Nice 3

Je puais le foutre et les odeurs de mâles arabes. Avec bonheur, je me suis jeté sous la douche pour nettoyer tout ça et être totalement propre, à l’intérieur aussi, pour mon homme.

Je l’ai rejoint sur le canapé, il était en marcel moulant, avec ses poils qui sortaient de partout, et un jogging épousant parfaitement ses formes viriles. Il avait préparé un petit repas, se doutant que j’allais avoir faim après tout ce « sport », que nous avons dégusté ensemble, presque amoureusement, avec des regards complices, des petits bisous partout et des sourires à n’en plus finir. Je me sentais bien, comme une femme avec son homme, partageant un repas ensemble, comme un couple, même s’il m’avait offert à ses potes juste avant.

Attentionné, il m’avait même acheté mon dessert préféré, le Paris-Brest que j’ai dégusté suavement. Les larmes me sont presque montées aux yeux en murmurant un petit merci lorsque j’ai ouvert la boite en découvrant la pâtisserie.

J’ai découvert alors, que sous son aspect de mâle hyper viril, dominant et exigeant, il était aussi tendre, respectueux, mais que chacun de nous deux devait avoir sa place. Patrick était foncièrement hétéro et ce qu’il aimait en moi, c’est ce côté femelle soumise que peu de filles avaient à l’époque… tétanisées à l’idée de se faire mettre enceinte ou alors, cherchant absolument à agripper un homme pour se faire épouser, et ce, avec une sexualité très conventionnelle. Tout ce que Patrick détestait. Et à part le fait que je sois un garçon… si peu… Il avait tout ce qu’il désirait avec moi.

Avec un regard bienveillant, protecteur, il m’a regardé engloutir ma pâtisserie et m’en lécher les lèvres…

« Continue… tu m’excites… j’aime quand tu sors ta langue comme ça… comme quand tu le fais autour de mon sexe… »

Effectivement, son jogging présentait une bosse monstrueuse, et d’un coup, il m’a attiré vers lui, sur lui, de ses bras forts et velus, mes narines sur les poils de son torse, humant son odeur forte et virile que j’aimais tant.



Comme une plume, il m’a pris dans ses bras et m’a amené jusqu’à la chambre et nous nous sommes retrouvés nus, l’un contre l’autre en quelques secondes…

Mais que c’est beau un homme… !!! Ce corps élancé, ferme, dur, velu, avec entre les jambes un merveilleux organe, long, souple, et qui peut devenir si gros et si dur pour posséder. Je ne peux pas trouver les mots pour vous décrire ma fascination, ma vénération pour le corps de l’homme et de son sexe…. Merci Dieu d’avoir créé ça… !!!

Il s’est allongé sur moi, son corps épousant le mien, son sexe raide, tendu sur mon ventre, en m’embrassant partout, sur mes joues, mes lèvres et mon cou…

« J’ai trop envie de toi, mais je peux comprendre que tu sois fatigué, après cette soirée… Je ne t’en voudrais pas »

Lentement, il est descendu, approchant son gland contre ma chatte, en me faisant des câlins partout… J’étais épuisé de toutes ces pénétrations, mais Patrick était mon homme et instinctivement je me suis ouvert, je me suis offert à lui.

Dès qu’il a senti mon acceptation tacite, d’un formidable élan, il s’est enfoncé entièrement en moi et son côté mâle dominant a ressurgi de suite…

« Je te baise, je te défonce, tu aimes ma grosse bite dans ta chatte de pute…. Je vais t’en donner… »

Il était complètement déchainé, et même après avoir joui à grands jets dans moi, son membre restait dur, et il a continué… Il m’a pris 3 fois cette nuit-là, et à 4 heures du matin, j’ai pu m’endormir, pleine de la liqueur de mon mâle, et serrée dans son corps velu.

Le matin, une odeur de café a empli mes narines et j’ai vu mon homme arriver, dans son boxer moulant, un plateau entre les mains, avec deux tasses remplies et une assiette sur laquelle trônaient des croissants tout chauds qu’il venait juste d’aller chercher.

J’étais ébahi, suffoqué par tant d’attention de sa part, je ne m’attendais certes pas à ça de lui. Après un gentil bisou sur ses lèvres, nous avons dévoré ensemble ce petit déjeuner, c’est vrai que j’avais super faim.
Une fois tout avalé, il a posé le plateau à côté du lit, a enlevé son boxer et il s’est allongé sur moi en écartant mes cuisses…

J’ai senti son fabuleux membre prendre possession de moi, son corps, pas encore douché, dégageant des effluves si viriles, pleines encore de nos étreintes de la nuit. Il m’a pris avec toute la puissance dont il était capable, mais aussi avec une tendresse que je ne lui connaissais pas auparavant… Il a joui dans un râle profond et sa semence s’est rependue à grands jets chauds au fond de moi, mes jambes sur ses épaules et mes mains parcourant son torse, ses cuisses et ses fesses hyper velus. On est restés un bon moment accouplé tous tes deux comme ça, son sexe encore dur fiché en moi, et moi, me régalant de ses poils. Je me sentais si bien…

« Je ne sais plus quoi te dire Michel… Tu es un garçon, mais je me sens tellement heureux avec toi. C’est la première fois où je suis autant comblé, où je suis désiré, où je prends du plaisir à en recevoir et en donner. Je suis un peu bouleversé par tout ça. »

« Moi aussi Patrick, c’est tellement nouveau pour moi depuis cette croisière où tu m’as révélé ma vraie nature, mais je comprendrais que, à cause des… comment dire… des convenances… tu veuilles mettre fin à tout ça… je ne t’en voudrais pas »

« Tu as rien compris… Je me fous complètement du quand dira-t-on… Je veux juste savoir si tu es prêt à être à moi, à accepter ce que je veux… Etre mien, ou mienne, et que je t’offre à tous ceux qui me le demandent et qui seront… gentils pour ça… ok ? »

« Tu restes garçon dans ta vie de tous les jours, mais hyper femelle avec moi et les autres hommes…. Tu es OK pour ça ? J’en suis persuadé, j’ai vu ça sur le bateau. »

« Je veux Toi et je veux tout ce que tu veux… !!! »

Il m’a basculé à 4 pattes et son sexe s’est enfoncé dans moi violement, me tenant solidement par les hanches, ses coups étaient forts, puissants, cherchant à aller toujours plus profondément pour me soumettre à ses désirs, et aux désirs des hommes aussi…

« Ce sera comme ça tous les jours, et plusieurs fois, trop d’hommes ont besoin de se vider à Las Planas….
Les clients ne manquent pas pour ça… »

Et dans un formidable râle, il s’est vidé dans moi, me remplissant encore de son nectar…

J’étais bien… !!!! Heureux ? Heureuse ?








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