La Guepe
Deux jeunes mariés bronzaient sur une plage déserte. La jeune femme allongée sur le dos, entièrement nue, avait déjà un joli bronzage, de couleur dorée, et elle ouvrait largement les jambes pour que les rayons atteignent sa féminité. Elle s'assoupissait, bercée par une douce léthargie, lorsque malheureusement, une guêpe a choisi ce moment pour visiter son intimité.
La femme était terrifiée et ne savait quoi faire pour se débarrasser de l'intruse, le mari la couvrit d'un drap de bain, souleva sa femme dans ses bras et la porta jusqu'à la voiture. Heureusement, elle était fluette, et il a put la conduire jusqu'au cabinet médical le plus proche.
Le toubib venait de terminer sa journée et se dirigeait vers la porte, quand ce curieux équipage débarqua sous ses yeux. Le mari portait sa femme enveloppée dans un drap de bain, mais qu'elle était mignonne!
Après quelques explications embrouillées et confuses, le toubib fit entrer le couple dans son cabinet afin d'ausculter la patiente. D'abord, il s'assura que la vie de la jeune personne n'était pas en danger, et quand il comprit de quoi il retournait, il s'efforça de ne pas éclater de rire. Il referma la porte d'entrée afin de ne pas être dérangé, et prit son air le plus professionnel pour examiner la patiente.
Écartant le drap de bain, le docteur fut surpris de trouver la jeune femme entièrement nue. Il se délectait de la vision de ses seins gonflés aux tétons turgescents, de son pubis recouvert d'un doux chaume blond parfaitement taillé. Il faisait semblant d'écouter les explications du mari, mais son regard détaillait le corps de la jeune femme exposé sous ses yeux. Au grand désarroi de la jeune personne qui essayait de cacher sa féminité avec ses mains.
Le docteur n'avait pas l'habitude de voir le corps d'une si jolie femme entièrement exposé, et celle-là était très féminine!
Le docteur prit un air sévère pour écarter les mains qui lui cachaient la vue: « Tut, Tut! Laissez-moi voir, je dois vous ausculter!»
La jeune femme innocente rougissait d'embarras de révéler sa nudité à un étranger, mais après tout, c'était un Docteur.
Le cabinet médical étant fermé, ils étaient au calme et le Docteur a décidé de s'amuser de la situation. Si la guêpe était encore dans le vagin, elle devait être morte maintenant, mais elle pouvait animer sa soirée.
D'abord, le docteur devait éveiller la libido de la femme.
Le jeune mari ne paraissait pas très brillant, alors qui sait jusqu'où le médecin pouvait pousser la plaisanterie. Normalement, il aurait dû demander au mari de patienter dans la salle d'attente, mais il devait garder le mari près de lui pour ne pas le laisser se promener et attirer l'attention.
Il lui désigna une chaise et ordonna au mari de s'asseoir là. Assis près de la fenêtre, le médecin tira un paravent afin que le mari voit la tête de sa femme, mais pas ce que le docteur faisait à l'autre bout.
Le Docteur souleva les étriers en métal aux coins de la table et aida la jeune femme à positionner ses pieds dedans. Normalement, il ne regardait jamais une femme pendant qu'elle s'installait, mais cette fois il profita du spectacle.
Sa chatte s'est entrebâillée un peu quand elle a replié ses jambes et les a soulevées. Elle semblait sourire. Quelles belles lèvres!
Gardant son sérieux, le Docteur se positionna entre les jambes grandes ouvertes et se pencha en avant. Malgré ses années d'expérience, le Docteur sentit son pénis se vivifier.
Le docteur ne prit pas la peine d'enfiler ses gants en caoutchouc. Cette chatte, il voulait la savourer avec ses doigts nus. Après avoir délicatement écarté les lèvres serrées avec ses doigts, il introduisit un appareil pour scruter l'intérieur.
La vulve était joliment rose, le Docteur pouvait voir la guêpe morte juste vers l'entrée. Il aurait pu l'enlever facilement, avec un doigt ou un outil, mais à la place, il tendit la main vers une petite lampe de poche.
Maintenant la chatte ouverte d'une main, il a fait semblant d'utiliser la lumière, mais en réalité il admirait l'endroit. Elle était très serrée et très bien faite, presque neuve pensait-il.
« Hum, jeune fille, votre vagin est tout neuf, presque encore vierge ... Vous êtes jeunes mariés, vous n'avez pas encore eut le temps de faire trop de dégâts dans la salle de jeux, n'est-ce pas?»
Le mari a répondu pour elle, et l'on pouvait percevoir la fierté dans sa voix: « Oui, docteur, elle était vierge pour la nuit de noces, malgré tout ces garçons qui tournaient autour d'elle, elle s'est préservée pour moi, et c'est moi qu'elle a choisi, je suis très fier d'elle.»
« Eh bien, vous pouvez l'être» répondit le docteur. « Rares sont les jeunes femmes de nos jours qui sont encore vierges pour le mariage.» Il se concentra de nouveau sur l'intimité de la jeune femme: « Voyons voir si nous pouvons sortir cette guêpe de là.» Il écarta avec ses doigts l'entrée du paradis et, à l'aide d'un petit outil, repoussa aussi loin qu'il le pouvait l'insecte indésirable. Il aurait pu, en un tour de main, extraire la guêpe. Mais, avec un mari aussi bête, la pauvre petite ne devait pas s'amuser souvent, aussi le bon docteur projetait-il de lui faire découvrir le plaisir que l'on peut avoir avec un homme d'expérience, un vrai homme, et qui sait se servir de son outil. Il expliqua donc à l'attention du mari que la guêpe semblait bien vivante et qu'elle s'était réfugiée trop loin pour être atteinte avec une pince.
Il a suggéré que le mari essaye de l'attirer en mettant du miel sur son gland, pénétrer sa femme et se retirer dès qu'il sentait la guêpe. Le mari serait-il assez sot pour croire cela? Et si le mari accepte cette suggestion stupide, qu'en sera-t-il de la femme? Si elle se mettait en colère et repousse sa suggestion, il pourrait juste sourire et dire qu'il plaisantait.
Le Docteur leva les yeux de sa chatte et, entre les seins, étudia le visage de la femme.
Le mari a baissé son short, exposant un pénis recroquevillé dans sa coquille. Après deux minutes de masturbation, il avait du mal à dépasser une demi-érection et s'excusait: « Les circonstances ...»
Finalement, écoutant la suggestion du Docteur, le mari alla sur le côté de la table. Sa femme se pencha sur lui et commença à jouer avec son membre pour le faire grossir. Toujours sur les conseils du médecin, le mari dû tripoter le clitoris de la dame pour «lui réchauffer le conduit et que la guêpe s'endorme mieux!» Toujours est-il que les deux masturbations conjuguées lui ont permis d'atteindre une taille semi-dure pas très impressionnante. Maintenant en état de marche, le mari s'est présenté entre les cuisses de sa femme.
Elle a tenu le pénis et s'en ait caressé la chatte jusqu'à ce qu'il présente quelque chose qui ressemblait à une érection complète. Son appareil était un petit modèle par rapport à la norme.
« On dirait que vous êtes prêt maintenant, laissez-moi mettre du miel sur votre gland», dit le docteur.
Serrant fermement le pénis du mari de sa main gauche, le médecin badigeonna de miel le gland.
Étonnamment, le Docteur sentit le pénis dans sa main se raidir un peu. Pas en longueur, mais il semblait un peu plus épais et plus ferme qu'avant. Le Docteur comprit que le mari ressentait probablement des sensations érotiques d'être ainsi manipulé par un autre homme.
Après s'être assuré que le gland était correctement recouvert de miel, il dit: « Je devrais peut-être te guider, il est important que le miel ne se répande pas trop sur les parois du vagin.»
Le mari regardait cette main étrangère qui pointait sa virilité droit vers le vagin de sa femme. Puis, le mari s'avança lentement jusqu'à ce qu'il soit sur le point de toucher sa femme.
« Madame .. ouvrez-vous largement pour faciliter l'introduction.»
Essayant de cacher son émotion, elle glissa ses deux mains sous ses fesses, accrochant du bout des doigts les lèvres de sa chatte, pour ouvrir au maximum l'entrée de son vagin. Tandis que le mari avançait lentement ses hanches, le Docteur guida le pénis dans sa minuscule chatte.
La situation était particulièrement érotique pour le Docteur, il soupçonnait que la femme ressentait la même chose, de la manière dont elle surveillait l'opération à travers ses yeux mi-clos.
Malgré que son mari était équipé d'un petit pénis, lubrifié par du miel, la jeune dame était si étroite qu'elle ne put retenir un léger soupir pendant la pénétration.
Pour sa petite chatte, son mari avait tout ce dont elle avait besoin, et le Docteur observait de près la dilatation de ses lèvres pour accepter la chair la plus intime de son mari. Il l'a pénétrée avec seulement quelques coups de rein.
« Maintenant, attendons de voir si la guêpe tombe dans le piège, vous devriez la sentir. Faites-le moi savoir et nous la ferons sortir.»
Le mari avait le cur battant. Autant par l'action de pénétrer sa femme devant un inconnu, que par la peur de se faire piquer par la bestiole.
Finalement, après un moment d'attente infructueuse, le mari a demandé au Docteur pourquoi cela ne fonctionnait pas. Le Docteur, en attendant, avait énormément apprécié cette scène digne d'un film pornographique. Il avait d'abord vu une charmante jeune femme entièrement nue, sur le dos, cuisses écartées, offerte, les jambes coincées dans les étriers, qu'il avait tripotée sans gants. Puis elle avait masturbé devant lui le pénis tout mou de son mari, tandis que celui-ci excitait le clitoris de sa femme.
Enfin, il s'était mis aux premières loges pour assister à la pénétration du pénis dans l'étroite petite chatte. Faisant semblant de viser pour eux, il avait admiré de près l'étirement des lèvres pendant la pénétration tandis qu'elles s'accrochaient à la hampe.
Mais le plus érotique pour le libidineux docteur, c'était le regard de la jeune épouse. Tout le temps qu'avait duré cette scène, à travers ses yeux mi-clos, elle n'avait jamais quitté du regard le toubib. Que pensait-elle de tout cela? Elle n'avait pas prononcé le moindre mot. Pourtant, elle n'était pas dupe de la lubricité du docteur. Était-elle intéressée par le toubib? Était-elle beaucoup moins sage que le mari le pensait? Le docteur voulait le savoir.
Elle avait des seins magnifiques, même sur le dos, ils pointaient vers le ciel. Et cette petite chatte si étroite qui se pressait étroitement autour du mince pénis de son mari.
Le mari avait donné une excuse en demandant pourquoi cela ne fonctionnait pas, et le docteur avait une suggestion.
« Retirez-vous lentement qu'on jette un coup d'il, peut-être que vous ne pouvez pas la sentir.»
Le mari se retira lentement et exposa son gland luisant de cyprine. Le Docteur pouvait constater l'émoi la jeune femme.
« Hum, pas cette fois, recommencez, il faut y arriver!»
Le mari a pénétré sa femme le plus profond possible. Après un court instant, il a dit: « Je ne sens rien!»
Alors le docteur regarda effrontément le mari: « Peut-être n'allez-vous pas assez loin! Quand j'ai regardé avec la lumière, j'ai pu voir qu'elle était assez loin à l'intérieur ... Peut-être, si rien ne s'y oppose, je pourrais essayer ... Mon pénis est un peu plus long.»
Pendant que le mari réfléchissait, le Docteur regarda intensément les yeux de la femme. Le mari était abasourdi. Laisser un autre homme pénétrer sa femme? Il regarda sa femme avec un froncement de sourcils. Il espérait un signe, quelque chose qui pourrait lui dicter la conduite à tenir. Mais la jeune femme gardait un visage énigmatique, semblant effrayée par cette guêpe, mais secrètement intéressée par la tournure des évènements.
Oui, intéressée, et peut-être même excitée. Le Docteur était bel homme, et il l'avait caressée intimement avec ses doigts nus. De plus, pendant la pénétration de son mari, le regard de cet homme l'avait excitée. En fait, la situation dans laquelle elle se trouvait, nue, cuisses ouvertes, pénétrée sous le regard d'un étranger, échauffait sa libido.
Elle fronça les sourcils et mima l'inquiétude: « Chéri, s'il te plait, il faut vraiment sortir cette guêpe.»
Comme beaucoup de femmes, elle était plutôt bonne actrice, et a même réussi à avoir les yeux brillants. Dans ces circonstances, le mari s'est avoué vaincu. Alors qu'il se retirait de la chatte de sa femme et se reculait, le Docteur se déshabilla rapidement sous son tablier. Pendant qu'il se déshabillait, ses yeux étaient fixés sur les yeux de la jeune épouse, avec ses cuisses écartées, les jambes coincées dans les étriers.
Le malicieux docteur avait décrit son pénis comme «un peu plus long». Sa nudité révéla un sexe en semi-érection nettement plus épais et plus long que celui du mari, équipé d'un gland turgescent de la taille et de la couleur d'une prune rouge foncé. Tandis que le Docteur posait ses affaires sur une chaise, son pénis balançait d'un côté à l'autre, et au bout, on voyait un goutte de pré-éjacula brillante, suspendue dans le vide.
Le mari a surpris le regard de sa femme sur le pénis du docteur, et le sien a tissé instantanément. Était-ce du désir ou de la peur qu'il lisait dans ses yeux? Il ne saurait pas le dire, mais le mari n'était plus d'accord après avoir vu la taille du pénis du toubib: « Heu! Attendez, Docteur, je ... je ne suis pas sûr ...»
Le Docteur ramassa le pot de miel et se tint là, le doigt plein de miel:
« Eh bien, que voulez-vous? Dois-je sortir cette guêpe?»
La jeune épouse rajouta de la tension en regardant son mari d'un air inquiet.: « Mon chéri?»
La situation était sans issue pour le mari. S'il laissait le Docteur planter son pénis dans sa douce petite femme, elle testerait un pénis beaucoup plus grand que le sien. Cela pourrait lui plaire, et sa crainte c'était qu'elle ne puisse plus se contenter du sien ensuite. Et d'un autre côté, il fallait porter secours à sa femme. Il lui fallait prendre une décision, et la bonne décision.
« Docteur, comme vous pouvez le constater, ma femme est très étroite, donc faites attention à ne pas la déchirer, et n'allez pas plus profond que le strict nécessaire.»
Le docteur a adopté une attitude professionnelle:
« Pas de problème, j'arrête dès que je sens la guêpe, je ne vais pas plus loin, c'est une procédure médicale simple.»
« Très lentement, avec beaucoup de douceur» continua le mari inquiet. Il regardait le membre surdimensionné, et il semblait très impressionné: « Vous êtes assez fort!»
« Pas de problème» le Docteur prévoyait d'être lent, et doux, pour faire durer le plus longtemps possible.
« La femme a un vagin suffisamment élastique pour laisser passer la tête d'un bébé, vous l'avez déjà un peu ouverte, et ce miel lubrifiera la vulve. Votre femme ne devrait pas avoir de problème pour m'accueillir, et une fois que la guêpe sentira le miel, elle sautera sur mon pénis et je sortirai.»
« Je possède une aire d'atterrissage suffisante pour qu'elle puisse sauter dessus.» En parlant, le Docteur agitait sa queue d'une main et regardait dans les yeux de la jeune femme.
Les jeunes gens regardaient avec des yeux effarés le docteur badigeonner de miel le gland épais. Mais ils avaient des pensées bien différentes. Si le mari était surtout inquiet de la comparaison avec le sien, la femme était plutôt alléchée par ce qu'elle voyait et espérait que la guêpe ne se précipiterait pas trop vite.
Ce manche que le Docteur tenait entre ses mains était intimidant à coup sûr, mais la curiosité l'emportait. Une chance unique d'essayer un pénis étranger sans être accusée de tromperie.
Le Docteur prenait son temps, badigeonnant jusqu'à mi-longueur son pénis avec le miel doré. Il se donnait en spectacle, effrayant le mari et alléchant la jeune femme.
Le médecin et la femme frissonnèrent conjointement quand il glissa son gland entre les lèvres vaginales. Leurs regard se croisèrent et ils comprirent que la séance allait être amusante. Méfiant, le mari se rapprocha pour tout voir et empêcher le méchant docteur de pénétrer trop profondément sa charmante épouse.
« Je vais entrer lentement afin que vous puissiez vous adapter.»
« Oui, Docteur» Elle grogna doucement et se mordit la lèvre inférieure tandis que le pénis tentait d'entrer en elle. L'entrée étant très étroite, et le membre très gros, il lui demanda de s'ouvrir avec ses doigts. La jeune femme tremblait d'impatience et d'appréhension. De nouveau leurs yeux se sont croisés. Il poussa de nouveau, mais la chatte récalcitrante résista, faisant plier son outil. Le Docteur savait qu'il n'avait qu'à pousser plus fort, mais c'était trop amusant.
« Pouvez-vous ouvrir un peu plus large?» Elle tira sur sa chatte autant que possible en émettant un profond soupir, le pénis s'enfonça légèrement et le docteur qui souhaitait faire durer le plus possible stoppa la pénétration. Il aurait pu utiliser plus de force et continuer, mais le médecin voulait profiter de l'instant.
« Qu'est-ce qui ne va pas, Docteur, ça n'entre pas?» Le mari était très nerveux.
Le Docteur a eu une pensée intéressante: « Jusqu'où puis-je jouer avec le mari?»
« Comment vous appelez-vous, jeune homme?»
« Jim. Pardon, je veux dire James, docteur, James Steven.»
« Et votre charmante épouse?»
« Véronique, docteur, Véronique Steven.»
« Véronique, aimeriez-vous que votre mari vous aide? James, puisque vous avez plus de force que votre femme, aidez-nous en ouvrant les lèvres de votre femme.»
Il baissa les yeux sur la charmante femme: « Ce sera moins pénible pour vous.»
« Absolument, docteur!» Elle regardait le docteur droit dans les yeux et lui souriait.
Étonnamment, le mari n'a pas hésité. Il voulait en finir avec ça. Posant ses mains sous les fesses, James utilisa ses doigts pour ouvrir la chatte de Véronique légèrement plus large.
Lorsque le docteur pénétra profondément la vulve, ses testicules vinrent en appui sur le dos des mains du mari. Situation inconfortable pour le jeune qui regardait la jeune chatte de sa femme distendue par le mandrin qui l'étirait. Les bourses du docteur étaient lourdes, et sous la légère accélération du mouvement, elle venaient heurter les mains du mari.
James observait les lèvres distendues de sa femme, son vagin enserrant le sexe du toubib, comme si elle lui faisait une fellation avec sa bouche du bas.
Avec quatre mains l'ouvrant aussi large que possible, le miel mélangé aux jus de la femme, le docteur se sentait comme dans un gant de velours. Il devait faire un effort de concentration pour ne pas la baiser comme une salope.
Par plongées successives, il s'enfonçait de plus en plus loin, ouvrant Véronique à une nouvelle profondeur jamais atteinte auparavant. Elle haletait sous la charge profonde du docteur.
Le Docteur lui fit les gros yeux en pinçant les lèvres, hochant la tête de gauche à droite, lui faisant comprendre silencieusement d'être plus discrète, afin de ne pas alerter le mari.
« Je vais devoir travailler un peu d'avant en arrière pour réveiller la guêpe.»
Le Docteur pompait de plus en plus profondément, le miel se mélangeait aux jus de la femme, le vagin commençait à produire des bruits suspects. Il n'était plus nécessaire de tenir la chatte ouverte et Véronique a levé lentement ses bras et les a placés sur les épaules du docteur.
Elle se sentait très proche du Docteur maintenant, et si le mari n'avait pas été là, elle se serait laissée aller à un comportement beaucoup moins passif. Mais James restait penchée sur elle, les mains sous les fesses de sa femme, hypnotisé par le monstrueux mandrin qui défonçait la petite chatte de sa femme. Son érection était revenue, et il était à présent dur comme un roc à la vue de ce spectacle.
« Est-ce que tout va bien, Véronique?» demanda son mari.
Il voyait le corps de sa femme trembler et s'inquiétait pour elle.
« Je ... Çà peut aller»
« Si c'est douloureux, nous pourrons chercher un autre moyen.»
Mais Véronique n'avait aucune envie d'arrêter maintenant, pas avec ce qu'elle ressentait au fond de son ventre. Elle en voulait plus, elle en voulait encore. Elle éprouvait l'intense désir d'enrouler ses bras et ses jambes autour du docteur, de le presser contre elle et de l'embrasser en s'abandonnant à la montée du plaisir qui lui creusait les reins.
« Ooh, est-ce toujours aussi intense!» Dans son excitation, elle avait déliré à haute voix, quelques mots que son mari n'aurait pas dû entendre. Elle avait oublié la guêpe, mais devait jouer son rôle. Véronique prit son regard le plus inquiet pour regarder les yeux de son mari. Il était toujours penché sur elle, les mains coincées sous ses fesses. Véronique sentit qu'elle avait besoin de dire quelque chose:
« Ça fait un peu mal, James, mais nous devons sortir cette guêpe, je suis sûre que ça marchera, chéri, faisons confiance au bon docteur, il sait ce qu'il fait.»
Le libidineux docteur s'immisçait plus profondément dans elle. Leurs jus se mêlaient au miel, lubrifiant parfaitement le conduit. Véronique n'aurait pas dû faire ça, mais elle ôta ses pieds des étriers pour enrouler ses jambes autour des hanches du docteur. Ce faisant, elle a libéré les mains de James coincées sous ses fesses. Elle doit s'habi, pensa-t-il. Mais la position adoptée par sa femme lui plaisait guère.
Le mari jaloux dit nerveusement: « C'est assez profond!»
« Eh bien, James, tant que je n'ai pas touché la guêpe, je continue de m'avancer»
À ce moment-là, Véronique fit semblant de soutenir le médecin: « Oui, chéri, il doit aller plus loin, pour être sûr.»
James n'était pas en état de discuter avec sa femme devant le docteur:
« Je suppose que tu devras le laisser aller un peu plus profond.»
A ce moment, une infirmière passa la tête dans lentrebâillement de la porte.
« Je pensais le cabinet désert ... Oh, pardon Docteur, je vois que vous êtes occupé avec un patient.»
Le docteur se tourna dans sa direction: « Oui, c'était une intervention urgente, je n'ai pas eu le temps de vous prévenir.»
« Je vais vous laisser finir votre intervention.»
« Infirmière, attendez!»
« Oui, Docteur?»
« Il n'y a plus de serviettes propres dans ce cabinet, pouvez-vous m'en rapporter, s'il vous plait?»
L'infirmière fit le tour de la pièce pour être sûre. Ainsi, elle eut une bonne vision de ce qui se passait. Le mari, nu dans la moitié inférieure, tenait son pénis dans la main. Le docteur pompait avec son gros chibre dans la chatte de la femme.
« En voilà une qui passe un bon moment,» pensa-t-elle.
« Effectivement, docteur, je vous réapprovisionne dès que j'aurai un instant.»
Elle sortit, et le Docteur était ravi. Depuis qu'il connaissait la petite infirmière, il avait toujours souhaité lui montrer sa queue. Maintenant qu'elle l'a vu, peut-être, bientôt, il pourra la fourrer dans sa chatte.
Le mari, après l'interruption due à l'infirmière, surveillait de nouveau les opérations. Le Docteur était déjà profondément entré dans sa femme, il entrait et sortait lentement, allant plus profond à chaque pénétration, et il lui restait encore tellement de chemin à parcourir.
Le Docteur entrait et sortait lentement, il prenait son temps, savourant son plaisir, plutôt que se planter avec force. Et bien sûr, la jeune femme appréciait aussi cela. À ce stade, c'était beaucoup plus une baise qu'un acte médical.
Véronique tremblait, mais elle faisait tout ce qu'elle pouvait pour le cacher.
Elle aurait aimé que son mari aille aux toilettes ou quelque chose comme ça, pour pouvoir donner sa pleine mesure.
La lenteur du Docteur et ses yeux de braise fixés dans les siens bouleversaient la jeune épouse. Elle ressentait son épaisseur, sa puissance qui gonflait sa chatte. « Si seulement nous pouvions rester seuls un instant!»
Le Docteur pouvait sentait la pression, son pénis blotti dans ce fourreau qui l'enserrait. Sa bite était plus raide qu'elle l'avait jamais été. Il ne pouvait pas pomper franchement à cause du mari qui regardait. Alors, quand il la pénétrait, arrivé en bout de course, il la piquait d'un geste brusque pour heurter le fond de sa vulve. Le mari ne pouvait pas le voir. C'était leur petit secret.
Plusieurs minutes s'écoulèrent pendant que le docteur continuait à piquer son pénis en elle. C'était une nouvelle sensation pour elle. Chaque fois qu'il l'a pénétrée, ce pénis lui procurait de plus en plus de plaisir.
Véronique était en chemin vers une jouissance torride et devait mentalement empêcher que cela se produise. Elle ne pouvait décemment pas jouir devant son mari. James comprendrait instantanément que ce n'était plus une procédure médicale. Finalement, le docteur lui fit un clin d'il et dit: « Je pense que je la sens au bout de mon pénis, je vais reculer très lentement et voir ce qu'il se passe.»
« Oh, docteur, ce serait merveilleux,» dit-elle à contrecur. La dernière chose que Véronique voulait maintenant, c'était que le Docteur se retire, et elle espérait qu'il trouverait une excuse pour la pénétrer de nouveau.
En priant pour que son vu se réalise: « Oh, s'il te plait, chouette petite guêpe, ne reste pas collée à sa queue.»
Le Docteur ressortit lentement son manche jusqu'à ce que seul le gland soit encore à l'intérieur de la chatte.
« Je pense qu'elle est au bout de mon sexe.»
« Oh Docteur, ce serait génial si elle sort» mentit-elle.
Le Docteur regarda le mari: « James, il faudra être très rapide, prépare-toi à l'attr quand je sortirai.»
« Vous voulez que je mette ma main sur votre bite quand vous vous retirerez?» demanda le mari, n'en croyant pas ses oreilles.
« Oui, il faudra être très rapide.»
Le mari approcha sa main près du pénis qui était encore à l'intérieur et étirait sa femme. Lorsque le Docteur se retira, ils regardèrent avec fascination la façon dont ses lèvres s'accrochaient fermement à la tige épaisse comme si elles ne voulaient pas qu'elle parte.
« Att la!» Le mari enroula rapidement ses doigts autour de la tête graisseuse. Il essayait d'en faire le tour.
« Merde, ce truc est énorme. C'est comme une balle de golf » pensait-il.
C'était gros, chaud et gluant. Difficile de croire que ce gros machin est été dans sa femme. James regarda le vagin étiré de sa femme, brillant d'humidité et avec un liquide clair qui suinte. Sa chatte baillait, distendue.
« Où est la guêpe?» demanda le mari après avoir lentement déroulé ses doigts et n'avoir rien vu.
Le Docteur avait envie de rire.
« Exactement ce que je craignais, la guêpe n'a pas suivi, j'ai essayé d'être lent et sournois, mais elle s'est méfiée.»
Véronique, mise en appétit et qui en voulait plus, dit: « Oh docteur, je l'ai sentie ramper plus haut à l'intérieur quand vous vous êtes retiré, nous devrions essayer de nouveau.» Elle savait mentir. Le Docteur hocha la tête.
« Elle aime probablement la chaleur, je vais devoir y retourner après avoir appliqué plus de miel.»
Étaler le miel devenait un spectacle. Cela n'était pas nécessaire pour lubrifier la chatte. Le miel, soi-disant, servait à attr la guêpe. Encore une fois, le mari regardait avec ses yeux écarquillés le Docteur badigeonner de miel son membre palpitant. Le pénis du Docteur suintait du liquide pré-éjacula, mais il le recouvrit de miel.
« Je vais devoir aller encore plus profond maintenant.»
« Chérie?» demanda James. « Es-tu toujours d'accord avec ça? Ce que je veux dire, est-ce qu'il te fait mal ou quoi que ce soit? ... Ta chatte a vraiment fait un bruit étrange quand il s'est retiré.»
Mais Véronique ressentait le désir d'être pénétrée par ce pénis sur-dimensionné. Elle désirait jouir pleinement et terminer ce qu'ils avaient ébauché.
« Non
non! tout va bien, James, c'est un peu douloureux, mais nous devons ôter cette bête.»
Elle ne pouvait pas dire à son mari que l'inconfort était passé et qu'il se transformait en plaisir.
« OK, Docteur,» accepta le mari vaincu. « Allez-y, elle est prête.»
Malgré sa jalousie, James commençait à ressentir une étrange forme d'excitation en voyant sa femme prise par un autre homme. Son pénis tout mou à cause de la gêne au début, est devenu totalement rigide après avoir vu la chatte de sa femme dilatée par le morceau de viande du toubib.
Véronique s'était bien rendue compte de l'émoi de son mari et elle se sentait intérieurement encouragée à continuer. Grâce à sa coopération, le Docteur avait le contrôle total de la situation.
« James, aidez-moi en visant l'entrée du puits.»
Le mari n'a pas hésité à saisir le pénis à pleine main. La pensée l'a frappé comment cette chose est épaisse et longue. James trembla à l'idée des dégâts que pourrait occasionner cette monstruosité dans la mignonne petite chatte.
Pendant ce temps, sans qu'on le lui demande, Véronique utilisait ses doigts pour ouvrir sa chatte en préparation du membre à absorber. En sentant le gland écarter ses lèvres, elle s'ouvrit plus large et la maintint ouverte jusqu'à ce qu'il soit logé dans l'entrée. Cela fait, elle plaça ses mains sur les épaules du Docteur dans l'attente de l'assaut.
Le Docteur aimait "utiliser" le mari pour l'aider dans cette procédure.
Il décida de faire durer le plaisir: « OK, James, ne lâche pas, et utilise ton autre main pour écarter ses lèvres.»
Faisant attention à ne pas entrer en contact avec les testicules pendants, le mari a rapidement atteint les lèvres de sa femme avec les doigts de sa main gauche. Comme il les écartait, le Docteur s'est enfoncé. Entre la pression des doigts de son mari autour de sa chatte et la pénétration du mandrin du toubib, Véronique haletait.
Le mari tenait toujours la bite après qu'elle ait pénétrée plus de la moitié du chemin et le toubib regardait les yeux de la jeune femme se voiler de désir. « Merci James!» et Véronique a ajouté: « Ooh! Oui, merci, James!»
Le Docteur ne pouvait croire sa chance. Un mari aussi débile et une charmante jeune femme aussi salope!
« Je peux vous dire, madame, que votre mari est très serviable!»
Un petit sourire illumina son beau visage. Véronique se détendit, le vagin distendu par le pénis du toubib. Elle le sentait bien, ses sensations étaient bonnes, elle ressentait la lente montée du plaisir pendant que le toubib pompait, s'enfonçant progressivement dans ses profondeurs.
Le mari retira ses mains à contrecur, la petite femme blonde gémit doucement et ouvrit ses jambes encore plus larges. Ses tétons roses pointaient, rigides. Le Docteur jeta un coup d'il par-dessus son épaule droite et vit le mari hypnotisé par leurs organes génitaux en action. Il sourit à la jeune femme sous lui qui lui répondit par une suggestion:
« Je pense que nous devrions aller au plus profond pour être sûr de pouvoir attr cette sale bête!»
Comme le mari ne protestait pas, le docteur continua de s'enfoncer par à-coups, jusqu'à ce qu'il parvienne à engloutir la totalité de sa bite et que ses grosses balles claquent sur les fesses. Ooh, oui, c'était ça qu'elle voulait!
Il la possédait totalement maintenant, et le mari n'avait rien empêché. Le bon docteur pressa fermement son pubis contre elle afin qu'elle sache avec certitude qu'il avait pénétrée entièrement. Le Docteur la sentait trembler sous lui. Les doigts accrochés fermement aux épaules de l'homme qui la prenait, les cuisses écartées au maximum, elle s'ouvrait sous la poussée de l'homme, soumise et consentante, espérant l'assaut qui ferait d'elle une femelle en rut.
D'une manière ou d'une autre, il devait les amener tous les deux à l'extase totale. Il tourna la tête pour regarder le mari assis sur le tabouret derrière eux et fixant intensément le vagin distendu par le monstre.
« Je la tiens presque, James, je crois que je l'ai sentie s'éloigner au moment où je suis arrivé, je vais essayer de la taquiner pour voir si elle revient.»
Après ça, le Docteur commença des va-et-vient lents et profonds. La jeune femme sentait son cur battre la chamade. C'était de plus en plus intense lorsque l'épaisseur du chibre commença à traîner ses lèvres vers l'intérieur et vers l'extérieur à chaque coup qu'il donnait.
« Je suis de retour avec les serviettes.»
Puis l'infirmière, voyant ce qui se passait, referma le rideau et regarda le spectacle. Bien évidemment, le bon docteur avait des rapports sexuels avec une patiente, et celui qui regardait semblait être son copain ou son mari.
Elle pensa: « Je ne sais pas ce qui se trame ici, mais je vais attendre pour voir de quoi il s'agit.»
Étrangement, peut-être parce qu'il appréciait le spectacle, l'homme ne protestait pas.
Curieusement, pour James, la présence de l'infirmière justifiait l'action du médecin. Si elle ne protestait pas, et ne semblait pas s'étonner, on pouvait penser que tout était OK!
Le Docteur pensait: « Il est évident maintenant pour James que je baise sa femme et qu'elle y prend du plaisir, pourquoi ne réagit-il pas?»
Le Docteur, excité par le regard de la jeune infirmière qu'il convoitait, ne ménageait pas ses efforts.
La jeune infirmière en première année dans ce service, se disait que coucher avec le patron pouvait joindre l'utile et l'agréable, il était bien équipé et elle pouvait espérer une promotion canapé.
Le mari, assis sur le tabouret, le visage à moins d'un mètre des fesses du toubib, regardait sa femme se faire baiser en caressant son pénis.
Debout derrière le mari, elle glisse la main sous sa jupe et commence à caresser son vagin à travers sa culotte trempée.
« Ooh! Mon dieu!» Véronique avait oublié son mari et s'était concentrée sur ce qui arrivait à son corps, les yeux fermés, bouche grande ouverte. C'était trop de sensations, ce pénis étranger qui la travaillait devant son mari. Ce Docteur grand et beau, puissamment monté, qui la baise en prenant son temps, avec de longs coups puissants.
James, de plus en plus alarmé, ne comprenait pas tout à fait ce qui se passait, mais il regardait. Quel jeu joue ce Docteur avec la guêpe? Sa charmante petite femme semblait de plus en plus excitée par les poussées du Docteur.
Ses jambes remontaient lentement, enveloppant la taille du Docteur. Avec ses bras, elle attirait le docteur sur elle. Le Docteur jeta un coup d'il par-dessus son épaule. Oui, le mari est toujours absorbé dans sa contemplation de ce chibre qui élargit la chatte de sa femme. Dans le même mouvement il vit, derrière James, sa jeune infirmière avec sa main dans sa culotte. Joyeux, il revint à sa patiente, se pencha sur elle, et leurs lèvres se rencontrèrent pour un chaste baiser. Se redressant, elle l'attira de nouveau contre elle pour un baiser passionné, lèvres soudées, bouches ouvertes, leurs langues chahutant ensemble.
Le mari n'avait rien vu du baiser passionné entre les deux amants. Mais, après que sa femme ait soulevé ses fesses pour enrouler ses jambes autour de la taille du docteur, la vision de cette chatte enserrant le pieu qui la pénétrait, débordante de jus qui lui coulait dans la raie des fesses et trempait le drap sous elle, James comprit que la tactique de toubib avait changé. Est-ce que attr la guêpe restait sa mission première?
Tandis qu'il pompait, le Docteur tremblait. Il utilisait chaque fibre de son être pour se retenir, autant pour le plaisir de cette jeune femme que pour montrer à la jolie infirmière de quoi il était capable, dans l'espoir de la conquérir.
Elle haletait maintenant. Son corps tremblait et brillait de sueur. Véronique, l'épouse fidèle, allait jouir, et devant son mari. En dépit de son souhait de ne pas révéler son plaisir devant son mari, elle ne pouvait contenir cette tornade qui traversait son corps et ravageait son cerveau.
« Ooh Ooh Docteur, mais qu'est-ce tu me fais?»
« Mais, oui, docteur, pensait l'infirmière, explique-nous ce que tu fais pour elle?» L'infirmière, cependant, avait maintenant sa main dans sa culotte.
Les hanches de Véronique commencèrent à onduler en cadence, répondant aux coups de boutoir du médecin alors qu'il augmentait la fréquence et la force de ses coups. Quand son orgasme s'est déclenché, un liquide clair s'est échappé de son vagin, la transformant en femme-fontaine.
Dans le même temps, James n'a pu retenir le jus qui coulait de sa verge, poissant ses doigts. Consterné, James ressentit une rage folle.
L'infirmière a tout vu, dans le même temps la jeune femme jouissant sous les coups de boutoir du médecin, son mari en train de jouir dans sa main, alors son orgasme est arrivé, elle a enfoncé profondément ses doigts dans sa chatte pour se libérer.
« Hé, mais qu'est-ce qui se passe?» demanda James, confus, en caressant sa queue fanée.
Les yeux de James se concentraient intensément sur la chatte de sa femme. Alors qu'elle redescendait et se détendait lentement, les testicules du Docteur claquaient joyeusement contre les joues de son joli cul.
Le pénis du médecin devenait incroyablement plus épais et devenait plus dur que l'acier. Elle a ressenti sa force et sa puissance tandis que de longs jets frappaient le col de l'utérus, inondant son vagin de sperme épais.
Encore une fois, son mari demanda bêtement: « Docteur, mais qu'est-ce qui se passe, et la guêpe?»
L'infirmière, la culotte trempée, sourit. Elle tendit une des serviettes à James. Se rendant compte que l'infirmière l'avait vu se masturber jusqu'à l'orgasme, son visage est devenu cramoisi. Tête basse, il commença à essuyer ses doigts.
« Changement de plan, James,» haleta le médecin en jouissant. « Je vais noyer la petite bête!»
L'infirmière attendait, tenant toujours les serviettes dans ses mains, comprenant maintenant pourquoi le bon docteur les avait demandées.
Avec la dernière goutte expulsée, les deux amants se séparèrent lentement, reprenant leurs souffles après ce sprint final.
Les yeux dans les yeux ils se sourirent et leurs lèvres esquissèrent un tendre baiser. Oui, c'était fini.
« Je suis sûr de lui avoir réglé son compte, à la guêpe.» commenta le Docteur faiblement, cherchant une explication crédible pour le mari et l'infirmière, qui regardait avidement son pénis congestionné en pensant à ce qu'elle pourrait en faire.
Mais James, avec une naïveté touchante, s'exclama: « Hé, Docteur, tu l'as noyée la guêpe, quand tu t'es retiré, la guêpe est sortie, emportée par tout ce jus!»
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