Amanda

Amanda était à la fois excitée et anxieuse. Au téléphone, John lui avait promis un régal, ou plutôt, "quelque chose qu'elle n'oublierait pas de sitôt", et elle avait passé beaucoup de temps à se préparer. Elle se doutait que, parmi tout ce qu'il avait prévu, à un moment ou à un autre, il était probable que John voudrait la baiser et elle voulait être désirable pour lui. Elle choisit une tenue qui dévoilait plus qu'elle ne cachait ses formes alléchantes.
Un coup à la porte annonça l'arrivée de John. Elle lissa sa robe et se regarda une fois de plus dans le miroir.
Satisfaite, elle éteignit la lumière et dévala joyeusement les escaliers pour ouvrir la porte.
Il la salua chaleureusement, une vague d'excitation apparaissant dans ses yeux et il la conduisit dans le salon.
"Prête?" Il a demandé.
Elle répondit d'un hochement de tête, le regardant avec méfiance.
"Voyons voir," ordonna-t-il, indiquant sa robe.
Elle s'éloigna de lui et resta immobile pendant qu'il l'inspectait. Il fit un mouvement circulaire avec son doigt et elle tourna sur elle-même, ouvrant sa robe en corolle.
"Penche-toi en avant."
Elle obéit sans poser de questions et resta immobile pendant qu'il admirait ses fesses.
"Quel cul magnifique!" murmura-t-il en se collant contre elle.
Elle sourit et lui permit de l'embrasser. Ses mains se mirent à errer sur son corps alors elle utilisa son truc préféré, celui qui lui chauffait les sens, glisser sa main dans la poche de son pantalon et le caresser légèrement du bout des doigts.
Soudain, il s'éloigna d'elle. "Assez," s'exclama-t-il à bout de souffle. "Je ne veux pas que nous soyons en retard à notre rendez-vous."
Elle le suivit dans la voiture et de s'assit silencieusement à côté de lui pendant qu'il conduisait.
"Un indice?" demanda-t-elle, sa curiosité prenant le dessus.
"Non," répondit-il.
Il entra dans le parking bondé d'un pub mal famé et elle allait protester que quelqu'un pourrait les voir ensemble quand il l'interrompit en lui ordonnant de monter à l'arrière de la voiture.

Encore plus perplexe, elle lui obéit tandis que John disparaissait dans le pub. Il réapparu presque immédiatement avec un autre homme à ses côtés. Le cœur d'Amanda a commencé à s'accélérer et quand ils sont finalement arrivés à la voiture, l'anxiété la rongeait.
Ouvrant la porte, John présenta l'autre type.
"Amanda, voici un de mes vieux potes, Simon, je t'ai déjà parlé de lui, on se connaît depuis une éternité"
Amanda commençait à sortir de la voiture mais se baissant, Simon bloqua sa sortie en l'embrassant sur la joue.
"Salut, Amanda, John m'a beaucoup parlé de toi."
En rougissant, Amanda regarda John d'un air interrogateur mais il sourit sans répondre et lui indiqua qu'elle devait se déplacer. Elle glissa sur la banquette arrière alors que Simon prenait place à côté d'elle. John prit le volant et sortit du parking. "Où allons-nous?" questionna Amanda anxieuse et excitée par ce qui se tramait.
"Faire un tour" répondit John. Lui et Simon ont éclaté de rire.
Une fois hors de la ville, John a cherché les yeux d'Amanda dans le rétroviseur.
"Eh bien, ma chérie, tu ne souhaites pas la bienvenue à Simon? Montre-lui que tu es contente de le voir" Il a demandé.
Jouant le jeu, Amanda attrapa légèrement Simon par le menton, et déposa un bisou sur ses lèvres.
"Je suis sûr que tu peux faire mieux que ça," la réprimanda John, un ton autoritaire apparaissant dans sa voix.
Amanda se tourna vers Simon et commença à l'embrasser lentement et tendrement sur ses lèvres.
"Alors c'est ça", pensa-t-elle. "Je vais faire la pute entre deux hommes dont l'un est un parfait inconnu."
Cette pensée l'excitait, elle ignorait tout du jeu que John voulait qu'elle joue avec ce parfait inconnu pour elle.
Simon l'embrassait passionnément et quand il déboutonna sa robe, elle ne fit aucun geste pour l'en empêcher.
Ils s'écartèrent pour lui permettre de la dénuder du haut et il fit l'éloge de ses seins tout en dégrafant son soutien-gorge.
"Merveilleuse, merveilleuse", murmura-t-il. "Elle est aussi fabuleuse que tu l'as dit, John."
Amanda sourit. Elle ne laisserait pas tomber John. Elle lui permettrait de l'utiliser comme il le souhaitait et ne lui refuserait rien.
Traversant un village bien éclairé, Amanda a voulu se couvrir. Simon l'en empêcha, lui tenant les mains en passant devant un groupe de jeunes regroupés autour d'un abribus. Des bouches s'ouvrirent, des yeux s'écarquillèrent lorsque les jeunes virent son torse nu, et ils furent poursuivis hors du village par des cris d'animaux et des sifflets.
"Si il y a des filles dans ce groupe, elles devront supporter beaucoup d'attouchements avant de rentrer à la maison ce soir, maintenant que tu les as allumé", rigola John à l'avant.
"Hum" acquiesça Amanda, la bouche occupée par la langue de Simon.
Cela lui rappelait l'une de ses premières expériences sexuelles. Elle était la seule fille dans l'équipe de volleyball du lycée. Ils devaient jouer un tournoi dans une ville éloignée. Ils avaient voyagé en minibus, ils avaient été éliminés au premier tour et avaient passé beaucoup de temps à flâner parce que leur entraîneur était l'un des arbitres du tournoi. Mais la pluie les avait contraint à se réfugier dans le minibus en attendant son retour. Ils étaient tous athlétiques et Amanda étaient taquinée par les garçons qui admiraient ses fesses et ses jambes dévoilées par le minuscule short blanc de compétition. Le short la moulait comme une seconde peau et dévoilait très clairement qu'elle ne portait rien en dessous. Son petit ami faisait partie de l'équipe et au début, il avait été flatté par l'attention qu'elle recevait et l'avait embrassé devant les autres. Quand l'un des gars lui avait suggéré de "passer aux choses sérieuses", Robert s'était mis en colère et était retourné regarder le reste du tournoi.
Amanda l'avait suivi mais il lui faisait la tête alors elle était revenue au minibus.
Son retour fut salué par des acclamations et des encouragements.
"Allez Amanda," l'avait-on taquinée. "Tu n'es pas son petit toutou, n'est-ce pas? Juste un petit bisou!"
Désireuse de prouver son indépendance, Amanda leur avait donné un petit bisou sur la bouche, du bout des lèvres, en leur faisant promettre de ne rien dire à Robert.
Ils ne s'étaient pas contentés de ça et lui faisait du chantage: "Si tu ne veux plus nous embrasser, nous dirons à Robert que tu nous as tous embrassés" À moitié par force, à moitié par jeu, Amanda a commencé une autre série de baisers.
Cette fois-ci cependant, c'était de vrais baisers, avec la langue, fouillant sa bouche avec frénésie et elle se retrouvait énormément excitée par l'expérience. Le plus audacieux des garçons commença à la caresser pendant qu'il l'embrassait et après avoir protesté au début, elle se détendit rapidement alors que ses mains fouillaient son tee-shirt, palpant ses seins. Il ne fallut pas longtemps pour qu'on la couche sur la banquette à l'arrière du minibus et que son short soit baissé. "Non!" elle protesta, par crainte d'être vue.
Les garçons lui assurèrent que personne ne pouvait la voir et que ceux qui n'étaient pas impliqués surveillaient le retour de Robert ou de l'entraîneur. Elle s'allongea, le tee-shirt et le soutien-gorge relevés au-dessus de ses seins et son short roulé autour d'une cheville. Elle reposait une jambe sur le dossier et une autre sur le sol et elle était tellement mouillée qu'elle sentit à peine le premier garçon enfoncer un doigt dans sa chatte. Ce qu'elle ressentait cependant, c'était la vague de délices qui annonçait l'apparition d'un orgasme, provoqué autant par l'excitation que par la sensation. Le premier garçon, impatient et brutal, martelait son doigt en elle. Elle ne put s'empêcher de soulever ses hanches pour répondre à ses mouvements et bientôt elle haletait de plaisir. Mais un autre garçon prit la relève, désireux de savoir si elle pouvait prendre deux doigts. La pression était forte dans sa chatte serrée et son expression douloureuse alors qu'il forçait ses doigts à l'intérieur d'elle le fit s'arrêter.
"T'es OK?" murmura-t-il, inquiet de sa réaction
"Hum" acquiesça-t-elle, les yeux fermés alors qu'elle savourait les sensations entre ses jambes. Il reprit son doigté et les seuls sons que l'on pouvait entendre dans le minibus c'étaient les gémissements d'Amanda et le clapotis de sa chatte.
Un par un, chacun des garçons lui a mis un doigt jusqu'à ce qu'elle ressente des douleurs et qu'elle les supplie d'arrêter. Ils l'ont laissée se rhabiller et elle est sortie de la camionnette pour faire quelques pas.
"Mais qu'ai-je fait?" se demandait-elle en partant à la recherche de Robert.
"Ils pensent tous que je suis une pute maintenant et chaque fois que j'essayerai de leur résister, ils me le rappelleront." Sa tristesse ne dura pas longtemps et quand elle revint au minibus avec Robert, elle avait retrouvé son habituelle gaieté et le retour se déroula sans incident. Raccompagnée chez elle par l'entraîneur, elle était la dernière à être déposée.
Il se gara dans un parking désert près de sa maison et se tourna vers elle.
"Je suis revenu au minibus un plus tôt ce soir et j'ai été témoin de la chose la plus incroyable que j'ai jamais vue," commença-t-il. Amanda rougit immédiatement en baissant la tête.
"Non, ne pleure pas, jeune fille, je ne vais rien dire à tes parents, tous les garçons étaient tellement occupés à te regarder qu'ils ne m'ont pas vu, donc personne n'a besoin de savoir ce que j'ai vu."
Amanda leva son visage rempli de soulagement. "Oh merci, monsieur, je vous promets que cela n'arrivera plus jamais." L'homme riait. "Eh bien, ce serait une déception pour l'humanité, je pense que c'était le spectacle le plus excitant que j'ai vu depuis longtemps, et ... hum ... il y a un prix pour mon silence."
Il l'attira contre lui et l'embrassa légèrement sur la joue.
"Les vilaines filles doivent être punies, n'est-ce pas Amanda, et tu as été très vilaine, n'est-ce pas, coquine?"
Il détacha sa ceinture de sécurité et coucha Amanda sur ses genoux. Avec un peu de difficulté, il se pencha et commença à faire glisser son short le long de ses jambes. Bientôt, ses fesses étaient complètement nues et il la caressa doucement, ses doigts jouant avec l'entrée de sa chatte.
"Endolorie?" murmura-t-il. "Hum," gémit-elle, intriguée par ce qui allait suivre. Elle n'a pas eu à attendre longtemps.
Il a ôté sa main d'entre ses cuisses pour lui claquer les fesses avec force. Six claques bien appuyées avant de lui demander: "OK?" Elle acquiesça d'un signe de tête. "Tu sais que c'est ce que tu mérites, n'est-ce pas? Tu peux te conduire comme une pute tant que tu veux, mais après tu dois être prête à recevoir ta punition."
Elle a été sortie de sa rêverie par la caresse des mains de Simon sur ses jambes. Sa robe était maintenant complètement ouverte et se soulevant du siège, elle l'a ôtée avant de se rasseoir. La main de Simon se posa brièvement sur son genou et elle ouvrit ses jambes pour qu'il puisse caresser la chair douce, au-dessus des bas retenus par les jarretelles, à l'intérieur de ses cuisses. Elle était tellement lubrifiée que, quand il introduisit deux doigts en elle, il y eut un doux bruit de pataugeage qui fit que John se retourna immédiatement.
"Donne-lui bien à cette pute, Simon, prends-la bien fond!"
Simon était certainement en train de "bien donner à Amanda", car elle ressentit un vrai spasme pendant qu'il enfonçait ses doigts en elle. Elle ne put s'empêcher de crier quand il introduisit un troisième doigt mais elle était déterminée à ne pas flancher devant John et à ne pas se plaindre. Incapable de résister plus longtemps, John quitta la route pour se garer derrière une haie. Ils étaient complètement cachés dans l'obscurité et il ne perdit pas de temps pour sortir et ouvrir la porte arrière. Il découvrit Amanda, nue, les yeux clos, tandis que Simon lui enfonçait ses doigts dans la chatte. Elle ouvrit les yeux quand John lui caressa les seins.
"C'est pour ça que tu m'as amenée?" elle a demandé. "Pour que je sois votre pute à tous les deux?"
"Oui, chérie," répondit John. "Tu te souviens de mon fantasme?" Amanda acquiesça.
John lui avait souvent fait part de son souhait de la voir se faire fourrer par un autre homme et de recevoir une fessée pendant qu'elle suçait la queue de John. Ce devait être ce soir alors. Simon retira ses doigts et Amanda souffla.
"Sors de là, chérie" ordonna John. Amanda obéit sans discuter.
Elle sortit de la voiture tandis que les deux hommes l'encadraient. Ils la caressèrent, et elle passa un bras autour des épaules de chaque homme alors qu'ils utilisaient librement son corps. Simon a repris son doigté profond pendant que John suçait chaque mamelon tour à tour. Sa succion se poursuivi en morsure et elle geignait fort à chaque pincement.
Il passa derrière elle et s'accroupit. Elle pouvait sentir son souffle sur ses fesses et se pencha légèrement en avant, devinant ce qui allait arriver. Il la mordit violemment au centre d'une fesse et taquina la chair avec ses dents, la tétant et la relâchant avant de répéter le processus. La douleur était intense mais délicieuse. Il commença à écarter ses fesses avec ses doigts et elle essaya de se détendre pour l'aider. Elle savait qu'il regardait son trou du cul, la partie la plus intime de son corps et elle le laissait faire, se délectant de son emprise sur lui.
Il a commencé à lécher son anus avec sa langue. L'air frais de la nuit sur sa salive augmentèrent ses sensations.
Il lécha tout autour de sa rondelle et tenta ensuite de pénétrer avec sa langue, mais l'orifice étroit le vainquit.
Elle sentit ses doigts écarter l'entrée et elle gémit doucement alors qu'il réussissait à forcer deux doigts en elle.
Elle résista, empalée par les deux hommes qui sondaient ses orifices avec leurs doigts.
"Tu vois comme elle est géniale, cette pute?" s'est exclamé John.
"Je n'ai jamais baisé une salope comme elle" acquiesça Simon.
Leur ravissement et leur exaltation inspirèrent Amanda et elle décida qu'elle leur accorderait tout ce qu'ils voudraient. La première instruction n'a pas tardé à venir.
"On change de côté," chuchota John à Simon. Les hommes la contournèrent et Amanda s'est redressée.
"Non," commanda John. "Sur les mains et sur les genoux"
Amanda se mit à quatre pattes sur l'herbe épaisse. Elle savait que le fantasme de John était de la voir se faire baiser en levrette par un homme et elle supposa que c'était ce qui allait se produire. Elle cambra ses reins pour lui offrir ses fesses. Elle l'entendit défaire son pantalon et sentit ses mains sur ses hanches. Il a exploré sa fente brièvement avec son gland avant d'aligner sa queue en face de sa chatte. Elle se figea quand il la pénétra, d'une seule poussée, jusqu'au fond de sa vulve. Il a commencé à la baiser en rythme, elle s'est arc boutée pour résister à ses violents coups de rein. Il s'est cramponné à ses seins ballants et elle a gémit de plaisir.
"OK?" John lui murmura à l'oreille, agenouillé à côté d'elle. Amanda hocha la tête, les yeux fermés alors qu'elle savourait le plaisir de cette queue étrangère qui lui labourait la chatte.
"Qu'est-ce qu'il te fait?"
"Il me baise comme une pute, et je lui donne gratuitement l'usage de mon corps pour que tu regardes."
"Qu'est-ce que tu es, ma chérie?"
"Une pute, une salope, une morue" gémit Amanda alors que Simon accélérait le rythme de ses coups.
Elle ouvrit les yeux pour regarder John. "Ça te plaît?"
Il acquiesça d'un hochement tête, ouvrant son pantalon. Prenant son chignon dans sa main, il lui plongea sa bite dans la bouche. Elle suçait avidement, respirant lourdement par le nez. Elle savait qu'elle ne pouvait pas faire plus pour lui plaire. Elle était baisée par un inconnu tout en suçant son chéri. C'était le plus grand fantasme de John. L'orgasme approchant, elle a dû libérer la queue de John pour reprendre son souffle. Elle haletait et John se contenta de se masturber contre son visage. Son excitation montait et il était clair qu'il n'était pas loin de venir. Il murmura un signal à Simon qui se retira de sa chatte. Elle grogna sa déception, mais Simon vint de présenter à son anus. La tenant ouverte avec ses pouces, il a sa queue dans son cul et a repris son mouvement. Amanda geignait. Son derrière était si étroit, elle avait l'impression que Simon l'ouvrait en deux.
"Comment c'est?" John voulait savoir. Les dents serrées, les yeux fermés, Amanda ne pouvait pas répondre mais ses traits douloureux étaient sa meilleure réponse.
"Raconte-moi ce qu'il te fait, maintenant?"
"Il me baise comme un garçon, ce sale pédé," réussit-elle à articuler, la voix rauque.
"Gardes les yeux ouverts, sale pute" dit John alors qu'il se masturbait de plus en plus vite.
Au moment où elle sentit le foutre de Simon lui inonder le cul, John lui balança la purée dans le visage et sur les cheveux. Elle ouvrit la bouche pour récupérer quelques gouttes de la semence de son homme, avant de se crier, traversée par l'orgasme qui ravageait son corps. Simon se retira, la laissant s'écrouler et rouler sur le côté.
"Tu l'as fait, tu es ma pute, tu l'as fait." triomphait John
"As-tu douté de moi. As-tu pensé que je n'y arriverais pas?" elle a chuchoté. «Je suis à toi, je suis ta pute, j'accepterais tout pour te plaire, tu le sais maintenant?"