Mon Régulier (2)

Mon régulier (2)

Suite de mes aventures avec Michael.

Comme nos vies respectives ne nous permettaient pas toutes les libertés que nous voulions, nous avons mis un certain temps avant de nous revoir. Nous échangions bien évidemment beaucoup par messages, nous racontant nos désirs, nos fantasmes, nos goûts. De mon côté, je profitais pleinement de l’achat de mon sextoy que je commençais enfin à apprivoiser (les récits de mes péripéties solitaires viendront bientôt). Mon assurance s’accroissant, je laissais de plus en plus libre court à mon imagination sans frein ni brides morales et sociales. Ma conception de la sexualité évoluait vers ce qu’elle est aujourd’hui : une quête d’amusement et de plaisir saine entreprise par des êtres charnels. C’est pourquoi mes pensées érotiques ne s’arrêtaient pas à un type de corps ou d’objet. Un matin, je reçu un message de la part de mon bougre.

-Salut, me disait-il. Tu es dispo dans une heure ?

-Bonjour. Oui bien évidemment. Je ne travaille qu’en début d’après-midi. Qu’as-tu en tête ?

-Surprise… Tu verras quand on y sera. Sache juste que je suis très chaud et que je vais exploiter ce qu’on s’est dit par sms.

Sur ces mots, mon esprit s’emballa : je repensai à toutes les cochonneries que j’avais pu lui écrire. Si il mettait en pratique ne serait-ce que la moitié, je pense que je me souviendrais de ce jour pendant des années.

-Laisse ta porte déverrouillée. Tu m’attendras dans ton salon, nu, le cul en l’air avec un plug dedans, ordonna-t-il.

Lui aussi prenait de l’assurance ! Il avait compris, qu’avec moi, il pouvait se lâcher.
Que je ne le jugerais pas et, qu’au contraire, je prendrais plaisir à satisfaire le moindre de ses fantasmes. Ne perdant pas une seconde, je filai sous la douche, m’occupai de mon hygiène « intérieur » et attrapai le gros plug en me jetant sur mon lit. Je pris mon lubrifiant, en mis une noisette sur ma rondelle, une autre sur le plug.

Six centimètres de diamètre, à l’époque, ça ne rentrait pas comme ça ! Petit à petit, le jouet trouva sa place entre mes deux globes fessiers.
Et l’heure fatidique arriva. J’avais laissé ma porte entre-ouverte, me tenant comme demandé en plein milieu du salon. A quatre pattes, le visage posé au sol, mon cul naturellement pointé vers le plafond faisait face à la porte d’entrée. L’excitation était à son comble. J’imaginais déjà un inconnu rentrer chez moi pour me trouver comme ça, un gros plug fiché dans le trou. Alors que mes pensées divaguaient, j’entendis enfin un bruit. Ayant pour interdiction de bouger, je ne pouvais qu’écouter. Des pas se dirigeaient vers moi puis plus rien. Je mourais de curiosité mais me refusais de céder à la tentation. A quoi bon jouer si on ne respecte pas les règles ? Aux sons qui me parvenaient, je sus qu’il ouvrait sa braguette. Une main me caressa les fesses fermement. Des frissons me parcoururent le corps. Je sentis alors son sexe massif prendre le relais de ses doigts. Il alternait caresses et coups avec sa matraque sur mon cul rebondis qui se cambrait sous l’effet du désir.

-Tu la veux ma bite, salope ? me demanda-t-il d’une voix sirupeuse.

Ayant le souffle coupé par l’excitation, je me contentai de grommeler vaguement ma réponse.
Je sentis la douleur de la fessée avant d’en entendre le bruit. Le sang me monta aux joues.
Je commençais à voir où il voulait en venir.

-Répond moi ! aboya-t-il.

-Oui.

Une autre fessée retentit.

-Oui quoi ?

-Oui, je la veux, ta bite, implorai-je.

Je vis alors apparaître dans mon champ de vision ses mocassins impeccablement cirés.
Sa main agrippa mes cheveux, me forçant à me relever, et plaqua mon visage contre sa queue.

-Mains dans le dos ! ordonna Michael.

M’exécutant, offert à sa merci, je le laissais se frotter à mon visage. Il portait toujours son costume et n’avait fait que sortir son sexe tandis que je me tenais nu à ses pieds.
Cela m’excitait énormément.

-Ouvre la bouche et sors moi cette langue de pute, me chuchota-t-il à l’oreil.

Il vint alors frapper mon visage et ma langue de sa bite. Plus les coups m’humiliaient, plus j’étais aux anges. Sans prévenir, il s’inséra entre mes lèvres. Bloquant toujours ma tête, il ne me donnait pas d’autres choix que d’encaisser ses assauts. Je sentais son gland gonflé cogner au fond et dû rentrer ma langue. La sentence ne se fit pas attendre. Il se retira vivement et tira mes cheveux en arrière.

-Sors la langue, j’ai dit ! me répéta-t-il.

Docilement j’obtempérai. Il replongea alors dans ma bouche, profondément, me violant sans ménagement. Je sentais sa pine gagner des centimètres dans ma gorge jusqu’à être aux trois quart happée. Les larmes me montaient aux yeux. Il resta quelques secondes ainsi puis se retira vivement, me laissant respirer et cracher le flot de salive que sa pénétration avait provoqué.

-Debout. Va t’allonger sur le dos sur le canapé, me dit-il.

Sans un mot, j’obéis. De ses bras puissants, il me décala afin que ma tête soit dans le vide et remonta mes jambes le plus loin possible, dévoilant ainsi mon trou toujours écarté par le plug.
Michael se positionna alors au dessus de moi, me présentant son sexe tandis que sa bouche se dirigeait vers mon cul. Je repris ma fellation, le sentant commencer à jouer avec mon cul.
Il tirait sur le plug jusqu’à ce que la partie la plus large soit en dehors, puis l’enfonçait nouveau. Sa queue limait ma bouche, ne me laissant aucun répit. Son gland forçait mon œsophage.
Mon étalon s’amusait maintenant à sortir le jouet en entier de mon trou et à le remettre en place.
Je devenais comme fou, emporté par la volupté, offert à ses caprices. Tout à coup, il me pénétra entièrement : ses grosses couilles virent se coller à mon visage, sa queue envahissant complètement ma cavité buccale. Je ne pus retenir un haut-le-cœur.
Il se retira prestement et me gratifia d’un sourire canaille.

-C’est bien, je ne t’en pensais pas capable, me félicita-t-il.

-Honnêtement, je n’en peux plus. Tu m’as achevé la, lui avouai-je.

-A cet endroit, tout du moins, susurra-t-il. Retourne toi, à quatre pattes.

Alors que je prenais position, l’anxiété monta. Malgré mon excitation, je ne savais pas si je pourrais soutenir ses assauts. La dernière fois, cela avait été juste et j’avais eu le derrière douloureux pendant plusieurs jours. Vu qu’il avait l’air très chaud, je doutais de sa douceur d’exécution. A ma grande surprise, il retira en douceur le jouet de mon cul. Je sentis son gland se présenter à ma porte et la passer sans difficulté. Avec toute la salive qui dégoulinait de sa bite, nul besoin de lubrifiant. La qu'il m'avait infligé avait porté ses fruits. De plus je me sentais tout groggy. Il entama de lents va-et-viens sans chercher à s’insérer plus. Sentant mon appétit sexuel sur le point d’exploser, je gémis et vins à sa rencontre mais il me tint à distance, recommençant son petit manège. Je feulais à présent comme une chatte tant je voulais qu’il me prenne. Chaque fois que je l’incitais à s’enfoncer d’avantage, il se reculais.

-Je ne comprend pas. Tu ne veux pas ? le demandai-je.

-Je ne sais pas. Demande moi. Dis moi ce que tu veux, me répondit-il, malicieux.

-Vas-y, lui dis-je.

-Non. Supplie-moi.

-Je t’en prie, prend moi, implorai-je.

-Une salope ne parle pas comme ça. Demande moi comme une chienne, exigea-t-il.

Malgré la honte, mon envie était trop forte. Prenant mon courage à deux mains, je me lançai.

-Baise moi le cul. Défonce moi à fond.

En entendant cela, Michael me prit au mot. D’un coup de rein, il plongea au plus profond de mes entrailles, dilatant mon trou comme jamais. Malgré la surprise et la douleur, je ressentis un immense plaisir, un sentiment d’ivresse, j’avais l’impression d’être empli par ce gros sexe.

Ses mains écartèrent mon cul et sa queue me pilonna violement. Ses hanches claquaient contre mes fesses. J’étais comme fou : je gémissais, je couinais, m’agrippant au canapé pour ne pas tomber.

-Tu aimes ? me demanda-t-il dans un souffle.

-Oui ! plus fort !

-Dis moi ce que tu es pour moi.

-Je suis ta pute ! Encule moi comme une salope ! le suppliai-je

Il ressortit sa queue, admirant mon œillet béant, luisant de salive et de ma mouille. Puis il s’enfonça jusqu’aux couilles. Et encore. Et ce jusqu’à ce que je lui cris de me baiser. Mon amant reprit alors ses assauts brutaux, fessant mon cul en cadence. Je me pâmais sous ses coups, le corps tremblant de plaisir, au bord de l’orgasme. Et soudain, la vague que je sentais monter me submergea,faisant vaciller mon esprit. Mon sperme jaillit puissamment tandis que je m’effondrais. Michael se retira délicatement, laissant mon derrière douloureux mais tellement vide.

-Je n’ai pas joui depuis plusieurs jours. Il est hors de question que je ne profite pas du spectacle de t’éjaculer sur le visage, me dit-il. Viens nettoyer ma queue.

Je me glissai à ses pieds et pris son sexe tendu entre mes lèvres. Que c’était bon ! Nos saveurs mélangées enduisaient sa grosse bite gonflée. La dernière fois, j’avais pu voir qu’il n’était pas avare dans la jouissance. J’étais très excité de voir ce que cela donnerait après quelques jours d’abstinence. Ma langue glissait sur son gland tandis que ma bouche happait sa chair délicieuse au plus profond. Tout à coup, je le sentis se crisper. Il sortit prestement son engin et commença à se branler. Lui offrant mon visage, j’ouvris la bouche et sortis la langue alors qu’il me fixait de ses beaux yeux bleus voilés par le plaisir. Dans un grognement sourd, Michael explosa enfin. Un torrent de foutre épais et chaud se déversa sur moi. Malgré que je sentis ma bouche remplie déborder, des jets continuaient de m’asperger la langue, les joues… Revenu à ses esprits, il me fixait, le regard pétillant.

-Avale, m’ordonna-t-il.

Après plusieurs gorgées, je lui présentai à nouveau ma bouche, rassasiée de sa semence. De ses doigts, il fit glisser le reste de mon visage vers mes lèvres ouvertes.

-Avale.

A nouveau je m’exécutai. Nous nous effondrâmes ensuite sur le canapé pour un repos bien mérité.
Malheureusement, pour des raisons diverses, notre relation ne dura pas mais je conserve toujours un souvenir exceptionnel de ce moment.

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