Soumission En Vacances 9 - La Cave 2 : Le Retour
Chapitre 9 : la cave 2 le retour
Dans le fond, je métais vraiment piégé tout seul. On était parti pour une après-midi agréable, peut-être une reprise tranquille mais rien de bien pire
Massage, un peu de sexe, jaurais peut-être même pris les rênes avec son approbation.
Peut-être, peut-être, peut-être.
Je ressassais tout ça à nouveau, pour la énième fois depuis maintenant plus dune heure. Peut-être deux. Cest pas comme si je pouvais savoir. Javais mal à la mâchoire, mal au cul, aux articulations, jétais au bord du point de rupture, et javais la même bande son qui tournait en boucle au fond de ma cervelle en bouillie : tu las bien cherché, la prochaine fois que tu as une bonne idée, abstiens-toi. Ou fais des nuds, des nuds bien solides
Jétais perdu dans ces considérations quand une lumière maveugla. Jentendis les pas de ma maitresse résonner et fut assailli pas une vague de reconnaissance : enfin elle venait me sauver
2 heures plus tôt :
Disparu, le Fabrice sûr de lui. Là, il avait tendu les manettes à une version bien moins courageuse, qui couinait comme elle pouvait à travers son bâillon, dans un mélange complexe dexcuses, de justification et de supplications. Javais quand même trouvé le temps de me relever sur les genoux dans ma position de soumission, histoire dessayer de sauver les meubles comme je pouvais.
Léa était imperturbable. Elle avait remis son masque de déesse, sa tenue sexy de cuir, elle tenait la cravache dans une main et le sac de sport dans lautre.
- « Lèves-toi et tais-toi. Tu nes pas en train daméliorer ta situation en mexaspérant comme ça ».
Je men doutais, mais javais du mal à marrêter, panique oblige. Mais elle avait déjà switché parfaitement dans son rôle de dominante. Elle sinstalla à genou devant moi, me caressa les couilles en levant les yeux pour plonger son regard dans le mien et, dune voie tendre, entreprit de me rassurer.
- « Écoutes moi bien mon petit chien : je ne ten veux pas. Tu as vu une opportunité, tu las saisi, tu as profité
Cest très bien, ce serait hypocrite pour moi de ten vouloir tu comprends ? »
Elle ponctuait son explication de petit coup de langues divin sur mon sexe maintenant dressé. Je hochais de la tête, rassuré. Mais elle navait pas fini.
Elle sarrêta brutalement de me caresser, son petit sourire rassurant laissa place à une expression froide et elle me serra les bourses sans une once de délicatesse.
- « Seulement voilà : cest pas parce que je ne ten veux pas davoir tenté ta chance au jeu que je vais tépargner les conséquences de la défaite. Ma conception de ces phases de jeux est simple : toute nouvelle partie se joue en faisant abstraction des précédentes. Si on avait repris, on serait reparti à zéro. Si tu avais mené la tienne jusquau bout, je ne taurais pas puni la fois suivante pour avoir profité de moi. Mais voilà : tu nas pas su mener ta barque jusquau bout. Et maintenant, ton compte de bonnes actions est sérieusement à découvert et il faut passer à la caisse. »
Tiens, je flippe à nouveau. Ça aura été rapide
- « Suis-moi, à genoux »
Et elle partit sans même me regarder. Je me tortillais comme je pouvais pour ne pas perdre de terrain
pas facile de garder le rythme. Je compris vite où elle mamenait : la cave.
Elle sarrêta devant la porte en bois, se retourna et mattendit avec un air excédé. Javançais comme je pouvais dans les graviers sur les derniers mètres, ignorant la douleur sur mes genoux.
Quand jarrivais devant elle, elle se pencha et me tritura les bourses et le sexe pour le faire rentrer dans une nouvelle cage de chasteté quelle verrouilla avec un cadenas. Elle était constituée dune série danneaux reliés entre eux dont les premiers enfermaient les testicules séparément et dont le dernier était composé dune tige en arc de cercle qui passait sur le bout du gland avec un petit trou au niveau de lurètre.
Non pas ça. Pitié pas ça.
Mais je nosais même pas couiner. Dans le fond, ça servait à rien, autant garder ça pour plus tard.
Elle fléchit ses jambes, en position squat face à moi, me fit un petit bisou sur la tempe et commença à saffairer avec un air guilleret et joueur sur le visage.
- « Tu regrettes un peu
»
Elle commença à doucement faire rentrer la tige. Je commençais à gémir.
- « Beaucoup
»
Elle continua sa lente progression.
- « Passionnément
»
Dans le fond, la tige nétait pas bien longue mais elle me semblait glisser en mois jusquau fond de mon anatomie.
- « A la folie
»
Elle était au bout. Elle fit tourner la petite boule au bout de la tige qui se vissa dans la cage de chasteté. Elle se releva et baissa son regard pour capter le mien. Son sourire avait disparu, laissant place à une expression froide et dure.
- « Pas du tout. »
Elle me saisit subitement par les cheveux et me projeta en avant. Avec mes mains attachées dans le dos, cétait uniquement sa poigne dans ma tignasse qui mempêchait de mécraser au sol et qui me maintenait à lhorizontal. Et dans cette position, une averse de fessées commença à me tomber sur le derrière.
Je couinais, mais dans le fond je ne pouvais rien faire. Je ne pouvais même pas me débattre sans tirer sur mes cheveux et prendre le risque de mécraser au sol.
Après une bonne minute de ce traitement, elle sarrêta.
Dune seule main, me tenant toujours par les cheveux en position, elle sorti un gode attaché à un harnais quelle lubrifia, puis elle me lenfonça dans le cul sans aucune délicatesse ou considération pour mon bien être. Je mordis le bâillon, mais finalement après ma séance de fessés et les utilisations répétées de mon derrière sur ces derniers jours, leffet ne fut pas si terrible que ça.
Elle me fit remettre debout, me détacha les mains et menleva le bâillon. Je me sentais ridicule avec les lanières du gode ceinture qui pendouillaient derrière moi.
- « Si tu essayes à nouveau de prendre le dessus, la clé du cadenas de ta cage risque de disparaitre donc fait très attention
»
Je croisai les bras dans le dos et baissa la tête en signe de soumission.
- « Attends-moi ici. »
Elle prit le sac et descendit à la cave. Jattendis patiemment environ 5 minutes qui semblèrent durer une éternité. Lorsque la pression commença à redescendre, je lentendis mappeler et descendit les escaliers.
Une fois en bas, je neu pas le temps de mhabi à la pénombre que jentendis claquer un « dans le coin, là-bas ! ».
Javançais dans la direction indiquée et découvrit avec étonnement un godemichet planté à lhorizontal dans le mur. En mapprochant, je vis quelle avait utilisé un trou entre 2 pierres du mur pour glisser un long gode, mis en équilibre précaire avec quelques chiffons.
- « Prends-le en bouche ».
Javoue clairement, jétais pas fan de lidée. Je ne tire aucun plaisir à ça, à la limite si cétait un gode-ceinture de ma maîtresse pourquoi pas, mais planté dans un mur comme ça cétait moyen. Je me mis à couiner pour essayer desquiver, mais elle me fit claquer la cravache sur le cul, sans aucune retenue, me rappelant que je nétais clairement pas en position de demander quoique ce soit.
Je me décidais donc à y aller. Vu la hauteur du membre qui dépassait, je devais me mettre à 4 pattes face à lui pour y accéder. Je le pris timidement en bouche, mais elle me poussa larrière du crâne pour que jy aille vraiment. Elle ne me mit pas en véritable position dinconfort, mais lenfonça quand même à la limite.
Jattendais patiemment de savoir quand je pourrais le lâcher et quand je lentendis sagiter derrière moi. Incapable de me retourner dans cette position, jattendais
Je sentis quelle collait un objet contre mon cul.
Pendant que leau sécoulait, je la senti prendre ma cage de chasteté et la tirer vers larrière. Mon sexe était replié sur lui-même, tiré en arrière et mon gland touchait presque le gode planté dans mon cul.
Après 5 minutes, elle coupa leau et sapprocha de moi. Elle se baissa et se colla contre le mur pour que je puisse voir son visage.
- « Voilà ce qui va se passer Fab. Tu es libre. Voilà. »
hein ??
- « Je ne ni tattacher, ni te r. Tu es libre de partir si tu le veux. Si tu choisis de rester, je passerais te chercher plus tard et je reprendrais les choses-là ou nous les avons laissés. Si tu décides de partir, notre partie sarrête là. Et pour la suivante, ce sera toi qui décidera qui est le dominant et qui est le dominé. »
Alors là, le choix allait être vite fait. Elle séloigna un petit peu mais resta dans la pièce. Après environ 15 secondes, jugeant que javais assez donné limpression dhésiter, je me mis à faire marche arrière pour libérer ma bouche.
Seulement, jai dû vite déchanter. En essayant de reculer, je me rendis compte que jenfonçais encore plus le gode ceinture qui me restait dans le cul. Je marrêtai immédiatement. Jessayais alors davancer pour libérer mon cul. A nouveau, jétais bloqué par celui dans ma bouche.
Non.
Elle na pas fait ça.
Évidemment que si.
Elle navait jamais eu lintention de me libérer. Elle avait attaché son gode ceinture au container avant de le remplir deau pour que je ne puisse pas le bouger. Si je reculais, jenfonçais le gode dans mon cul à la limite du supportable. Si javançais, jenfonçais le gode dans ma bouche à la limite du supportable.
Je pouvais utiliser mes mains, mes bras, mes jambes : jétais libre. Mais jétais encore plus immobilisé que si javais 10m de corde qui menserraient le corps.
Jessayais denlever le gode du mur, mais impossible de le sortir sans lenfoncer dans ma bouche. Jessayais de donner des coups de pieds dans le container mais, rempli deau, il ne bougeait pas dun pouce. Je me débattais, je gémissais en continu, jessayais de supplier ma maîtresse, mais elle restait de marbre. Puis, elle prit la parole :
- « Bon, si tu décides de me rejoindre je serais en haut. Sinon, reposes toi bien parce que la suite risque dêtre fatigante
»
Et sur ces mots, elle éteignit la lumière et partit, me plongeant seul dans le noir total.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!