Le Mari Parfait
J'ai le meilleur mari du monde. Je veux dire, pour moi, pour mes fantasmes et ma libido. Combien de maris laissent leurs femmes baiser d'autres hommes et ne pas être jaloux à ce sujet? C'est exactement ce qu'André me permet de faire. En fait, il l'encourage!
Comment tout cela a débuté? André et moi avions pris l'habitude de partager nos fantasmes en faisant l'amour.
Parfois, André prétendait qu'il était un autre homme, et chaque fois que je l'appelais par d'autres prénoms en inventant des histoires de tromperies, de coucheries, sa bite devenait dure comme un roc tellement ça l'excitait. Parfois, nous faisions semblant d'être en trio, je suçais l'un des doigts d'André pendant qu'il me baisait, lui racontant que son doigt était la queue d'un autre gars. Où je faisais semblant qu'il était un autre gars qui me baise pendant que je lui suce le doigt en prétendant que c'était la bite d'André.
Le déclencheur, c'est lorsque André m'a sucé le doigt, je lui ai dit qu'il suçait la bite d'un mec, alors qu'un autre type me baisait. La première fois que j'ai eue cette idée, André a joui instantanément, déchargeant tant de sperme dans ma chatte que j'ai inondé les draps quand il s'est retiré, et de ma chatte coulait une rivière de sperme. Étonnamment, André est resté dur, même s'il avait déchargé des litres de foutre dans ma chatte.
Soudain, j'ai eu une idée. "Suce-moi, André" dis-je. "Suce le sperme de mon amant qui coule de ma chatte inondée, allez, fais-le!" Je lui ai crié dessus, l'attrapant par les cheveux, le tirant vers ma chatte humide et dégoulinante.
"Oh mon dieu," gémit André, sa bite se tendant, prêt à me baiser à nouveau.
"Vas-y, André, je sais que tu veux le faire, chéri, avale son sperme, nettoie ma chatte fraîchement baisée, goûte ce sperme d'homme vicieux qui dégouline de mon sexe de salope" je l'excitais, le pressant contre ma chatte dégoulinante.
"Oh, Putain!" André gémit, juste avant de plonger entre mes cuisses gluantes.
Le lendemain, au petit déjeuner, André et moi avons discuté sérieusement de ce que nous avions fait. J'ai demandé à André s'il voulait vraiment que je baise d'autres hommes devant lui. Il me regarda amoureusement et me dit:
"Cathy, c'est mon plus cher fantasme, tu l'as deviné, j'aimerais vraiment ça, si tu le faisais pour moi."
"Pourquoi bébé?" J'ai demandé, sentant ma chatte mouillée d'excitation.
"Je ne sais pas pourquoi, je sais juste que ça m'exciterait, surtout si je rentre à la maison et que je te trouve encore gluante de son foutre, ce serait comme si j'avais une star du porno ou quelque chose comme ça, mais c'est une chose que j'aimerais vraiment que tu fasses pour moi."
"Si tu es vraiment sincère à propos de ça, et que tu crois que notre mariage est assez fort pour y faire face, je le ferai," dis-je, la chatte en feu, j'étais tellement excitée par cette pensée.
"Je le suis, Cathy, fais-le, s'il te plait, baise d'autres hommes, même un groupe de gars, puis reviens-moi sale, couverte de sperme, dégoulinante de la chatte et du cul"
"Oh mon dieu, André, tu m'excites, bébé, si c'est ce que tu veux, je le ferai pour toi André, mais une fois que j'aurai commencé, tu me connais, il n'y aura pas de retour possible, je vais devenir une salope."
"C'est mon souhait le plus cher" dit André, tandis que sa queue s'échappait soudain à travers le trou de son caleçon.
C'en était trop moi, je ne pouvais plus me contenir, je m'agenouillais devant lui et léchais sa bite.
"Hum, j'aime ton sexe, René," murmurais-je en utilisant le prénom d'un type que nous connaissions tous les deux.
"J'ai toujours voulu te sucer, veux-tu venir dans ma bouche, René? Nous n'avons pas beaucoup de temps avant qu'André rentre du travail René, préfère-tu venir dans ma bouche, ou sur mon visage, bébé?"
"Oh mon Dieu!" André gémit. Des gouttelettes de pré-sperme dégoulinaient au bout de sa bite, je les léchais et serrais ses couilles d'une main en les tirant de l'autre main, suçant son gland, léchant sa bite, il gémit et dit: "Putain! Je jouis!"
J'ai sorti sa bite de ma bouche et je l'ai fait éjaculer sur ma poitrine, sachant que très bientôt, j'allais faire ça avec un autre homme. Sans même lui laisser reprendre ses esprits, je me suis levée, j'ai saisi sa tête à deux mains, je l'ai pressée entre mes seins en lui criant: "Suce, nettoie ta salope du foutre que son amant René a giclé sur ses seins de pute!"
Lundi, André a dû s'absenter. Quand il est parti, il m'a fait promettre de mettre en place ce que je lui avais promis.
"Je veux vraiment que tu le fasses, Cathy," dit-il en caressant ma joue. "Baise-en un ... n'importe qui ... et garde ta culotte sale pour moi. Je veux sentir son sperme. Si tu peux, faites-le juste avant que je rentre à la maison le vendredi afin que je te trouve la chatte dégoulinante. D'accord bébé? Feras-tu cela pour moi?" demanda-t-il.
"Oui!" Je souris." Je le ferai. Je promets que je le ferai"
André me sourit, puis il dit: "Je dois partir. Mon sexe devient dur juste en pensant à vendredi, te trouver nue, sur le lit, avec la chatte pleine de sperme" Il m'embrassa amoureusement, me tripotant les seins, et parti.
En me versant une tasse de café, je me jurais d'aller jusqu'au bout.
"S'il veut que je sois une salope, c'est exactement ce que j'aime faire" pensais-je en m'accroupissant pour me doigter la chatte, trempée de rosée, et pressée de sentir une bite étrangère la pénétrer ...
Sans attendre le vendredi, l'après-midi même, je suis sortie faire du shopping, en portant des vêtements que je ne mettais plus, trop serrés et trop courts, sans rien dessous, ni culotte ni soutien-gorge.
Finalement, après une profonde inspiration, j'ai eu assez de courage pour sortir de la voiture. Alors que je me dirigeais vers l'entrée du centre commercial, j'ai remarqué plusieurs hommes qui me dévisageaient en souriant. Mes tétons durcissais en frôlant le fin tissu du maillot. J'ai commencé à aimer les sensations que mon exhibitionnisme créait en moi, et j'ai rendu leurs sourires aux hommes. À l'intérieur du centre commercial, dans l'air climatisé, mes tétons turgescents semblaient vouloir crever le fin tissu du maillot. J'ai admiré mon reflet dans l'une des vitrines du magasin, et j'y ai vu une salope sexy très chaude. Souriante, je suis entrée dans un magasin de chaussures et je me suis assise sur l'une des chaises. Un jeune employé est venu et m'a souri en s'installant face à moi.
"Avez-vous vu un modèle en particulier, madame?" Il m'a demandé.
"Hum ..." dis-je en croisant et décroisant mes jambes, forçant ma jupe à remonter sur mes cuisses,
"Je vais essayer une paire d'escarpins noirs, pointure 39." Il jeta un coup dil à mon entrejambe, puis leva les yeux vers moi. Je lui souris d'un air complice, lui faisant savoir que j'avais vu où il avait regardé, et son visage devint cramoisi. "Je ... je reviens tout de suite," balbutia-t-il, partant rapidement. Je remarquai quelques autres employés qui me dévisageaient, et je leur souris aussi, étirant mes bras au-dessus de ma tête, me cambrant, forçant mes tétons durs et mes seins fermes. Le jeune homme revint et s'assit de nouveau devant moi. Je décroisais mes jambes, écartant légèrement les cuisses, et je levais mon pied vers lui, lui laissant voir ma chatte nue.
"Qu'en pensez-vous, jeune homme?" J'ai demandé, puis ajoutant, espiègle "Heu
la chaussure, je veux dire ... pas ma chatte!" Il rougit si violemment que je crus qu'il allait prendre feu.
"Que
je ... oh mon dieu, je suis ... désolé, madame ... je ..."
"C'est bon," dis-je. «tu es joli garçon, tu regardes ce que tu veux, ça ne me dérange pas, pourquoi crois-tu que je ne porte pas de culotte?"
"Vraiment ... ça ne vous embête pas si je regarde ton ... votre ..."
"Chatte, c'est le mot que tu cherches?" J'ai souris. "Vas-y, regarde tant que tu veux" dis-je en écartant les cuisses, notant son regard fixe et la luxure sur son visage. "Que tu es belle" dit-il, les yeux vitreux, alors que je remarquais la bosse de son pantalon qui grossissait. "Touche-moi," murmurai-je. "Vas-y, mets ton doigt en moi" lui ai-je demandé, en m'avançant sur la chaise devant lui, écartant mes jambes alors que ma jupe remontait sur mes cuisses, presque jusqu'à ma chatte maintenant.
"Vraiment?" Il haletait. "Oui vraiment, fais-le, baise-moi avec ton doigt, ici, dans ce magasin" souris-je.
Il regarda autour de lui, il semblait indécis, il tremblait légèrement, puis il approcha sa main et m'effleura, palpant ma chatte humide. Je gémis, fort, quand que je sentis son doigt se glisser en moi, me baiser. A travers mes yeux mi-clos, je surveillais les environs en me léchant les lèvres de façon sensuelle alors que le jeune vendeur continuait à me baiser avec son doigt dans la chatte. Heureusement, il y avait peu de monde dans ce magasin en ce moment-là ...
Mais un vendeur, surgit de nulle part, est venu et a dit: "Hé, Bill, tu as besoin d'aide avec cette cliente?"
Le jeune homme a sursauté en retirant son doigt, et je suis restée en plan, jambes écartées, chatte trempée.
"J'aimerais utiliser vos toilettes pour femmes, pouvez-vous me montrer l'endroit?" J'ai demandé.
"Nous n'avons pas de toilettes publiques, mais vous pouvez utiliser celles du personnel, suivez-moi" sourit l'homme.
Je me suis levée pour le suivre, mais Bill est resté là où il était, alors je me suis tournée vers lui pour lui dire:
"Viens avec moi, Bill, après tout, c'est toi qui m'a mise en route, tu mérites de passer en premier."
"Passer en premier?" répéta-t-il, perplexe.
"Que j'aime l'innocence des hommes jeunes" Je lui souris. "Mais, oui, Bill, viens me baiser en premier, avant que tes amis ne le fassent", ai-je taquiné en lui tendant la main. "Maintenant, tu viens ou pas?"
Il s'est levé, a pris ma main et, suivant l'autre vendeur, nous avons marché vers l'arrière-boutique. "Ici," dit l'homme en ouvrant la porte. Je suis entrée, j'ai ôté ma jupe devant eux, puis je me suis assise sur les toilettes. Les hommes sont restés là, debout devant la porte des toilettes ouverte, me regardant.
"Pourquoi n'entrez-vous pas tous pour m'aider?" dis-je.
"T'aider à quoi?" l'homme plus effronté a demandé.
"A baiser cette chatte", dis-je en caressant ma chatte, écartant les lèvres, montrant aux hommes la chair rose et l'intérieur de ma chatte. Le second vendeur dégrafa son pantalon et sortit une grosse queue, marchant vers moi, son pénis en semi-érection dégoulinant de liquide pré-éjacula.
"Bill en premier," dis-je en tendant la main à Bill.
"Viens, bébé, donne à maman ta belle bite, et dis-moi ce que tu veux me faire avec ça."
"Oh mon dieu!" gémit Bill, s'approchant de moi, la bosse dans son pantalon si grosse maintenant.
Bill debout devant moi, j'ai ôté mon maillot, j'ai dégrafé son pantalon, sorti sa queue, et le l'ai masturbé.
"Oh mon dieu," gémit Bill quand je l'ai pris en bouche. "Oh mon dieu, je suis ..."
"Vas-y, Bill. Donne-le moi. Donne-moi ton sperme chaud et crémeux, baise ma bouche et éjacule. Je veux goûter ta semence, balance la purée dans ma bouche!" Puis je gémis en sentant le flot de sperme inonder ma bouche, ensuite je sortis son sexe de ma bouche et je me barbouillais le visage.
"Putain, quelle salope!" dit l'autre homme, en train de se branler, bien raide lui aussi.
Je me retournais vers le second: "Dans ma chatte, baise-moi dans ma chatte", lui ai-je demandé.
"Ah, merde ouais, comme ça, pas de problème," dit l'homme, alors je m'appuyais sur le lavabo, debout, les jambes écartées, penchée en avant, le laissant m'embrocher par derrière, c'était le pied, je sentais enfin la queue d'un autre homme glisser dans moi, dans ma chatte impatiente. J'étais tellement excitée moi-même, juste en pensant à ce que je faisais, que quand je l'ai senti se répandre en moi, j'ai explosé, gémissante et geignante. Mais il n'était pas rassasié, sa queue bien raide, il martelait ma chatte, me baisant dans les toilettes comme une salope bon marché. Je gémissais sous ses coups de boutoir, me retournant pour regarder l'homme en train de me baiser. Il m'a sourit, puis il a accéléré la cadence, sa bite, comme un bélier, me frappait brutalement l'utérus, encore et encore, jusqu'à ce qu'il vienne encore, au fond de ma chatte, provocant mon deuxième orgasme encore plus violent que le premier. Je suis venue si fort que je me suis presque évanouie, et quand il s'est retiré avec un son "flop", Bill s'est présenté derrière moi et a planté sa bite en moi si vite que je ne réalisais même pas ce qui m'arrivait.
"Oh mon Dieu, ouais," je gémissais, les yeux clos, souriante, laissant mon cerveau et mon corps apprécier les sensations de pure convoitise qui m'excitaient alors que Bill, cet , me baisait comme une chienne. En peu de temps, je l'ai entendu grogner, puis j'ai senti son sperme se répandre dans ma chatte, se mélangeant à mes jus et au sperme de l'autre homme. J'ai ressenti une série de petits orgasmes qui traversaient mon corps à chaque poussée de sperme chaud. Il a jailli en moi, et quand il s'est retiré, j'ai senti une rivière de sperme s'écouler de ma chatte sur mes cuisses. Finalement, je me suis écroulée à genoux, repue. L'essai était transformé, j'étais une salope.
Je me suis assise sur le siège des toilettes pour me vider, me suis débarbouillée le visage le visage et les fesses de tout ce sperme, me suis rhabillée et je suis sortie dans le centre commercial.
Le prochain magasin était un magasin d'usine. Je suis entrée et j'ai abordé la vendeuse. "Salut," souris-je.
"Bonjour, madame" elle sourit en retour, fixant mes cheveux, il devait y avoir une goutte de sperme oubliée.
"J'ai besoin de culottes, ma chatte n'est plus étanche, j'ai été baisée par deux mecs super bien montés et j'ai besoin de quelque chose pour empêcher tout ce putain de sperme de couler sur mes jambes".
L'employée m'a regardé et ses yeux semblaient s'embraser de luxure.
"Seigneur, vraiment?" elle a demandé.
"Vois par toi-même," répondis-je, soulevant effrontément ma jupe tandis que j'écartais mes jambes, la laissant voir le sperme blanc s'écoulant de ma chatte béante.
"Vous vendez des culottes dans ce magasin?" J'ai taquiné.
"Oh ouais," dit-elle en faisant la moue en baissant la jupe pour cacher ma chatte nue.
"Quelle couleur, quel style, etc."
"M'en fiche, une culotte pour une salope comme moi ..." dis-je en souriant. Elle était un peu plus âgée que moi, la quarantaine, épanouie, sexy mais pas trop. Elle était juste ... la classe... douce , mais avec de beaux seins et un gros cul, le genre de femme qu'André aimerait baiser.
"Que pensez-vous de celles-ci?" demanda-t-elle en brandissant une culotte en satin rouge bordée de dentelle noire. "Parfait", dis-je. "Où puis-je aller pour les enfiler?" J'ai demandé.
"Suivez-moi," dit-elle, me conduisant vers les cabines d'essayage. Elle m'a menée jusqu'à la dernière.
En l'ouvrant, elle se retourna, me sourit et dit: "Je ferais peut-être mieux de vous aider à les essayer".
Je n'avais jamais été avec une femme auparavant, mais je me suis dit que si je voulais être une vraie salope je ferais mieux de tout essayer, alors je lui ai souri et je suis entrée dans la loge avec elle. Elle ferma la porte derrière elle puis se retourna et m'embrassa immédiatement, son corps plein et capiteux se pressant contre le mien tandis que nos langues se rencontraient et glissaient partout. Puis elle s'est agenouillée devant moi, a soulevé ma jupe et a immédiatement commencé à me manger.
"Oh mon dieu, tu es pleine de foutre chaud, je veux te manger, m'enivrer de tous tes jus ... j'adore ... j'adore ça!"
En gémissant, elle enfonçait sa langue dans ma chatte, me léchant et me suçant jusqu'à ce que j'explose dans un kaléidoscope de lumières tournoyantes, gémissante et geignante, au bord de l'évanouissement. C'était si torride, si impudique, avoir été baisé par deux inconnus, et maintenant d'être gouinée par cette femme mûre à l'air si sexy ...
Putain que j'aime ça, être une salope, et je savais qu'André aimerait m'entendre lui raconter mes turpitudes au téléphone ce soir-là. Après que l'on ait repris nos esprits, la vendeuse m'a embrassée amoureusement. Je pouvais goûter les jus de ma chatte sur ses lèvres, et j'ai aimé le goût, si grisant et si sexy. J'ai enfilé la culotte et nous avons quitté le vestiaire ensemble. "Combien pour la culotte?" Je lui ai demandé.
"C'est gratuit pour toi, petite salope, je me suis payée en nature" sourit-elle gentiment.
Je la remerciais, et quittais le centre commercial, revenant vers ma voiture, plus heureuse que jamais.
Tout cela après qu'André soit parti le matin même.
Je me demandais ce que le reste de la semaine m'apporterait, et j'étais si impatiente ...
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