Jeune Bourgeoise

Julie était assise à une table du bar de l'hôtel et s'ennuyait un peu. Sa silhouette époustouflante avec sa robe en cuir noir fendue devant, révélait tant de promesses de ce qu'on ne pouvait voir. Ses cheveux brun foncé dégringolaient en vagues naturelles et une paire de grandes lunettes de soleil dissimulaient ses yeux verts.
Julie regardait les hommes d'affaires se presser auprès de la jeune fille craintive assise au bout du bar. Julie admirait son innocence rougissante pour chaque avance qu'elle recevait alors qu'elle essayait désespérément d'attirer l'attention du barman. Julie se leva, marcha lentement vers elle et se glissa sur le tabouret voisin de la jeune femme. Souriante comme un requin hypnotisant sa proie, Julie murmura d'une voix basse et rauque:
"Salut, je m'appelle Julie"
"Penny" balbutia la jeune femme, puis elle se maudit intérieurement en réalisant qu'elle avait encore raté sa chance d'attirer l'attention du barman.
Julie se pencha en avant et claqua ses doigts. Le barman accourut en espérant un pourboire aussi généreux que ceux qu'il avait reçus de la mystérieuse femme en noir les fois précédentes.
"Mon amie et moi aimerions avoir une boisson" demanda Julie d'une voix rauque en se tournant vers Penny.
"Une eau minérale, s'il vous plaît" bégaya Penny rougissante.
Julie laissa échapper un rire profond. "J'ai dit une boisson"
Penny regarda désespérément la rangée de bouteilles avant de choisir un Bailey's.
Commande servie, Julie entraîna Penny à une table isolée.
Penny supporta difficilement l'effet des trois grands Bailey's, mais le plus désastreux pour elle, c'était le liquide clair que Julie rajoutait à sa boisson quand elle ne regardait pas. Penny se détendait, racontant à Julie qu'elle avait 25 ans et qu'elle venait passer 2 jours pour un stage de formation. Elle était mariée depuis 5 ans avec Tom, son doux cœur d'enfance, et c'était la première fois qu'elle partait sans lui.


Souriante, Julie demanda: "Et ce soir, tu es à la recherche de distraction?" Penny rougit profondément et frissonna d'indignation, assurant qu'elle ne regardait jamais un autre homme, car elle était fidèle à son mari.
Julie pensa que ce n'était pas le moment de révéler qu'elle était une dominatrice lesbienne car Penny ne comprendrait probablement pas ce que ça signifiait. Tandis que la drogue et l'alcool étendaient leur influence sur Penny, Julie proposa de la raccompagner jusqu'à sa chambre.
Quand elles entrèrent dans la chambre de Penny, elle était presque comateuse. L'abandonnant quelques instants, Julie se glissa dans sa chambre pour aller chercher un sac avant de revenir trouver Penny dans la même position qu'elle l'avait laissée. Julie dépouilla rapidement la fille de ses vêtements, la dénudant entièrement, avant de jouer doucement avec ses formes juvéniles. "C'est une adolescente attardée, mais ça devrait aller" marmonna Julie en disposant Penny étalée sur le lit. Installation de la caméra vidéo numérique, Julie a enfilé un masque dissimulant la moitié supérieure de son visage avant de retirer sa robe, ne gardant que son bustier en cuir noir, son string en dentelle noire et ses bottines noires à talons aiguilles.
Julie se pencha entre les jambes de Penny et commença à lécher et à triturer sa chatte. Dans son état comateux, le corps de Penny réagissait naturellement et bientôt sa chatte fut trempée tandis qu'elle gémissait et se débattait doucement. Julie enjamba alors le lit avec ses jambes de chaque côté de la tête de Penny. Frottant sa chatte contre la bouche de Penny, elle roula des hanches et se balança en sachant que la caméra donnerait l'impression que Penny la léchait profondément.
Julie a sortit divers jouets de son sac et a disposé la fille avec les jambes écartées et un gode plongé au fond de sa chatte. Par un jeu savant de ses mains, la vidéo donnera l'impression que Penny était une participante volontaire du rendez-vous lesbien.
Au final, Julie s'est équipée d'un gode-ceinture et positionné Penny à quatre pattes.
Répandre des quantités généreuses de gel sur le gode, baiser sa chatte en doigtant son cul, Julie comprit à la façon dont Penny lui enserrait le doigt qu'elle était une vierge anale. Mais elle fut surprise par sa réaction quand elle lui introduisit le gode dans l'anus. Au lieu des gémissements de douleur, Penny ondulait inconsciemment des hanches.
"Tu aimes ça, chienne" marmonna Julie, "Une vraie salope anale. Quelle superbe vidéo."
Julie a soigneusement remballé ses affaires, nettoyé en s'assurant qu'il ne restait aucune trace, puis photographié le contenu du sac de Penny. Le lendemain, Penny se réveilla avec le mal de tête et ne se souvenait plus de rien après que la gentille dame l'eut aidée à regagner sa chambre. Pendant le reste de la journée, Penny se remit lentement de ce qu'elle croyait être une gueule de bois et se jura qu'elle ne toucherait plus à l'alcool. Penny sentait son derrière douloureux, mais croyait que c'était la boisson qui bouleversait son ventre.

Quelques jours après le stage de formation, Penny était installée dans sa cuisine. Penny travaillait à temps partiel à la banque, et profitait de son jour de congé pour rattr son ménage et préparer un bon dîner pour Tom.
Penny a récupéré le courrier, trié les factures, mais une enveloppe A4 marquée "personnel et privé" a attirée son attention. Penny s'est assise avant de l'ouvrir et son cœur a commencé à battre plus vite lorsque les photos ont dégringolé, la montrant avec une femme masquée, pratiquant des actes sexuels obscènes.
Alors qu'elle essayait de déterminer où et quand cela avait pu se produire, le téléphone sonna. En entendant la voix rauque, Penny comprit que c'était la femme en noir sur les photos qu'elle avait rencontrée à l'hôtel.
Cherchant toujours à reprendre ses esprits, Penny bégayait quand elle entendit Julie lui susurrer:
"Je te parie que Tom, ton chéri, aimerait voir ces photos de sa douce petite Penny transformée en salope lesbienne.
"
Penny sentit monter une boule d'angoisse en se demandant si cela allait être une demande d'argent quand elle entendit Julie dire: "Ne t’inquiète pas, tout ira bien si tu es une bonne petite salope." Et raccrocha le téléphone.
Paniquée, sidérée, Penny ne savait quoi faire quand la sonnette de l'entrée retentit. Dissimulant les photos de son forfait dans un tiroir, elle a ouvert. Debout dans l'entrée, un coursier lui remis un paquet. Penny l'a pris mais, voulant refermer la porte, le coursier a précisé: "On m'a dit d'attendre." Ouvrant la boîte, Penny a trouvé un téléphone portable équipé d'un écouteur Bluetooth. Aussitôt, la sonnerie a retentit.
Insérant l'écouteur dans son oreille, Penny a entendu la voix de Julie comme si elle se tenait juste à côté d'elle.
"Montre-moi que tu es une bonne petite pute, suce le coursier" La voix de Julie ronronnait, aguichante.
Penny resta figée, incapable d'agir, quand retentit dans l'oreillette le son aigu de la voix de Julie qui lui commandait: "Maintenant, sale pute, ou la copie des photos sera sur le bureau de Tom dans l'heure."
Réalisant qu'elle n'avait pas le choix Penny a invité le coursier à entrer.
"Non" dit la voix de velours, "suce-le sur le pas de la porte, comme la salope que tu es."
Penny s'agenouilla et débraguetta le coursier pour sortir sa queue en semi-érection. Le prenant en bouche du bout des lèvres, Penny commença à le branler de sa main.
"Profite-en, salope, pompe-le bien à fond, avale son jus, fais-toi plaisir, sale chienne" Julie l'encourageait et Penny commença à sucer profondément.
Bientôt, sa bite fut complètement dure et le coursier commença à gémir pendant que Penny le suçait. Penny priait pour que les voisins ne s’aperçoivent pas de son étrange manège.
Soudain, l'homme la saisit par les cheveux pour lui tirer la tête en arrière, sortant de sa bouche accueillante pour se branler et faire jaillir son sperme sur les cheveux, le visage et le corsage de Jenny.

"Les salopes doivent gagner leur pain avec leur cul ou avec leur bouche" la voix de Julie se fit cruelle tandis que Jenny refermait la porte.
"Est-ce que c'était bien, ma belle salope?" roucoula Julie. Penny se sentait dégradée, et en même temps elle sentait l'humidité envahir sa culotte.
"Enlève ta culotte de pute» ordonna Julie, "Je veux t'entendre jouir.»
Penny retira sa culotte et s'allongea sur le tapis en écartant les jambes.
Julie, de sa voix rauque, lui décrivait les photos d'elle et demandait à Penny de jouer avec sa chatte, ce qu'elle n'avait plus fait depuis l'école.
La combinaison du sperme sur son visage et des commentaires salaces de Julie chuchotant dans l'oreillette l'excitait, Penny commença à se caresser.
Au début, Penny était hésitante, mais Julie lui a ordonné d'enfoncer un doigt, puis deux, puis trois profondément à l'intérieur, Penny senti l'orgasme gronder. Elle se cambra, les épaules sur le sol, les pieds plantés fermement, son cul levé bien haut. Penny cria au téléphone lorsque son orgasme l'a traversée.
"Bonne petite salope, nous verrons ce que demain te réserve" avant de raccrocher le téléphone
Le lendemain, après que Tom soit parti travailler, Penny s'assit et regarda le téléphone qui était posé sur la table de la cuisine. La veille au soir, ils avaient profité d'une soirée de sexe endiablée alors que ses pensées de salope occupaient son esprit. Penny rêvassait, se demandant ce qui lui arrivait, quand la sonnerie du téléphone la fit sursauter.
Positionnant l'oreillette, Penny entendu Julie dire "Salut, salope"
"Qu'est-ce que tu me fais?"
Penny suppliante au téléphone sentit un froid glacial courir le long de sa colonne vertébrale lorsque Julie répondit.
"Premièrement, tu vas m'appeler Maîtresse. Deuxièmement, si tu ne veux pas que tout le monde sache que tu es une salope, tu vas être ma propriété. Tu seras mon jouet, ma poupée, tu feras tout, TOUT ce que je voudrais.
Compris, morue?" Après cette dernière déclaration, Penny entendit sonner à la porte et toujours connectée se dirigea vers la porte pour y répondre.
Dehors, il y avait deux ouvriers et Penny se souvint du rendez-vous pour installer le câble aujourd'hui.
"Hé, Ma'am" le plus grand des deux noirs a dit, "Nous venons pour brancher le câble."
Penny réalisa qu'elle était encore en robe de chambre et nuisette et pouvait sentir les deux hommes détailler son corps sous les vêtements.
"Qui est-ce?" Siffla Julie dans l'oreillette et Penny dit à haute voix
"Alors c'est vous les deux gars pour brancher le câble, c'est dans le salon, entrez. "
"Vas-y, ma pute, baise-les tous les deux."
"Mais" bégaya Penny dans le téléphone et les deux gars s'arrêtèrent et regardèrent Penny d'un air interrogateur.
"Baise-les tous les deux, salope, ou les photos sont sur le bureau de Tom."
Siffla Julie.
Soupirant avec résignation, Penny se débarrassa de son peignoir et de sa chemise de nuit tandis que les deux blacks avaient les yeux comme des soucoupes.
"Dis-leur que tu veux être baisée par ces deux mâles." Ordonna Julie.
Penny a répondu "Oui, Maîtresse" avant de s'adresser aux deux mecs en se léchant les lèvres.
"Vous n'êtes pas pressés de brancher le câble. J'aimerais tant être baisée par deux grosses queues. Vous avez bien un moment pour me niquer, tous les deux?"
Les deux hommes n'ont pas hésité et se sont dépouillés de leur combinaison rapidement, révélant leurs corps musclés. Penny regarda leurs queues et ne put s'empêcher de comparer avec celle de son mari, nettement plus petite.
Tandis qu'ils s'approchaient d'elle, elle sentit son vagin s'humidifier.
"Alors, salope, tu mouilles?" La voix de Julie ronronna dans l'oreille de Penny.
"Oui Maîtresse, je vais me prendre deux belles bites!"
Quatre mains caressaient Penny dans ses endroits les plus intimes, et son émoi se transformait en excitation. Se jetant à genoux, Penny a commencé à sucer une bite tout en caressant l'autre, puis échangeant les rôles. Alors que Penny suçait une bite, l'autre gars derrière elle la souleva pour qu'elle soit debout sur ses jambes mais courbée à la taille. A coups de pieds dans les chevilles, il lui écarta les jambes, avant de planter sa bite dans la chatte consentante. Elle ne pouvait plus s'arrêter de gémir de plaisir.
"Tu aimes ce qu'ils te font, salope? " Demanda Julie. Penny ne pouvait pas répondre la bouche pleine.
"Je t'ai dit tous les deux, salope, ça veut dire les deux à la fois, donc tu ferais mieux de t'en occuper." Ordonna Julie à l'oreille de Penny.
Les deux types ne pouvaient pas croire leur chance quand ils entendirent la douce Penny leur demander:
"J'ai besoin de vos deux bites en même temps, l'une dans ma chatte et l'autre dans mon cul."
Le premier mec s’allongeât sur le dos au milieu du salon, agrippant la base de son sexe pour le tenir droit. Penny l'enjamba, puis se baissa pour le chevaucher en s’enfonçant sur sa queue. "Ça me fait tellement de bien, Maîtresse" dit Penny à voix haute mais aucun des deux ne réalisa qu'elle parlait au téléphone.
Profitant des sensations, Penny coulissait de haut en bas sur la bite dressée. Puis elle sentit une main sur son cou la saisir fermement et quelque chose de gros pousser contre son cul.
Penny était vierge de ce côté-là et tenta d'arrêter la pénétration quand le gland a traversé son rectum, provoquant un éclair blanc dans son cerveau.
Gémissante et geignante, Penny entendit Julie demander: "Est-ce qu'il est dans ton cul maintenant, salope? Qu'est-ce que ça te fais, deux bites en toi, morue?" Penny ne pouvait que gémir quand le deuxième gars pénétrait de plus en plus profondément.
Bientôt, elle sentit son pubis contre ses fesses et comprit qu'il était profondément enterré dans son cul. Elle l'entendit parler à son pote: "T'es au fond de sa chatte? Je suis planté jusqu'à la garde au fond de son cul."
"Ouais" le gars sous Penny a grogné, "Je suis au fond de sa chatte alors on peut baiser cette chienne."
Alors les deux hommes ont commencé à baiser Penny avec des poussées conjuguées. Le premier entrait pendant que l'autre sortait. Ensuite, ils l'ont baisée ensemble. Malgré le manque de lubrifiant dans son cul, Penny a adoré les sensations et la brûlure a augmenté son plaisir. Le mec sous elle a éjaculé en premier, inondant sa chatte de sperme, l'autre dans son cul n'a pas résisté longtemps et a déchargé son sperme dans ses entrailles.
Penny s'extirpa de l'enchevêtrement des corps et partit à la recherche de ses vêtements.
"C'était bien, ma petite pute? T'es-tu régalée, salope?" Murmura Julie à son oreille,
"Ooh, oui Maîtresse" répliqua Penny tandis que le sperme dégoulinait de son cul et sa chatte le long de ses cuisses.
"Bien, je suis fière de toi, alors je vais te récompenser" Julie a dit: "Ce soir, tu auras des relations anales avec ton chéri, désormais tu n'auras plus que du sexe anal avec Tom, tous les soirs, jusqu'à ce que je t'appelle à nouveau", et elle a coupé la communication.
Penny n'était pas sûre de savoir comment Tom accepterait sa demande de sexe anal. C'était toujours un sujet tabou entre eux, mais en montant les escaliers, les picotements agréables de son cul la rendait déterminée à avoir sa queue là-dedans ce soir.

Penny attendait auprès du téléphone. Son cul cuisait de la baise anale dont elle avait joui au cours des derniers jours. Au début, Tom hésitait, mais devant l'insistance de Penny, Tom lui a pris le cul avec passion et ils avaient joui comme des forcenés. Elle était reconnaissante que Tom soit absent ce soir-là pour se reposer.
Penny attrapa et répondit presque en un seul mouvement quand le téléphone sonna.
"Salut, salope" Julie susurrait.
"Bonsoir Maîtresse" Penny balbutia.
"Comment va ton cul, morue?" Demanda Julie.
"Un petit peu endolori, et ma chatte se sent négligée," expliqua Penny.
"Nous allons bientôt arranger cela" et elle raccrocha en riant.
Penny pouvait sentir l'humidité envahir sa chatte. Cela avait été provoqué par le bref contact qu'elle venait d'avoir avec Julie. Perdue dans sa rêverie sentimentale, Penny commençait à caresser sa chatte quand la sonnette retentit.
Quand Penny ouvrit, il n'y avait qu'un colis sur le pas de la porte. Penny a ouvert le colis, à l'intérieur se trouvait des vêtements et une note disant "ne porte que ce qui est dedans ce colis et sois prête à 21H".
Penny se regardait dans le miroir en attendant 21H. La jupette couvrait à peine son cul et le haut moulant était presque transparent. On voyait ses tétons dardés en transparence. Le plus gênant pour Penny était imprimé sur le devant de son haut: "cette salope blanche a besoin de grosses bites noires".
La sonnette retentit et, ouvrant la porte, elle sentit un courant d'air froid caresser sa chatte, agitant les poils follets de son pubis. Levant les yeux, Penny recula d'un pas en dévisageant un colosse noir souriant.
"Moi c'est Thomas. Je suis là pour te transporter là où tu dois aller."
Penny suivit Thomas jusqu'à la voiture en priant silencieusement qu'aucun des voisins ne la voit accoutrée dans un tel équipage. Penny ouvrait la porte arrière de la limousine sombre quand elle a entendu la voix de Thomas gronder:
"Sur le siège avant, la salope."
Penny s'assit sur le siège avant et sentit le contact froid du cuir contre ses fesses nues. Thomas entra en dégrafant son pantalon et sortit sa queue noire. "Suce moi-ça, petite pute" gronda-t-il et il démarra le moteur.
Penny caressa doucement l’énorme bite et reçu un choc en la voyant s'agiter à son contact. Bien qu'elle fût à demi-molle, elle était encore plus grosse que n'importe quelle queue qu'elle avait vu complètement érigée.
Empoignant sa tignasse d'une main, Thomas appuya sur sa tête jusqu'à ce que sa bouche entre en contact avec sa bite. Penny n'avait pas d'autre choix que d'ouvrir la bouche et elle a commencé à lui sucer le gland. Comme il durcissait et gonflait rapidement, Penny a ouvert en grand sa bouche pour gober le pénis et le sentit se développer encore plus fort. Bientôt, il utilisait la bouche de la fille pour se faire une branlette, les doigts crochés dans ses cheveux, conduisant d'une main.
Penny étouffait sur son bâillon qui cherchait à pénétrer sa gorge. Elle essayait de le repousser mais Thomas était plus fort qu'elle. Thomas arrêta la voiture et utilisa ses deux mains pour franchir le barrage de sa gorge, poussant sa tête vers le bas, étouffant Penny. En dépit de son , Thomas a continué à lui baiser la bouche jusqu'à ce que finalement, sans un cri, il a tiré un jet épais de sperme dans sa gorge. Il y en avait une telle quantité que Penny ne pouvait pas tout contenir et que le trop plein coulait sur son menton.
Se redressant, Penny se rendit compte que la voiture s'était arrêtée devant un bar de la basse-ville et que la foule de racailles qui traînaient devant l'établissement avait été témoin de toute la scène. Penny rougit fortement et essuya les gouttes de sperme de son menton, tandis que les noirs dehors riaient et se moquaient.
Thomas a fait le tour de la voiture, l'a chopée par un bras et l'a traînée dans le bar enfumé pour la planter au milieu de la pièce. Debout au milieu d'un cercle de mecs à la mine patibulaire, Penny se sentait très seule et, regardant autour d'elle, se rendit compte qu'elle était la seule femme et la seule blanche dans ce bar.
Thomas se dirigea vers le bar, commanda une bière, se retourna et cria:
"Cette salope blanche veut de la bite noire, elle est toute à vous. Faites-en ce que bon vous semble!"
Penny déglutit en regardant, ne voyant autour d'elle que des hommes debout masturbant leurs bites. Certaines d'entre elles étaient d'une taille normale, mais beaucoup étaient comme de longs serpents noirs. Penny s'attarda sur un homme dont le sexe semblait irréel, si grand, long et épais comme son propre bras. Penny pensait que ça ne rentrerait jamais quand elle fut ramenée à la réalité par des mains baladeuses qui lui ôtaient ses vêtements.
Quelques secondes plus tard, Penny était nue au milieu du groupe, elle fut soulevée et portée vers un noir assis sur une chaise. Elle se sentait comme une poupée dans leurs mains et comme elle était présentée à califourchon devant l'homme assis, elle baissa les yeux pour le voir tenir sa queue dressée. Elle sentait qu'on la descendait sur lui et quand son gland l'a pénétrée, elle a eu le souffle coupé. De plus en plus profond, elle a glissé sur le membre érigé sans effort. Elle finit sa course embrochée sur un mât énorme et elle ne put parler, car elle se sentait plus pleine qu'elle ne l'avait jamais été.
"La queue noire te plaît, blanchette?" Marmonna l'homme et Penny ne put que hocher la tête en réponse.
"Eh bien, chevauche-moi, salope, comme l'ordonne ta Maîtresse", et l'homme a claqué le cul de Penny.
Penny a commencé à monter et descendre lentement. Rapidement, elle s'est adaptée à la taille du chibre en elle.
Penny fut empoignée par les cheveux, sa tête tournée d'un côté et une bite lui fut introduite dans la bouche. Sans ralentir son mouvement, Penny avala goulûment la queue et continua de sauter et sucer en même temps.
"Bonne petite chienne blanche. Suceuse, salope et pute en même temps" l'homme rit en se plantant au fond la bouche de Penny, quand l'homme sous elle se souleva pour répondre aux coups de Penny.
Penny sentait le premier orgasme arriver quand des doigts sondèrent son cul. Gémissante, les doigts sont entrés et commencé à élargir son anus. Les doigts dans son cul et la bite dans sa chatte ont fait éclater son orgasme et comme elle jouissait, l'homme s'est retiré de sa bouche en lui éjaculant son sperme sur le visage et les cheveux.
Ensuite, les doigts abandonnèrent son cul et une bite énorme prit leur place. Sa bouche libérée lui a permis de s'exprimer. "Fourre-moi cette grosse bite noire dans mon cul," elle a crié, "Baise moi fort"
L'homme n'avait pas besoin d'un carton d'invitation et introduisit sa bite dans le cul de Penny. Penny n'était pas préparée pour la taille et l'autre homme encore dans sa chatte lui a serré le cul. Elle ouvrit la bouche pour crier, mais elle fut bâillonnée par une autre bite plantée dans sa bouche éclaboussée de sperme.
Les hommes noirs se succédaient pour décharger leur sperme dans chacun de ses trous. Penny se tenait au centre de la pièce, ruisselante de sperme sur tout le corps avec une expression sauvage sur son visage.
Telle une femelle en rut, le cerveau de Penny était enflammé par la convoitise et elle tournoyait pour faire face à l'homme avec la queue monstrueuse que Penny désirait, "Je veux ça en moi" allongée sur le sol, ouvrant ses jambes largement et le montrant à nouveau. "Baise-moi avec ce monstre noir MAINTENANT"
L'homme s'agenouilla entre les jambes de Penny et commença à introduire son sexe en elle. Penny ne pouvait que miauler comme un animal alors que des éclairs blancs brillaient dans sa tête et que l'homme progressait profondément en elle. Il s'arrêta et Penny pensa qu'il devait être au bout.
En la regardant, il sourit et, d'une voix grave, dit: "Tu aimes mon chibre?"
Penny grogna et dit: "J'aime ta bite noire dans ma chatte blanche." Sa main atteignit sa chatte et elle fut choquée de constater qu'il n'était qu'à moitié en elle. Elle était tellement excitée qu'elle enroula ses jambes autour de sa taille et le tira en elle. Un hurlement et un goût de sang explosèrent dans la bouche de Penny alors qu'il la pénétrait encore un peu.
L'orgasme qui la traversa fit perdre conscience à Penny et elle resta dans un état semi-conscient pendant qu'on la niquait pendant des heures.

Penny était assise à l'arrière du taxi, ignorant les regards lubriques du chauffeur dans le rétroviseur. Ses cheveux étaient collés de sperme et elle sentait des jus s'échapper de sa chatte et de son cul. Quand elle a quitté le bar, elle n'a pas retrouvé ses vêtements et on lui a donné un t-shirt assez grand pour se faire une mini-robe. Elle souffrait de tous ses orifices et était engourdie de la tête aux pieds après la baise qu'elle avait reçue.
Glissant dans un demi-sommeil, elle essaya de compter combien de bites elle avait prises dans la chatte, dans la bouche et dans le cul. En oubliant volontairement celles qu'elle avait juste branlées, mais ne parvint pas à en faire le compte. Dans l'espoir d'un bain chaud et d'un bon sommeil, Penny s'est précipité chez elle.
"Salut, ma petite salope" La voix douce de Julie surgit de l'obscurité et Penny s'immobilisa.
Soudain, la pièce fut inondée de lumière et, assise sur une chaise, Julie la regardait, souriante.
"Ma salope est de retour", Julie taquinait "baisée par un troupeau de queues noires et tu les as toutes aimées. Maintenant tu es une salope de concours. "
Penny tomba à genoux et supplia: "Oui Maîtresse, je suis ta salope, prête à faire ce que tu commanderas."
"Prête à tout, salope? Es-tu sûre?" Ronronna Julie.
Penny regardait Julie et l'a vu se lever, ôter son long manteau de cuir noir sans rien dessous, juste une paire de bottes en cuir qui montaient à mi-cuisse. Sa chatte délicatement rasée, ses seins fermes et hauts perchés, tout son corps était finement musclé. Julie se rassit, les jambes écartées et Penny la trouvait magnifique avec ses tétons dressés et sa chatte gonflée et juteuse. "Lèche-moi la chatte, ma salope" ordonna Julie et Penny rampa à travers la pièce pour s'agenouiller entre les jambes de sa Maîtresse.
Penny s'enivrait de l'odeur capiteuse de la chatte de Julie en léchant les perles luisantes de son jus sur ses lèvres. Penny pencha la tête et inséra délicatement sa langue dans la fente pour recueillir les sucs et les avaler. Sa langue fouillait dans la chatte de Julie qui clapotait alors qu'elle devenait de plus en plus humide. La langue de Penny trouva le clitoris érigé de Julie qu'elle caressa de sa langue et de sa bouche, le faisant gonfler encore plus. Penny flottait dans un brouillard de luxure lorsque Julie empoigna ses cheveux pour l'écarter et la fixer les yeux dans les yeux.
"Prête à tout, salope? Es-tu sûre?" Susurra Julie, la défiant du regard.
"Oui Maîtresse" Penny acquiesça, "Je suis votre salope prête à obéir à tous vos ordres"
Julie laissa échapper un sifflement bas et, du couloir, apparut Tom.
"Penny?" Tom était revenu et se tenait maintenant à la porte, la surprenant dans la position la plus crasseuse possible. Penny, rouge de honte, ferma les yeux en attendant la tirade des reproches à suivre.
Comme rien ne venait, Penny ouvrit les yeux et découvrit avec surprise Tom se déshabiller et tendre une liasse de billets à Julie.
"Merci Julie" Tom riait en remettant une épaisse liasse d'argent à Julie.
"Je te remercie d'avoir transformé ma douce Julie en salope chevronnée.
Quand tu m'as assuré que c'était possible avec n'importe quelle femme, je ne te croyais pas. Mais j'aime le résultat"
Ensuite, Tom saisit Penny par les cheveux et planta sa bite dans la bouche de Penny.
"Suce-moi ça, salope, ma pute chérie» murmura Tom alors qu'il baisait la bouche de Penny.
"Et quand tu m'auras bien sucé, je vais te prendre par le cul, puis j'organiserai des tournantes avec mes potes et ils te baiseront dans tous tes orifices."
Penny ne pouvait pas répondre la bouche pleine, mais elle trouva la tirade de son mari très érotique et avait hâte de devenir sa salope. Tom grognait en libérant sa semence dans la bouche de Penny et Julie sourit alors qu'elle atteignait la porte en sachant que Penny allait profiter de sa nouvelle vie de salope.

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