La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1202)

chienne Vénus au Château – (nouvelle histoire) -

Je m’appelle Cristal, j’ai 20 ans et je suis la fille d’un couple de Dominants bourgeois et de souche aristocrate très connu dans ma région et ami personnel de Monsieur le Marquis d’Evans depuis plusieurs décennies déjà, bien avant ma naissance. Je vis donc, en quelques sortes, depuis mon enfance dans le milieu D/s mais sans jamais le vivre puisque mes parents m’ont toujours protégée ‘‘d’images’’ qu’une ne peut voir... enfin jusqu’au jour de mes 18 ans ! Ce jour de ma majorité, mon père, Mickaël et ma maman, Opaline, avec l’aide de leur vieil ami, Monsieur le Marquis, ont organisé pour moi une sublime fête dans la magnifique Demeure du Noble. Pour l’occasion, mes parents et moi-même arrivèrent un jour avant pour qu’ils fassent préparer la grande salle de réception à cet événement. Car mes parents veulent absolument marquer mon anniversaire, après m’avoir longuement parlé depuis de longs mois déjà de leur activité de Dominants et ayant vécu à leur côté, en tant que simple spectatrice, des soirées D/s au Château dès mes 17 ans. Ainsi, ils rêvent que j’entre dans leur monde et que je devienne une Maitresse de renom car, selon eux, j’en avais toutes les qualités requises. En effet, je suis depuis toute petite une personne très directive, capricieuse, hautaine avec les gens de rang inférieur à moi comme le personnel (domestiques) de ma maisonnée. Alors mes parents restent persuadés que j’aurai la même attitude avec des soumis, soumises et esclaves. Je suis très studieuse et actuellement à 20 ans, je suis déjà à la tête d’une petite entreprise de traiteur pour grandes réceptions qui marche formidablement bien grâce aux bons conseils de mon père et de Monsieur le Marquis...

Mais revenons à ce fameux jour de mes 18 ans, où à notre arrivée, la veille, nous franchîmes la grille du Château où comme toujours, je reste subjuguée par la beauté de cette Demeure ancestrale appartenant à la Famille Evans depuis plusieurs siècles.

J’aperçois 2 esclaves-jardiniers entièrement nus en train de tondre les immenses pelouses. Ils sont assis à califourchon sur leur tondeuses-tracteurs et je devine aisément, à voir leur visage à la grande bouche ouverte et à leurs yeux, qu’ils sont empalés par le cul, sur le siège de leur machine certainement sur un gode vertical qui doit pénétrer leur fondement plus ou moins profondément selon les cahots du terrain herbé… Une fois arrivés en bas du perron du Château, nous sommes accueillis par Walter, le Majordome de Monsieur le Marquis, et par plusieurs esclaves femelles et soumises en haie d’honneur spécialement pour moi, comme m’avait prévenu mes parents tout en m’expliquant tous les codes et rouages de ce monde D/s…

- Bonjour Madame, Monsieur et Mademoiselle de Bourbon. Avez-vous fait bon voyage ?, nous exprime Walter.
- Bonjour Walter… Oui, un peu fatigant après 6h de route pour venir, répondit mon père
- Et vous Mademoiselle ?
- Bien merci. J’aimerai qu’une de ces chiennes aillent porter mes bagages et par la même occasion les rangent si elle en est capable, dis-je de mon ton hautain et dédaignant à l’encontre des esclaves… Et, vous, s’il vous plait Walter, appeler-moi, par mon prénom, m’adressant au Majordome sur un ton beaucoup plus adouci…
- Oui, très chère Cristal, avec plaisir… (puis s’adressant à une soumise)… Toi la chienne, va porter les affaires de Mademoiselle de Bourbon et ensuite vous toutes, allez vaquer à vos occupations obligatoires…

La soumise que Walter choisi partit avec nos affaires.

- Si vous voulez bien me suivre, Monsieur le Marquis vous attend

Le Château est vaste et il nous fallut 10 bonnes minutes à travers multiples couloirs des plus luxueux, richement décorés, pour arriver dans le petit salon privé du Noble. Walter toqua solennellement à la porte

- Monsieur le Marquis, Vos amies Madame, Mademoiselle et Monsieur de Bourbon.
- Ah, parfait ! Fais-les entrer, mon bon Walter, répondit le Châtelain

Mes parents et moi-même entrions donc dans la pièce.
Monsieur le Marquis était assis à un petit bureau, ses jambes sur une soumise entièrement dénudée et à quatre pattes qui lui servait de repose pieds.

- Mes amis, soyez les bienvenus… mais prenez donc place, asseyez-vous ! Toi, la salope va chercher immédiatement de quoi nous sustenter en cuisine auprès de Marie et dépêche-toi, tu sais que je déteste attendre
- Edouard, mon cher ami, je ne saurais jamais te remercier de nous accueillir dans ton Château pour l’anniversaire de notre fille qui fête demain dans ta si belle Demeure, ses 18 ans ! Et qu’elle pourra enfin participer à tes sublimes soirées D/s, maintenant qu’elle a bien été informée par nos soins de leur déroulement, dit mon père fièrement
- Mais tout le plaisir est pour moi. Nous nous connaissons depuis de très longues années, et il est bien normal que j’accède à ta demande… Et toi, Cristal, comment vas-tu ? Moi qui t’ai vu dans le berceau !, répliqua le Noble
- Très bien merci, je suis en train de finir mes études de management pour développer une entreprise et pouvoir créer des filières dans d’autre pays. Actuellement, c’est mon père qui en est le PDG et j’ai bien l’intention de récupérer ce qui est à moi et de le faire prospérer... Les affaires, c’est mon domaine ….Papa m’a bien formé !

Entre temps, la soumise de Monsieur le Marquis était revenue avec un plateau garni de victuailles.

- Mes amis, servez-vous, ma soumise est à votre disposition mais pas tous ! Car Cristal, tu es encore mineure et donc tu n’auras que tes yeux pour regarder... Il te faudra attendre demain le jour de ta majorité ! … (puis s’adressant à la soumise)… Quand à toi, la chienne, couchée sur le dos et interdiction de jouir !

Mon père s’approcha alors de la soumise et commença à la doigter et à la stimuler (si besoin était !). Quant à ma mère, elle n’hésita pas, sous mon regard (heureusement que mes parents m’avait prévenu que ce genre de situation allait ment arriver) de soulever sa jupe en skaï noir et sexy pour dévoiler un sexe sans culotte et de s’installer sur la bouche de la soumise pour se faire lécher.
L’excitation de ma mère grandissait au fur et à mesure que mon père stimulait la soumise. Au bout d’un moment, il baissa son pantalon montrant ainsi une belle érection et sans autre préambule, il pénétra la chatte de la soumise dégoulinante de sa cyprine à grands coups de reins puissants. Il la prenait bestialement en de vifs va-et-vient qui durèrent de longues minutes. Puis mon père échangea avec ma mère pour que la bouche de la chienne, comme l’appelait mon père, lui serve de vide-couilles. Il lui enfonça sans préparatif sa grosse queue dure et lui baisa la cavité buccale comme s’il baisait une chatte ou un cul lâchant, à tout va, des :

- T’es une bonne chienne, une bonne salope, ta bouche est délicieuse à prendre, oui une sacrée salope …

Ma mère, quant à elle, s’activait à lui lécher savamment le clito pendant que Monsieur le Marquis intervint, il baissa à son tour son pantalon exhibant une impressionnante verge dressée de grosse taille et encula sans ménagement et d’une force inouïe, le cul de la soumise, qui avait été formée pour ne pas crier alors juste un gémissement lui sorti de la bouche encombrée du sexe de mon père... Quant à moi, je me sentais mal à l’aise de voir une telle scène. Malgré l’éducation de Domina que mon père essayait de me donner depuis plusieurs longs mois, cela ne m’excitait pas du tout de ce que faisait subir mes parents et Monsieur le Marquis à cette chienne en chaleur. Visiblement comblée du traitement qu’elle vivait, c’est sa condition même de soumise qui m’excitait beaucoup plus que l’idée de dominer, bref, ce qui m’excitait était clair, c’était plutôt de subir et non de faire subir…

C’est sur cette forte pensée en tête que je fantasmais à me faire prendre ainsi, à être traitée comme cette soumise que je commençai donc à me branler le clitoris, me doigtant tellement car j’avais donc envie de vivre la même chose. Je coulais littéralement de les voir la prendre par tous ses orifices... et je l’enviais ! La seule pensée de subir une telle possession sur mon corps, de penser de n’être que cette chienne en chaleur que l’on pourrait user et r, à être ainsi utilisée, me fit mouiller comme rarement je pouvais mouiller… Et au bout d’un moment je ne pus donc me retenir, trop excitée par toutes ses pensées, mes doigts entraient dans ma chatte comme dans du beurre et j’activais rapidement leur pénétration en des va-et-vient cadencés du plus profond que pouvaient atteindre mes doigts quand ma jouissance éclata.
Je lâchais alors un râle animal et laissa couler de mon abondante cyprine sur le sol en chêne massif du Châtelain... A ce moment-là, quand mon regard croisa celui de Monsieur le Marquis, celui-ci s’arrêta de forniquer pour me dire un soupçon sévère :

- Et bien Cristal, il va falloir que je fasse nettoyer le sol
- Je … Je…. suis désolée Monsieur le Marquis … mais le … le spectacle était tellement excitant que je ne pus résister
- Toi, la chienne va nettoyer le sol avec ta langue et je ne veux plus voir une trace, lança le Noble à sa soumise, quant à toi, Cristal, ne soit pas gênée au contraire si tu as pris du plaisir, j’en suis heureux.
- Ce n’est pas ce que Vous croyez, Monsieur le Marquis
- Cristal, stop ! Tu es fatiguée après ce long voyage. Edouard mon cher ami, pouvez-vous s’il vous plait, faire conduire ma fille dans sa chambre, elle en a grandement besoin, répliqua ma mère.
- Bien sûr, Opaline... (Il appela son Majordome) Walter, conduit Mademoiselle de Bourbon dans ses appartements et veille à ce qu’elle ne manque de rien, répondit Monsieur le Marquis. Et nous mes chers amis, continuons à s’occuper de cette chienne qui n’a qu’une idée en tête, celle de nous satisfaire …
- Excellente idée, mon cher Edouard, je ne demande que cela.
- Venez avec moi, Mademoiselle, invita poliment le Majordome…

(A suivre …)

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