Collection Dominant Domine. Expérience Extrême (1/1)

« Je te quitte, mon avocat prendra contact avec toi. »

C’est par ce SMS sur mon portable que mon mari m’a quitté après 20 ans de mariage, nous avons un garçon de 20 ans qui est parti à Hong Kong apprendre le chinois tous en travaillant.
Je passe les détails concernant le divorce qui a suivi, sans ne jamais l’avoir revu même devant le juge des divorces.
Il faut dire qu’il a le bras long et que je suis une merde comparée à sa position sociale, dans les papiers que je signe, une clause stipule que la pension qu’il me verse s’arrêtera si je me sers de son nom en bien ou en mal.
J’essaye de comprendre pourquoi nous en sommes arrivés là, j’ai été une épouse fidèle, attentionnée, même si le sexe me passait au-dessus de la tête.
Je reste dans cette situation pendant quelques mois, ayant largement de quoi vivre en continuant à rester chez moi dans l’appartement qui faisait partie du contrat et qui a été mis à mon nom.

En faisant mon analyse, je dois reconnaître deux erreurs de ma part, mon poids, j’ai pris une trentaine de kilos depuis notre mariage, dû à l’inaction et les sucreries dont je raffole.
Pour ma défense, il me faisait livrer des boîtes de chocolats fins par notre traiteur, l’un des meilleurs de notre ville.
J’écris « de notre ville » sans plus de détail pour respecter le contrat.
Le deuxième point, je dois le dire est en partie de sa faute, j’ai dit plus haut que j’étais une épouse attentionnée bien que nous n’ayons jamais pratiqué certains jeux sexuels.
Je suis loin d’être une oie blanche bien qu’il m’ait dépucelé et comme je l’ai dit, été fidèle, je sais que des couples ont peu de limites dans leurs pratiques sexuelles.
Pour nous, le sexe se cantonnait à une masturbation, pénétration et éjaculation avec pour moi quelques petits plaisirs que je grappillais de-ci, de-là, mais comme je ne connaissais pas mieux, j’étais satisfaite de ma condition.

Je décide de me prendre en main, je commence par ce que je crois être le plus facile, le poids, je prends la poubelle et je jette tout ce qui est à base de sucre, gâteaux même secs, j’en remplis deux sacs.


Je vais au magasin de sport voisin, j’achète une tenue de sport que je m’empresse d’essayer, je fais mes premiers cinq cents mètres alors que j’étais parti pour un dix kilomètres.
Pour trouver des régimes, je vais sur Internet, c’est là, qu’un jour, j’ai la tentation de taper le mot « sexe » sur mon moteur de recherche.
Des millions de sites s’ouvrent à moi, des vidéos me montrant que de nombreuses femmes de tout âge se font filmer en faisant l’amour dans toutes les positions possibles.
Faire l’amour, un grand mot, elles se font « baiser », il y en a même qui se font sodomiser, flageller, elles semblent aimer cela, des hommes envoient leur sperme dans leur bouche, certains contres toute morale se font couvrir de sperme par des dizaines d’hommes.
Moi qui me suis simplement contentée de me coucher en attendant que mon mari décharge ses quelques gouttes de sperme en moi, je finis par être fasciné, mieux, je les envie, je suis passée à côté des plaisirs sexuels.
Un matin, alors que je suis à deux doigts de me masturber, acte que j’ai toujours réprouvé depuis mon adolescence, un site appelé « Expérience extrême » m’est proposé.
Il est écrit qu’il nous est demandé de remplir un questionnaire dans un premier temps anonyme et que le Maître nous joindra si notre cas l’intéresse.
J’ai une adresse Mail complètement anonyme elle aussi, par jeu, je remplis le questionnaire, à la fin, il m’est demandé à quoi j’aspire, « tous connaître, » c’est ce que j’écris.

Aucun retour de ma participation pendant des jours, je pense que ma requête reste lettre morte, jusqu’à ce matin.

« J’ai pris connaissance de tes envies, si tu veux goûter à mon « expérience extrême » rends-toi à vingt heures place de l’Église, mets-toi un bandeau sur les yeux et attends, quand la porte de ta voiture s’ouvrira, tu descendras et tu te laisseras guider, ton expérience commencera, à partir de ce moment, ce sera irréversible, tu serras à moi jusqu’à ce que je décide de te rendre ta liberté.
»

Toute la journée, je suis dans l’expectative, c’est le mot « extrême » qui me fait peur, moi qui ne connais que la position du missionnaire, mais à l’heure dite, je gare ma voiture, je mets un foulard sur mes yeux et j’attends.
J’entends un véhicule s’arrêter à mon côté, la portière s’ouvrir et je me sens propulser sur le plancher de ce qui doit être une camionnette.
Mon bandeau m’est enlevé, vite remplacé par une cagoule avec seulement un trou pour que je respire.
Dès qu’elle est en place, je sens que ce trou à un autre usage quand je sens une verge forcer mes lèvres, je les serre autant que je peux, mais la baffe m’envoie la tête contre la cloison du véhicule me montre l’erreur que j’ai faite d’accepter de me trouver sous le joug de cet homme, voir de deux si le conducteur en est un autre.
Quelques minutes après je suis dans l’obligation pour la première fois à boire du sperme.
Deux, non, trois, la verge à peine sortie, c’est une autre qui la remplace, j’en subis deux autres avant que la voiture ne s’arrête et que je sois traînée et jetée sans ménagement sur un lit en ferraille qui grince sous mon poids.
Plusieurs mains m’empoignent et m’attachent les mains au-dessus de la tête sans que je puisse résister.
Le lit grince, mais le matelas en cuir ou en produit synthétique est désagréable, mais ce qui va l’être le plus, c’est le temps qui passe sans que personne ne vienne.
J’appelle, la nature me rattrapant et je finis par me soulager béatement à force d’avoir serré les cuisses, je crie pour que l’on me rendre ma dignité venant de s’envoler.
Enfin, quelqu’un vient, j’entends une porte grincée, toujours avec cette cagoule qui me bouche la vue, je comprends vite que l’urine qui jonche mon lit fait partie de « l’expérience extrême », un jet d’eau froide atteignant mes parties intimes, me fait une nouvelle fois hurler.
Me nettoyer à l’eau froide, comme on pourrait le faire d’une vache s’étant vautrée dans sa bouse me ramène au rang d’un animal, je commence à avoir faim, j’ai beau réclamer, j’entends des bruits, je sens l’eau sur moi, mais personne ne me répond.


Je m’habitue à l’eau froide quand des doigts écartent mes lèvres vaginales, la personne qui manie le tuyau semble avoir de l’expérience, je sens l’eau avec le tuyau repousser mes boyaux sans pour autant me blesser.
Je sens l’eau sortir de ma chatte en long geyser, inondant mon corps et ma couche.
Le tuyau ressort et s’attarde sur mon clito qui s’enflamme rapidement, jouirent grâce à de l’eau, il fallait y penser.
Jouirent, quand les mains s’étant occupées de mes lèvres vaginales me soulèvent les jambes dégageant mon anus, le tuyau étant rapidement introduit, la pression est plus forte et je sens que mes intestins se vident de toute substance bien maigre suite au régime alimentaire que l’on me fait subir.
Celui qui tient le tuyau le place le long de mes lèvres et j’arrive à faire entrer quelques gouttes d’eau.
Comme quand on m’a amené, la porte se referme, une nouvelle fois sans que personne ne dise le moindre mot.
Je suis complètement hors du temps quand la porte s’ouvre, on m’enlève ma cagoule et la lumière de la lampe au-dessus du lit m’agresse les yeux, cinq personnes dont des femmes, tous de cuir vêtu de la tête avec cagoule, jusqu’au pied
On me détache, je suis traînée à l’extérieur d’un hangar et conduit dans une cave de la demeure ancienne où nous sommes, avant d’être attaché à une croix, l’une des femmes prend une cravache, me déchirent seins, bas-ventre sans épargner les partis les plus tendre et fragile.
Je hurle, cela semble laisser entièrement froid celle qui me flagelle, bien sûr, je supplie qu’elle s’arrête sans qu’elle obtempère dans un premier temps, mieux, quand enfin elle arrête, le bras fatigué, je m’entends lui demander de continuer, je viens de découvrir que la douleur est aussi jouissive que la douceur.
À partir de ce moment, sans l’avoir vraiment voulu, je rejoins le club des masochistes que j’ai lu dans certains textes accolés à des images montrant des femmes clouées, comme moi à une croix.

La séance terminée, je rejoins mon lit ou à la place des menottes, on me met un collier comme celui que mon chien a eu, au sol, j’ai deux gamelles l’une avec de la bouillie et l’autre de l’eau.
Je m’assois et je veux prendre celle où il y a une sorte de pâtes, pour constater qu’elles sont fixées au sol m’obligeant à me mettre à quatre pattes, tous me regardent sans que je voie leur expression, un de mes bourreaux semble être une femme étant très fluette.
Elle a amené sa cravache et chaque fois que je lape un peu de nourriture ma croupe est déchirée par la spatule, j’ai mal au sein, j’ai mal à la hauteur de mon vagin, mais j’en redemande, car une nouvelle fois, je sens que ma chatte coule de plaisir.
Il me quitte laissant la lumière allumée, au bon d’un certain temps, cette lampe que je refuse de regarder, m’attire comme un aimant, autre supplice.
Je passe une nuit voir plus dans l’impossibilité de trouver le sommeil, car aucune position trouve gré aux douleurs que je ressens.

La fois suivante, quand on vient me chercher et que l’on m’attache à ce qui est ma croix, la jeune femme qui semble la plus perverse vient à moi avec de grandes aiguilles.
Elle nettoie mes seins avec de l’alcool qui me crée une douleur intense sur les petites plaies de mes seins et prenant ma fraise plante la première aiguille en son centre.
Arrivé à la moitié, je pense qu’elle va en rester là, mais la perverse qu’elle semble être faite qu’elle la traverse intégralement, recommençant l’opération trois fois, mon deuxième sein subit le même traitement ainsi que mon nombril, avec en apothéoser mes grandes lèvres vaginales qu’elle transperce tour à tour.
Toutes ces aiguilles sont laissées à leur place, c’est ainsi que je retrouve mon collier et ma chaîne passant les pires moments de ma vie, mais combien bénéfique à la chienne que je suis devenue.

À part ma gamelle que je mange à quatre pattes, ne sachant pas depuis combien de temps, je suis attaché à la merci du Maître, ignorant qui il est et s’il s’est déjà occupé de moi.
De retour près de moi, j’ai le droit à ma douche, toujours à l’eau froide avec nettoyage de l’intérieur de mon corps avant que les aiguilles soient enlevées, remplacées par des piercings.
Après, ils me tiennent et me tatouent les fesses, j’ignore ce que l’on m’a marqué, mais la fois suivante, ce sont les hommes qui sortent leur queue d’une fente dans leur combinaison m’enculant à tour de rôle.
Il va sans dire, qu’aucun d’eux ne me demande mon avis et je ne me prive pas de hurler.
J’en subis tellement que je peux dire que ma gamelle est remplacée par leur sperme que je dois boire plusieurs fois par jour.
Ma chatte flagellée, mon cul sodomisé, je hurle mon plaisir chaque fois qu’ils me font franchir une étape dans ma déchéance et mon humiliation, mais surtout mon plaisir.
Aussi quand un jour, on me remet mon bandeau comme quand on m’a amené dans mon lieu de domination, quand on me jette sur le trottoir, je regrette presque que cela se termine.
Le lendemain, je reçois un message.

« J’espère que tu as apprécié la période où je t’ai appris à te faire baiser, sur tes fesses nous avons tatoué « Chienne bonne à être sodomisée, si tu veux continuer à prendre du plaisir dans la douleur voici l’adresse d’un club sado-maso où tu pourras continuer à être dominé.
Nous nous croiserons peut-être, car je vais voir, sans qu’elle le sache, ou en son mes dominées, adieu. »

Mon tatouage dans ce club où je me rends dès le lendemain fait fureur, tous les mâles présents souhaitent voir la chienne que je suis, je cherche désespérément un signe de mon Maître sans succès, mais je suis une femme accomplie grâce à ce con qui pendant des années a ignoré la salope qu’il avait dans son lit.

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