La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1201)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1200) -

Vie au Château :
Ignabelle avait encore du mal à accepter d'être traitée ainsi mais elle fit tout de même ce que le Maître lui avait ordonné, craignant sa puissance, son autorité, son pouvoir... Et puis, elle découvrait les joies de la soumission, des plaisirs jusque-là inconnus pour elle et qui l’excitaient grandement. Oui la première rencontre avec le Seigneur d'Evans, l’avait marqué par des excitations nouvelles pour son corps, corps qui en redemandait ! Elle avança donc à 4 pattes et sortit le membre tendu du Seigneur d'Evans … Ignabelle hésitait.

- Qu'attends-tu ? Applique-toi, je veux que tu me fasses jouir et sache que c'est un grand honneur que je te fais.

Elle voulu le prendre en mains.

- Mains dans le dos, je ne veux que ta langue et ta bouche de cochonne.

Ignabelle le prit entièrement dans sa bouche n'étant pas habituée à ce type de pratique, elle suça, lécha, pompa tant qu'elle put au point d'en avoir mal à la mâchoire. Le Seigneur Charles d'Evans maintenait sa tête l'empêchant d'arrêter en imposant son rythme. Toujours les mains dans le dos, elle ne pouvait absolument pas prendre contrôle sur la cadence des allers et venues de la Verge inquisitrice dans sa cavité buccale et frôlait souvent de manquer d’air. Par réflexe, Ignabelle essaya une fois ou deux d’approcher une main pour repousser cette bite envahissante de sa bouche, mais le Seigneur Charles d'Evans n’hésita pas à lui donner une petite frappe sur ses doigts tout en lui empoignant plus fortement ses cheveux, plaquant ainsi la tête de la belle contre son bas-ventre. Ainsi la soumise, et de moins en moins rebelle, comprenait qu’elle se devait d’obéir sans aucune résistance en se laissant faire comme le Maître l’exigeait. Le Seigneur d'Evans mesurait avec justesse les moments où il devait laisser à Ignabelle juste quelques secondes pour reprendre son souffle… Ainsi il imposait, selon Son bon vouloir, sa pénétration qui ressemblait plus à une saillie buccale, à une nouvelle prise de possession d’un des orifices de la belle.

C’est comme cela qu’il accentuait ses petits coups de reins allant jusqu’au fond de la gorge de la soumise en lui baisant littéralement la bouche comme un simple trou à bites pour se soulager en épanchant Sa noble semence…

Quand, enfin Ignabelle parvint à le faire éjaculer, le Seigneur d’Evans lâcha ses flots de sperme chaud dans l’humidité chaude et saliveuse… Mais elle commit une énorme erreur, elle laissa couler le noble sperme du Maître sur elle et par terre. Ignabelle vit de suite le regard froid et réprobateur du Seigneur d'Evans qui lançait des éclairs. Elle baissa immédiatement les yeux.

- Tu oses gaspiller et refuser le don que je te fais, salope ?
- Je...je n'ai pas pu Maître
- Tu seras punie et humiliée pour cela... Es-tu attirée par les autres femelles, la chienne?
- Non Maître, je ne peux supporter l'idée de me faire toucher par une autre femme
- Tu feras ce que j’exigerai, de toute façon … Commence par nettoyer tes crasses, lèche comme une salle chienne que tu es et à quatre pattes le sol …

Le Seigneur Charles d'Evans ensuite appela :

- Messire Léon !

Celui-ci entra pour recevoir les ordres du Seigneur

- Va me chercher Kate, elle nettoie mes appartements, j'ai une surprise pour elle …

Le Seigneur d'Evans avait découvert quelques jours plus tôt, et alors qu'il l'avait invité à souper avec Lui, que Kate était aussi très sensible aux charmes féminins. Par respect pour son ami, Antonin, il ne se servait pas souvent d'elle pour ses besoins sexuelles mais il exigeait tout de même, comme à toutes Ses soumises, de lui obéir selon Ses envies qui restaient une priorité, celle d’être satisfait… Kate arriva donc suivant Messire Léon tenue en laisse à quatre pattes, très docile et obéissante. Elle avança et se prosterna devant le Maître, qu'elle respectait profondément et sincèrement

- Ma belle Kate, vois-tu cette femelle a osé recracher ma noble semence que je lui offrais.

Kate leva vers Lui des yeux scandalisés se demandant comment est-ce possible de refuser un honneur pareil.

- Aussi je t'offre de lécher cette femelle indigne de mon intérêt qui a laissé couler sur elle ma noble semence.

Puis en regardant Ignabelle d'un air dédaigneux comme s’il s'agissait d'une crasse qui encombrait son plancher

- Toi, la chienne, couche-toi sur le dos, qu'elle puisse te lécher et ne t'avise pas de te rebeller, sinon c'est le tout de suite, le cachot et les rats pendant une semaine

Craignant cela plus que tout, Ignabelle obéit sans rien dire, essayant de penser à autre chose mais c'était sans compter sur Kate qui avait bien l'intention de lui faire comprendre son erreur. Kate leva les yeux vers le Maître demandant ainsi silencieusement la parole.

- Oui Kate
- Maître, je vous remercie pour cette attention à mon égard, je lècherai jusqu'à la dernière goutte Votre noble nectar
- Tu vois, la salope ça c'est une bonne petite chienne au Maître

Ignabelle se remit en position assise

- Pitié, non, je ne peux l'accepter qu’une femme me touche, je vous en supplie
- Tais-toi donc petite insolente … Préfères-tu aller directement au cachot ? Je sais que ça ne te plait pas et c'est pour ça que je te l'impose car cela fait partie de ta punition

Ignabelle se recoucha résignée, mais instinctivement elle ferma ses cuisses. Le Seigneur d’Evans lui écarta lui-même les jambes en la fixant droit dans les yeux

- Si tu ne restes pas les cuisses largement écartées, je te fais fouetter à sang avant de t’emmener moi-même au cachot …

Ignabelle comprit de suite qu’il était inutile de résister et laissa ses cuisses écartées, exhibant ainsi un sexe offert. Kate présenta alors son visage sur le corps à disposition et sortit sa langue baladeuse, elle lécha tant et plus passant et repassant sur les seins et le ventre pour aller l’embrasser sur la bouche avec sensualité. Ignabelle se laissait faire mais exprimait par une moue écœurée un certain dégout en fermant les yeux et en tournant un peu la tête sur le côté. Kate léchait à tout va, tout ce qu’elle pouvait lécher, les joues, le lobe de l’oreille, la nuque, redescendait sur la poitrine, mordillait les tétons, caressait le ventre de nouveau pour enfin s’approcher jusqu'au sexe que sa langue découvrit très humide, ce qui démontrait que malgré le dégoût d’Ignabelle, celle dernière n’était pas insensible au traitement de la belle Kate. Sa langue s’immisçait entre les lèvres intimes léchant, comme une bonne chienne, de bas en haut et de haut en bas, pour ensuite bien faire pénétrer à l’intérieur sa langue pour venir lécher les parois vaginales avec gourmandise. Le clitoris, apparemment très réceptif, n’était pas oublié et Ignabelle fut contrainte, malgré ses nombreux gémissements de plaisirs à ne pas jouir car le Seigneur d’Evans ne lui avait pas autorisé cette récompense orgasmique en guise de puinition. Quand Kate eut fini, le corps de la fautive était très humide de cyprine, de salive et de sueur et plus la moindre trace de sperme ne se trouvait. Kate s'approcha alors du Seigneur d'Evans.

- Merci Maître de ce délice, avaler votre noble semence est toujours un honneur, comment puis-je vous remercier ?
- Souper avec moi et mes fils ce soir, en amie bien sûr
- J'en serai ravie, Maître
- Parfait, va terminer ton travail après tu es libre jusqu'à ce soir
- Bien Maître, merci Maître
- Toi, chienne Ignabelle, si tu as su éviter le cachot, pour ton impertinence, tu resteras 3 jours totalement nue au pilori dans le grand couloir, lieu de grand passage, tu y seras ainsi bien exhibée aux yeux de tous, et qui voudra bien user et r de ton corps, n’aura qu’à t’utiliser pour se soulager les couilles … et je suis magnanime...

(A suivre …)