Cherche Fantasmes Pour Épouse Pudibonde 10
Une voix la fait sortir de ses pensées. Elle ne la pas encore entendue, ou du moins elle ne la reconnaît pas.
- Louis, sil te plait, fait rassoir cette belle sur ton tabouret. Nue bien sûr. Mais enlève lui ses petits escarpins aussi. Je la veux encore plus nue. Elle a de jolis pieds cette dame et sils sont bien découverts, ils cachent encore un petit peu de son corps. Comme ce masque qui est une insulte à sa beauté.
Le vieil homme sexécute. Une fois assise, un silence lourd sinstalle dans la salle. On attend les demandes du dernier des invités.
Depuis son siège, dans lombre, il prend la parole. Son ton est péremptoire, autoritaire. Il inquiète et fait peur à Chantal qui est surprise par le ton employé.
- Tu tes comportée comme une vrai salope, non ?
- Oui.
- Tu nas pas honte ?
- Si.
- Tu aimes être humiliée ?
- Je ne sais pas.
- Comment tu ne sais pas. Cest comme te faire baiser devant tout le monde. Tu ne savais pas et on a vu le résultat ! Une véritable chienne en chaleur. Met toi debout devant le tabouret et met tes mains sur la tête.
Chantal a honte. Elle se sent considérée comme un objet sexuel sans âme. Elle souffre car ses principes déducation sont toujours présents même sils sont étouffés par la soif de jouir. Et cest cette dernière qui la pousse à obéir. La honte quelle ressent devient un moteur pour sa libido.
- Ecarte tes jambes. Je veux voir sécouler le foutre quon ta balancé. Cest assez glauque non ?
- Oui.
- Et cela ne te gêne pas quon assiste à ce quon peut appeler la vidange de ta chatte ?
- Si.
- Tu sens le sexe Chantal. Tu pues même ! Une odeur de foutre, de sécrétions et même durine. Tu as envie de pisser ?
- Non.
- Tu sais ce que diraient tes amis et collègues sils te voyaient là ? Dans cette tenue, souillée de foutre et de cyprine, à texhiber devant tous ces mâles que tu ne connais pas.
- Non.
- Et pourtant tu aimes ça, non ?
- Oui.
Chantal sens le plaisir monter en elle. Jusqualors cest son corps quelle dévoilait à lassistance. Ses lieux intimes aussi. Mais là, elle a le sentiment quil lui déshabille son âme. Petit à petit, elle a limpression de se vider le cur, lesprit. Tout son être se sent violé, fouillé. Elle devrait fuir, mais une force puissante la laisse interdite, incapable de la volonté de partir. Au contraire plus la honte et son indignation augmentent, plus son plaisir saccroît.
- Caresse-toi Chantal.
Linjonction est tombée froide impérative.
Encore un interdit ! Jamais elle ne sest abandonnée à se caresser devant un inconnu, même son mari. Elle ne peut pas, trop cest trop. Elle cherche le regard de Louis pour la secourir. Elle ne le voit pas.
Elle hésite. Lassemblée a saisi son trouble et dans la salle une voix sélève :
- Branle-toi petite salope. Montre-nous comment tu chauffes ta chatte et ton bouton damour !
Alors Chantal, à nouveau balancée entre honte et débauche, descend sa main entre ses cuisses et de son majeur elle commence à se titiller le clitoris. Elle ferme les yeux pour sisoler dans ce jeu solitaire. Très vite cela a pour effet dexacerber son excitation bien visible maintenant pour les voyeurs devant elle.
Alors, ses mouvements saccélèrent, sa respiration devient plus forte. Les yeux fermés elle sabandonne à des images de son enfance, celles quelle rejetait quand ses pulsions dadolescente guidaient sa main entre ses cuisses. Toutes ces images interdites.
Oncle pervers, médecin de famille
Chien
- Ouvre les yeux Chantal et regarde nous.
Elle abandonne ses rêves et fixe la pénombre devant elle. Elle ne voit toujours que des ombres, sans visages. Des mains sactivent sur des sexes quelle devine sortis.
- Enlève ton masque !
Cest la voix de son dernier amant qui vient de jeter cet ordre. Non, ce nest pas possible.
- Chantal obéit !
Cest Louis qui vient de parler. Elle comprend que lui aussi ressent la même excitation de la mettre encore plus nue.
- Enlève ton masque quon te voit te faire jouir.
Elle refuse. Elle se révolte.
- Non ! Sil vous plait. Ce nest pas prévu comme cela. Non !
Elle sait bien pourtant que cette dernière barrière nest quillusoire et que tous dans cette salle seront à même de la reconnaître. Elle sait aussi que la tension palpable dans la salle est dictée par ce geste quelle refuse de faire.
Soudain elle sent des mains se saisir des lacets qui maintiennent le masque sur son visage et libérer ce dernier rempart. Elle le ratt juste avant quil ne tombe.
Dans la salle un murmure sélève. De plus en plus fort lui incombant dobéir. Sa résistance faiblit.
- Allez Chantal ! Tu ne peux plus reculer.
Cest Louis qui vient de parler. Alors, lentement, comme un automate, elle laisse glisser son masque. Dans la salle un murmure de satisfaction sélève.
- Que tu es belle ! Cen est un péché. Et tu voulais nous priver de cela !
Elle a des larmes aux yeux car elle sait quelle a accompli lirréparable. Elle ne pourra plus jouer le rôle dune bourgeoise respectable. On va savoir quelle nest rien quune salope, facile à baiser.
Son mari a été sur le point de sinterposer pour éviter lirréparable. Il sait que dans la salle se trouvent des personnes qui connaissent Chantal dans sa vie sociale. Il mesure lampleur des dégâts. Mais en même temps il ressent une excitation extrême, celle de voir sa femme exhibée plus nue que nue.
Louis aussi est satisfait. Il sait combien ses pervers damis vont lui être reconnaissants du spectacle offert. Et ils ne seront pas ingrats.
Un silence suit ce moment. On comprend que tous sont en observation. Les yeux de Chantal brillent sous le projecteur. Elle est au bord des larmes.
Bien sûr dans la salle, il y a un membre dune association bénévole de bienfaisance pour laquelle elle sinvestit depuis plusieurs années. Une de celles qui lassoit dans le respect et qui fait delle une femme honorable. Lhomme est lui aussi compromis, surtout quil est celui qui a exhibé et doigté son cul avec une perversion impardonnable. Il sest lâché car il ne la pas reconnue. Maintenant il se garde bien de se manifester et reste dans lombre. Chantal ne peut pas connaître sa présence. Le silence est rompu par Louis.
- Les amis, le moment est venu de proposer votre fantasme pour gagner un WE avec notre égérie. Je vous rappelle quelle vous sera entièrement dévouée à vos caprices pendant 24 heures, aux conditions de la garder dans son intégralité physique. Ce sont les seules limites. Elle ne vous verra pas aujourdhui et partira sans savoir qui est le gagnant ni quel fantasme lui est promis. Elle vous a été dévoilée, vous restez anonymes.
Chantal tremble. Nue, visage découvert, elle a peur mais ne veut pas le montrer. Ces hommes devant lesquels elle a abandonné toute pudeur et dignité parlent delle sans se soucier de sa condition humaine. Elle se sent un objet. Un objet de désirs et cest cela qui lui fait peur et en même temps lexcite.
Louis sapproche delle, lui prend le menton et approche sa bouche pour lui voler un baiser.
- Tu vas te rhabiller ma chérie et rentre chez toi. Je te renseignerai très vite, toi et ton cocu de mari de ce qui tattend.
Sans un mot, Chantal reprend ses vêtements et lentement se rhabille. Même ce moment là, elle goûte le plaisir de savoir que les hommes dans la salle admirent ses appâts qui lentement se cachent à leurs yeux sous les vêtements, un striptease à lenvers. Elle saperçoit quinvolontairement elle prend son temps comme si cette cérémonie ne devait pas se terminer.
Quand elle quitte la pièce, elle se sent investie dune fierté qui na dégal que le plaisir quelle a connu pendant ces deux heures de débauche. Elle est heureuse et nimagine que des choses excitantes à venir sans aucunement redouter ce qui pourrait lui advenir dans les prochains jours. Chantal, la nouvelle Chantal est heureuse. Et ça se voit !
(à suivre)
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