La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1203)

chienne Vénus au Château – (nouvelle histoire et suite de l'épisode précédent N°1202) -

- Venez avec moi, Mademoiselle, invita poliment le Majordome…

Je le suivis dans les magnifiques couloirs de la belle Demeure de Monsieur le Marquis d’Evans et entre tableaux de maitre et dorures, tentures des meilleurs tissus aux hautes fenêtres pour les couloirs latéraux, multiples moquettes et tapis épais, lustres de cristal, statues ci-et-là, moulures de rosaces aux plafonds, etc…, je m’émerveillais comme à chaque fois. Arrivée dans ma chambre, gagnée par la fatigue, je m’endormis rapidement pendant que mes parents continuaient leur baise sur la chienne en compagnie du Noble. Après quelques heures de bon repos, je me réveillais, mais je sentais en moi ce manque et ce besoin de plus. Je me sentais beaucoup plus profondément soumise voir esclave que Domina. J’en avais déjà souvent parlé à mes parents qui refusaient catégoriquement cette idée, qui de leur avis, était contre nature. Pour eux, je ne devais, je ne pouvais qu’être une Dominatrice en puissance, avec de mon comportement dédaigneux au caractère hautain voire autoritaire. Pour eux, je ne pouvais que devenir, avec les enseignements qu’ils m’avaient inculqué et ceux de Monsieur le Marquis, qu’une excellente et grande Maitresse en devenir et ainsi leur faire honneur, à eux, mes parents … mais mon envie n’était pas cela…

Quelques jours étaient passés et cette envie et désir de soumission profond a commencé durant les soirées que Monsieur le Marquis organisait. Depuis mes 17 ans, je fus conviée à y assister en spectatrice, toujours derrière un immense miroir sans tain, à l’abri des regards et à chaque fois, le fait de voir ces orgies D/s et sexuelles me donnaient encore plus envie de me soumettre beaucoup plus que de dominer. Et ce que je rêvais secrètement d’abord, c’était de devenir une soumise et une esclave MDE, car Monsieur le Marquis avait une parfaite façon de pratiquer la D/s, un savoir-faire hors norme, une rigueur, un charisme, une autorité naturelle… Et ça me donne encore plus envie de vivre à Ses pieds cette soumission qui me manque tant….

J’ai compris au fil des mois que la Nature avait choisi pour moi, qu’elle avait décidé que je sois soumise, profondément soumise esclave et absolument pas une Domina, et ça sera ainsi, je le sais, au grand désespoir de mes parents... En effet, je ne pouvais pas rester comme cela, il me fallait Lui en parler et avoir conseil de Sa part et vue que ma majorité été passée depuis quelques jours, je voulais profiter de cette nouvelle soirée au Château pour Lui exprimer mes envies, mon besoin viscéral de soumission. Je fis donc appeler une soumise MDE pour Lui faire passer un message qui disait ceci :

« Monsieur le Marquis, serait-il possible de Vous parler sans la présence de mes parents, juste entre Vous et moi car j’ai une chose importante à Vous demander »

- Vas porter ce message au Maitre qui te soumet mais fait bien attention à ce que mes parents ne voient pas ce message, sinon tu seras sévèrement punie. File, la chienne, je ne veux plus te voir….

La soumise MDE qui se prénommait Aphrodite MDE partit avec mon message et une heure plus tard, Walter vint me chercher et me conduisit auprès du Châtelain. Je stressais et cherchais encore mes mots pour lui parler de ce besoin, j’avoue que j’appréhendais ce moment de tout lui dire, ce qui m’attirait dans la Domination/soumission...

- Monsieur le Marquis, Mademoiselle de Bourbon, annonça le Majordome après avoir frappé à la lourde porte du bureau du Noble.
- Entre Cristal, Ma chienne MDE m’a bien remis ton message et depuis que je t’ai vu jouir, l’autre jour, tu me sembles bien troublée...
- Merci de me recevoir Monsieur le Marquis, Vous m’avez toujours dit de venir vous parler si jamais j’avais un souci et depuis quelque temps j’avoue qu’un souci me trouble effectivement.
- Oui, tu as raison, je t’ai toujours dit de venir et si je peux t’aider, je le ferai.
- L’autre soir, après avoir … enfin vous voyez ce que je veux dire… Ma mère m’a fait sortir mais pas pour que j’aille me reposer, je l’ai deviné, mais parce qu’elle a été gênée par mes mots… Car, en vérité, sachez que je leur ai souvent parlé de mes envies mais celles-ci ne sont pas celles du côté de la D/s qu’ils aimeraient me voir… Je ne me sens pas du tout l’âme d’une Maitresse mais, pour être franche, …plutôt d’une …. soumise ! C’est en moi, j’en suis profondément convaincue, je ressens tant ce besoin de soumission … mais mes parents ne veulent pas en entendre parler, pour eux je dois devenir, être une Maîtresse… Depuis ma première soirée au Château à mes 17 ans en simple spectatrice, j’envie Vos soumises et esclaves plus que tout car je voudrais tellement être à leur place, Monsieur le Marquis … Ne pas être assise derrière ce miroir sans tain à regarder mais être à Vos côtés … à Vos pieds…. (Me prosternant à Ses pieds comme si pour moi, c’était déjà naturel de prendre cette position)
- Eh bien ma belle ! Quelle touchante déclaration … Mais sache que je ne suis absolument pas surpris, bien au contraire ! Comme tu l’as dit, depuis ta première soirée, je t’ai senti mal à l’aise et très excitée aussi de voir comment je dresse Mes chiens et chiennes… Tu aurais pu être excitée avec des ressentis de Domina, mais je n’ai jamais vu des Maitresse en devenir baisser la tête comme à chaque fois que je te voyais tout de suite après les soirées D/s, quand on discutait ensemble de leurs déroulements… Tu en rougissais, tête basse, tu balbutiais tes mots et la fille hautaine et orgueilleuse se décomposait toute seule sous Mon simple regard, alors oui, il y a longtemps que j’ai compris ce que tu es vraiment… J’en n’ai jamais parlé à tes parents car je n’avais pas à leur dire quoi que ce soit de leur ambition pour toi, tant que tu ne m’en n’avais jamais parlé… Donc encore une fois, je ne suis pas non plus étonné de ta demande….

Monsieur le Marquis marqua un silence en me fixant droit dans les yeux, je ne pus tenir son regard si bleu et puissant et je baissais naturellement les yeux, rougissante et je me sentais bien petite, Sa Domination m’envahissait, m’irradiait me faisant remonter des frissons jusqu’en haut de mon échine et cela me rendait heureuse, prosternée je me sentais enfin à ma place et j’en étais toute excitée, quand j’entendis, après une longue minute sans aucun mot à me dévisager, me jauger, me dominer du regard … :

- Mets-toi à genoux et regarde-moi, Cristal

Je me mis instantanément à genoux et ses doigts me prirent le menton afin de me relever la tête pour qu’il m’impose à le regarder et je vis encore plus intensément que son regard n’était pas celui de l’ami de mes parents mais bien le regard du Maitre empli de Dominance et je devinai aussi un regard d’envie envers moi. Et ce regard puissant me fit de nouveau baisser les yeux et encore mouiller énormément.

- Approches-toi et parle, je veux que tu me dises ce que tu ressens là à cette instant.
- Monsieur le Marquis, je … je … me dois d’être honnête envers Vous, je me sens particulièrement bien, à ma place et très excitée, je dois bien l’avouer. Ma déclaration est mûrement réfléchie et non un coup de tête de ma part ou un caprice et encore moins pour faire honte à mon père et à ma mère… Mais c’est à Vos pieds que je veux vivre ma vie, perdre ce droit de choix pour Vous servir et Vous satisfaire dans les épreuves que Vous exigerez de ma petite personne… Ce besoin de soumission est un besoin viscéral et si je continuerais dans la Domination selon le souhait de mes parents, je ne serais pas heureuse. Mais seul Vous, pouvez prendre cette décision et non moi. Je m’en remets à Vous Monsieur le Marquis, en Votre éducation et dressage pour faire de moi une bonne petite chienne qui n’est là que pour Vous obéir et subir toute Vos exigences, dis-je en pleurant de sincérité et d’émotions.

A nouveau, un grand silence se fit dans la pièce, le Noble se leva et tourna autour de moi, me jaugeant encore et me toisant du regard, sans un mot. Je sentais son regard puissant et Dominant sur moi, ce qui m’apaisait petit à petit… Au bout d’un certain temps, il s’approcha de son téléphone et sonna. Walter répondit au téléphone :

- Monsieur le Marquis, que puis-je faire pour Vous ?
- Annule mon rendez-vous et que l’on ne me dérange sous aucun prétexte !, dit-il.
- Bien Monsieur le Marquis

Le Châtelain se positionna devant moi :

- Tu es magnifique, ma belle devant Moi à cette place. (et me caressant la joue de sa large main que je suivis toute en fermant les yeux) Je vais réfléchir à ta demande très alléchante, sache-le… Réfléchir mais certainement très vite … Regarde petite chienne, me montrant de sa main, la bosse sur Son pantalon, je me sens bien à l’étroit dans mon boxer.
- Monsieur le …

Une gifle me coupa net la parole

- Ferme-la, chienne, je ne t’ai pas autorisé à la parole que je sache déjà. Tu souhaites devenir une de Mes soumises alors apprend la règle de base ici ! Une chienne n’a le droit de parler que si on lui ordonne. (Il m’assène une deuxième gifle) Eh bien petite chienne, crois-tu que ce soit une tenue pour une chienne de se présenter devant Moi comme tu le fais ! … A poil et tout de suite...

C’est tête baissée et trempée d’excitation que je me déshabillais sans demander mon reste et me repositionnais devant Le Noble, toujours la tête baissée, la joue encore rougie par la double gifle.

- Voila qui est bien belle petite chienne ! Tu es bien excitante, dit moi. J’ai bien envie de te prendre et de voir ce que tu vaux avant de faire mon choix… Quand penses-tu ? Répond, petite chienne !
- Monsieur le Marquis, je … je Vous remercie de m’avoir rappelé à l’ordre pour ma tenue inappropriée et le fait d’avoir ouvert ma bouche alors que je n’y avais pas le droit…. je … je suis à Votre entière disposition donc faite ce que Vous voulez de moi, Monsieur le Marquis.
- Tu as raison petite chienne en chaleur, je vais vérifier tes capacités de chienne, ne bouge pas, tu peux gémir autant que tu veux mais tu ne jouiras que quand je te le permettrai

Le Châtelain commença à descendre Ses doigts sur ma chatte déjà très excitée et Il me les fit lécher plein de ma mouille, puis il posa une de Ses mains sur mon clitoris et l’autre dans ma chatte et commença à me branler vigoureusement. Je me sentais tellement excitée que je me mis de plus en plus à gémir de plaisir, plus il me doigtait et plus je mouillais … Une divine … Puis, sans un mot, il défit son pantalon et me présenta Sa Verge dressée et bien gonflée et il me l’enfonça sans préambule dans ma cavité buccale et commença à me baiser la bouche comme s’il était dans une chatte ou un cul sans faire attention à moi juste pour Son plaisir. Il continua durant quelques minutes puis planta Sa dure verge jusqu'à la garde et au bout de quelques va-et-vient, il se déversa en longs et épais jets de sperme :

- Prend petite chienne, prend Ma Noble semence que je daigne t’offrir. Avale et nettoie-Moi bien la bite pendant que je continue à te doigter, ta bouche est divine à prendre. Un pur régal.

Je me concentrai pour bien le nettoyer et il continua les assauts de Ses mains sur mon corps, je devenais de plus en plus en chaleur et j’avais du mal à retenir ma jouissance, quand au bout de longues minutes, il s’approcha de mon oreille et me dit presque en murmurant :

- Jouis petite chienne, je le veux….

Et là, un orgasme explosif, torride me submergea… J’hurlais de plaisir sous les mains experte de Monsieur le Marquis, coulant de plaisir. J’avais l’impression que mon orgasme ne s’arrêtait pas, des vagues successives de spasmes me traversaient tels des courants électriques de plaisirs orgasmiques…. Il me fallut un certain temps pour me remettre de cette explosion jouissive… Je me prosternai devant Lui et osa Lui dire ::

- Merci, merci Monsieur le Marquis, pour ce délicieux moment qui me conforte dans l’envie, dans le besoin que j’ai de Vous appartenir…
- Tu as du potentiel, je le confirme… Maintenant, rhabille-toi Cristal, et va te reposer… Je vais réfléchir sérieusement à ta demande pour savoir si je donne suite pour une sérieuse prise en main… et tu auras une réponse quand j’aurai pris ma décision…. Bien entendu, pas un mot à tes parents… Aller, file te reposer, j’ai à faire...

(A suivre …)