L'Inconnu De L'Hôtel

Ce soir là, je dormais à l'hôtel pour raison professionnelle. Je m'étais fait couler un bain et m'y était glissée. L'envie de jouir m'était monté au cerveau et j'ai utilisé le jet de la douche pour y arriver. Mon envie était telle qu'il me fallut que peu de temps pour pousser un cri de bonheur incontrôlé.
Deux minutes plus tard, j'entendais frapper à la porte. Je sortis de mon bain, mis une serviette rapidement autour de moi pour aller ouvrir la porte. Un homme d'une quarantaine d'années se trouvait face à moi et me dit : "Excusez moi d'être aussi indiscret, mais est-ce vous qui venez de crier?".
Je me suis mise à rougir sans oser répondre. Ma réaction donna à l'homme la réponse qu'il attendait et poursuivit :"Je ne voulais pas vous mettre mal à l'aise, pardon. Je voulais juste vous proposer de vous accompagner...enfin je veux dire...Pourrais-je tenter de vous procurer le même plaisir ou plus?".
A cet instant précis, j'aurais préféré ne jamais avoir ouvert cette porte. Mais l'homme compris ma gêne et s'imposa dans ma chambre en refermant la porte derrière lui. J'aurais pu lui demander de partir ou crier, mais je ne l'ai pas fait.
Je n'ai pas bougé non plus lorsqu'il s'est approché de moi pour m'ôter la serviette qui était mon seul vêtement. J'avais la sensation de vivre la situation en spectatrice. Pourtant ses mains sur mes hanches et ses lèvres sont mon front étaient bien réelles.
Il m'allongea sur le lit, explora tous les recoins de mon corps avec ses doigts et sa bouche. Il guida mes gestes avec une grande délicatesse. Le désir montait en moi et je me suis surprise à lui demander de me pénétrer. Mes entrailles criaient et voulaient être comblées. La pénétration de ce sexe les combla. Les vas et viens accélérèrent et ne faisaient qu’accroître mon désir. Ma jouissance était là, prête à exploser lorsque tout s'arrêta.
Nos regards se croisèrent et il comprit rapidement que je voulais qu'il reprenne.

Le message était passé et il décida de me mettre sur le ventre avec une facilité déconcertante. Son sexe repris sa place plus intensément et ne cessa ses allers-retours. Je finis par jouir dans un cri de bonheur. Mon partenaire inconnu s'arrêta un peu plus tard juste après m'avoir dit au creu de l'oreille qu'une salope comme moi était bonne à baiser. Un peu surprise par ses mots, j'étais retournée dans mon bain sans un mot et sans un regard pour lui.
Quelques minutes plus tard, la porte claquait, il était parti...