Le Voisin D'En Face 01
LE VOISIN D'EN FACE 01
Le quartier était agréable, de belles maisons avec chacune un jardin, un bel espace de gazon devant qui donnait sur la rue. Le jardin privatif était derrière la maison. Un certain nombre d'entre elles avaient une piscine, des arbres un peu partout, un parc un peu plus loin, quelques bancs et un espace pour les s.
Un quartier tranquille
Un peu chic mais pas trop
La maison en face de la mienne était inoccupée depuis quelques temps, le jardin restait négligé depuis plusieurs semaines mais l'écriteau '' A VENDRE '' avait été retiré, plusieurs personnes étaient venues visiter mais je n'avais aucune idée de qui avait finalement acheté.
Les nouveaux occupants seraient bien ici, dans un quartier ou on se sentait en sécurité, il n'y avait jamais d'agression et en été il n'était pas rare que les habitants s'attardent sous le porche à discuter avec les voisins en buvant un verre. On oubliait souvent de verrouiller les portes mais on ne déplorait jamais aucun vol.
C'était une belle journée, les voisins étaient tous au travail, il n'y avait presque personne dans la rue, j'étais en train de tailler ma haie, je venais de tondre la pelouse devant ma maison quand un camion s'arrêtait juste devant de l'autre côté de la rue. Un groupe d'hommes bien carrés, comme je les aime, en descendait. Il ouvraient l'arrière du camion et se préparaient, leurs uniforme portant la marque d'une grosse société de déménagement annonçait clairement l'arrivée de nouveaux voisins.
Quelques instants plus tard, une voiture s'arrêtait. Un homme en sortait, jeune, vingt cinq ans tout au plus, enfin dans mes âges quoi, il prenait le temps de regarder autour de lui. Il regardait dans ma direction, je le saluait de la main, il me rendait mon salut avec une sourire.
Par la portière passager une femme sortait à son tour de la voiture, elle était élégante et même si je ne distinguais pas ce qu'elle disait, j'entendais clairement qu'elle parlait, elle n'arrêtait pas de parler.
Rapidement je me présentais aux voisins, Le voisin Alexandre me serrait vigoureusement la main. Sa compagne s'appelait Isabelle.
Alexandre : Nous venons d'acheter cette maison, Isabelle voulait s'installer dans un quartier calme, pour élever nos s.
Moi : Vous avez des s ?
Alexandre : Non pas encore. Mais Isabelle souhaite en avoir deux, un garçon et une fille.
Moi : On ne choisit pas toujours, en règle générale on prend ce qui arrive.
Alexandre : Isabelle à l'habitude d'avoir ce qu'elle veut.
Je souriais à cette réplique. Elle arrivait
Isabelle : Arrête de traîner Alex, on n'a pas que ça à faire.
Alexandre : Chérie je te présente François notre voisin d'en face, il est venu pour proposer son aide
Isabelle : C'est très aimable, mais nous n'avons besoin de rien. Pourriez-vous nous laisser s'il vous plaît, nous sommes très occupés !
Je la saluait, et me retirait. Alexandre avait l'air navré du comportement de sa compagne, je le voyais à son regard. Et quand j'étais un peu plus loin je l'entendais
Alexandre : Mais enfin Isa, tu aurais pu être plus aimable
Isabelle : Tu trouves peut être que c'est le moment pour des mondanités. Tu penses sans doute qu'il n'y a plus rien à faire. Mon pauvre, heureusement que je suis là pour organiser les choses
Remue toi un peu, j'aimerais que la maison soit présentable avant ce soir !
Les ton de sa voix était très sec et très autoritaire !
Le reste de la journée, le camion se vidait, ma voisine sortait régulièrement de sa maison et depuis mon salon, ma fenêtre était grande ouverte, je l'entendais.
Le camion était rapidement vidé et les déménageurs commençaient à se relâcher un peu. La voix de ma voisine devenait subitement plus forte et encore plus autoritaire, de toutes évidence il ne fallait pas se relâcher en sa présence. Je commençais presque à m'inquiéter
Le reste de la journée je n'ai pas entendu une seule fois la voix de mon voisin mais il est vrai qu'il lui aurait fallu parler fort pour couvrir la voix de sa compagne ! Il allait et venait, partait les mains vides et revenait les bras chargés de cartons, colis, petits mobiliers. Il avait une bonne tête, de temps en temps il jetais un regard dans ma direction. Un moment je lui présentais une canette de bière en signe d'invitation, il me répondait alors d'un geste de la tête en me montrant l'intérieure de la maison et levait les épaules avant de rentrer. J'avais reposé la bière, et je voyais Isabelle sortir sur le seuil de la maison au moment ou il entrait. J'entendais encore le son de sa voix, sec et autoritaire toujours, je ne sais pas ce qu'elle lui a dit mais elle n'avait pas l'air de parler gentiment. Elle regardait dans ma direction, je lui faisais un salut de la tête, elle rentrait sans répondre
'' Ma foi cette dame est tout à fait charmante
'' : C'est ce que je me disais dans ma tête ''
Mais comment il fait pour la supporter ?'' .
J'étais dans mon salon, la fenêtre était ouverte, il faisait beau, le voisin allait et venait, il avait sur lui un T-shirt qui laissait voir sa musculature. Je me disais qu'il devait faire du sport, il était mince mais musclé, son pantalon en jeans très bien ajusté ne dissimulait pas non plus
Un très beau cul !
En fin d'après midi je bavais en le regardant de loin, il était quant même pas mal le mec ! J'en aurais bien fait mon quatre heure ! Bon il fallait que je m'y fasse
Il était hétéro ! Hétéro et en plus pour l'approcher il y avait un cerbère, un cerbère qui portait du Chanel mais un cerbère quand même !
Je peux vous garantir que si elle devait me coincer dans le coin d'une rue de nuit je me sauverais en criant
Et je ne vous promet pas d'avoir l'air virile dans un cas pareil !
La nuit ne tombe pas encore trop tard en cette saison, les déménageurs étaient partis, le calme était revenu dans la maison d'en face, les lumières s'étaient allumées derrière les fenêtre, dans le salon en premier, puis au premier derrière les fenêtre d'une chambre, puis derrière les volets clos
Un voiture devant le garage restait la dernière marque de la présence de nouveaux occupants.
Chez moi les fenêtres aussi étaient refermées, les volets étaient clos. Je revoyais le visage tout à fait accueillant de mon nouveau voisin, son sourire, son torse sous son T-shirt, et
Ses fesses que son pantalon mettait en valeur. Les derniers voisins à traîner avaient terminé leurs discussions et s'étaient eux aussi réfugiés devant leurs télé, il me semblait qu'il était un peu tôt pour aller se coucher
On sonnait à la porte
Mon cur battait fort soudainement, je me précipitais vers la porte, m'arrêtais un instant devant le miroir de l'entrée pour voir si je présentais bien et ouvrais la porte
C'était Adèle, une voisine et amie.
Adèle : Salut ma grosse, je te dérange pas
Elle entrait
Adèle : Tu as vu ce qui s'est installé devant chez toi
? Oui bien sûr que tu as vu, commère comme tu es c'est obligé et en plus ça c'est passé juste devant chez toi
Elle avait un plat recouvert d'aluminium dans les mains
Moi : J
Adèle : J'ai voulu leur souhaiter la bienvenue aussi j'ai fait un gâteau, mais tu aurais vu ça
Je me suis fait jeté
J'ai jamais vu ça
Elle a ouvert la porte
Tu l'as vu la fille en face
Moi : Oui, j...
Adèle : Elle est magnifique, c'est tout à fait mon genre, une beauté froide. Mais quand tu t'approche elle est tout de même vraiment froide
Moi : M
Adèle : Tu as remarqué toi aussi
Oui je suis bien d'accord !
Adèle avait posé son plat sur la table de la salle à manger et était parti vers la cuisine
Adèle : Remarque
Toi tu aura surtout remarqué le mec ? Non ? Il est comment le mec ?
Moi : Il a
Adèle : C'est surtout elle qu'on entend, lui je l'ai à peine aperçu, tu crois qu'ils sont ensemble, tu crois qu'ils sont mariés, peut être que ce sont juste des copains...
Moi : Non je ne
Adèle : Et puis tu as vu comment elle s'habille
? Un tailleur Chanel pour déménager
? Quelle classe
J'adore
Elle revenait de la cuisine avec trois assiettes petites cuillères et un couteau
Adèle : Bref je te raconte, je te le fais court
J'apportais un gâteau donc, elle a ouvert la porte, et
'' C'est très gentil mais nous sommes un peu fatigués, un gâteau ?! Mais enfin vous n'y pensez pas ! ''
Et elle m'a fermé la porte au nez !
Moi : Tu sais
Adèle : Je te dérange pas ? Je sais que tu as l'habitude de dormir tard, mais je te dérange pas j'espère sinon il faut le dire
Moi : Pas du t
Elle s'était installé et commençait à couper le gâteau, j'en profite pour dire qu'elle cuisine divinement ! Je ne disais plus rien enfin pendant un moment je n'essayais plus, elle parlait largement pour deux, une fille lui avait claqué la porte au nez, la pauvre
Adèle : J'ai laissé un message à la maison, pour que ma femme ne s'inquiète pas , elle viendra nous rejoindre un peu plus tard j'espère
Ça te dérange pas ? Non ça te dérange pas !
Je n'essayais même plus de lui répondre, je regardais le gâteau et je salivais d'avance
On sonnait à la porte
Adèle : ( en hurlant , et elle a de la voix la bougresse, je sursautait ) Tu peux entrer Sophia on es au salon
C'était bien Sophia.
Sophia : Salut les filles !
Elle venait me faire la bise.
Sophia : On me dit qu'il y a du nouveau dans le quartier. Je suis venue aux nouvelles
Sophia s'installait à côté de moi, on attrapait une assiette et une part de Gâteau. Adèle continuait à parler, on ne savait pas trop de quoi, on ne l'écoutait plus. Je racontait à Sophia tout ce qui c'était passé dans la journée...
Sophia : Et c'est la voisine qui a mis Adèle dans cet état ?
Moi : Mais ma chérie tu imagines, une fille lui a claqué la porte au nez !
Sophia : La pauvre ! Elle n'a pas l'habitude !
Moi : Mais elle va s'en remettre !
Sophia : Il ne faut pas sinquiéter pour ça ! On reprend encore une part de gâteau ?
Adèle : Voilà donc ce que je me disais après
Vous en pensez quoi ?
Sophia et moi nous regardions puis
En cur : '' Tu as tout à fait raison ma chérie
''
Adèle reprenait et nous on se régalait
Il n'était pas tard quand les deux filles me laissait, j'avais encore le visage de mon nouveau voisin devant les yeux et furieusement envie de baiser.
Je descendais vers la rivière, il y a là un lieu de drague pas trop mal fréquenté, on se balade entre les arbres, on se trouve un petit recoin, et
On consomme sur place.
Dans le noir les silhouettes apparaissaient, disparaissaient. On se jaugeait, on s'observait, je suivais une hombre qui disparaissait puis une autre, puis enfin je l'apercevais
C'était lui, c'était mon voisin
Je le voyais à peine, mais je reconnaissait cette silhouette, un court instant son visage apparaissait, je reconnaissait son sourire.
Je m'approchais, en fait je n'étais pas surpris, avec une femme aussi agréable il fallait bien qu'il se détende un peu le pauvre. Mais s'il n'était pas de la région comment connaissait-il le coin ? Quelle importance, il était là à quelques mètre. On était à quelques mètres, à quelques pas, à se toucher
Je sentais sa main qui frôlait la mienne, j'étais aux anges, je lui rendais ce contact et lui caressais les bras. Sa main remontait rapidement et me caressait le torse, je passais ma main sur son coup et le tirais vers moi. On s'embrassait avec tendresse, avec douceur, on se laissait aller avec passion
C'était pas lui !
Je ne m'arrêtais pas autant. Je glissait une main sous sa chemise, il avait la peau douce, chaude. Ses baisers étaient chauds et passionnés également, on se serrait l'un contre l'autre et je sentais une grosseur juste au niveau de son entre-jambe. Rapidement je m'accroupissais, lui ouvrais son pantalon et avalais sa queue, il était en forme la gars, bien foutu, bien monté ...IL me caressait la tête et me guidait, il donnait de petits coups de bassin et sa bite s'enfonçait bien à fond, il poussait des gémissements de plaisir. C'est toujours le visage de mon voisin que j'avais devant les yeux.
On inversait les rôles, je lui caressait les cheveux et j'imaginais que c'était Alexandre
On a quand même le droit de rêver ! Merde !
Ça ne se produirait jamais mais c'est lui que j'avais envie d'imaginer à côté de moi. Je revoyais son sourire, son torse, ses muscles très visibles sous son T-shirt, c'était ses cheveux que je caressais, c'était sa musculature que je caressais, c'était son visage qui était appuyé contre, tout contre mon ventre et c'était sa bouche qui suçait ma queue et c'était son cul que je revoyais bien moulé dans son pantalon, il avait un beau cul et c'est à son cul que je pensais quand mon partenaire de passage se retournait et se penchait en avant. C'était le cul de mon voisin que je défonçais ce soir là, je me laissais aller, je ne retenais pas mes coups de reins, je l'entendais gémir, jouir et c'est sur son épaule que le me penchais et que j'embrassais juste après avoir joui.
Même si
C'était pas lui !
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