Mon Côté Féminin

La toute première fois

Pour débuter le récit de mes péripéties sexuelles, je vais naturellement commencer par ma toute première fois. Etant jeune, je n’arrivais pas trop à savoir comment arriver jusqu’au moment extraordinaire du passage à l’acte avec une fille. J’avais des copines mais cela n’allait pas très loin. Tout du moins pas assez loin pour moi. Je croyais qu’il y avait une recette miracle dont je ne connaissais pas le secret. Je décida alors d’aller sur internet, sur un site de chat (à l’époque) et d’essayer de trouver dans la sensualité virtuelle une forme de satisfaction quelconque. Je discutais dans les « salon » sexe mais, à part des mecs, peu de fille parlaient. Je pris alors la décision de changer de profil et de me faire passer pour ce que je ne suis pas : une femme. Alors là ! J’avais tellement de conversation en même temps que c’était devenu ingérable. Repensant mon choix, j’ouvris plutôt le salon gay.
C’était très étrange pour moi mais excitant en même temps. Je discutais pas mal mais c’était raisonnable.
Un jour, un de mes contacts sur ce site me demanda si j’étais disponible pour un plan. Je sentis le désir monter en moi et, sur un coup de tête lui dis oui.
L’après-midi arrivant avec l’heure de mon premier vrai rapport sexuel, le stress commençait à monter. Avec le désir. C’est alors que la sonnette retentit. Prenant mon courage à deux main, j’ouvris la porte. Devant moi se tenait un jeune homme à la peau caramel, plutôt mignon, un sourire satisfait sur le visage. Sans un mot je le guida vers ma chambre.

-Alors c’est ta première fois ? me demanda-t-il.
-Oui.
-Tu vas voir, tu vas aimer.

Il m’assit sur mon lit et baissa son jogging. Devant mes yeux ébahis jaillit une queue déjà gonflée, épaisse et veineuse. Tout se chamboula dans ma tête : le doute, la honte, la peur mais aussi l’excitation et le désir. L’odeur de chair que j’avais en face de moi me faisait tourner la tête.

Il posa alors sa main sur ma tête et tira délicatement. Me laissant guider, n’écoutant plus que mon instinct, j’ouvris la bouche et enfourna son épaisse bite. Le goût était bon, un peu salé. Mon cerveau s'éteint complétement. Mes mains entourèrent son membre pour accompagner les mouvements de ma tête.

-Tu es sûr que c’est ta première fois ? me demanda-t-il en soupirant d’aise.
-Mmm… grommelais-je, ne prenant même pas la peine d’arrêter ma délicieuse fellation.

Ma langue glissait sur son frein, chatouillant voluptueusement son gland. Ma salive faisait briller sa hampe, lui donnant l’apparence d’un bonbon.

-Tu vas me faire jouir si tu continues comme ça, me dit-il. Déshabille-toi.

A ses ordres, j’ôtais mes vêtements un à un. Complètement nu face à lui, je ne pouvais détourner mon regard de son sexe tendu, chaud et si délicieux. Il me retourna alors, me mettant à quatre pattes sur le lit, mes fesses offertes à ses yeux. Je sentis soudain sa bouche se plaquer sur ma rondelle, sa langue me percer agilement, m’ouvrant doucement tandis que sa salive coulait abondamment dans mon cul. Après quelques minutes de ce doux préliminaire, il se redressa et je sentis son dard pointer à la porte de ma virginité anale. Il s’enfonça d’un coup brusque ce qui suscita une vive douleur partout dans mon corps. En gémissant, j’essayai de me retirer mais il me retint.

-Ne bouge pas. Laisse ton cul s’habi, m’ordonna-t-il.

J’obéis malgré moi. La douleur s’estompant, je sentis qu’il commençait de petits va-et-viens.
Quand il m’entendis gémir, il amplifia ses mouvements, y allant plus fort. Je sentais mon trou s’ouvrir, chaud et avide. Le plaisir montait à chaque fois que ses hanches caquaient contre mes fesses. Plus je gémissais, plus il y allait fort, plus mon orgasme approchait. Dans un râle court, l’orgasme me fit éjaculer un flot de sperme sur mes draps. Il se retira alors, laissant mon cul béant. Me retournant, il m’assit à nouveau sur le lit, me présentant sa bite poisseuse de sa salive et de mon cul. J’ouvris la bouche et avala goulument son membre, m’appliquant dans ma fellation. Dans un grognement, il lâcha d’épais jets de foutre dans ma bouche avide, me repaissant de son précieux nectar.
Plus tard dans la journée, je me branla en repensant en ma première fois, le goût de mon amant d’une fois toujours sur les lèvres.