Séance Découverte
Internet est un merveilleux outil pour rencontrer des personnes ne faisant pas partie de notre entourage habituel. Cest ainsi que jai rencontré George. Dorigine britannique, il habite la France depuis de nombreuses années mais a gardé un petit accent très troublant. A plus de 70 ans, il est encore très actif (sur tous les plans) et bien conservé, je dois lavouer, cest ce qui ma attiré. Jai moi-même passé lâge de plaire aux jeunes et je me satisfais de mon penchant pour les hommes murs.
Jaime beaucoup lidée de moffrir à un homme, et encore plus si son âge dépasse le mien. Bisexuel affirmé, je revendique ma passivité avec les hommes et mon gout pour les relations un peu
hors normes.
Jarrivais chez George après le repas, laprès-midi sannonçait chaude et pas seulement sous le soleil. Il ma reçu dans sa vielle maison retapée avec gout comme savent le faire les Anglais. Il était souriant mais, sans être très grand, il imposait le respect au premier coup dil. Il ma fait entrer dans le salon, nous nous sommes assis dans de profonds fauteuils, avons échangé quelques propos et bu le verre de lamitié.
- Tu es là pour quelque chose de particulier, es-tu toujours daccord, demanda-t-il ?
- Je nai pas changé davis, répondis-je.
- Finis ton verre et suis moi.
Jai fait ce quil demandait et je me suis levé. Nous sommes sortis du salon et avons pénétré dans une petite pièce où étaient stockés diverses affaires. Il ma montré un vieil escalier dans un coin et ma demandé de monter devant. Nous sommes arrivés sur une sorte de pallier, il ma indiqué une porte au fond du couloir à gauche.
- Ouvre, me dit-il.
Jai ouvert la porte et jai vu une pièce aménagée. Aux poutres étaient fixés des anneaux avec une sorte de treuil comme on peut en voir dans les vieilles granges. Dautres anneaux étaient fixés au mur, une table occupait un coin de la pièce, un canapé, quelques chaises et tabourets, une grande armoire et un matelas sur un sommier.
Il ma poussé dans la pièce et je suis resté au milieu à observer ce qui mentourait pendant quil refermait la porte. Il sest approché de moi, a ouvert ma chemise et a commencé à me palper, sarrêtant sur le bout de mes seins pour les pincer puis recommencer ses investigations. La chemise est tombée à terre sans que je fasse un mouvement pour len empêcher. Il sest reculé de quelques pas et ma ordonné denlever mon pantalon.
Jai défait la ceinture et ouvert les boutons de la braguette, javais un peu peur de sa réaction car tout cela avait déclenché un début dérection que je ne pourrai pas cacher longtemps. Jai retiré complètement le pantalon et me suis présenté en slip devant George. Il ma ordonné de mettre mes mains sur la tête et sest approché, il a tourné autour de moi avant de poser ses grandes mains sur mon sexe déjà dur, me laissant échapper un petit cri de surprise.
- Quest-ce que cest ça, demanda-t-il en saisissant mon sexe à travers le tissus ?
Il pétrissait cet endroit et particulièrement les testicules puis, dun coup, il attrapa les côtés du slip et le baissa dans un mouvement vif, me faisant chanceler. Mon sexe était dressé, arrogant devant celui qui devait devenir mon Maitre. Il ma poussé vers le fond de la pièce et ma plaqué sans ménagement dos au mur. Il a sorti deux bracelets de sa poche, les a passé à mes poignets puis les a attachés aux anneaux par les petites chaines qui pendaient.
Il est allé vers larmoire, la ouverte et jai ainsi pu voir quelle contenait toutes sortes daccessoires que jallais bientôt connaitre intimement. Il a attrapé une barre munie de bracelets, un martinet et est revenu vers moi. Il a attaché mes chevilles sur la barre et la réglée afin de bien dégager mon entrejambe.
- Je vais te faire passer lenvie de bander devant moi, dit-il.
Aussitôt le martinet vint heurter mes testicules, me faisant sursauter et marrachant un petit cri.
Il a détaché mes poignets mais a laissé la barre qui entravait mes jambes et ma poussé vers un autre coin de la pièce. Là se trouvait ce que je pensais être un tabouret recouvert de cuir. Il ma fait basculer, plaquant mon torse sur le cuir et a attaché mes poignets aux anneaux placés au bas des pieds. Cest simplement à ce moment quil a détaché mes chevilles mais pour les attacher à leur tour au tabouret. Des lanières bloquaient mes genoux et mempêchaient complètement de bouger. Je présentais ainsi mon fessier sans défense à cet homme qui voulait, je nen doutais pas, en profiter pleinement.
Je lai entendu fouiller dans larmoire puis revenir et poser des choses sur une petite table derrière moi. Je ne voyais rien de ce qui se préparait et lexcitation saccompagnait de cette crainte si particulière et si plaisante. Les premières claques sont arrivées, à la main, lourdes, puissantes, me faisant tressauter à chaque impact. La chaleur envahissait déjà le bas de mon dos. Je nai pas compté (quand on aime, on ne compte pas) mais la correction ma semblé durer longtemps. Jugeait-il être arrivé à ses fins ? La réponse arriva sous la forme dun coup donné avec une strappe, bien sonore, suivi dun autre et dautres encore. Mon derrière me brulait mais il ne voulait pas sarrêter là, souhaitant me faire gouter à dautres délices. Je commençais à regretter de lui avoir dit que je voulais tester plusieurs instruments
Après la strappe ce fut la badine, avec des sensations bien différentes, puis le martinet qui ségarait parfois sur larrière de mes cuisses me faisant pousser des gémissements.
Il a semblé satisfait du résultat car il sest arrêté, a détaché mes chevilles mais pour les remettre en place avec la barre décartement, puis mes poignets et ma fait me relever. Il ma poussé vers le matelas et ma littéralement jeté dessus. En quelques gestes il a attaché mes poignets à la barre, mempêchant complètement de bouger. Jétais sur le dos, les jambes largement écartées, tendant mes fesses brulantes et exhibant mon sexe et mon anus largement exposés, position indécente sil en est. Il a glissé un coussin sous mon bassin, exposant encore plus mes fesses. Il a placé un foulard sur mes yeux, mempêchant de voir ce qui se passait autour de moi. Mon cur battait à tout rompre car je ne savais pas ce qui mattendait.
Un coup de martinet est arrivé, les lanières sécrasant largement sur mes fesses et la base de mon sexe. Puis un autre et un autre, donnés avec science de manière à provoquer une sensation sur une partie la plus large possible, les coups pleuvant ainsi, pas très forts mais bien ajustés. Puis un coup vint se perdre entre mes fesses, heurtant lanus offert. Ce nétait pas une erreur car un autre arriva, puis un autre
Il me flagellait la raie des fesses et mon anus. Je ne connaissais pas cette sensation particulière mais il semblait apprécier cette pratique. Quelques coups plus puissants atteignirent larrière de mes cuisses puis plus rien. Je lentendais bouger mais je ne pouvais deviner ce qui allait suivre.
La badine sest alors abattue sur les fesses me faisant pousser un cri de douleur et de surprise. Encore quelques coups bien assénés et je lai entendu bouger et se positionner à mes côtés, debout sur le lit. Il a attrapé lune de mes chevilles pour bloquer tout mouvement et la badine est tombée exactement sur mon anus marrachant un cri. Il ma ainsi asséné une série de coups, jamais très forts mais placés sur un endroit déjà bien endolori.
Les coups ont cessé, il est descendu du lit et sest éloigné me laissant un peu de répit. Quand il est revenu, jai senti du froid sur mon anus puis un doigt ganté qui massait de plus en plus profondément. Il a fait pénétrer lextrémité de sa phalange en faisant de petits mouvements circulaires. Il a ressorti son doigt puis est revenu enduit dun peu plus de gel et a pénétré plus profondément encore. Toujours ce massage à lintérieur de mes entrailles qui me faisait haleter et pousser des soupirs. Ce sont maintenant deux doigts qui ont lentrée et sécartent en moi tout en tournant. Je sentais lexcitation monter de plus en plus, les doigts ayant trouvé la prostate et la massant soigneusement. Ce qui devait arriver arriva et jéclatais en un cri, le sperme arrivant sur mon visage. Le massage a continué jusquà ce que je nen puisse plus et il a retiré ses doigts.
Il a détaché mes poignets et mes chevilles, me laissant pantelant sur le lit. Je me suis levé à grand peine et il ma montré lemplacement de la salle de bain que je navais pas remarqué en entrant. Lorsque je suis ressorti il ma montré lappareil quil avait en main, il avait profité de ma position pour prendre des photos de mes fesses à différentes étapes, le rouge était « claquant ». Pas de visage sur ces clichés comme il me lavait promis.
Je me suis rhabillé, le tissu sur mes fesses brulantes accentuant linconfort. Nous sommes redescendus et avons partagé un dernier verre.
- Si tu veux quon recommence, ma-t-il dit, jamènerai quelques variantes.
Bien sûr que je le souhaite, je lui ai même proposé que nous ne soyons pas seuls la prochaine fois.
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