Abdalla2
Mico mattendait sur le lit, nue , les cuisses outrageusement écartées ; je me doutais quelle mattendait tout en se caressant et en effet, sa chatte est brillante et mes doigts y pénètrent facilement, lubrifiés par une sécrétion abondante « tu tes branlée en mattendant » je nai pas besoin de réponse car sans aucune difficultés, je peux la fister la main en entier lui fouillant la caverne ; « fait moi jouir avant de me raconter, cela dut être bon car cela fait cinq heures que je tai quitté ; jai pensé à toi te faisant enculer pendant tout ce temps, vieux salop ! « Ma main lui laboure la chatte béante et mes doigts lui titillent son point sensible ; il ne lui faut pas longtemps pour partir dans un long feulement signe de sa jouissance proche ; je connais le moyen de la faire définitivement partir ; ses tétons, très sensibles ne résistent pas à mes agacements et brutalement elle jouit bruyamment; inondant un peu plus ma main.
Pendant le récit de mon après-midi, elle sest contentée de se caresser, attentionnée, à lécoute de mes réactions, posant parfois une question ou me demandant mes sensations à certain moment des événements ; pour moi il en était très différent ; lenvie de la prendre sauvagement me tiraillait et ma queue tendue ne souhaitait que la chaude humidité de sa chatte et ny tenant plus je la renverse sur le dos. La suite un long combat ponctué dun langage des plus colorés ; épuisés lun et lautre, nous nous sommes assoupis
« Tu as encore envie de cet homme », « «plus que tu ne le penses et de plus jaimerai que tu le rencontres, cest à la fois un homme bien monté, plein de classe, sachant te faire monter au ciel, et à priori il ne lui déplairait pas de te connaitre, en un mot tout ce qui te plait » « appelle le , jai envie de te voir sous sa queue et pourquoi pas plus » « tu es complètement folle ,il est deux heures du matin
Quand femme veut
malgré lheure il semble satisfait de mon appel et il me propose de nous prendre vers 10 h pour nous faire visiter la ville, celle inconnue des visiteurs, puis ensuite de passer le reste de la journée à mieux nous connaitre.
Enfin 15 heure larrivée chez notre hôte ; il nous accueille avec délicatesse, vêtu dune superbe djellaba blanche, brodée finement ; « est-il nu en dessous, » la curiosité de Mico est évidente. Très vite elle est sous le charme, il faut dire quil est empressé auprès delle, la complimentant, prenant tous les prétextes pour la frôler je connais ma femme et ses yeux brillants traduisent son émoi, mais aussi sans doute ses envies. Il est le maitre de cérémonie et cest lui qui lance les hostilités en écartant les pans du corsage, découvrant ainsi les poitrine libre de tout soutien les seins sont fermes, offerts, les auréoles rosées, les pointes déjà tendues ; sans un regard vers moi, il sen empare dune main , lui pétrissant doucement les globes elle se cambre , renversant sa tête en arrière en signe dabandon, avançant son pubis au contact du membre qui devient perceptible, tendu sous lample vêtement.
le corsage tombe à terre, bientôt suivi de la jupe protégeant un simple string blanc, qui se détache sur le bronzage ; une main vient se poser sur son pubis et sinfiltre entre les cuisses qui souvrent, laissant libre le passage vers une chatte plus quofferte ; je ne bouge pas, lui laissant le plaisir de la posséder pour lui seul ; les gémissements jaillissent des lèvres de Mico, investie par des doigts fureteurs.
Lhomme est habile et très vite elle jouit, sans retenue, soffrant, réclamant de son corps une pénétration.
Abdala (nous saurons son prénom plus tard) la prend dans ces bras, la porte dans la salle de nos ébats dhier et la dépose sur le dos sur la couche ; la djellaba tombe au sol et il apparait nu, le sexe bandé, fier, arqué, le gland gorgé de sang.
Dans mon coin, le short sur les chevilles, je me branle, essayant de me retenir mais son plaisir me fait partir en longs jets qui sécrasent au sol. Il vient de se retirer, la queue encore raide ; me rapprochant deux, je me penche et ma langue vient lécher le sexe encore plein de semence ; il se laisse faire et jessaie de le gober, enfonçant le gland au fond de ma gorge, je le branle , ressortant parfois pour lui prendre les couilles entre mes lèvres ;
le traitement lui plait car il est à nouveau prêt, me prenant la tête cest lui qui donne le rythme ; une main se pose sur mon anneau, lagace et un doigt sinfiltre , tournoyant pour le dilater ; je moffre, reculant mes fesses ; et soudain je sursaute, ce nest plus un doigt mais un gland qui se frotte, sinvite à lentrée de mon cul .
Je nai pas vu rentrer lindividu et en me retournant je découvre un homme de40 ans, la barbe courte , bien bâti et à en croire le diamètre de la bite qui me force lentrée, bien membré ; il a du mal , car je ne suis pas dilaté, mais il men a cure , il pousse, gagnant peu à peu et quand le gland franchit lobstacle, une violente poussée, lenfourne jusquaux couilles ; la douleur me vrille le corps et je lâche la queue que je suce ; japerçois alors Mico qui nous regarde , les doigts dans la chatte, encore dégoulinante de sperme ; je nai pas le temps de récupérer la douleur, quil se retire pour mieux ,dune seule enculade, replonger dans lanneau.
accroché à mes hanches, sa pénétration saccélère ; entre douleur et plaisir, je ne sais plus où je suis ; Mico sest enfilée sous mon ventre et me malaxe les couilles « putain, ten prend plein le cul, mon chéri, jaime te voir enfiler ; vas-y défonce le, il aime,
.. putain ça mexcite »
Lautre en profite et maintenant il me pistonne rapidement, buttant à chaque fois sur mon bassin ; la douleur est absorbée par la jouissance et si je gueule, cest de plaisir ; ma queue a repris du mordant sous les caresses de Mico ; mais pour linstant elle moublie « oh il vient de menculer
..putain il est gros
.ah ah « je comprends mieux, car en effet, Abdal, que jai délaissé, sen prend maintenant à elle ; nous sommes tous les deux enculés par deux baiseurs de première, et bientôt nos cris de jouissance se mêlent ; le mien sait sy prendre, et il varie le rythme et me redressant les épaules, il reste parfois au fond du fondement, sécrasant les couilles sur mes fesses ; il mamène où il veut, se retenant pour ne pas jouir, se retirant pour mieux menfiler ensuite ; soudain une vague monte de mon corps possédé, et je termine par un long cri de bonheur ; ma jouissance est intense, profonde, complète et quand enfin ses jets sécrasent contre les parois, je mécroule, vaincu par le plaisir, les entrailles pleine de sève ; à coté, elle aussi ne tarde pas à me rejoindre et il nous faut un long moment pour revenir à la normale.
Nos deux maitres de plaisir (à savoir le père et le fils, nous le saurons plus tard), sont assis sur des poufs et fument tranquillement le narguilé ; ils nous en proposent
pour nous cest nouveau et nous décidons dessayer.
Mico, toujours nue, les cuisses écartées ,fume, sous le sourire moqueur de nos hôtes ; pour ma part, je marrête rapidement car je crains les effets ; la voir ainsi, ouverte, offerte à nos regards, impudique mexcite et ma virilité se réveille ; pour elle , lenvie est manifeste ; elle se caresse le minou, provoquant du regard les deux hommes, puis se levant, elle renverse Abdal, qui la queue bandée, se retrouve sur le dos ; sans aucune hésitation, elle positionne sa chatte au-dessus du gland et se plante sur la queue , descendant jusquà toucher le pubis ; amusé, il se laisse faire et elle le baise, se penchant sur sa poitrine pour lembrasser ; il lévite ;
dans sa détermination, elle sest collée contre le buste masculin , offrant alors une vue bien dégagée sur son sillon. il ne me faut pas longtemps pour venir au son contact et dun doigt conquérant, je lui pénètre lanus, le dilatant au max ; sous le contact, elle se cambre un peu plus « prend moi, jai envie de deux bites, faites-moi jouir « ce que femme veut ! Me positionnant sur lanneau dilaté, je menfonce, sans aucune difficulté, dans le conduit déjà lubrifié ; sous le double possession, elle ne peut retenir un petit cri plaisir ou douleur ? Cest moi qui donne le rythme, lui la tenant fermement par les épaules ; son plaisir vient vite et je la barate vigoureusement ;
soudain deux mains memprisonnent les hanches, et un gland vient me perforer le cul ;
javais oublié le fils et ma position lui tend un postérieur et un trou encore sensible de la précédente pénétration ; il men tiens pas compte ; il me baise pour mon plus grand plaisir ; je ne peux plus bouger et elle comprend pourquoi « il te baise mon salop ; tu aimes te faire prendre, je sens les coups quil te donne ;bon dieu que cest bon » il est vrai que chacun de ces coups se répercutent par une pénétration plus importante pour elle ; dautant plus que sous lenculade jai encore pris du volume ; quand il me défonce, je la défonce en même temps ; cest à mon tour de jouir et je me vide , remplissant le conduit dilaté ; je débande, et ressors de la caverne , alors que je suis toujours pris ; enfin je le sens se crisper et si je ne le comprends pas, ses paroles, sans aucun doute pleines de « doux mots « à mon égard », accompagnent ses jets ; les grognements de mes voisins prouvent queux aussi ont atteint le point de non-retour.
Nos hôtes ont repris leurs vêtements et ils nous invitent pour le repas du soir, dans un restaurant typique et nous proposent de retourner à lhôtel pour nous changer ; nous acceptons, et le trajet se fait en silence, Mico blottie dans mes bras.
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