Très Bien Gâté Par Dame Nature
Je me présente,
Je mappelle Sergio, jai 17 ans et 6 mois, je suis dorigine IVOIRIENNE par mon père et BELGE par ma mère, ma famille est française par la naturalisation de mon père qui est légionnaire, actuellement en mission au TCHAD pour 6 mois.
Je suis étudient dans un CFA à AUBAGNE, je prépare un BEP de monteur en Installation de chauffage basse température et sanitaire, je suis assez grand pour mon âge, je mesure 1,72ml.
Au bahut, après le sport, on prend une douche collective et je suis toujours gêner, car je suis pas comme les autres, on mappelle BABAR, mais ce nest pas par ce que jai de grande oreille.
Les personnes et les lieux sont volontairement modifier,
Je remercie toutes les femmes qui mont permis de faire lamour et de donner du plaisir. -1-
Un jour dété, je faisais le « mur » avec des collègues, lorsque je me suis tordu la cheville en sautant la clôture du CFA, un prof à appeler les pompiers qui mont évacué à lhôpital, je perdis connaissance dans lambulance quand ils ont voulu me la remettre en place, je reprie conscience dans une chambre dhôpital, ma jambe droite dans une hâtelle suspendue, une infermière me finissait le bandage, elle me sourit ;
- Bonjour, vous aller bien !
- Bon, bonjour, je me sens faible !
- Ce nest rien, vous êtes en salle de réveille !
- En salle de réveille ?
- Oui, vous avez étais opérer !
Je mendort à nouveau, par lopération, je récent une sensation bizarre, jouvre les yeux et je voie linfermière qui me fait une pipe, elle me suce la queue goulument, étant dans le cirage, je ne pouvez pas bougé, elle retiras sa blouse et sa culotte, et menjambas à califourchon , son dos face à moi, ce mie le gland dans sa vulve et commenças à descendre dessus tout doucement en ce tortillant elle me baisé, à grand coups de reins et des petit cris de plaisir, elle mordillé un mouchoir, elle ce plaquas sur moi et fit des mouvements latéraux qui comprimé ma bite, je ne pouvez plus me retenir et lui envoyas une grand giclé de sperme, elle jouit au même moment, puis ce retiras, prie sa blouse et culotte, partie dans la salle de bains, sessuies la chatte avec un mouchoir en papier quelle jetas dans la poubelle, puis elle partit en me souriant .
Le lendemain, ma mère arrive vers 10h00, avec Mme F
. Sophie, notre voisine de palier, elle est une grande amie de ma mère, (il y a 6ans, elle a perdu son mari dans un accident de la route, ma mère la soutenue dans son malheur, cest souvent quelle me garder quand ma mère été occupé)
(Ma mère) - Comment vas-tu mon fils !
(Moi) - Bien, mais jai mal !
(Sophie) ne tinquiète pas, on va soccuper de toi pendant ta convalescence !
(Moi) tu as eu papa au téléphone, il est au courant ?
(Maman) oui, mais tu connais ton père, pour lui, cest ta faute !
(Moi) oui, je sais !
(Sophie) tu devrais tassoir !
(Ma mère) non ça vat !
Sophie sassied en face de moi sur un fauteuil médical qui est régler très haut, je voie ses cuisses entre ouverte avec sa jupe relever sur ses genoux, elle a une culotte blanche très serré qui laisse apparaitre la forme de sa vulve charnue, elle me sourit ;
(Sophie) - Alors comment as-tu fait ton compte ?
- Je ne sais pas comment jai fait, mais voilà le résultat !
(Sophie) tu devais courir après des filles !
- Je, je
. !
(Sophie) sa doit bien te démangé, a lâge que tu as !
Je ne répondis pas, elle me sourit, ma mère me montrât du linge propre pour quand je sortirais, et le rangeas dans le placard,
Elle me fit une bise et me dit ;
- Tu nas besoin de rien, mon fils !
- Non, merci man ! (Sophie membrassa sur le bord de la bouche, comme si elle avait glissé)
Elle prit congé avec Sophie, la journée passa, le soir, après que lon mest changé le bandage, je mendormie comme un loir.
Le lendemain matin, à 9h30, ma mère ayant fait le nécessaire pour la sortie, une infermière mapporte une paire de béquille, et me donne une enveloppe avec une note « à lire chez vous »
Un taxi nous attend et nous voilà partie, ma mère me dit ;
- Tu as un arrêt de trois semaines avec un kiné a domicile pour la rééducation de ta cheville !
- Bien, mais je ne vais pas pouvoir sortir avec cette chaleur (il faut dire quil faisait 34°)
- Non, et Sophie va se relayer avec moi pour te surveiller et te faire des révisions, jai vue avec ton professeur principal pour tes devoirs !
- Mme B
, tu es allé voir Mme B
!
- Oui, elle est très gentille, elle a même proposé de venir te voir !
Ont arrivent à la maison, je suis gauche avec ces béquilles, Sophie arrive pour nous aider ;
(Sophie) alors, on va être chouchouter à la maison !
Je lui fais un sourire, et on monte les escaliers, avec ses béquilles, je soufre, mais en montant a cloche pieds, jy arrive, arrivé au 2eme étage, ma mère ouvre et tout le monde entre, je minstalle au salon, sur le canapé, ma mère part dans sa chambre et Sophie sinstalle en face de moi, sur un fauteuil, je flâné dans mes pensées, quand je fus attiré par ma mère qui amener un plateau avec du thé et un biscuit ;
- Sophie, du thé ?
- Oui, merci !
- Sergio, tu en veux ?
- Non, non, merci !
Sophie se penche pour prendre la tasse, son chemisier étant déboutonné sur deux ou trois boutons, je surpris sa poitrine opulente, elle se redresse et me sourit, jéraie dans mes pensées, ma mère et Sophie parler comme dhabitude, je distingue ces mamelons érigé qui frotte la toile en coton du chemisier, une des béquilles tombe du fauteuil, je me penche pour la ramassé, Sophie qui été la plus proche de moi, ce lève pour maidais, elle sappuie sur laccoudoir pour prendre la béquille , un de ses seins se comprimas, ce qui laissas de la place pour distinguer lautre très clairement, il était de belle tenue, rond avec ce mamelon que je deviner, granuleux et charnue.
-3-
Lheure du repas sonnas, Sophie prie congé ;
- Je reviens dans la soirée, jai à faire cette après-midi !
Elle partit, ma mère me proposas des tournes-dos et purée pour déjeuner, une fois le repas fini, je partie dans ma chambre mallongé, je mendormie, mes songes me tourmenté,
« Pourquoi elle me regarde comme un gâteau à dévorer »
Je mendormie, je fus réveillé par le son de la radio du salon, je me lève et alla au WC, en sortant, je rejoins ma mère dans la pièce, elle lisait des revues de Roman Photos, je lui souris et comme je massoie, je retire une revue qui se trouvé là, sur le coussin, ma mère me fit signe de lui rentre en me disant ;
- Donne-moi ça, ce nest pas pour toi, tu es trop jeune !
Je lui fais passer, elle me le prit avec un mouvement sec, jécouté la radio, ont sonnas à la porte, ma mère se levas et alla ouvrir, le concierge lui donnas un paquet, elle referma la porte et vient dans la pièce, toute émoustillé ;
- Un colis de ton père !
Elle prit une paire de ciseaux et louvrit, mon père lui envoie régulièrement des colis, il y avait des lettres quelle mit de côté, des tuniques locales, des photos, mon père ma envoyé des polos de tennis a manche courte, ma mère me les donne pour que je les range dans ma chambre,
La soirée arrivât, on tape à la porte, Sophie entras, elle était habillée différemment, elle avait une jupe ample avec un chemisier blanc presque transparent, elle me faisait bander, jai toujours fantasmé sur les femmes mures, elle propose à ma mère de prendre le relai pour la surveillance, ma mère acceptât, elle partit dans la salle de bain ce changé, elle en sortie habillé avec une tenue stricte et me dit ;
- Je vais à la paroisse pour notre répétition ! Il est vrai quelle est un peu « grenouille de bénitier »)
- Bonsoir man, a plus tard !
Elle sortit, Sophie me proposât de me faire a mangé, elle partit dans la cuisine, jécouté la radio, il y avait un match de foot, Sophie revient au bout dun moment avec un plateau quelle posât sur la table basse, elle avait préparé des pattes a la carbonara (sa spécialité, elle est italienne dorigine)
On mange et elle débarrasse, puis elle revient dans la pièce et sinstalla sur le canapé, me fit signe de venir à côté delle, comme je massoie au bord, elle sapproche de moi et me dit ;
- Tu sais que je suis veuve et que jai plus dhomme dans ma vie depuis le décès de mon mari !
- Oui, oui, je sais et je comprends !
- Depuis que je te voie en pleine puberté, tu ne veux pas que je téduque, sa resterez entre nous !
- Je, je ne sais pas !
- Vient contre moi, je vais tapprendre !
Elle se déboutonnas son chemisier, ses seins fut expulser entre le tissu tendu, ils étaient gros et lourd, ses mamelons très granuleux étaient comme une sucette de bébé, je commençais à avoir chaud,
Elle me retira mon pull, et me caresser la poitrine tout en me faisant des bises sur le corps, elle dirigea
Sa main sur mes cuisses, lorsquelle sentie ma queue érigée, elle me regarda droit dans les yeux et me dit ;
- Tu, tu es monté comme un cheval !
- Je, je
.
- Tu vas me montrer ça !
Elle me retiras tout doucement mon pantalon de survêtement, ma bite ce cabras sous mon caleçon, elle me sourit et caressas la toile , elle ouvrit la braguette et sortie mon gland , elle commenças a me sucé, tout doucement en pivotant sur le canapé, elle retiras sa jupe et sa culotte, une chatte très velue apparue, quelle me présentas devant ma bouche, elle santé un mélange de parfum et durine, elle reprit la sussions de mon gland, je lui passa machinalement la langue sur ses lèvres, elle acquière un soubresaut et me plaquas sa chatte sur la bouche, je lui saisit entre la langue et le palet, son clito qui ressemblais a un cornichon, elle suffoquer de plaisir, je lui glissas deux doigts dans la chatte, elle ruisselait de cyprine,
Elle se dégage de cette position et vient se positionner sur moi, je suis impressionnée par ses énormes seins qui pende devant mon visage, elle prend ma bite et se positionne dessus, elle semboite dessus et tout en soufflant, elle ce fait pénétrais jusquas la garde, je lui saisis un mamelon dans la bouche et le tète comme un bébé, elle donne des coups de reins à chaque chevauchée, ce mais à hurler des mots ;
- Tu, tu anh anh anh, tu es montéééé commmmee un ânnne , mon salooooot, que cest bonnnn !
Elle commence à entrer dans une transe et me sert le membre avec ses muscle interne, cette sensation es délicieuse, je prends mon pieds, je lui mordille les mamelons, elle me plaque le visage sur sa poitrine, et ce mais à me pilonner de plus en plus vite, jéjacule de grande giclait en elle, Sophie ce contracte et hurle de bonheur, une fois quelle a repris son calme, elle ce relève et un jus blanchâtre de sperme et de cyprine mélangé lui ruisselle sur lintérieur de la cuisse, elle partit dans la salle de bain , quelque minutes plus tard, elle revient en culotte avec un gant de toilette, à chaque mouvement, ces seins ce balancé de droite et de gauche, elle me fie un nettoyage complet, jen profite pour lui malaxé cette poitrine qui me fait envie, une fois la toilette faite, elle me fait des bisous sur la tête de mon gland, je me mais a rebandé de plus belle, elle nen revient pas ;
- Tu en as encore envie !
- Oui, je suis fou de toi, Sophie !
- Bon, encore un peu, mais ta mère ne va tarder à venir !
Elle baissas sa culotte et ce mis à genoux sur le canapé, en me redressant, jétais a bonne hauteur, elle écartât ses fesses, je voyer sa chatte devant moi, je saisie ses hanches et ma bite après quelques tâtonnement, je la pénétras dun coup de rein, elle accuse le coup, je lui mets des coups de bite de plus en plus vite, elle se mais à jouir en même temps que moi, je la remplis de ma semences, elle saffale sur le canapé dans un état second, je massoie à côté delle, Sophie me sourit et me dit ;
- Toi, tu es un bon coup, tu vat en faire, des heureuses !
-5-
Elle repartie dans la salle de bains, je me rhabille du temps, elle sort, habillé, comme si de rien ne sétait passé, elle me sourit et sinstalle sur un fauteuil, prend un livre et mignore, une demi-heure plus tard, ma mère arrive ;
- Alors, vous deux, ça sest bien passé ?
- Oui ! (Réponses de tous les deux)
Sophie nous quittât, il était minuit et demi, je partie dans ma chambre me couché, je mendormie comme un bébé, le lendemain, en me levant à 8h30, ma mère me dit ;
- Tu thabille vite, il y a linfirmière qui va venir à 9h00 pour ton pansement !
A 9h00, la sonnette retentie, ma mère ouvrit, une charmante brune, genre « ta » été devant le palier avec un sac ;
- Bonjour !
- Bonjour, le malade est la ! (Ma mère me montre du doigt)
Elle me rejoint dans le salon, elle saccroupie et me demande de retiré mon pantalon de survêtement, Puis commenças à me défaire le bandage, elle me fait remarquer que ma cheville a bien désenflé, elle me passe de la pommade sur la cheville en remontant sur le mollet avec une façon de me regarder étrangement, elle me fixé, ses mains commence a remonté sur ma cuisse, ma mère entre dans la pièce, linfirmière me lâche, et me refait mon bandage, le téléphone sonne, ma mère décroche, pendant quelle parle, linfirmière me donne une feuille plier en quatre et me fait signe de me taire,
Elle replie ses affaires et prie congé, maman me dit ;
- Cétait le kiné, il tattend cette après-midi !
- A oui, mais comment je vais y aller !
- Une ambulance vient te chercher !
- Ah bon, ok !
- Tu prends une serviette et un slip de bain !
- Pour aller à la piscine ?
- Non, pour ta séance de kiné !
On mange et à 13h30, lambulance arrive, il me conduit dans un centre médical dans le centre, je sonne à la porte du kiné et entre dans la salle dattente, quelques minutes plus tard, le kiné ouvre la porte de communication avec son cabinet, le kiné est une charmante rousse de 30 ou 32 ans ;
- Bonjour !
- Bonjour, je suis enchanté !
- Vous allez dans la cabine qui se trouve la et vous vous métais en slip de bain !
- Ok !
Je menferme dans la cabine et me déshabille, en slip de bain, jouvre la deuxième porte intérieure, il y avait une pièce avec un bassin et des poulies pour faire des mouvements, le kiné me fait signe dentré dans le bain, leau est tiède, cest agréable ;
- Vous allez marcher sur la longueur du bassin en posant votre pied bien à plat à chaque mouvement !
Je mexécute, ma cheville me fait mal, mais jarrive a posé le pied sur mon poids, je fais trois aller et
Retour, je fini le quatrième retour, ma cheville ne me porte plus et je maffale dans leau en créant une vague, leau déborde de ma bordure du bassin et mouille la blouse du kiné, elle prend une serviette
pour ce séché, je remarque quelle ne porte quune culotte sous sa blouse, ses seins pointer sous le tissue mouillé, je me mais a bandé sans le vouloir, elle vient à côté du bassin et me temps sa main pour maider à sortir de leau, je sortie et minstallas sur un banc , elle allas ce changer, de retour elle me demande de minstaller sur un fauteuils, et elle minstalle une sangle avec un ressort de rappelle , elle me demande de sur le ressort dix fois, je mexécute, à chaque mouvement , elle me massé la cheville avec une pommade à base de Camphre, je suis gêné par mon slip de bain qui moule ma bite en extension, le kiné me sourit et me dit ;
- Cest moi qui vous trouble comme cela !
- Je, je mexcuse !
- Il ny a pas de quoi ! (Elle me sourit et remonte sa main jusquau slip de bain)
- Je, je suis
!
Elle me caresse ma bite au travers de la toile, elle me regarde droit dans les yeux et me dit dune voie douce ;
- Je pense que lon va aller dans la pièce à côté !
Je la suis, on entre dans une pièce tout en bois, avec de la vapeur, elle me fait signe de minstaller sur un banc, elle augmente la vapeur et vient sassoir à côté de moi, elle retire sa blouse, elle as de beau seins avec des petits mamelons, elle retire sa culotte, elle as une chatte toute rasé avec un petit triangle de poile au-dessus de son clito, elle me retire mon slip de bain, ma bite ce dressas contre mon ventre, elle la saisie et me dit ;
- Très belle bête !
Elle engloutie mon gland dans sa bouche tout en pivotant sur moi, javais sa chatte odorante sur mon visage, je lui clissa la langue entre ses lèvres, elle me mordillas le gland, je lui suce le clito, elle grogne et me mordille de plus en plus fort, je lui insert deux doigts dans la chatte et commence à la branlé, elle tortillé ces hanches, je lui insert le pouce dans lanus, elle apprécie, ce laisse faire, quelques minutes plus tard, elle ce relève et vient enjambé le banc, elle présente mon gland sur ses lèvres et ce laissas descendre dessus, elle était étroite, cela faisait une drôle de sensation, et commence à me pilonné, elle ce mie à jouir au bout de quelques minutes, elle ce retirât, sa chatte fit un bruit de succion et posât ses mains sur le banc, son cul en position pour ce faire donner, je me levât et mie mon gland dans sa chatte toute gluante, elle accusât le coup de rein et je commence à la baisé a grands coups de hanche, elle secouait la tête dans tous les sens, dun coup de rein en avant , elle ce libéras et écartât ses fesses, son cul sombre souvrait et ce fermé à chaque respiration, elle me dit ;
- Encule-moi avec ta grosse bite !
Je me présentas sur son anus, ma cheville ne me faisait plus mal comme par miracle, je prenez appui sur ma cheville gauche, mais la droite bien posé au sol , je ne reviens pas de la facilité de pénétration, ma bite sengouffras toute seul en elle, elle hurlât quand je butas au fond , cette sensation était superbe, ma bite était envelopper dans son anus, je commenças des va et vient, elle accusé les coup de rein avec des grincement de dents, je lui prie ses petits seins dans mes mains et les malaxé, elle posât ses mains sur les miennes et serras ses mamelons entre son pouce et lindex , elle fut pris de
Convulsion quand jéjaculat en elle, une fois dégager, elle sallongeas sue le banc et se couvrit avec une serviette, elle me fit signe davançait mon visage et me dit ;
- Tu es un bon amant et je suis contente !
- Je te remercie, moi aussi, je suis contant, quand es que je reviens pour la cheville ?
- On est 16, tu nas quas venir le 18 !
- Ok !
Je mhabillai et partie, le taxi mattendais, en chemin, le chauffeur me dit ;
- Alors sa cest bien passé, pas trop douloureux !
- Non, ça a été, merci !
- Le kiné est très demandé par des jeunes hommes !
- A bon !
- Oui, je travaille souvent avec elle !
- Daccord ! (Je me demandé qui a donné le N° de téléphone à ma mère)
si ce début vous a plus, la suite prochainement.
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