Découverte Du Candaulisme
Après quelques récits écrits à 4 mains, je reviens vers du plus classique. Ma femme na pas pu recommencer avec son ancien élève et son copain Max, et avec le confinement, bien sûr, cela va être difficile, il reste notre jeune voisin, mais ses parents télétravaillent. Ma femme va pouvoir trouver lexcuse des cours de maths, toutefois, deux de nos s sont à la maison, lun travaillant en intérim, cest donc très aléatoire dun jour sur lautre, compliqué à gérer et lautre qui vient dêtre diplômée en architecture est en recherche demploi, principalement en Allemagne, donc ce nest pas simple. Tout ça pour préciser quelle doit se contenter de son mari ! Le fameux Nico devait passer avec un de ses cousins, mais ce sera certainement partie remise, wait and see
Donc je vais raconter un vieux souvenir des années 80, nostalgie, qui a peut-être joué dans mon cheminement vers le candaulisme et cette excitation de voir, ou de savoir, ma femme avec un jeune homme.
Nous étions en 1985. Jétais en fac dHistoire, à la Sorbonne, mais en dehors des TD, je nallais pas beaucoup en cours, javais certes des facilités, mais les cours nétaient le plus souvent que le récit des livres écrits par les brillants historiens qui nous les dispensaient, donc je préférais les acheter. Dautant plus que brillant ne veut pas ment dire passionnant en amphi ! Tout ça pour préciser que je traînais pas mal à Paris. Or, javais un camarade qui était dans une école dattachés de presse rue Pierre Charron, école se trouvant à quelques dizaines de mètres des Champs Elysées. Jallais souvent le voir et nous passions des heures à jouer au flipper dans deux cafés, dont un était juste en face de cette fameuse école. Ce dernier était également fréquenté par de nombreux artistes, chanteurs ou acteurs, une maison de disque se trouvant juste à côté, nous eûmes notamment plusieurs fois loccasion de jouer avec un chanteur pied noir très connu qui était un fou de flipper.
- Elle vous plaît ma femme ?
Bam, cest violent, ça coupe ma miction.
- Heu, ben non, ça va pas ?
- Ah, je croyais, vous aviez lair de la regarder.
- Mais non, vous avez mal vu.
- Dommage, car vous lui plaisez, elle aime les jeunes gens dans votre genre, en plus elle apprécie les gros glands comme le vôtre !
Et là il remonte, me laissant totalement pantois. Il me fallut quelques secondes pour pouvoir terminer ce que javais commencé, mais ses mots tournaient dans ma tête. Javais une boule au ventre, jétais tremblant, quest-ce quil avait voulu dire ? Je remonte, ils sont encore là. Je retourne à ma place, je prends mon sac, elle me regarde et me sourit, lui aussi. Je pars, passe juste à côté deux, je suis complètement retourné, je ne sais comment réagir, ils me regardent encore, je suis sur le trottoir et pars vers le bus. Puis au bout dune cinquantaine de mètres, je marrête, je prends le temps de réfléchir et je me dis « mince, cest trop con », et je retourne vers le café. Ils sont toujours là, le mari sourit franchement lorsque je mapproche deux.
- Vous avez changé davis ? Elle vous plaît finalement ?
- Madame est très belle !
- Mais pourquoi avoir dit le contraire tout à lheure ?
- Jai été très surpris par vos propos, je ne mattendais pas à ça, je croyais que vous étiez fâché que je la regarde.
- Oh non, jaime que les hommes la regardent, surtout les jeunes. Vous vous installez que lon discute ?
Je prends place et là, il mexplique :
- Vous avez remarqué que je suis nettement plus âgé que mon épouse ?
- Oui.
- Jai 71 ans et surtout jai quelques soucis de santé, voilà, je ne bande plus depuis de nombreuses années. Ma femme maime, enfin du moins cest ce quelle dit, dit-il en la regardant en souriant et en posant une main sur sa cuisses largement dévoilée à présent car il vient de faire sauter au moins 3 boutons-pressions, et elle sest longtemps contentée de quelques caresses, mais depuis quelques années, je lui trouve des amants de temps en temps pour combler mon propre manque. Or, il sest avéré que madame est friande de petits jeunes à dévergonder, et dès quelle vous a vu, elle men a parlé et à essayer dattirer votre attention, ce qui a visiblement été le cas.
- Elle me plaît beaucoup oui.
- Voilà ce que je propose, nous allons chez nous, vous me semblez un jeune homme bien élevé, vous baisez ma femme, je dis bien baiser, pas de sentiments, du sexe.
- Heu oui, mais
- Moi ? Et bien je regarde et surtout je filme ! Je peux aussi vous caresser, voire vous sucer quand vous baisez ma femme. Cest à prendre ou à laisser !
Pendant notre discussion, sa femme était restée totalement muette, hiératique. Cétait assez irréel, elle semblait figée, pas un sourire, rien. Mais putain quelle était bandante, la bourgeoise sexy dans toute sa splendeur, mon fantasme absolu de lépoque. En plus je voyais la lisière de ses bas sur sa magnifique cuisse ! Lidée quil me tripote ne me plaisait pas beaucoup, mais javais trop envie de la baiser.
- Je suis daccord, mais jespère que vous nhabitez pas trop loin, je dois rentrer chez moi ce soir.
- On est dans le 92, et au pire, vous pourrez rester à la maison.
- Bon, on verra.
Je me demandai déjà quelle excuse jallais devoir trouver pour éventuellement expliquer à mes parents que je restai sur Paris, et chez qui ?
- Vous restez ici ? Je pars chercher la voiture.
Le voilà qui sen va, me laissant seul avec sa femme muette. Je ne sais pas quoi lui dire, cest une situation très particulière dêtre face à une femme que lon va baiser dans quelques minutes, que lon ne connaît pas, avec qui on na même pas échangé une seule parole. Miracle, elle parle !
- Vous avez quel âge ?
- 21
- Moi 48. Vous aimez les femmes plus âgées ?
- Jaime bien oui, ma première fois était avec la mère dune copine, jai bien aimé.
- Et depuis ?
- Jai eu deux aventures avec des femmes plus âgées, oui, lannée dernière dans un mariage et aussi une femme que jai abordée sur les Champs il y a quelques mois.
- Ça vous a plu ?
- Avec celle du mariage oui beaucoup.
- Pas lautre ?
- Ben jai juste eu le temps de la pénétrer, on était pressé, jai joui tout de suite, elle devait partir pour aller chercher ses s à lécole. Elle avait lair contente, mais jai pas eu le temps de lui demander son numéro de téléphone.
- Jespère que vous saurez prendre votre temps ! Jaime prendre du plaisir ! Et vous me plaisez beaucoup, jai des amies qui aimeraient certainement vous avoir dans leur lit !
- Ah bon ?
- Et oui, certaines femmes aiment les jeunes gens, donc si vous faites laffaire, qui sait ? Et donc la femme du mariage ?
- Cétait bien, on a eu plus de temps, on a fait ça dans sa voiture, mais cétait super.
- Quel âge ?
- 51 !
- Vous les aimez vraiment plus vieilles !
- Elle est très bien encore, quelques rondeurs, mais ça ne me dérange pas.
- Mieux que moi ?
- Je ne pense pas non !
- Pourquoi dans sa voiture ?
- Ben il y avait son mari dans sa chambre !
- Et bien, bravo !
- Il était soûl. Mais le lendemain, jai pu la retrouver dans sa chambre, cétait encore mieux.
- Et vous lavez revu ?
- Non, elle habite dans le sud de la France, mais elle a mon numéro au cas où elle viendrait sur Paris, ce qui arrive de temps en temps. Elle ma déjà appelé plusieurs fois.
- Je vous préviens, jai quelques
manies. Vous êtes jeune, ça peut vous surprendre. Mais jy tiens.
- Je ferai tout pour vous faire plaisir.
- Cest bon à entendre, ah, mon mari arrive, on y va ?
Une grosse BMW grise se gare, effectivement, ces gens ne doivent pas avoir de soucis dargent. Je vais pour minstaller derrière, la femme sinstalle à mes côtés, ça fait bizarre, limpression davoir un chauffeur, il ne manque que la casquette. Nous démarrons, le mari me parle :
- Jeune homme, sortez votre sexe !
- Heu là ?
- Oui.
Je ne suis pas très à laise, mais je le fais.
- Claire va vous sucer.
- Oui mon chéri.
- Jaime lorsquelle suce des hommes !
Et Claire se penche, gobe ma queue et en quelques secondes celle-ci est raide dans sa bouche.
- Il bande ?
- Oui, tiens regarde !
- Ah oui, javais vu son gland dans les toilettes, jétais sûr quil te plairait.
- Oui, sa bite nest pas très longue, mais elle est jolie, bien dure.
Dialogue surréaliste, comme si je nétais pas là !
- Elle est épaisse, je crois quelle va me faire du bien.
- Cest bien mon amour ! Elle suce bien nest-ce pas ?
Nétant pas un grand habitué de la chose, je ne peux que confirmer. Javais peur de jouir trop vite, mais dabord la fameuse Claire avait serré sa main sur la base de ma queue, mais en plus la situation me bloquait un peu, un moment on sest arrêté le long dun bus et deux jeunes ados regardaient, ils ont vite compris ce qui se passait, en plus le mari qui avait aussi remarqué lui demanda de remonter sa jupe pour leur montrer son cul !
- Montre leur ton cul ma chérie !
- Comme tu veux mon amour.
Ils étaient vraiment un peu frappés, enfin du moins à lépoque, cest comme ça que je voyais les choses. Elle me suça jusque chez eux, pendant une bonne vingtaine de minutes. Ils avaient un superbe appartement en dernier étage avec terrasse donnant sur Paris, vraiment des pauvres ! Je dus laisser ma queue à lair dans lascenseur, elle gardait la main dessus en me branlant, je nétais pas du tout à laise, me demandant dans quelle galère je métais embarqué. Arrivé chez eux, madame part directement aux toilettes en me demandant de me mettre nu. Elle laisse la porte ouverte, me demande de venir et urine devant moi, mais de telle sorte que je ne puisse voir sa chatte, visiblement, elle sétait retenue longtemps, son jet était puissant, cest la première fois que je voyais ça et ça me plaisait plutôt.
- Tu aimes ?
- Oui, cest excitant !
- Tu vas me nettoyer, ça fait parti de mes petites habitudes, viens. Tu es beau nu mon chéri, jaime ton sexe, je vais me régaler.
Elle part sinstaller sur un grand canapé, me lança sa culotte en me demandant de la mettre, décidément des gens spéciaux, je le fis avec difficulté, ma queue et surtout mes testicules ressortaient de partout ! Elle sourit à cette vue !
- Je trouve ça trop sexy ! Viens me nettoyer maintenant.
Elle écarte ses cuisses en grand et soulève sa jupe, elle était tellement sexy avec ses bas sur ses belles jambes, bien que jeune, jétais largement fétichiste de bas ou de culotte. Je vois enfin son sexe, une belle toison brune lentoure, mais on voit la fente rose. Je magenouille et approche la tête, je lavais déjà fait, mais très rarement.
- Passe ta langue partout mon lapin !
Javoue avoir eu un moment de répulsion. Autant jaime maintenant manger la chatte de ma femme après quelle a pissé, autant à cette époque javais des préventions sur le côté sale de la chose. Je mapproche et je commence à la lécher. En fait, cest bon, jadore le goût et joublie vite quelle vient duriner. Elle écarte ses cuisses à fond et me demande de mettre ma langue le plus profondément dans son vagin, elle mouille beaucoup et jai bientôt les joues trempées. Je navais pas vu beaucoup de chattes, mais avec le recul, la sienne était très belle, des lèvres parfaites et un clitoris qui ressortait juste ce quil fallait. Elle guidait ma tête avec ses mains.
- Lèche-moi ici !
- Ici maintenant ! Mets ta langue bien profond.
- Suce mon clitoris (je ne lavais fait), hummm oui, comme ça.
Un moment, je sens une main sur mon sexe, cest son mari !
- Il bande bien le salaud, sa bite coule, tiens goûte !
Et il passe son doigt sur mon gland, ramasse mon liquide pré séminal et fourre ses doigts dans la bouche de sa femme.
- Suce bien ma salope !
Je nétais pas habitué à lépoque à ce genre de discours, je voyais lamour de manière très romantique, même si mes hormones me poussaient à faire ce que jétais en train de faire, et jétais très surpris de voir un mari visiblement amoureux traiter sa femme de salope et elle visiblement apprécier. Jai appris depuis que cela peut augmenter le plaisir en brisant les limites imposées par notre éducation. Toujours est-il que je commençai à avoir mal à la mâchoire lorsquelle me commanda :
- Mets tes doigts dans ma chatte, vite, je vais jouir !
Je mexécute et sous ma bouche je sens son bassin qui se soulève, elle colle littéralement son sexe sur mon visage et jouit assez bruyamment, chose également à laquelle je nétais guère habitué.
- Merci mon lapin, cétait très bon. Je tai barbouillé le visage, je mouille beaucoup quand je suis excitée, désolée ! Viens membrasser !
Ah, enfin, un peu de tendresse ! Javance mon visage prêt à lui fourrer ma langue dans la bouche lorsquelle me dépose juste un baiser chaste en me disant :
- Non, la langue, cest pour mon mari ! Bon, jai soif moi, on se désaltère ?
- Oui ma chérie, jeune homme, une bière ?
- Heu oui, pourquoi pas.
Le voilà qui part et je me retrouve avec ma queue toute dure et baveuse qui dépasse de la culotte, elle qui na quune envie, pénétrer cette belle chatte qui se dérobe à mes regards. Bon, je vais patienter. Nous nous installons comme si de rien nétait dans le salon, elle est rhabillée, mais sans culotte, lui toujours très élégant, et moi comme un couillon presque nu avec ma queue dure qui déborde de cette foutue culotte, cest une scène qui est restée gravé en moi tellement ça me semblait surréaliste. Discussion de salon :
- Vos études ? Vos loisirs ? Vos parents ? Vous avez une petite copine ? Bla bla bla.
Moi je lorgnai ses cuisses largement découvertes, elles étaient belles, javais mal au sexe tellement il était dur ! Claire regardait ma bite de temps en temps !
- Mais tu ne débandes jamais mon lapin !
Ah non, je ne débandais pas, il ne fallait pas non plus que je touche ma queue sinon, ça partait tout seul.
- Jai trop envie de vous madame !
- Il est mignon, madame, je trouve ça excitant, hein chéri ! Tu vas chercher lanneau ?
- Oui mon amour.
Mon amour, mon chéri, ils commençaient sérieusement à me gonfler, mais javais trop envie de la baiser, elle ressemblait vraiment à mon fantasme absolu, même si je navais pas encore vu son corps nu. Mais cette histoire danneau ? Encore une de ses manies ? Son mari revient avec un truc assez petit dans la main.
- Tu lui mets ?
- Oui ma chérie !
Aïe, le vieux vicieux va encore me tripoter ! Bon je pense à sa femme pendant que ses doigts se baladent sur ma queue, dailleurs cest peut-être mieux que ce soit lui, sinon jéjaculerai des litres de sperme !
- Tu vois mon lapin, les jeunes bandent bien, mais ils jouissent trop vite, avec cet anneau, ça va retenir ton éjaculation, tu vas tenir plus longtemps.
Daccord ! Je ne connaissais pas ce genre daccessoires à lépoque, pas dinternet pour se documenter et je ne fréquentai pas les clubs échangistes, si tant est que je sache ce que cétait à lépoque. Monsieur le pose, effectivement, ça serre, il me branle un peu.
- Cest bon ma chérie, il ne jouit pas, mais cest plein là-dedans ! dit-il en me soupesant les testicules.
- Hummm, allez, approche-toi mon lapin, tu vas me faire plaisir encore, jai une petite manie, jaime quon soccupe de mes pieds.
Jétais assez perplexe, ses pieds ? Cest sale les pieds ! Que veut-elle que je fasse ? Je mapproche delle, elle tend ses jambes vers moi, elle porte encore ses escarpins.
- Ils sont à toi mon chéri !
Heu oui, et alors ? Maladroitement je saisis ses chevilles, du coup sa jupe sécarte et je revois cette chatte que je rêve de pénétrer. Je caresse ses chevilles, ses mollets.
- Et mes pieds ? Si je garde mes chaussures, ça va être difficile !
- Heu, oui, daccord.
Jenlève ses escarpins, il y a une odeur de cuir assez forte, mais aussi de pieds, ce qui est normal ! Je commence à caresser ses pieds, je ne sais franchement pas trop quoi faire.
- Tu nas pas lhabitude visiblement !
- Je nai jamais fait ça !
- Alors commence par les caresser, sil te plaît.
- Oui madame.
Donc, je masse plus ou habilement ses pieds, peu à peu je vois ce qui visiblement lui fait plaisir, au final cest plutôt agréable.
- Tu les lèches ?
Ah, je ne my attendais pas, heu, ça ne me tente pas vraiment, mais je veux la baiser, donc je prends un de ses pieds et je lèche sa plante des pieds. Finalement, lodeur nest pas désagréable, je suis étonné.
- Jaime ça, avoir un homme à mes pieds ! Tu suces mes orteils aussi ?
Bon, puisquil le faut, je mexécute, il y a une odeur plus forte, mais étrangement, je sens que ça me faire encore plus bander. Son mari qui filmait abandonne sa caméra, je ne sais pas ce quil va faire et je comprends lorsquil commence à me sucer ! Horreur, javais oublié ça, le pire cest je bande comme un taureau ! Cette situation dure quelques minutes, moi avec les pieds de madame dans la bouche, lui qui me suce et elle qui a remonté sa jupe et se masturbe devant moi jusquà jouir ! A ce rythme, je me demande si je vais un jour la baiser.
- Jouis sur mes pieds mon lapin.
Ah, ok, bon jaurais préféré ailleurs, mais jai trop envie. Je me lève et approche ma queue des ses pieds quelle me tend. Son mari approche la caméra pour filmer en gros plan. Je pose ma verge sur un de ses pieds, je le frotte sur le nylon, je dois avouer que cest très agréable, mais jai trop envie de jouir, jen ai mal au sexe, jenlève ce fichu anneau et mon sperme se déverse par flot sur ses pieds.
- Superbe ! Ma chérie, il ten met partout
Je jouis vraiment longtemps et intensément. Lorsque jai fini, son mari lèche mon sperme, beurk, puis il embrasse sa femme. Il lui nettoie les pieds et à chaque fois lui donne mon sperme en lembrassant, voilà des pratiques qui à lépoque me semblaient particulièrement perverses.
- Il bande toujours le coquin.
Et oui, à cet âge là, capable de recommencer dans la foulée !
- Allez, on va dans la chambre, viens mon chéri.
Enfin, je vais pouvoir la pénétrer, elle se lève, je la suis, elle est toujours habillée du coup, à part cette culotte qui me sert toujours les couilles. Elle se déshabille enfin ! Elle est vraiment bien conservée, beaux seins, un petit ventre, mais presque rien, de belles hanches.
- Je te plais ? Jessaie de mentretenir, mais après 40 ans, ça se dégrade, dit-elle en pinçant son ventre.
- Oh oui, vous êtes très belle.
- Merci, si jen juge par ton érection, ce doit être vrai.
Ça y est, je vais la baiser, son mari rapplique avec sa caméra, jai fini par oublier, trop envie de sauter sa femme. Elle sallonge, je mapprête à la rejoindre lorsquelle se retourne, se met à genoux, la tête dans son oreiller, me présentant son cul que je navais pas encore vu. Il est très beau ce cul !
- Chéri, tu toccupes de mes fesses avant de me prendre ?
- heu oui.
En fait je ne sais pas quoi faire, je la caresse avec les mains, la pétrit un peu, mais en fait je ne comprends pas vraiment ce quelle attend. Elle se retourne, me sourit :
- je crois que tu nas pas compris, mon petit trou sil te plait.
- Ah heu oui, madame.
Je pose un doigt timide sur son anus quelle me dévoile bien en effet.
- Mais non, il est mignon, il est vraiment innocent, dit-elle à son mari.
- Elle veut que tu lui lèches ! Tu ne veux pas ? Tant pis, tu ne pourras pas la baiser.
A vrai dire, je ne pensais pas ce que ça se faisait, les pieds déjà, mais cest vrai que cétait plutôt agréable en fait, mais son anus ! Bon, japproche ma langue, je tourne autour, je leffleure avec une appréhension certaine, lodeur, le goût, ma langue revient dans ma bouche, un petit goût quand même, mais légèrement poivré, je ne mattendais pas à ça. Jy retourne, un peu plus, je passe ma langue cette fois-ci sur lensemble de son anus, jy reviens, en fait jaime ça ! Je la lèche de plus en plus fort.
- Nhésite pas à lui mettre ta langue !
Je le fais donc, la dame, Claire, remue du derrière, elle pousse ses fesses en les écartant avec ses mains, elle pousse des petits gémissements très excitants, au final jadore ça ! Une super découverte, je ne verrai plus les dames de la même façon à présent ! Je lui dévore littéralement le cul.
- Pour quelquun qui hésitait, cest bon hein ? Tu leur feras ça à tes copines maintenant !
Pour sûr que si elles veulent, je suis partant. Je sens une main qui passe sur mon menton, la dame se caresse ! Et soudain, son cul souvre, ma langue va encore plus profond, je crois comprendre quelle jouit car son anus se referme régulièrement sur ma langue. Elle sallonge sur le côté et me sourit.
- Tu mérites ta récompense, viens.
Elle écarte largement ses cuisses, son mari prend ma queue et lintroduit dans le sexe de sa femme. Enfin ! Ma verge vibre toute seule. Que cest bon ! Jarrive à tenir un certain temps, ce qui me permet dessayer diverses positions, à genoux entre ses cuisses bien relevées, ses jambes sur mes épaules, ses cuisses repliées sur mes bras, comme ça je vois bien ma queue la pénétrer et je finis allongé sur elle, ses jambes repliées sur mes reins, quand elle mentend haleter, elle mencourage, voilà quelque chose que ne font pas les filles de mon âge. Ses pieds accompagnent mes coups de rein
- Remplis-moi mon chéri, vas-y, baise moi fort !
Et je lâche tout mon désir, jai limpression que ça nen finira jamais, je pousse de petits cris. Lorsque jai fini, elle garde ses jambes sur moi et me caresse le dos.
- Cétait bon ? Tu mas bien rempli !
Cest seulement à ce moment là que jai réalisé que je venais de la baiser sans préservatif, alors que nous étions en pleine période de sida. Moi, je savais que jétais clean, car javais fait un test quelques mois auparavant pour larmée, et comme je navais pas baisé entretemps, mais eux navaient rien demandé.
Jai enfin pu enlever cette fichue culotte, je suis resté nu toute la soirée pour le « plaisir des yeux » de madame qui me tripotait régulièrement la queue, elle samusait à me faire bander, jai passé la nuit avec elle pendant que son mari dormait à côté, mais ils avaient laissé les portes ouvertes pour quil mentende la baiser, une nuit très agréable. Je suis parti le matin avec son numéro de téléphone, cela ma permis davoir deux autres rencontres avec elle, mais surtout, elle a parlé de moi à certaines de ses amies, et jai découvert que certaines femmes appréciaient beaucoup les jeunes garçons, mais cest une autre histoire.
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