Collection Vengeance. Ma Belle-Soeur (1/1)

• Georges, je dois t’avouer, je suis enceinte.
• Comment, c’est possible Annie, nous avons toujours fait l’amour protégé, c’est une panne de capote ?
• Non, Georges, je t’ai trompé avec Alexandre sans protection.

Alexandre, je connais, mais je commence par moi, George, 28 ans, avocat, plutôt beau gosse, 1m86, 88 kg, je sais deux kilos d’excédent, mais mon métier m’oblige très souvent à manger au restaurant, pour finir le personnage, je suis brun aux yeux bleus.

Parlons d’Alexandre, là encore, il est incorrect de parler de lui avant de parler de la dame, mais c’est mieux pour la compréhension.

Parlons donc d'Alexandre, 18 mois de moins que moi, il est aussi avocat, 1m80, 72 kg, un peu maigre à mon goût, beau gosse lui aussi, il est aussi brun, mais avec des yeux verts, je le connais depuis ma plus tendre enfance, c’est mon, petit frère.

Elle, la salope, Annie jolie blonde avec poitrine qui se remarque, c’est d’ailleurs ce qui m’a fait craquer après quelques semaines où nous l’ayons embauché, elle est légèrement plus petite que nous, mais avec ses talons haut et son tailleur strict elle est bandante, pardon, c’est une blonde aux yeux bleus.

Alexandre et moi, nous avons repris l’étude de notre père parti avec maman profitée du soleil à la retraite au-dessus de Nice.
Trois mois après notre installation Geneviève sa secrétaire rejoignait son fils à Bordeaux après presque 40 ans de bons et loyaux services envers Papa.
Un jour, quand j’étais petit, rentrant du square où j’allais jouer, je les ai vus sortir de l’étude et furtivement papa lui a pris la main, j’ai été étonné et comme j’étais à l’affût de tout, je les ai pistés, je les ai vus entrer dans un hôtel.
J’étais avec ma patinette et j’ai tourné sur le trottoir d’en face voire ce qu’il se passait.
Ils sont sortis plus d’une heure après au moment où je passais, mais je les ai vus se donner un baiser sur la bouche.

Je savais déjà qu’un papa et une maman jouaient ensemble, mais l’insouciance de la jeunesse a fait que j’avais oublié cet épisode jusqu’au moment où la nature m’a éveillé à la vie.
Une femme a voulu que je devienne un homme et c’est dans cet hôtel qu’elle m’a emmené payant même la chambre, c’était Geneviève que je rencontrais fréquemment dans l’étude.
Elle était splendide dans sa quarantaine flamboyante avec sa chevelure rousse, elle aussi plantée sur ses talons hauts dans son tailleur strict.
C’est en rentrant dans la chambre que l’image de mon père entrant dans le même hôtel avec la même dame étant peut-être venue dans cette même chambre m’est revenue en mémoire.
J’ai failli fuir, mais l’appelle du sexe a été le plus fort et j’ai perdu ma virginité dans cette chatte qui était peut-être la chatte familiale.
Peut-être la chatte familiale, car un jour où Alexandre venait de rentrer assez tard dans l’après-midi, j’ai croisé Geneviève encore dans notre quartier alors qu’elle était mariée et vivait en banlieue est.

Dans les jours suivants, j’ai orienté avec lui la conversation sur les filles, j’ai essayé de savoir s’il était toujours puceau, sa réponse a été embarrassée, je lui ai donné des noms de femmes gravitant dans notre sphère, à l’évocation de Geneviève, dans un premier temps, il a joué les étonnés que je la cite étant plus vieille que lui, sans pour autant démentir.
Geneviève était la maîtresse des trois hommes de notre maison, une vraie gourmande.
Alexandre un peu gêné de parler de cela avec moi, m’a demandé si moi aussi, j’avais perdu ma rondelle, après lui avoir fait jurer de garder ça pour lui, je me suis fait un malin plaisir à lui dire que Geneviève m’avait emmené dans l’hôtel à deux pas de chez nous et que je l’avais baisé.
À sa tête qui se décomposait, revivant peut-être ce qu’il avait vécu, je lui ai raconté en détail ce qu’elle m’avait appris sur le lit, dans la salle de bains et sur la table où il y avait stylo et papier à en-tête fourni pour les voyageurs.
J’ignore pour Alexandre, mais Geneviève voulait retourner faire un cinq-à-sept, je lui ai dit que je garderais le souvenir de notre moment ensemble toute la vie, car elle avait été la première, mais que j’avais une copine à qui j’avais juré fidélité.
Que l’on peut être un fumier quand on est jeune et plein de fougue, baiser une vieille était moins bandante que de baiser la fille d’un notaire ami de la famille, la fille puis la mère me contredisant sur l’âge, une nouvelle fois quand vous avez la verge dans la bouche de la dame cela aplanissait ce manque de discernement.

Geneviève partit, c’est Annie que nous avons embauchée, un jour, nous sommes sorties dans Paris pour traiter un dossier et je l’ai emmené au restaurant satisfait de la remarque qu’elle avait faite, nous permettant de signer le plus gros contrat de notre étude y compris du temps de notre père.
J’étais avec ma berline Audi A5 gris métallique, il était tard et je l’ai raccompagné, elle était vierge et au lieu d’un dernier verre, elle m’a offert son pucelage.
Notre liaison a duré jusqu’au jour où elle m’a annoncé être enceinte, mieux même, dans deux mois la noce était prête pour nous unir, moi le vil séducteur, j’avais craqué et je l’avais demandé en mariage.



• C’est bien vous êtes à l’heure, avez-vous les 50 € ?
C’est bon, monté derrière, la pute va s’occuper de vous.
Annie, tu suces cet homme, je l’ai recruté sur Internet.

Je donne cet ordre à ma belle-sœur qui est catastrophé et qui pleure de ce qui lui arrive et ce que je lui demande, l’homme monte sort sa queue et pendant qu’elle le suce finissant en avalant son sperme, je fais une belle vidéo, bien à jour avec l’heure.

Quand mon frère revient, je vais dans son bureau quand elle est là à travailler avec lui.

• Alexandre, j’ai joué au loto et j’ai gagné 50 €, tu les mettras sur le livret de caisse d’épargne que j’ai offert à mon neveu.

Annie m’a regardé, si elle avait eu des flèches à la place des yeux, je serais mort.

Pendant quinze jours, je la vois tous les jours sans lui reparler de la soirée dans ma voiture et surtout des 50 € gagnés avec sa bouche.

• Alexandre, ce soir, je vais voir un gros client, j’ai besoin d’Annie, tu garderas bien Hugo, il sera content que son papa lui donne son biberon.

Je fais ma demande, alors que ma salope de belle-sœur est là.

• Je passerais te prendre à 21 heures, mon client arrive à 21 heures 30 gare de Lyon.

Elle est à l’heure et a un mouvement pour monter derrière.

• Monte devant et ôte ta culotte.

Ce sont les seuls mots que nous échangeons, je prends le chemin du bois de Vincennes vers le château, devant un hôtel quatre hommes sont là.

• Monsieur, voici la pute, comme je vous l’ai dit, elle est à vous pour une heure, nous allons monter au quatrième étage de cet immeuble chez le 5ème d’entre vous, 150 avec capote 300 sans, allongez la monnaie, attention, personne ne triche, je vais surveiller.
150, toi avec capote, les as-tu ?

Il m’en sort trois de sa poche.

• 300, toi le noir sans capote, j’aurais facile à voir s’il y a triche, tu es le seul à payer cette somme-là.

Nous montons dans la chambre, ma belle-sœur ne disant pas un mot, pendant une heure, ils la prennent à un deux, même trois en triples pénétrations, deux dans le vagin, le noir monté comme un noir dans l’anus.
Elle aime ça, car plusieurs fois, elle a un orgasme, l'heure passée, ils partent, je lui donne une douche ses jambes ayant du mal à la soutenir.

Le lendemain, j’arrive au bureau avant eux et je laisse une lettre sur le bureau d’Alexandre.

« Frérot, j’ignore si ta pute de femme t’a mis au courant de ce qu’elle a fait hier au soir, elle s'est fait cinq mecs dans un appartement près du château de Vincennes, voici les 900 € qu’elle a gagnés avec son cul, j’ai beaucoup apprécié quand le noir l'a sodomisé sans capote.
J’oubliais, le noir l’a baisé sans capote, si j’ai bien calculé du temps où nous étions ensemble, elle doit être féconde, ton fils aura peut-être une jolie petite métisse comme sœur dans neuf mois.
Si c’est le cas, je te laisse les 900 € pour que tu les mettes sur un livret que tu ouvriras à son nom, j’ajoute 100 € pour le spectacle que ta pute m’a donné pendant l’heure où elle a tapiné, ça fera un compte rond.
Dernière chose, je quitte l’étude pour aller prendre l’avion, je pars à l’étranger définitivement. »

J’ai failli ajouter que « la vengeance est un plat qui se mange froid. »