Un Quartier Accueillant, Suite Et Fin
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Cétait pas une question, et jai pas pris la peine dy réfléchir. Elle sest retournée et est repartie travailler. A midi je me retrouve sur le parking de la mairie à lattendre. Quand elle arrive, je remarque de suite que sa poitrine est libre sous son débardeur ce nétait pas le cas ce matin ! Elle entre dans la voiture et je devine ses seins par transparence.
- Vu ton air béat jen déduis que mon effet est réussi, minaude-t-elle.
Il y a du monde autour de nous, donc nous ne nous éternisons pas. Je démarre et me gare à 2 rues de chez moi, dans une impasse où il y a peu de vis-à-vis. On sort de la voiture, et on se cache encore un peu plus en se mettant derrière. A labri des regards, elle se colle contre moi et membrasse. Je sens sa poitrine contre moi, et mes mains ne résistent pas à se coller à ses fesses. On sembrasse comme deux adolescents, pleins de désir. Son pantalon est assez lâche pour que je puisse passer mes doigts sous le tissu, et sentir quelle porte un string. Je joue avec, mes doigts parcourent ses fesses le long du tissu. Jai envie de plus et elle le sent. Mais même en étant lâche je ne peux pas aller beaucoup plus loin tant quelle porte son pantalon. Je passe alors ma main sous son débardeur et me rue sur ses seins. Les sentir lourds dans ma main mexcite, son débardeur est relevé, et je découvre sa poitrine avec ses tétons tendus, que je prends à pleine bouche.
Sa respiration saccélère, et sa main ségare sur ma queue tendue à travers mon jean. Elle me masse, puis se retourne et cale ses fesses contre mon sexe qui nen peut plus dêtre prisonnier. Je commence à lui masser lentrejambe, elle se tend, écarte une jambe pour me donner accès. Je sens ses lèvres ouvertes tellement le tissu de son pantalon est léger. Pendant que je lui masse lentrejambe, mes hanches simulent un culbutage en douceur. Son souffle chaud contre mon cou, elle me mord doucement.
Puis elle se retourne brusquement et sagenouille devant moi. Elle défait les boutons de mon jean et sort mon sexe déjà dur depuis un bon moment. Mon sexe tendu devant son visage, sa bouche gourmande
jai envie de de prendre les choses en main, mais je sens quelle préfère garder le contrôle. Elle prend mon sexe dune main, et commence à me branler lentement. Sa langue se pose à la base de mon sexe, elle commence à me lécher la zone du pubis juste à côté de la base. Puis elle remonte lentement le long de mon sexe en me regardant droit dans les yeux, jusquà arriver au gland quelle gobe, puis suce avec gourmandise. Elle le gobe à nouveau avant de redescendre me sucer les couilles tout en me branlant. Je suis aux anges, je madosse au coffre de ma voiture. Jentends quelquun marcher dans la rue à côté, jai limpression que le ou la marcheuse se dirige vers limpasse où lon est. Elle la entendu aussi mais ne sarrête pas. Elle accélère le mouvement. Le marcheur, cest un homme finalement, traverse la rue et passe devant limpasse. Je me retourne et le voit à travers le parebrise : cest son mari ! Il se dirige vers la mairie, sûrement pour aller à la rencontre de sa femme. Elle ne la pas vu. Lui ne nous voit pas non plus. Pendant les quelques secondes où je lai dans mon champ de vision, sa femme me gobe et sent que je ne vais pas tarder à jouir.
Je lui murmure un « je vais pas tarder
», me sentant au bord de lexplosion elle continue de me branler en me massant les couilles, et sécarte quand dans un long jet elle me fait jouir. Dautres jets suivent pendant quelle continue de me branler. Elle se relève et membrasse.
On réajuste nos habits, et je lui dis alors que jai vu son mari passer. Elle sinquiète quelques secondes et cherche comment elle va pouvoir expliquer pourquoi ils ne se sont pas croisés. Elle membrasse une dernière fois et part avec un air inquiet, et jai peur que ce soit la dernière fois quon ait profité de la situation.
Le lundi suivant, je métais convaincu que notre petit jeu avait pris fin. « Pas grave, cétait sympa
», mais je restais frustré de ne pas en avoir profité plus.
Le matin en sortant, je lentends marcher dans sa rue. Je rentre vite fait le chien et sors pour voir si elle veut quon discute ou si je dois garder mes distances. Quand elle maperçoit elle me fait un discret signe de la main et vient à ma rencontre. On discute, et elle mexplique quelle na eu aucune question de la part de son mari, il nétait pas parti à sa rencontre, mais au bureau de tabac. Par contre elle a réalisé que ça pouvait aller loin, et que donc « dorénavant il faudra faire gaffe ! ». Donc on continue de jouer
super !
Elle fait alors un tour sur elle-même, me demandant ce que je pense de sa tenue. Elle porte une jupe légère qui lui arrive au genou, qui virevolte durant laction, et un chemisier bleu légèrement déboutonné qui laisse voir la naissance de ses seins. Ses petits talons mettent en avant ses jolis pieds. Je lui dis à quel point elle est ravissante.
- Cest pas ça que je veux entendre, me dit-elle avec une fausse moue boudeuse. Je suis pas assez sexy ?
Elle déboutonne alors deux boutons de son chemisier pendant quon se remet à marcher.
- Et là ? demande-t-elle.
- Ça commence à aller mieux, fis-je, joueur.
On continue davance jusquà arriver à la ruelle de la dernière fois. Je la pousse alors dans la ruelle, et lembrasse à labri des regards. Je soulève alors sa jupe, et mattaque à son string, que je baisse, jusquà lui enlever.
- Là cest déjà mieux, fis-je satisfait en cachant son string dans ma poche.
- Pervers !
Je souris, lembrasse à nouveau, et repasse ma main sous sa jupe. Je remonte le long de sa cuisse pour lui malaxer une fesse. Puis nétant plus patient du tout je passe devant, pour masser son sexe, déjà trempé. Je la masse, mon pouce sattardant sur son clito, puis mes doigts rentrent, petit à petit, en elle.
Elle reprend ses esprits et voyant où ça mène, mentraine un peu plus loin dans limpasse. Lendroit nest pas sexy, ni confortable, mais elle se met face à un mur, et relève sa jupe. Le message est clair ; je déboutonne mon jean, et me positionne derrière elle. Ma queue est déjà tendue, je décide de jouer un peu avec sa frustration. Je frotte mon gland contre sa chatte trempée, le positionnant entre ses lèvres, mais jamais plus loin. Pendant plusieurs secondes, voire minutes (le temps dans ces moments-là est flou), je joue avec elle ; elle bouge son bassin pour essayer de sempaler, mais je résiste. Je lui claque alors une fesse, puis les lui malaxe. Son petit trou est offert devant moi, trop tentant
Je mouille mon gland, et le pose sur sa rondelle, puis guette une réaction des fois que ça ne soit pas son truc. Aucun mouvement de sa part me signalant de ne pas continuer, je pousse alors. Ça ne rentre pas de suite mais elle gémit et mon excitation augmente encore. Je mets plusieurs coups en poussant un peu plus à chaque fois, puis je change de trou, et menfonce lentement dans sa chatte. La surprise lui arrache un gémissement. Elle déboutonne elle-même les derniers boutons de son chemisier, et je malaxe ses seins toujours emprisonnés dune main pendant que de lautre je guide ma queue après quelques aller-retours dans sa chatte, de nouveau vers son petit trou. Je pousse un peu plus et le gland entre. Ce cul qui ma tellement tenté pendant des semaines est enfin rempli par ma queue. Je lencule de plus en plus, pendant que mes doigts massent sa chatte et la doigtent de temps en temps.
Dos à la rue, impossible de savoir si quelquun passe ou pas. Mais dans le feu de laction on sen moque ! Je sors un de ses seins lourds de son armature, et je joue avec en continuant mes coups de rein.
Je sens que je vais pas tarder à jouir, je lui chuchote à loreille. Je lui mordille le lobe et continue.
- En moi, dit-elle dun ton saccadé. Vide toi en moi.
Je ne tiens pas plus longtemps, et éjacule de longs jets au fond dans un râle autant continue que possible. On reste collés lun à lautre quelques secondes, le temps de reprendre notre souffle, puis elle se retourne, ajuste son sein, et reboutonne son chemisier. Elle membrasse, au même moment où je crois voir un rideau bouger à létage dune maison de limpasse. Aurait-on été vus ? Reconnus ? Jespère que ça ne va pas lui créer de problèmes.
Jai gardé son string, et elle est partie travailler, avec un peu de retard. Par la suite on a continué à se voir, puis jai déménagé. Jai dû aller faire 2 passages en mairie, dont un qui a été mémorable.
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