La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1197)
Alice au Château - Histoire écrite par Janus01869 - (suite de l'épisode précédent N°1196 et texte amélioré par MDE) -
- Mets-toi debout la chienne
Je mexécute avec promptitude et le Majordome mattache les poignets en lair et mordonne décarter les cuisses et de garder la bouche entrouverte. Il ne me dit plus rien et me laisse ainsi. Je ne sais pas sil est reparti ou sil est encore à côté de moi. Je tends mes oreilles mais je nentends rien si ce nest le bruissement du vent dans les feuilles des arbres au-dessus de ma tête. Seul dans ces feuillus, un oiseau apeuré prend un subite envol
Le soleil me caresse légèrement le corps à travers le feuillage et me réchauffent la peau. Jose demander timidement,
- Monsieur ?.... Etes-vous toujours là ?
Aucune réponse
Soudain, je sens que des mains se posent sur mon postérieur. Je ne peux retenir un cri de surprise. Mon cur, après avoir manqué un battement, cogne à grands coups dans ma poitrine. Je suis à la fois inquiète et excitée. Une main met un doigt dans mon cul et mon corps réagit immédiatement, jai tellement envie ! Puis plusieurs doigts mélargissent maintenant mon illet par des va-et-vient lents et dilatants et je presse mon postérieur sur cette main salvatrice
Cette dilatation anale par ce traitement digital dure quelques longues et délicieuses minutes, ensuite elle fait alors place à une Verge de très, très bonne taille qui se présente contre mon anus pour forcer mon petit trou élargi et sans plus de préambule, elle me pistonne à une cadence folle après avoir donné le temps à mes muqueuses anales de sadapter à sa taille. Les mains de la personne passent autour de la taille pour aller me malaxer les seins, me pincer, vriller, étirer mes tétons dressés, elles me caressent ensuite le ventre avant de prendre possession de mon mont de vénus. Cest alors que je sens quune deuxième Verge me force lentrée du vagin ! Surprise, jécarte un maximum les cuisses pour faciliter cette double pénétration qui me fait augmenter mon excitation déjà bien présente.
- Cest un cadeau du Maître, tu auras le droit de jouir après nous !
Les deux hommes, après mavoir besogné un long moment n de grands coups de reins puissants et profonds, se lâchent au fond de mon ventre et la vague de fond de jouissance déferle en moi à mon tour, jenserre les deux phallus avec les muscles de mes entrailles, les délestant des dernières gouttes qui sépanchent en moi. Ils me serrent, menlacent et me caressent le corps, membrassent et mordillent la peau, les oreilles, la nuque, les seins. Je sens même la Verge de lhomme derrière moi qui se redresse à nouveau et caresse encore mes fesses. Ils veulent remettre le couvert ! Le premier qui ma possédée par lanus a une idée subite :
- Attends, sa rondelle est suffisamment élastique pour nous accueillir tous les deux !
En prononçant ses mots, il malaxe de nouveau avec trois doigts ma rosette, lubrifiée par ma mouille et par son sperme qui ressort un peu de ma cavité anale. Je maccroche aux cordes qui me maintiennent debout et me mords les lèvres avec mes dents, tellement jai envie de me sentir bien remplie, bien possédée par le cul. Je sens alors leurs deux glands violacés venir forcer mon fondement et les voilà profondément en moi à me pistonner avec précision et maîtrise. Je ne reçois pas lordre de jouir mais que cest dur de rester sur la corde raide ainsi ! Au bout dun long et délicieux moment à être ainsi saillie, les deux hommes se déversent une nouvelle fois dans mon cul de chienne en lâchant de nombreux râles de mâles en rut. Ils restent ensuite bien plantés en mon fondement en coït anal profond sans bouger durant quelques minutes pour ensuite se retirer
Après mavoir observée un long instant, cest sans un mot quils sen vont comme ils sont venus... Alors que je reprends mon souffle, deux nouvelles mains me touchent le ventre et remontent sur mes seins.
- La chienne, jai enfin un peu de temps pour moccuper de toi et
de ton superbe cul !, ponctue le Majordome dune claque sur mon derrière.
Il me déplace pour quune de mes jambes puisse prendre appui sur le tronc de larbre où je suis accrochée
-Tu sens comme ma bite renifle ton abricot, femelle ?, me questionne Walter alors que lextrémité de sa queue dressée se loge à lorée de mon oeillet.
- Oui Monsieur.
Cette question et cette attente mexcite. Je ne bouge pas dun millimètre et en une poussée vigoureuse, il me possède. Le Majordome me pistonne avec un tel savoir que cest une pour moi de me retenir de jouir. Il lâche sa purée dans mon fondement en long jets chauds et épais qui sécoulent ensuite sur mes cuisses. Il ne me dit rien, mais sa dernière caresse sur mon corps, un peu trop appuyée est dune telle douceur quil me fait comprendre ainsi quil a apprécié. Je le remercie de mavoir offert son précieux nectar. Walter me détache de la branche et enlève le bandeau qui maveugle. Il mordonne de récupérer le sperme sur mes cuisses et de me nettoyer, ce que je fais avec une dévotion non feinte. Jai tout juste le temps de pisser à nouveau contre un arbre quon entend au loin le gravier crisser sous les pneus dune voiture qui arrive à faible allure. Le Majordome me presse de secouer les dernières gouttes et nous nous activons pour retourner vers le Château et nous voilà sur les marches du perron pour attendre les nouveaux invités. Jai peine à croire que je ne suis arrivée quhier tant la journée a été riche en événements. Je me prosterne de nouveau et cette fois-ci mon cul est orné de la queue de paon, cadeau de Maîtresse Céline à son ami le Marquis dEvans. Mon cul doit encore briller de tout le sperme que les hommes ont laissé sur mon corps. Ma cyprine coule le long de mes cuisses en longs fils épais et blancs. Je dois former un sacré tableau ! Etant le dos tourné, je ne vois pas les nouveaux venus
- Bonjour Walter ! Comment allez-vous ce matin ?, demande une voix forte dhomme aux accents chantant du Sud de la France
Mais quavez-vous là ?, poursuit-il après la réponse des plus cordiales du Majordome.
- Non pas, non pas ! Il sagit de la chienne dune amie de Monsieur le Marquis, Maîtresse Céline.
- Hmm, un morceau de premier choix, commente-t-il tout en me touchant les fesses avec une main.
Celle-ci est incroyablement chaude et son toucher mélectrise surtout lorsque son pouce qui caresse doucement mes petites lèvres vient se nicher contre mon clitoris. Ce doigt en fait le tour et le frôle de plus en plus jusquà carrément le branler
- Mais elle a déjà été bien utilisée, dites-moi !
(puis sadressant à une autre personne)
Tiens ma chienne, viens lécher mes doigts !
Jentends le bruit dune petite langue agile. Lami du Noble, continue
- Walter, seriez-vous daccord pour que ma chienne lèche celle-ci pour lui nettoyer le cul et la chatte ?
- Mais bien-sûr, faites-donc ! La chienne !, mapostrophe-t-il en donnant un coup sec sur la laisse. Tu as interdiction de jouir, mentends-tu ?
- Oui Monsieur.
La langue et les lèvres expertes de lesclave femelle me prodiguent un plaisir irrésistible. Je me sens monter vers des délices vertigineux. Mon souffle devient plus court et rauque. Un coup qui ressemble à un coup de cravache sabat sur lesclave qui dun coup de langue savamment appliqué me fait redescendre des nuages. esclave Harmonie (cest le nom de la chienne femelle) passe alors devant moi, à quatre pattes juste derrière le Maître qui daigne léduquer. Elle est
éblouissante. Nue comme au premier jour, elle dégage une aura de lionne avec sa crinière flamboyante et sa démarche féline et emplie de grâce. Son corps est souple et élancé comme une liane et modelé comme une danseuse. Je peine à retenir ma mâchoire de tomber devant une si belle femme aussi somptueuse, qui irradie de bonheur. Ses yeux dun bleu profond expriment toute son intelligence et leur couleur si intense leur confère une aura magnétique et envoûtante.
Walter nous mène ensuite la pouliche Harmonie et moi-même dans une salle deau rudimentaire au vieux carrelage mal dégrossi. Il nous place au fond de la pièce et va prendre le tuyau darrosage et nous asperge deau froide pour nous récurer ! Le contact de ce jet puissant et presque glacé est
vivifiant ! Le Majordome nous place debout, jambes écartées et mains sur la nuque puis nous frictionne sans ménagement avec une serviette râpeuse en sattardant sur nos parties génitales, ce qui me fait monter le rouge aux joues, dêtre traitée ainsi et essuyée comme un cheval dans son box. Enfin, nous nous maquillons avec un simple trait de crayon et du mascara avant denfiler, sur notre collier et harnais respectif, une longue veste militaire noire rehaussée de liserés dorés sur chaque poignet nous arrivant jusquau-dessus du genou. Une laisse pend entre nos seins et nous avons obligation de garder notre veste ouverte. Le tombé parfait de la veste, le col montant, les épaulettes bien marquées par une bande de tissu fermé par un gros bouton, et notre taille cintrée nous embellissent la silhouette. Enfin des sandales à haut talon complètent notre tenue.
Le Majordome nous conduit par nos laisses jusquà une limousine noire rutilante garée devant les marches du perron. Nous montons en voiture, esclave Harmonie est placée au centre de la banquette faisant face à la route et moi sur lautre banquette près dune fenêtre. Nous avons pour ordre de poser nos fesses nues directement sur le cuir doux des sièges, jambes écartées, dos bien droit, sans sappuyer au dossier et mains sur les cuisses paumes vers le haut en signe doffrande. esclave Phryné MDE nous rejoint pour être placée à lopposé de la banquette où je suis assise.
Le gravier crisse à nouveau sous les pas des trois Dominants accompagnés par le Majordome qui leur ouvre la portière. Maîtresse Céline entre la première et se place devant moi. Je suis si heureuse de la revoir ! Tout en gardant le regard baissé, je lui dis bonjour avec tout lenthousiasme possible. La Maîtresse qui daigne me soumettre a revêtu sa tenue de chatte qui lui va si bien dune couleur rouge profond. Maître Doc pénètre ensuite pour se positionner entre esclave Phryné MDE et moi-même, Le Maître des Lieux, Monsieur le Marquis dEvans, sinstallant quant à lui au côté desclave Harmonie et en face de sa propre esclave. Le Majordome prend le volant et la luxueuse voiture démarre avec souplesse sans un bruit de moteur dans lhabitacle.
Les Dominants parlent gaiement alors que leurs mains vont et viennent sur nos appâts offerts à leurs caresses et désirs. Nos tétons sont pressés et vrillés fortement nous faisant nous cambrer et déclenchant lérection de nos clitos. Bientôt, sous le regard amusé du Noble, la main de Maître Doc sattarde sur le mien et le masturbe comme un sexe masculin. Je ferme les yeux de plaisir et je me concentre pour ne pas jouir. Maîtresse Céline embrasse esclave Harmonie et voir leurs langues danser un ballet sensuel ne calme pas mes ardeurs ! Nous entrons dans une ville et un motard sarrête à notre hauteur sur mon côté. Maîtresse Céline demande au Majordome douvrir la fenêtre à côté de moi et propose au motard de me toucher. Dabord surpris, ce dernier ne se fait pas prier, retire un de ses gants et me pétrie la poitrine. Donner ainsi des envies à des inconnus mexcite encore un peu plus
(A suivre
)
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