâchée et commençais à sortir de l'eau pour regagner la plage. Philippe me suivit. Comme il ne restait plus que quelques mètres, il me fit tomber en avant et en profita pour arracher mon string.
Il partit en courant le long de la plage pour m'obliger à le suivre, toute nue, sous les regards hallucinés des gens.
- Reviens ! Rends-le-moi !!!
- Viens le chercher...
Il s'arrêtait de temps en temps, ce qui me permettait de le rattr un peu. Après quelques minutes de cette poursuite, il se remit à l'eau. Je le suivis et il me rendit enfin mon string.
Une fois le string renfilé, nous ressortîmes pour regagner nos serviettes sur la plage. A peine sortie de l'eau, je fus interpelée par un type chauve muni d'un appareil photo :
- Mademoiselle ! Est-ce que ça vous dérange si...
Le type montrait son appareil. Je m?arrêtais et lui souris :
- Mademoiselle ? Vous êtes flatteur ! J'ai 37 ans et je suis une femme mariée, mère de trois s. Vous voulez me prendre en photo ? Après tout, pourquoi pas... ça ne te dérange pas mon chéri ?
- Oh, non. Bien au contraire, n'hésite pas.
Je me tournais vers le photographe en posant bras en l'air et poitrine saillante pour qu'il la photographie.
Il prit quelques clichés et demanda :
- Et sans le bas, ce serait possible ?
- N'exagérez pas, non plus !
- Allons, c'est juste une photo et tu viens de traverser la plage de long en large sans ton string...
- Vous n'aviez qu'à en profiter à ce moment-là !
Le type n'insista pas et repartit. Arrivée à nos serviettes, je redevenais l'Olga impudique que Philippe aimait tant. Pour me sécher, je n'hésitais pas à retirer mon string.
- Tu penses à ta surprise ? On va faire un tour dans les dunes ?
Je n'attendais pas sa réponse. Je remis le haut de mon bikini et prit Philippe par la main pour l'emmener dans les dunes.
Dès que nous fûmes à l'écart, je l'attirais à moi et collais ma bouche contre la sienne. J'avais envie qu'il me prenne là, tout de suite.
Quand mes lèvres abandonnèrent sa bouche, Philippe en profita pour dégager mes seins du soutien-gorge et se pencher pour me sucer les mamelons.
Ma cuisse contre son entrejambe, je n'ignorais rien de son état. Je glissais une main dans son caleçon pour lui caresser la tige. Je baissais le caleçon en me mettant accroupie. Ma bouche se referma sur son sexe et il laissa échapper un profond soupir de contentement en sentant mes lèvres glisser le long de sa hampe.
Si je continuais, en quelques minutes je le ferais jouir avec ma bouche. Je voulais autre chose ! Je me redressais tout en continuant à lui caresser le sexe. Je m'accroupis pour lui retirer son slip de bain. Je me retournais et m'appuyais au tronc d'un pin pour présenter mon cul.
Philippe me prit en levrette, tranquillement, profitant de pouvoir me faire l'amour en pleine nature au risque d'être surpris par des promeneurs. Il me souleva une jambe pour que je me tourne un peu vers lui, ainsi il pouvait m'embrasser en même temps.
Quand le type chauve se pointa, ni moi ni Philippe ne fûmes surpris. Il n'avait plus son appareil photo mais il semblait évident qu'il nous avait suivi. Nous continuâmes à faire l'amour, sans nous soucier de sa présence. S'il se montrait, c'est bien sûr qu'il comptait pouvoir en tirer parti. Je lui fis signe d'approcher.
Philippe se dégagea de moi, m'embrassa à pleine bouche, complice : enfin, ce que nous attendions depuis si longtemps allait se produire, un autre homme allait me prendre devant Philippe. Nous étions à cet endroit pour cela.
Sans décoller ma bouche de celle de mon chéri, je me tournais légèrement sur le côté pour offrir ma moule à notre visiteur.
Il n'eut pas besoin du mode d'emploi et s'accroupit devant moi pour me lécher.
Notre nouveau partenaire se débrouillait super bien avec sa langue. Je décollais ma bouche de celle de Philippe, je rejetais ma tête en arrière, je venais d'avoir un premier orgasme.
Le type se releva. Je poussais Philippe contre le tronc du pin et me pencha sur le sexe de mon mari pour l'engloutir. Je me cambrais de telle manière que mes fesses vinrent se coller contre l'érection de notre invité. Il n'hésita pas et enfourna doucement sa tige dans ma chatte. Enfin, comme cela m'avait manqué !
- Baise-la, elle aime ça et moi aussi!
Au début, je me déchainais sur la queue de Philippe et je l'aurais probablement fait gicler s'il n'y avait pas eu cet inconnu chauve qui me pilonnait.
Il profitait à fond de l'occasion de bien me baiser et y mettait toute son énergie. Je gémissais du plaisir que me donnait cette queue providentielle au point d'avoir du mal à sucer correctement.
Je finis par abandonner la fellation pour me redresser et embrasser Philippe. Je me mis à le masturber tandis que notre ami chauve continuait de me prendre en levrette avec beaucoup de vigueur.
Que c'était bon! Des semaines que l'occasion de me faire sauter par un autre homme ne s'était pas présentée. J'étais réellement en manque.
- Il te baise bien chérie ? Vas-y mon gars, fais toi plaisir. Mon Olga est une exceptionnelle salope, mets-la lui bien profond!
- Oh oui, mon amour, merci pour ce plaisir que tu m?autorises, ça m'a tant manqué. Et toi salaud, démonte-moi, mets la moi mais je ne veux pas que tu jouisses en moi même si j'en ai très envie. On n'a pas mis de capote et je suis en période dangereuse !
J'échappais à regret à son étreinte. Je fis signe au type d'approcher. Dès qu'il fut à portée de main, j'attrapais sa queue et l'attira à moi pour lui administrer une savante fellation. Je voulais lui vider les couilles et je voulais ma dose de sperme.
Le type devait déjà être proche de la jouissance quand il me baisait quelques secondes plus tôt car je l'amenais à l'explosion en moins de deux minutes. Il se mit à grogner de plaisir. Les lèvres vissées sur son gland, j'avalais au fur et à mesure qu'il se répandait en puissantes giclées dans ma bouche. En bonne petite salope, j'avalais tout. Cela excita Philippe au plus au point et il se mit à me défoncer alors que je terminais de pomper cet inconnu. Philippe explosa en moi, m'arrachant d'ultimes gémissements de plaisir.
- Whoua quel pied ! Merci, c'était absolument génial. C'est rare de trouver des couples ouverts comme vous...
- Oh, Olga adore ça et je suis très partageur.
- Eh bien merci !
L'après-midi était bien avancée, nous décidâmes de rentrer au camping pour nous doucher. En arrivant, nous nous arrêtâmes à l'accueil et reposâmes la question des plages naturistes en indiquant qu'il nous importait peu qu'elles soient surveillées et qu'elles pouvaient être un peu plus loin. La dame de l'accueil nous redonna le moral :
- Si vous voulez quelque chose de plus discret, il y a éventuellement une plage non surveillée plus au nord.
- Oui on nous a parlé de cette plage... Elle est loin ?
- Non, pas très, c'est à dix minutes.
Nous décidâmes d'explorer tout ça dès le lendemain matin.
Une fois arrivée, il y avait effectivement cette fameuse plage non surveillée avec quelques personnes (des hommes seuls, des homos en couple et quelques couples hétéros).
En arrivant sur la plage, je restais debout pour enlever ma petite robe. Je ne portais rien dessous et je m'étais occupée de mon petit minou, en l'épilant pour ne garder qu'une petite raie de poils au-dessus de mon bouton. Je prenais plaisir à être nue et à laisser aux hommes installés aux alentours tout le loisir de mater ma petite chatte lisse. Je me rendis compte à quel point tout cela m'excitait. Tous cachés derrière leurs lunettes de soleil, comme si de rien était! Et pourtant, un vrai jeu érotique se déroulait entre moi et ces mateurs. Eux, faisant semblant de lire, allongés et tournés vers moi. Moi, repliant une jambe en bronzant, ou chassant des petits grains de sable sur mes seins. Ou encore, m'accroupissant en leur tournant le dos. Dans cette position, j'imaginai le panorama que j'offrais à ces messieurs !
Non seulement je prenais goût à l'exhibition mais en plus j'étais fière de montrer mon cul à des inconnus.
Un jeune homme seul s'installa à quelques mètres de nous. Il était habillé et j'attendis quelques instants pour le voir se mettre nu, intéressée de voir ce qu'il avait entre les jambes. Malheureusement, le jeune homme ne se déshabilla pas. Je me dis qu'il bandait peut-être déjà et qu'il n'osait du coup pas se mettre nu. Philippe m'attrapa par la main et m'entraîna dans l'eau. Les vagues étaient puissantes et on resta avec de l'eau à mi-cuisse pour éviter de se faire emmener. Du coup son érection restait hors de l'eau et, malgré la fraicheur de l'eau, il ne parvenait pas à débander.
- Mon pauvre chéri... Je n'entrevois que deux solutions à ton problème...
- Ah oui, lesquelles ?
- Soit tu t'allonges sur ta serviette sur le ventre, ainsi personne ne verra que tu bandes magistralement.
- Ou bien ?
- Soit je m'occupe de toi...
Je pris conscience alors de la présence du jeune homme proche de nous.
Il était toujours habillé et jetais régulièrement des regards discrets dans notre direction. J'eus alors un doute terrible :
- Tu crois qu'on a le droit de faire l'amour ici ?
- Bien sûr que non, ça reste un lieu public. Mais on va essayer d'être discret.
- Il y a le garçon juste là, toujours habillé...
- Il n'ose pas se mettre à poil parce qu'il bande comme un âne, j'en suis certaine.
- Approche, on va essayer d'arranger ça discrètement.
Je me tournais sur le côté et reculais contre lui, collant mes fesses contre le sexe de Philippe.
Nous étions si excités l'un comme l'autre par l'interdit de notre acte que nous fîmes l'amour plutôt rapidement : l'orgasme vint nous faucher en moins de dix minutes. Philippe se répandit en moi, en retenant ses cris. Je pinçais les lèvres pour ne pas gémir.
Je restais de côté. Je me remettais de mon orgasme lorsque je remarquais que le jeune homme installé non loin de nous était en train de se masturber, sans chercher à se dissimuler. Il était toujours habillé mais avait baissé son pantalon et s'astiquait tranquillement en me regardant.
- Approche un peu, toi !
Le jeune homme souriait. Il se leva et acheva de se mettre nu, finalement pas gêné du tout par l'exhibition de son érection. Je lui fis signe de venir s'installer à côté de moi. Il s'allongea alors à côté de moi, le sexe tendu vers le soleil.
- Je peux la toucher ?
- Oui, bien sûr.
Je saisis le sexe raide et le masturba lentement. Le garçon se mit la tête en arrière et profita de cette douce caresse. Il mourrait d'envie de palper ou d'embrasser mes seins mais semblait attendre pour cela son autorisation. A me voir branler cet inconnu, Philippe bandait de nouveau :
- Et moi ?
- Toi ? Tu viens d'en profiter, non ?
- Oui mais, regarde, ça n'a pas suffi...
- Effectivement...
Je me mis accroupie et les branla tous les deux.Décidément, ces vacances démarraient sous les meilleures auspices!
(A suivre)
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